- Titre :
- BIO LINEAIRES, N° 61 - Septembre / Octobre 2015 - Bulletin N° 61
- Type de document :
- Bulletin : Périodique
- Paru le :
- 01/09/2015
- Année de publication :
- 2015
- Langues:
- Français
- Commande possible de photocopies :
- -
- Appartenance :
- ABioDoc
Dépouillements


Comprendre la permaculture
Claude AUBERT, Auteur
Cet article propose de clarifier ce qu'est la permaculture. En effet, il n'est pas toujours facile de savoir avec précision ce qu'il y a derrière ce terme. Longtemps considérée comme utopique, la permaculture établit l'idée selon laquelle, pour concevoir les cultures, les lieux de vie, les systèmes agricoles humains, il faut reproduire la diversité, la stabilité et la résilience des écosystèmes naturels, et ce, grâce à des principes d'écologie et des savoirs de sociétés traditionnelles. L'agriculture et le jardinage ne sont donc pas les seuls domaines concernés par la permaculture, dont le projet est beaucoup plus global. Ceci étant dit, sur le plan agricole, la permaculture renvoie à un ensemble de pratiques de l'agriculture biologique, tout en allant aussi plus loin. Elle présentera de nombreuses différences, en particulier, avec ce qui se pratique, par exemple, sur une grande exploitation bio spécialisée, très mécanisée. Comme le fait la biodynamie, la permaculture considère un domaine agricole comme un organisme vivant où les règnes animal, végétal et minéral coopèrent et créent un écosystème harmonieux. Parmi les pratiques permaculturelles, peuvent être cités : un recours aux machines réduit au maximum, des associations de plantes, des associations de plantes annuelles et d'arbres (agroforesterie), la culture sur buttes, la couverture du sol


Les nouveaux consom'acteurs 3.0 : Seniors, baby boomers, générations X, Y et Z... (3/2)
BIO-LINEAIRES, Auteur
Cet article fait suite à celui du n° 60 de la revue. Dans cette deuxième partie, il est tout d'abord question d'approfondir les perceptions du bio par les différentes générations de consommateurs : positionnement par rapport à l'industrialisation de l'alimentation en partie responsable de la dégradation de l'environnement, par rapport aux nouvelles technologies, aux OGM, à la société de consommation, aux droits sociaux et économiques des petits producteurs, etc. Il est à noter que les nouvelles générations, qui sont plus tôt sensibilisées aux notions de produits naturels, portent des exigences éthiques qui dépassent les critères actuels des labels. Ensuite, pour comprendre les motivations à consommer des produits biologiques et anticiper les besoins des consommateurs, il est utile de s'intéresser aux imaginaires moteurs qui sont à l'uvre chez les nouvelles générations "Y" et "Z". Quatre grands imaginaires peuvent ainsi être identifiés, dont deux sont présentés dans cet article, avec une suite prévue dans le prochain numéro de la revue. Les deux premiers imaginaires sont : - "Happyness" : il renvoie au fait que, pour les nouvelles générations, acheter des produits bio, sains, naturels et avec du goût est important, mais ne suffit plus. De plus, une nouvelle économie collaborative se met en place, où, à l'achat d'un objet neuf dont on devient propriétaire, il est préféré la location, le partage, le troc ou encore l'achat d'occasion. Le "bonheur par l'objet" atteint ses limites, le bien-être intérieur lui est préféré ; - "Purify-simplify" : il recouvre le "Zéro-déchet", la consommation minimaliste, les produits "sans" (sans gluten, sans emballage...), le naturel sans artifice ni retouche, l'alimentation peu cuisinée ou même crue... qui sont érigés en véritable style de vie, dans lequel sont à l'uvre une tendance à la simplification et un besoin symbolique de pureté.


