- Titre :
- BIO LINEAIRES, N° 79 - Septembre / Octobre 2018 - Bulletin N° 79
- Type de document :
- Bulletin : Périodique
- Paru le :
- 01/09/2018
- Année de publication :
- 2018
- Langues:
- Français
- Commande possible de photocopies :
- -
- Appartenance :
- ABioDoc
Dépouillements


Dossier : bio spécialisée et nouveaux défis concurrentiels : E-commerce alimentaire
BIO-LINEAIRES, Auteur
La France est le deuxième marché en Europe de la vente alimentaire sur Internet. Quels sont les tendances et les défis concurrentiels de la bio en ligne ? Cet article présente un panorama des acteurs de la vente en ligne de denrées alimentaires, puis s'intéresse à la part du bio dans ce type de commerce. Avec 33 % de progression, Internet est devenu le 5ème circuit de la distribution bio après la grande surface, les magasins spécialisés, la vente directe et les artisans commerçants. Le grand gagnant est le drive, véritable moteur de développement de ce circuit. Les générations Y (- de 36 ans) achètent plus souvent en ligne, par soucis d'économie de temps, mais ils sont aussi à la recherche de lieux d'achats pour faire leurs courses le samedi. L'engagement des grandes enseignes historiques dans le e-commerce est, dans l'ensemble, encore timide. Les nouveaux magasins bio proposent, quant à eux, de plus en plus la livraison à domicile. Le leader des acteurs de la vente bio en ligne est Greenweez, né en 2008, avec une offre alimentaire de 30 000 références et 900 marques. Autres tendances, les boutiques en ligne spécialisées dans la vente de produits vegan, de vrac, de zéro-allergène - zéro-additif, ou encore les E-boutiques d'aliments pour chien et chat.


L'évolution de la distribution : vos réactions
BIO-LINEAIRES, Auteur
Des acteurs historiques de la bio, fabricants, producteurs, distributeurs, s'expriment sur l'arrivée de la GMS dans la distribution bio, ses conséquences et les perspectives de la bio dans ce contexte : - Cédric Cadoret, directeur de la Coopérative Chlorophylle, à Nantes (7 magasins) ; - Marie Michel, codirectrice et accompagnatrice du GRAP SCIC SA (Groupement Régional Alimentaire de Proximité) à Lyon ; - Christian Ehrhart, maraîcher et gérant du magasin Nature & Culture à Oberschaeffolsheim (67) ; - Daniel Zerr, président d'Europ Labo.


Alimentation numérique et connectée : la bio compatible avec la foodtech ?
BIO-LINEAIRES, Auteur
Que penser de la Foodtech, tendance qui allie digital, nouvelles technologies et alimentation ? Aujourd'hui, ce seraient 400 start-ups en France qui relèveraient de la Foodtech, s'appuyant sur des comportements alimentaires ou RSE émergents et peu pris en compte par les entreprises classiques : livraison de repas à domicile, nouveaux produits ou ingrédients (alternatives végétales, produits à base d'insectes, algues...), gestion amont-aval des commerces alimentaires ou restaurants, conseils personnalisés (voire le succès de l'application Yuka), lutte anti-gaspillage alimentaire, mise en relation (par exemple, application d'aide au recrutement dans l'hôtellerie restauration). Si certains services et offres vont dans le bon sens, la bio se reconnaît-elle dans toutes ces pratiques qui se développent actuellement ?


La bio en Allemagne : Un premier semestre 2018 encourageant pour les magasins spécialisés bio
BIO-LINEAIRES, Auteur
Les 5 premiers mois de l'année 2018 ont montré une évolution structurelle dans la distribution des produits en magasins bio en Allemagne, avec une progression des ventes journalières entre 6 et 10 % en moyenne. Plusieurs facteurs peuvent être identifiés pour expliquer cette nouvelle tendance : changement de génération chez les gérants des magasins avec une communication plus adaptée, nouvelle clientèle en provenance de la GMS, recherche de proximité et de transparence, travail entrepris sur la qualité de l'offre et des services...


Activité en MSB
BIO-LINEAIRES, Auteur
L'article présente l'évolution du chiffre d'affaires des magasins spécialisés bio (MSB) de 2017 par rapport à 2016 et de 2018 par rapport à 2017, mois par mois, ainsi que l'évolution de la surface de vente due aux ouvertures.


L'alimentaire bio à fin juin 2018
BIO-LINEAIRES, Auteur
Fin juin 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de 22,4 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin juin 2018.


