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Elevage porcin : La biosécurité au service de la gestion des maladies contrôlées
Tiffany MASSALVE, AuteurAfin de faire face à plusieurs maladies susceptibles de toucher les élevages porcins, dont la peste porcine, qu'ils soient en bâtiments ou en systèmes plein-air, un arrêté ministériel relatif à la biosécurité a été pris le 16 octobre 2018. Dans cet article, sont explicitées les mesures à prendre par les éleveurs en matière de prophylaxie et de dépistage pour la maladie d'Aujeszky (ou pseudorage), le syndrome dysgénésique et respiratoire du porc (SDRP), la trichine ou encore la brucellose. À noter que, pour les adhérents à l'ASPNA, l'association sanitaire porcine de Nouvelle-Aquitaine, les analyses à effectuer de manière périodique peuvent être prises en charge.
Les bandes florales pour lutter contre le carpocapse : une approche agroécologique
L'objectif était de comparer deux mélanges d'espèces florales, l'un dit sauvage, l'autre dit cultivé, quant à leur facilité de gestion en verger commercial et à leur efficacité à favoriser la biodiversité fonctionnelle. L'expérience s'est déroulée sur deux sites (Victoriaville et Frelighsburg), où un premier semis a été effectué au printemps 2012. L'établissement des mélanges étant très faible à Victoriaville, un deuxième semis a été réalisé au printemps 2013 sur la moitié des parcelles. La floraison et l'établissement des mélanges de plantes ont été suivis, ainsi que les dégâts de carpocapses de la pomme et dans des parcelles avec bandes florales et témoins. À Victoriaville en 2013, les insectes présents dans les bandes florales ont été également capturés et identifiés. L'établissement des plantes a été inégal pour les 12 espèces de chaque mélange et entre les parcelles. Les mélanges présentaient une floraison continue tout au long de la saison, mais d'abondance variable. Sans pouvoir recommander un mélange plus que l'autre, les résultats ont permis de cibler des espèces de plantes qui présentent le plus d'intérêt, basés sur leur capacité d'établissement et leur floraison. À Victoriaville en 2012, il est constaté que les fruits des pommiers entourant le mélange sauvage comptaient moins de dommages de carpocapses et de tordeuses que ceux des autres traitements. Ce résultat est attribué à l'entretien de parasitoïdes qu'aurait favorisé ce mélange. Les bordures florales permettent également d'augmenter l'abondance, la richesse et la diversité d'insectes présents près des pommiers, selon les captures de 2013 sur ce même site.
Adaptation d'un outil de dépistage des adultes de la cécidomyie des atocas
Annabelle FIRLEJ, Auteur ; Jonathan VEILLEUX, Auteur ; Franz VANOOSTHUYSE, Auteur | OTTAWA (1341, chemin Baseline, K1A 0C7, CANADA) : AAC (Agriculture et Agroalimentaire Canada) | 2014La cécidomyie des atocas est un ravageur dommageable pour les cultures de canneberges en régie biologique. Elle peut affecter jusqu'à 50 % de la production des tiges affectées par rapport aux tiges non affectées. La méthode actuelle de dépistage s'avère laborieuse, car elle se fait par l'observation de 1000 pousses en vue de déterminer un seuil de contamination. Cette étude voulait développer une méthode efficace et hâtive de dépistage des adultes afin de mieux planifier la gestion de ce ravageur. Le projet a évalué l'efficacité de deux pièges d'émergence à dépister les adultes de la cécidomyie des atocas dans les atocatières québécoises. Le CETAQ a réalisé le dépistage traditionnel des pousses alors que l'équipe du laboratoire PFI de l'IRDA a réalisé les relevés de populations des adultes dans les pièges d'émergence. Selon les données recueillies, le piège d'émergence à pétri a été le plus efficace à capturer les adultes de cécidomyie en 2012. Une corrélation de 88 % a été observée entre les populations des adultes observés en 2012 et 2013 et les larves observées dans les champs la semaine suivante. Cette nouvelle méthode donne de bons résultats alors qu'elle est trois fois moins chère que la méthode de dépistage traditionnelle. La dernière étape de cette approche consiste à déterminer un seuil d'intervention pour la cécidomyie des atocas.