La distribution des produits naturels et bio au Royaume-Uni
BIO-LINEAIRES, Auteur
Au Royaume-Uni, les habitudes alimentaires et les usages de distribution sont très différents de la France. Dans le secteur de la bio, qui ne représente, en surface, que 3,2 % de la SAU (4 % en France), le marché retrouve un peu de croissance. 48 % des foyers britanniques déclarent avoir acheté des produits bio en 2014, plus d'un tiers (soit 9,3 millions de consommateurs) achetant bio tous les mois. Les ventes de produits bio y ont augmenté de 4 % cette même année. Cette progression devrait se poursuivre en 2015. La grande distribution, leader de la vente des produits bio dans ce pays, se compose de différents types de magasins qui sont, pour la plupart, entre les mains de chaînes spécialisées. Certains distributeurs alimentaires conventionnels créent leurs propres marques bio. Il existe peu de chaînes de supermarchés bio en Grande-Bretagne. Côté produits, les compléments alimentaires sont une des grandes spécialités du Royaume-Uni depuis des décennies. Leur marché a augmenté de 20 % en 2014. L'évolution du marché des produits de santé et de cosmétique bio est présentée.


Entreprises bio : créatrices de croissance et d'innovations pour l'économie française (suite)
BIO-LINEAIRES, Auteur
Cet article fait suite à celui du n° 60 de la revue, où étaient présentés une partie des résultats de l'étude Asterès pour NATEXBIO sur les entreprises de transformation bio. Ici, ce sont les exportations et la croissance qui sont plus particulièrement détaillées. Les exportations et chiffres d'affaires 2012 par secteur (boissons, céréales, boulangerie, fruits et légumes, viandes et produits laitiers) sont présentés dans un graphique. L'industrie agroalimentaire bio accuse un déficit commercial de 31 % de son chiffre d'affaires, quand l'industrie agroalimentaire classique est en excédent à hauteur de 6 %. L'export élargit considérablement les perspectives de débouchés de la production française. Les territoires où la transformation de produits biologiques est la plus dynamique sont la Bretagne, le Centre, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Auvergne-Rhone-Alpes. En matière de croissance, les entreprises transformatrices de produits bio sont plus dynamiques sur tous les segments, hormis les céréales, que les entreprises classiques. Les chiffres clés de la transformation bio montrent sa contribution à la richesse nationale, avec, par exemple, un chiffre d'affaires de 2,86 millions d'euros en 2013, soit une augmentation de 14 % par rapport à 2012.


Repères : L'alimentaire bio en GMS au 1er semestre...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Selon les données de IRI, la distribution des produits bio sur le premier semestre 2015 en hypermarchés, supermarchés, hard-discount et E-commerce présente une croissance de 8,3 %. L'épicerie (salée et sucrée) dépasse les 10 % d'évolution, boostée, semble-t-il, par l'alimentation infantile et la panification sèche. La crèmerie reste leader en matière de part de marché. En grandes surfaces, les produits bio représentent aujourd'hui 2,7 % des ventes des produits alimentaires. Un tableau présente, pour l'épicerie salée, l'épicerie sucrée, la crèmerie, le frais non laitier et les liquides bio : le chiffre d'affaires, la part de marché et les ventes, ainsi que leur évolution.


Le vrac est-il moins cher ?
BIO-LINEAIRES, Auteur
Une société d'audit a réalisé des relevés de prix dans 12 points de vente spécialisés bio de 7 enseignes différentes, sur Paris et la Région Parisienne, en mars 2015, afin de comparer les prix en vrac et en sachet de 10 produits, parmi lesquels : abricots secs, haricots blancs, lentilles vertes, riz basmati, sucre de canne roux... L'achat en vrac est en moyenne 15 % moins cher.


Viande bio : une croissance remarquable
BIO-LINEAIRES, Auteur
Selon les chiffres de la commission bio d'Interbev, la filière viande bio s'inscrit dans une réelle dynamique. La disponibilité en animaux bio s'est accrue en 2014, augmentant de 10 % les volumes abattus : 15 % de volume en plus pour la filière bovin, 15 % également pour la filière ovin, et 1 % pour la filière porc. Un graphique montre l'évolution constante, depuis 2005, des volumes, tous circuits confondus, par type d'espèces. Pour la vente, la répartition des volumes entre circuits de distribution reste stable.