Premier semestre en GMS : + 23,5 % en valeur pour le bio PGC FLS
BIO-LINEAIRES, Auteur
Au premier semestre 2018, les PGC FLS bio (Produits de Grande Consommation - Frais Libre-Service) ont connu une augmentation en valeur, portés par un développement de l'offre. Sur une carte de France, sont renseignées les zones où le chiffre d'affaires du bio est le plus important par rapport au chiffre d'affaires régional, ainsi que le cumul des surfaces des magasins bio par département.


Viandes bio en 2017 : une filière qui continue de progresser...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Les volumes de viande bio en 2017 ont augmenté de 10 % par rapport à 2016 (bovins, ovins, veaux, porcins). Les premiers distributeurs de viande bio sont les magasins de grande distribution, suivis des magasins spécialisés, qui ont progressé de 12 % en 2017. La vente directe a connu 10 % de progression. Détails donnés dans l'article : évolution des volumes abattus depuis 2012 tous circuits confondus, répartition du tonnage en fonction des circuits de distribution en 2017.


Complément alimentaire : un marché en hausse de + 5,8 % en 2017...
BIO-LINEAIRES, Auteur
En 2017, le marché des compléments alimentaires français a connu une croissance de 5,8 %, supérieure à 2016 (5,3 %), et représente dorénavant 1,8 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Le secteur "promesse santé", en particulier, se développe. Détails donnés par l'article : répartition par circuits de distribution des chiffres d'affaires générés par les compléments alimentaires en 2016-2017 ; répartition de la distribution par circuits ; progression de certaines tendances ; principaux chiffres.


Repères économiques : 2017 : des produits majoritairement "made in France"...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Selon l'Agence BIO, en 2017, 69 % des produits bio consommés en France ont été produits sur le territoire français. Parmi les produits bio importés, une grande partie concerne les denrées exotiques (bananes, cacao, café...). En effet, les importations peuvent être liées à des facteurs conjoncturels (baisse de la production de lait bio en France en 2016), mais elles sont plus généralement liées à une absence de production sur le territoire français, sachant que, par exemple, les ventes de bananes et d'agrumes représentent un tiers des ventes de fruits et légumes frais bio. L'origine des approvisionnements pour les produits d'importation est présentée. La France exporte du vin, de la bière et du cidre biologique, ainsi qu'un peu d'épicerie. Pour les grandes cultures et certains légumes, la production s'améliore. Un rappel réglementaire est fait sur l'utilisation du label bio européen.


Peut-on comparer les marques de distributeurs bio ?
BIO-LINEAIRES, Auteur
Les prix de produits bio sous marque de distributeur issus de magasins spécialisés bio ou de la grande distribution ont été comparés. Quelques exemples sur des produits basiques sont présentés.


Mais qu'arrive-t-il à la consommation ? La consommation fait sa révolution
BIO-LINEAIRES, Auteur
L'article s'interroge sur la pérennité de certaines tendances de consommation comme le véganisme, le régime macrobiotique, le flexivorisme, le rejet de l'huile de palme... Comment ces pratiques se développent-elles ? Sous quelle influence ? Que disent les études réalisées sur ces sujets ?


La distribution spécialisée en Allemagne : grosse crise ou petit rhume ?
BIO-LINEAIRES, Auteur
En Allemagne, la distribution des produits bio en magasins spécialisés a subi une relative stagnation, voire une régression, depuis le milieu de 2016. En effet, selon une étude de marché, la distribution de produits bio en GMS a porté l'essentiel de la dynamique du marché depuis cette période. En outre, alors que les GMS opèrent le tournant vers la qualité, les magasins bio axent leur communication sur les produits bio pas chers... De plus, on assiste à un développement important de l'offre bio en GMS et à la migration de certaines marques bio historiques vers la grande distribution... Des efforts de repositionnement (valeurs portées par la bio mises en avant, renouvellement du rapprochement des acteurs avec l'amont agricole...) semblent encourageants, et les perspectives du magasin bio de demain, point de cristallisation des filières qui l'alimentent, laissent augurer une sortie de crise.