Disease Management in Organic Seed Production
Les maladies des semences peuvent avoir un effet significatif sur les productions biologiques. Pour éviter ces pathogènes, les producteurs de semences doivent faire attention aux maladies qui pourraient affecter la plante tant au stade végétatif qu'au stade reproductif. Il est important de savoir diagnostiquer et gérer les pathogènes se développant dans les graines ainsi que les micro-organismes qui peuvent affecter la qualité des semences. Les pathogènes auront tendance à rester viables plus longtemps dans les semences que dans les parties végétatives ou dans le sol. Pour gérer ces maladies, peu de solutions curatives efficaces sont disponibles en régie biologique. Des mesures préventives sont à prioriser, telles que : planter des semences dépourvues de maladies, favoriser le bon mouvement de l'air en laissant plus d'espacement entre les cultures et en les orientant dans le sens des vents dominants, opter pour un système d'irrigation goutte-à-goutte plutôt que par aspersion et faire un plan de rotation le plus long possible (6 à 15 ans peuvent être nécessaires selon les pathogènes). De plus, un bon dépistage et une gestion stricte des semences sont nécessaires pour le maintien d'une haute qualité. Même de bas niveaux de contamination peuvent causer des épidémies de certains pathogènes. De façon curative, on peut traiter les semences physiquement (eau chaude) ou chimiquement (blanchiment) afin de réduire l'inoculum. Finalement, le criblage des semences est nécessaire avant la vente.
La drosophile à ailes tachetées (DAT) attaque nos petits fruits
Liette LAMBERT, Auteur ; Nathalie ROULÉE, Auteur ; Roxana BINDEA, Auteur | NAPIERVILLE (361, rue St-Jacques, C.P. 1068, J0J 1L0, CANADA) : PELI (PÔLE D'EXELLENCE EN LUTTE INTÉGRÉE) | 2014La drosophile à ailes tachetées (Drosophila suzuki) est une problématique importante dans les cultures de petits fruits au Québec. Cet insecte pond ses ufs dans les fruits sains et matures et entraîne une dégradation rapide de la récolte. Cette fiche pratique et visuelle expose les thèmes généraux suivants: l'identification et le cycle de vie de la drosophile, les dommages causés aux cultures, les principales cultures affectées (framboises, mûres et fraises), les techniques détaillées de dépistage au champ et dans les fruits récoltés, ainsi que les méthodes de lutte conventionnelle et biologique. Des stratégies de lutte alternatives qui sont présentement à l'essai, comme les filets d'exclusion, les traitements réduits, les plantes pièges, le trappage de masse et les répulsifs y sont aussi abordées. Parmi les bonnes pratiques à adopter pour réduire les risques d'infestation, on compte : une récolte rapide et récurrente, une taille sévère pour permettre une bonne pénétration de la lumière et aération du feuillage, et éviter de laisser des fruits au sol. La drosophile à ailes tachetées préfère la fraîcheur, l'ombre, l'humidité, les endroits peu venteux, les boisés, et les couleurs qui l'attirent sont le rouge et le noir. Il est d'ailleurs à noter que les fruits verts ne sont pas à risque, donc qu'il n'est nécessaire de traiter que s'il y a capture d'insectes adultes et que les fruits sont mûrs.
La lutte intégrée contre la pyrale du maïs dans le maïs sucré
Au Québec, la pyrale du maïs sucré peut causer des pertes pouvant atteindre 70 % du rendement. En conventionnel, la gestion de cet insecte se fait par l'application de produits chimiques jusqu'à 3 fois dans une saison. Pourtant, un tel ravageur pourrait être contrôlé par des méthodes non chimiques, ce qui est le cas chez les producteurs biologiques. Cette fiche propose des méthodes alternatives pouvant permettre un contrôle efficace de la pyrale du maïs. Elle propose l'utilisation des ennemis naturels comme les trichogrammes et d'autres prédateurs naturels. Des insecticides biologiques, dont la formulation Entrust qui est homologuée au Canada, sont aussi identifiés comme solution. Des pratiques agricoles comme le piégeage, le dépistage et l'utilisation de couverture flottante peuvent contribuer à limiter l'impact de la pyrale. D'autres techniques sont à l'étude notamment à l'INRA en France et au Volcani Center en Israël pour contrôler ce ravageur. Ce document synthétique contient des hyperliens vers des explications beaucoup plus complètes de chaque technique.