Guerre des prix en France : Bilan et enseignements pour les autres pays européens
BIO-LINEAIRES, Auteur
La société IRI, spécialiste des études sur la distribution des produits de grande consommation, a publié un recueil sur les prix pratiqués par la grande distribution en France. Cet article en propose les éléments clés, ainsi qu'une analyse et des enseignements sur les politiques de prix à mener.


La distribution spécialisée dans le marché bio
BIO-LINEAIRES, Auteur
Les magasins spécialisés continuent d'être, en France, un canal privilégié de la distribution des produits alimentaires biologiques, et les prévisions confirment qu'ils deviendront le premier distributeur de ces produits d'ici quelques années. Ils présentent les plus forts taux de croissance, ainsi qu'une évolution de leur part de marché (36 % en 2014).


Typologie des magasins bio !
BIO-LINEAIRES, Auteur
Biofichiers.com est la première base de données regroupant l'intégralité des informations sur les magasins bio, fournissant des renseignements tels que les noms des responsables, les coordonnées, la surface de vente, le pourcentage du CA alimentaire
La base de données a été enrichie d'éléments de géolocalisation, et une typologie des points de vente, selon leur potentiel commercial, a été élaborée. Ainsi, en août 2015, ce sont 1515 magasins qui ont été classés en 4 catégories, selon leur chiffre d'affaires.


Étude magasin : Local et rayons bio : où en est-on ?
BIO-LINEAIRES, Auteur
Quelles sont les pratiques des magasins bio destinées à satisfaire les attentes des consommateurs, de plus en plus affirmées, en matière de produits locaux ? 107 magasins français spécialisés en bio ont été interrogés en mai et juin 2015, en particulier sur la place des produits locaux dans leurs rayons. L'article rend compte des principaux enseignements de cette étude, qui montre, entre autres, que la notion de "local" peut, pour certains, correspondre à des délimitations géographiques très variables, ou être appréciée par les responsables de magasins en fonction des contraintes liées à un emplacement géographique moins favorable (proximité d'une côte, d'un massif montagneux, etc.), ou encore être déterminée par le nombre d'intermédiaires. Parmi les produits bio locaux cités le plus souvent par les magasins, les fruits et légumes arrivent en tête, avant les produits secs et les céréales. L'article présente plusieurs graphiques permettant de connaître les circuits d'approvisionnement utilisés par les magasins interrogés et leurs ressentis vis-à-vis des produits locaux (en termes de prix, de qualité, d'offre...). Il analyse aussi comment les magasins s'adaptent pour proposer du bio local, comment ils mettent en avant ces produits dans leurs rayons, et quels pourraient être les leviers pour augmenter la part des produits locaux dans leur assortiment.


Il faut savoir raison garder...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Afin de mieux connaître les attentes des consommateurs de produits bio en termes de promotions proposées dans leurs magasins, 506 personnes ont été interrogées en juillet 2015. 60,6 % des personnes sondées estiment que ces promotions ne répondent pas à leurs besoins. L'article s'intéresse en particulier à l'impact des différentes formes de promotion (cartes de fidélité, bons de réduction, échantillons...) et aux produits pour lesquels des promotions sont les plus souhaitées. Il rappelle aussi que, plus encore que des prix bas, les consommateurs demandent des prix raisonnables et qui leur garantissent un niveau de qualité de produits.


Le consommateur bio mis au jour et un peu plus...
BIO-LINEAIRES, Auteur
L'article présente les résultats d'une étude réalisée en juillet 2015 pour mieux connaître le profil et les attentes des consommateurs de produits biologiques. Les personnes enquêtées ont répondu, via un questionnaire, à trois questions sur : l'évolution de leur consommation (augmentation, stabilité, baisse), l'utilisation ou non de titres de réduction lors du passage en caisse, la réalisation ou non d'achats suite à la réception d'informations publicitaires ou de promotions.