Le vrac, un marché dynamique en pleine structuration
BIO-LINEAIRES, Auteur
En 4 ans, le marché du vrac, en France, a été multiplié par 5 et a atteint, fin 2017, 500 millions d'euros. Pour autant, seulement 0,5 % des Français consomment de manière régulière en vrac. Environ 80 % des magasins bio proposent des rayons vrac, et les grandes enseignes de la distribution conventionnelle s'équipent à leur tour (environ 20 % des grandes surfaces). Le rayon vrac est un rayon exigeant en temps et en main duvre dédiée. Tous les produits ne se vendent pas encore en vrac, du fait notamment de freins réglementaires. Le développement du vrac se heurte aussi à des freins liés au manque de confiance spontanée des consommateurs, avec des interrogations sur l'origine des produits en vrac, leur conservation ou leur numéro de lot, par exemple, puisqu'ils n'ont plus leur emballage d'origine. Du côté des distributeurs, la formation des personnes chargées du rayon semble indispensable pour une bonne connaissance des règles d'hygiène et des bonnes pratiques. La demande de vrac est bien présente, le marché est porteur, mais il est maintenant nécessaire d'inciter les fabricants à innover pour trouver des solutions techniques et viables pour distribuer en vrac les produits fragiles. L'association Réseau Vrac travaille actuellement à la rédaction d'un guide détaillé pour "passer au vrac".


Les conséquences du "consommer local" sur la chaîne de production-transformation
Sauveur FERNANDEZ, Auteur
L'alimentation locale et les circuits courts continuent de se développer et de rencontrer du succès auprès des consommateurs. Quelles sont les conséquences de ce développement et les défis pour les points de vente et les marques bio ? Quelle vision doivent-ils avoir pour mieux se distinguer, et comment adapter les filières bio ? Les magasins bio proposent environ en moyenne 14 % de produits locaux. L'enjeu est d'augmenter ce taux et d'élargir au frais, au sec et au non alimentaire sur le modèle des Épiceries Alternatives de Proximité (EAP). Les défis que les magasins bio doivent relever sont, entre autres : 1/ Avoir une vision audacieuse de l'avenir, notamment en mariant bio et terroir, en s'insérant dans un écosystème et une logistique locale adaptée, en participant à constituer une nouvelle chaîne agroalimentaire circulaire locale, frugale et agile, avec, au cur du système, les territoires et les clients acteurs de cette nouvelle super filière à haute naturalité... ; 2/ Améliorer les magasins existants ; 3/ Développer de nouveaux modèles de magasins ; 4/ Dépasser les centrales d'achat pour aller vers une logistique bio territorialisée (production et distribution), sappuyant sur la mutualisation des transports, entre autres...


Cacao : le challenge de la durabilité
Bettina BALMER, Auteur
Parmi les matières premières agricoles tropicales, le cacao est récolté par 5 millions de petits producteurs vivant toujours, en grande majorité, sous le seuil de pauvreté, pour les 3/4 en Afrique, et à 85 % dans 5 pays africains. Les enjeux de développement durable sont donc, avant tout, liés à la pauvreté endémique. La pression croissante de la demande en cacao devrait pousser la filière à s'adapter aux diverses contraintes qu'elle subit actuellement : volatilité du cours, déséquilibre du pouvoir de négociation entre l'amont et le négoce des fèves, part payée aux producteurs sur le prix de vente du chocolat (même si cette part augmente dans le bio et le commerce équitable), mais aussi absence de valeur ajoutée due à la transformation... Par ailleurs, les rendements pâtissent de plus en plus du fait du vieillissement des cacaoyères, de la baisse de la fertilité des sols et de la faible productivité (les récoltes seraient seulement à 1/3 du maximum théorique attendu). La pression accrue sur l'environnement pour implanter de nouvelles cacaoyères et l'impact du changement climatique constituent l'autre dimension du combat pour la durabilité de la production de cacao. La surface cultivée en bio est de 344 666 ha en 2016, soit 3,4 % de la SAU mondiale.


La distribution bio à l'étranger : actualisation des chiffres
Michel KNITTEL, Auteur
La bio est en pleine croissance dans la majorité des pays du monde, avec, d'un pays à l'autre, des disparités. Les chiffres de la distribution bio évoluent rapidement. Ils ont été actualisés et sont présentés pour la France, la Belgique, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, le Royaume-Uni, la Suisse, puis le Canada et les États-Unis. Sont indiquées : la répartition des ventes par circuit de distribution, l'évolution des ventes de produits bio de 2008 à 2017, l'évolution des parts de marché des différents distributeurs.