Powdery Mildew in Pumpkins and Squash
L'oïdium, est une maladie redoutable dans les cultures de citrouilles et de courges. Les melons et les concombres y sont moins sensibles même s'ils en sont parfois atteints. En Ontario, l'oïdium ne résiste pas à l'hiver, et il apparaît habituellement vers la fin juillet chaque année. Certaines variétés de cucurbitacées ont un bon degré de résistance. Une infection sévère occasionne des baisses de rendements, un contenu en sucres moindre et une moins bonne qualité des récoltes. Le contrôle de l'oïdium est particulièrement important pour les citrouilles d'Halloween, car les infections causent un dépérissement des tiges, ce qui occasionne l'absence ou la faible qualité de la poignée de la citrouille. Lorsque la maladie est présente dans sa région, il est nécessaire de procéder à une inspection des cultures deux fois par semaine. Il faut cibler des lésions blanches et poudreuses sur les surfaces supérieures et inférieures du feuillage. Une stratégie d'intervention doit être mise en uvre dès les premiers signes de la maladie.
Protecting Organic Seed Integrity: The Organic Farmer's Handbook to GE Avoidance and Testing
Holli CEDERHOLM, Auteur ; Isaura ANDALUZ, Auteur ; Jim GERRITSEN, Auteur ; ET AL., Auteur | Washington (P.O. Box 362 Washington, ME 04574, USA) : Organic Seed Growers and Trade Association (OSGATA) | 2014Les produits biologiques doivent être exempts de toute trace de contamination provenant des OGM. Le risque de contamination existe et peut provenir de la semence biologique qui a été utilisée en production. Un manuel a été produit par l'association américaine des producteurs et du commerce de semences (OSGATA) afin d'aider les producteurs et les compagnies de semences à préserver l'intégrité des semences biologiques. Il propose des conseils sur les méthodes pour éviter les contaminations et sur les protocoles de dépistage pour les cultures à risque suivantes : maïs, soya, coton, luzerne, papaye, canola, betterave et courge. Pour chacune de ces cultures, les principales sources de contamination et les façons de les éviter sont identifiées, les meilleures pratiques sont décrites et les considérations pertinentes en vue du dépistage de la contamination par OGM sont expliquées.
Stratégies de gestion de la punaise marbrée
La punaise marbrée (Halyomorpha halys ou BMSB en anglais) est un ravageur peu connu qui s'attaque à plusieurs cultures comme la pomme, la poire, la framboise, etc. La biologie et le contrôle de cet insecte sont encore au stade d'apprentissage. Ce document, publié sur le site de l'OMAFRA, traite en particulier du dépistage de la punaise marbrée. Le dépistage est toujours important à la fois dans la culture et dans les plantes hôtes du paysage environnant. Les femelles pondent souvent sur ces hôtes, ce qui a pour effet d'augmenter les populations de punaises marbrées. Les adultes et les nymphes sont très mobiles, donc difficiles à observer au champ. Les dommages sur les cultures peuvent ressembler à des taches d'eau sur les fruits, se développant en dépression lorsque le fruit murit. Dans les pommes, les dommages peuvent prendre 2-3 semaines avant d'être apparents. Sur les tomates et les poivrons, ils se présenteront sous la forme de taches décolorées, la chair se transformant en tissu spongieux de couleur pâle sous la peau du fruit. Comme outils de détection, des pièges avec phéromones sont recommandés, mais il ne faut pas négliger le dépistage visuel sur les plants. Différents types de pièges sont disponibles, celles-ci devant être placées à partir de mai jusqu'à la récolte. Les adultes piégés ne sont pas nécessairement un bon indicateur, alors que les nymphes le sont : elles démontrent une population locale de la punaise marbrée. Il est à noter que les techniques de contrôle qui sont exposées dans ce document concernent la régie conventionnelle.
Calendrier de dépistage des principaux insectes ravageurs du pommier au Québec
Ce calendrier est un outil conçu pour les conseillers et les producteurs afin de suivre les populations d'insectes ravageurs et pour prévoir les traitements d'une façon efficace et raisonnée. Ce document regroupe de l'information technique et pratique en plus d'être facile à utiliser sur le terrain. Il présente de l'information sur près de vingt insectes ravageurs du Québec. Le document est structuré en fonction des différents stades phénologiques du pommier. À chacune des étapes sont identifiés : les différents ravageurs qui peuvent être présents, les outils pour les identifier, comment placer les pièges, le seuil d'intervention privilégié et le type de traitement suggéré en fonction de la situation.