Le poireau bio : des vertus ancestrales
BIO-LINEAIRES, Auteur
En bio, les gros bassins de production du poireau sont la Bretagne, les Pays de la Loire et la région Rhône-Alpes. Certaines variétés sont plus résistantes au froid. Du point de vue consommation, le poireau reste une valeur sûre sur les plans gustatif et nutritionnel. Des informations sont proposées sur la façon de le cuire et de le conserver, puis sur ses qualités nutritives, avant quelques recommandations pour sa mise en rayon.


Dossier : Grossistes distributeurs bio
BIO-LINEAIRES, Auteur
Les grossistes-distributeurs engagés dans la bio représenteraient un poids économique avoisinant les 560 millions d'euros. Moins connus du grand public, ils jouent un rôle essentiel dans l'approvisionnement des magasins. Certains font même partie des pionniers de la bio, et bon nombre d'entre eux sont plus que des logisticiens. Impliqués dans l'amont, ils contribuent à construire des filières de production, en France ou à l'étranger. Engagés dans le respect de l'environnement, ils construisent des bâtiments écologiques pour mieux garantir les valeurs de la bio... Ce dossier présente un panorama des grossistes-distributeurs bio français. D'abord localisées sur une carte de France, les entreprises sont ensuite présentées, une à une, en soulignant leurs spécificités et points forts. Elles sont classées en 3 grands groupes : - Grossistes généralistes (régionaux et nationaux) ; - Grossistes spécialistes (régionaux et nationaux) ; - Fabricants-Importateurs/Grossistes (régionaux et nationaux). Un panorama des grossistes bio belges est également présenté.


Les pâtes fraîches biologiques
Angélique HOULBERT, Auteur
Les pâtes fraîches se distinguent des pâtes sèches et des pâtes semi-fraîches. L'appellation "pâtes fraîches aux ufs frais" est réservée aux pâtes présentant un taux d'humidité supérieur à 12 %, confectionnées à partir d'une semoule de blé de qualité supérieure et d'un minimum de 140 g d'uf par kg de semoule. Elles ont subi une phase de pré-séchage qui les empêche de coller entre elles et ont été immédiatement conditionnées en sachets ou en barquettes. On les trouve sous différentes formes, nature ou agrémentées de légumes, farcies, à poêler ou encore en plats cuisinés. Leur conservation est limitée, entre 0° et 4°, à 21 jours. L'article présente les atouts nutritionnels de cet aliment.


Plantes du moment : Le topinambour et la nigelle
Jean-Claude RODET, Auteur
Cet article propose un zoom sur deux végétaux : le topinambour (Helianthus tuberosus) et la nigelle (Nigella sativum). Les qualités alimentaires et vertus thérapeutiques de chacun sont présentées, ainsi que les états et troubles pouvant bénéficier de leur consommation. Des conseils sont donnés pour les utiliser en cuisine.


Épices du moment : Le romarin et le paprika
Jean-Claude RODET, Auteur
Cet article propose un zoom sur deux épices : le romarin (Rosmarinus officinalis) et le paprika, issu du piment annuel (Capsicum annum). Leurs qualités alimentaires et vertus thérapeutiques sont présentées, ainsi que les états et troubles pouvant bénéficier de leur consommation. Des conseils sont donnés pour les utiliser en cuisine.


Tisanes du moment : La maca et la griffe du chat
Jean-Claude RODET, Auteur
Cet article propose un zoom sur deux plantes : la maca (Lepidium meyenii - L. peruvianum) et la griffe du chat (Uncaria tomentosa - U. guianensis). La première, cultivée traditionnellement sur les hauts plateau andins, aujourd'hui appréciée comme aliment tonique et adaptogène, est exportée dans le monde entier. La deuxième est une plante grimpante des forêts humides de l'Amazonie où elle est considérée comme une plante sacrée aux grandes vertus médicinales. Les qualités et vertus thérapeutiques de chacune sont présentées, ainsi que les états et troubles pouvant bénéficier de leur consommation. Pour la maca, une utilisation culinaire est possible.