Dossier prix : Vulgariser le bio... mais à quel(s) prix ?
Laura DUPONCHEL, Auteur
Les prix des produits bio en GMS sont-ils compatibles avec une agriculture bio durable ? La question est légitime, lorsque l'écart affiché est de 28 % avec la distribution bio. Stéphanie Pageot, de la FNAB, énonce : "Il faut construire une saine concurrence sur les prix les plus justes et non les prix les plus bas", en partant "des coûts de production et du revenu ciblé par le producteur pour fixer un prix de revient". Pour Florent Guhl, directeur de l'Agence BIO, "La bio a une vraie carte à jouer pour ne pas être fondue dans un jeu où le prix est l'unique critère". Comment les consommateurs, a fortiori ceux qui ne connaissent pas encore bien le bio, peuvent-ils s'y retrouver face à l'aberration de prix anormalement bas et aux messages de communication relevant du simple "greenwashing" ? Si certaines expériences de partenariats ont été réussies, comme Biolait avec Système U, Unébio avec Auchan, le changement déchelle pourrait faire émerger des pratiques commerciales moins vertueuses chez des distributeurs tentés par la guerre des prix. « Les producteurs doivent rester fidèles à leur projet, la GMS naura alors plus le choix que de se plier aux producteurs », déclare Théophile Jouve, président de Biolait. Pour Mickaël Sureau, de Biocoop, il faut renforcer la qualité : « On est sur un système qui fonctionne, il ne faut pas se laisser happer par les sirènes de quelques-uns. A nous dêtre collectivement forts ». Jérôme Biaggi, directeur de la Coopérative Tours Grenier Nature, formule le même souhait : « A nous, indépendants, dunir nos forces et de se positionner en tant que spécialistes du bio en capitalisant sur nos valeurs humaines, qualités de produits et de services ». Les magasins bio spécialisés doivent continuer de pratiquer des prix justes, rester des magasins du quotidien tout en proposant de la qualité, savoir communiquer, apporter une plus-value en matière de conseils, etc.


Céleri : rave ou branche pourvu qu'il soit bio...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Autrefois utilisé plutôt pour ses vertus médicinales que pour ses qualités gustatives, le céleri est issu d'une plante méditerranéenne : l'ache ou l'apion. De nos jours, deux types de céleri sont cultivés pour la consommation : le céleri branche et le céleri rave. Des conseils sont donnés pour conserver sa fraîcheur et bien le positionner dans le rayon en magasin bio.


Dossier : La fermentation : une pratique ancestrale et universelle
Claude AUBERT, Auteur
De très nombreux aliments consommés au quotidien partout dans le monde sont des aliments fermentés, parmi lesquels le pain, le fromage, le yaourt... Si certains aliments fermentés ont résisté à l'industrialisation de l'alimentation, beaucoup ont disparu, concurrencés par les moyens de conservation plus modernes (stérilisation, surgélation, conservation dans le vinaigre...). Depuis quelques années, les aliments fermentés reviennent en force. Ce dossier présente leur origine, le principe de la fermentation, les différents types de fermentation (lactique, alcoolique, acétique, complexe...), les principaux aliments fermentés disponibles en France, comment en préparer certains chez soi... Il permet de connaître les différents micro-organismes qu'ils renferment, selon les aliments, ainsi que leurs vertus nutritives et leurs impacts sur la santé.


Enquête Cosmébio : Le comportement et les attentes des clients en magasin bio
Michel KNITTEL, Auteur
La France est le deuxième marché pour la cosmétique naturelle et bio certifiée en Europe, derrière l'Allemagne. La consommation reste cependant minoritaire, même pour les clients du réseau spécialisé bio. Une enquête avait permis, en 2016, de connaître certaines attentes des consommateurs. L'enquête réalisée par l'association Cosmébio, début 2018, dans 8 points de vente de la région Auvergne-Rhône-Alpes, met au jour de nouveaux éléments. Parmi les clients interrogés, ceux qui estiment avoir un comportement différent dans le rayon cosmétique de celui adopté dans le rayon alimentaire sont 47,4 % à déclarer qu'ils prennent beaucoup plus leur temps dans le rayon cosmétique. Pour beaucoup, l'achat de cosmétique bio n'est pas prévu, ce n'est pas un réflexe, et le temps passé dans ce rayon ne débouche pas forcément sur un acte d'achat. Globalement, dans le rayon cosmétique, les clients attendent, pour 2/3 d'entre eux, plus de conseils de la part des vendeurs. La moitié des clients souhaitent aussi plus de choix.


Bio Cohérence consolide son cahier des charges transformation...
BIO-LINEAIRES, Auteur
Bio Cohérence est une marque française qui, depuis 10 ans, propose un dispositif de certification en production, transformation et distribution des produits biologiques pour une bio engagée. Le cahier des charges spécifique aux entreprises de transformation a été renforcé en 2018. Il comporte dorénavant des garanties supplémentaires sur les additifs et process, les modes de conditionnement, lengagement social, environnemental et économique de l'entreprise.


Arcyvert : une nouvelle génération d'actifs écologiques pour l'entretien
BIO-LINEAIRES, Auteur
Créée en 1980, la société Arcy International a été pionnière dans la fabrication et la commercialisation, dans le circuit spécialisé bio, de produits d'entretien de fosses septiques. Dès l'origine, l'entreprise a fait appel à des actifs novateurs pour la conception de ses produits : les enzymes. Depuis, la marque Arcyvert, gérée depuis 2012 par Thierry Mauban, a développé une gamme de produits de nettoyage et d'hygiène de la maison : blocs nettoyants WC, détartrants, détergents, désodorisants aux huiles essentielles.... Après avoir étendu son assortiment (lessives liquides, tablettes lave-vaisselle...) en 2017, à la demande des magasins du réseau bio, la société réaffirme aujourd'hui son positionnement original : la triple performance des enzymes - non OGM - écologique, organique et technique, et sa spécialisation sur les sanitaires et les pièces d'eau de la maison. Thierry Mauban explique ce que sont les enzymes et comment elles fonctionnent, pourquoi elles combinent une efficacité supérieure et un respect de l'utilisateur et de l'environnement. La gamme Arcyvert propose aujourd'hui 14 références, dont 5 basées sur les enzymes et les bactéries dans une formule brevetée, destinées à l'entretien des éviers, des appareils ménagers, des canalisations et des équipements sanitaires, ainsi que des désodorisants. Le cycle écologique des produits est pensé dès la conception des produits. L'entreprise a pour projet de développer la R&D sur les enzymes et les bactéries pour l'étendre à plus de produits.


Avec Plaisir ! : un nouveau goût venu d'ici
BIO-LINEAIRES, Auteur
La jeune marque "Avec plaisir !" renouvelle le linéaire des boissons chaudes bio avec des recettes à base de chicorée. Elle s'appuie sur 160 ans d'héritage de la Maison Leroux, spécialisée dans la transformation de la chicorée, et désormais gérée par deux fils d'un ancien cadre de l'entreprise. Celle-ci reste familiale et à taille humaine, et poursuit son engagement dans des partenariats historiques avec des agriculteurs locaux qui cultivent la chicorée bio dans les Hauts-de-France. L'originalité des créations proposées par la marque repose, pour des goûts bien marqués, sur l'assemblage de la chicorée et de plantes aromatiques (fenouil, menthe, verveine, thym...) en provenance de la Drôme, du Vaucluse, de l'Ardèche et des Pays de la Loire. 15 références bio de la marque composent actuellement l'assortiment (boissons chaudes en infusettes et en vrac, biscuits sucrés et crackers salés) vendu exclusivement dans le réseau bio.


Nature & Partage : l'efficacité au service du réseau bio
BIO-LINEAIRES, Auteur
La société Nature & Partage est née en 2007. Elle a commencé par importer et distribuer une plante alors peu connue en France : le psyllium blond, ou plantain des Indes, dont le principal bienfait est de faciliter la digestion et de réguler le transit. Puis, elle a augmenté le nombre de références de son catalogue avec pour objectif de promouvoir les produits naturels et les compléments alimentaires les plus efficaces. Aujourd'hui, plus de 70 références sont proposées par l'entreprise, dont l'ashwagandha bio en poudre ou encore une association de maca et d'acérola. Le psyllium reste un produit emblématique de la marque, qui n'a pas hésité, pour mieux le faire connaître, à publier un livre de recettes. Les magasins bio partenaires sont aussi acteurs dans le développement de la gamme, en faisant remonter à l'entreprise les demandes du terrain. Pour les opérations d'ensachage des plantes et d'étiquetage, un partenariat a été créé avec l'ESAT de Mongauzy (33), où 8 personnes travaillent à temps plein.


Nature & Santé : la santé naturelle par les plantes
BIO-LINEAIRES, Auteur
L'Institut de Recherche Biologique Yves Ponroy est né en 1975. Axé sur la nutrition santé par les plantes, il élabore des compléments alimentaires qu'il distribue dans les magasins bio et par correspondance. En janvier 2017, la marque d'infusions "Bioconseils" est créée et une offre en compléments alimentaires "Nature & Santé" est développée. Aujourd'hui, ce sont 53 références Bioconseils et 7 références Nature & Santé. L'entreprise, basée en Vendée, s'appuie sur 475 collaborateurs pour fabriquer la quasi-intégralité des formes de présentation utilisées : infusettes, ampoules, gélules, comprimés... Fidèle à ses origines, l'entreprise prône une approche globale du bien-être et de la santé.