Huiles essentielles du moment : Thym à linalol et sauge
Jean-Claude RODET, Auteur
Deux huiles essentielles sont à l'honneur dans cet article : le thym à linalol (Thymus vulgaris linaloliferum) et la sauge (Salvia sclarea). Les huiles essentielles obtenues par distillation, des sommités fleuries pour le thym, des feuilles pour la sauge, sont d'un usage répandu en aromathérapie. Les qualités et vertus thérapeutiques de chacune sont présentées, ainsi que les états et troubles pouvant bénéficier de leur utilisation, à condition de respecter certaines précautions.


Le marché de la cosmétique bio en 2015 : un bilan
BIO-LINEAIRES, Auteur
La part de marché de la cosmétique bio est d'environ 3 %, moins importante que celle prévue, il y a dix ans, par certains analystes. Cet article dresse un bilan : évolution du marché, évolution de l'offre et répartition des ventes dans les différents circuits de commercialisation, entre 2004 et 2014.


Ouvertures, fermetures : inversion de tendances...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Au milieu de l'année 2015, le solde entre les ouvertures (70) et les fermetures (40) de magasins bio était positif, avec 30 nouveaux points de vente et + 13 811 m2 de surfaces supplémentaires par rapport à fin 2014. Certaines enseignes ont particulièrement progressé en termes d'ouvertures. Les chiffres clés des magasins, toutes enseignes confondues (nombres, surfaces moyennes, chiffre d'affaires...) ayant soit ouvert, soit fermé, sont présentés dans un tableau montrant l'évolution entre 2012 et 2015.


Bleu Vert : acteur et moteur de la cosmétique bio depuis 1998
BIO-LINEAIRES, Auteur
Créée en 1998, la Société Bleu Vert a été pionnière dans la distribution de cosmétique certifiée en France. Aujourd'hui, elle représente 9 marques (dont Logona, Naturkosmetik, Khadi...) et livre environ 1 700 000 produits dans 1 700 points de vente, exclusivement en circuits bio. Plus qu'un grossiste-distributeur, Bleu Vert est un acteur engagé dans le développement de la bio. Forte de son expérience, l'entreprise choisit rigoureusement ses marques partenaires, mais elle joue aussi un rôle dans l'innovation en matière de cosmétique bio. Ainsi, certaines marques la consultent lorsqu'elles veulent faire évoluer leur gamme, et plusieurs produits sont déjà nés de ces partenariats.


Pukka : simply unique and wonderfully delicious !
BIO-LINEAIRES, Auteur
En hindi, "pukka" signifie "authentique, véritable". C'est le mot qu'ont choisi les co-fondateurs pour nommer leur entreprise de thés et de tisanes. Tim Westwell (expérimenté dans le commerce) et Sebastian Pole (herboriste), tous les deux britanniques, souhaitaient, par ce choix, évoquer la notion de qualité supérieure. Pukka Herbs (Angleterre) propose des mélanges à partir de 150 plantes en provenance de plus de 30 pays dans le monde, dont une proportion de plus en plus importante de plantes bio, et 60 % qui sont issues de la cueillette sauvage. Pukka a été à l'initiative de la certification "Fair Wild", qui garantit le respect du travail des producteurs de plantes tout autant qu'une protection et une gestion durable des habitats des plantes. L'entreprise emploie des herboristes, des botanistes, des phytochimistes et des agronomes bio. Certains des mélanges proposés à la vente sont originaux sur le marché. Les tisanes et thés "haut de gamme" que propose la marque, aujourd'hui présente sur les rayons en France, trouvent une clientèle désireuse de saveurs originales et de bien-être.