Contrôle mécanique de la punaise terne dans la culture de fraises sur rangs nattés en régie biologique à l'aide d'une faucheuse rotative
Françoise RODRIGUE, Auteur ; Audrey BOUCHARD, Auteur ; Silvia TODOROVA, Auteur ; ET AL., Auteur | ALMA (QUÉBEC) (C.P. 776, G8B 5W1, Canada) : COOPÉRATIVE DE SOLIDARITÉ NORD-BIO | 2012La punaise terne est le principal insecte ravageur qui limite la production de fraises biologiques dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean au Québec. En se nourrissant, la punaise peut déformer les fruits de façon légère ou grave (jusqu'à 100 % de fruits non commercialisables). Le projet visait à évaluer l'efficacité de la méthode du fauchage avec une faucheuse rotative sur les populations de punaises ternes du début à la fin de la floraison des fraisiers. L'efficacité de l'outil a été vérifiée sur deux sites et sur deux variétés, soit la Veestar (variété hâtive) et la Bounty (variété tardive). Les populations dépistées étaient l'indicateur déterminant l'intervalle entre les fauches. Ce projet a permis de valider l'effet significatif du passage d'une faucheuse rotative sur l'incidence des punaises ternes dans les fraisières. La secousse provoquée par le passage de la faucheuse a un impact considérable sur les populations de punaises. Cependant, les insectes semblent être délogés seulement de façon temporaire. Vingt-quatre heures après le passage de la faucheuse, les populations tendent à remonter. Ce constat vient justifier la répétition des passages lors de la floraison afin de conserver les populations sous des seuils acceptables.
La lutte biologique dans la production chez Mulberry Creek HerbFarm
Mark Langan de la ferme Mulberry Creek HerbFarm en Ohio aux États-Unis produit en serre des plants de fines herbes, de vivaces miniatures, de plantes succulentes et des transplants de légumes certifiés biologiques. Le producteur détaille ses méthodes de contrôle des ravageurs. Le dépistage est primordial et est effectué chaque jour par les employés. Pour les applications de produits, le producteur utilise un pulvérisateur à dos, une laveuse à pression avec un Dosatron et un sceau pour le trempage des plants. Certains auxiliaires sont utilisés pour la lutte biologique, mais certaines contraintes comme la grande diversité de plantes produites et l'importante production de graminées limitent l'efficacité de ceux-ci. L'auteur décrit le succès de ses interventions pour le contrôle des tétranyques à deux points, des pucerons, des aleurodes, des thrips, des pucerons des racines, des cochenilles, des limaces, des sciarides et des hépatiques. Le producteur témoigne également du contrôle de l'oïdium et du botrytis par des méthodes alternatives.
Les problèmes rencontrés en lutte biologique en 2011
Les principaux problèmes rencontrés en lutte biologique en 2011, selon Thierry Chouffot de Koppert Biological Systems, consistent au contrôle difficile de certaines espèces de pucerons; au mauvais contrôle des ravageurs dû au manque d'expérience; à la sous-estimation de la vitesse de propagation de ceux-ci; à une mauvaise compréhension du fonctionnement des auxiliaires; à un épandage trop compliqué des auxiliaires; à une utilisation d'insecticides chimiques rendant les introductions d'auxiliaires ardues; au contrôle difficile des aleurodes dans certaines cultures (ex. : dans le poinsettia); et au problème de tarsonèmes durant un programme de lutte biologique. Chaque problème identifié est repris et des pistes de solutions sont proposées. Le dépistage et la prévention demeurent des éléments clés dans la réussite des interventions en lutte biologique.
Lutte aux tétranyques : des solutions bio
Jonathan ROY, AuteurLe tétranyque à deux points est un acarien de type piqueur-suceur qui peut causer des dommages importants aux cultures en serre ou en grands tunnels. Il peut, dans de bonnes conditions, compléter un cycle de reproduction en 6 jours et la femelle peut pondre jusqu'à 170 ufs. Lors d'infestation, le feuillage des plantes devient jaunâtre, se dessèche et peut même mourir. La prévention passe par l'entretien et le ménage des lieux de production à la fin de la récolte. Le dépistage demeure un élément clé dans la gestion du ravageur. Plusieurs insectes auxiliaires peuvent être utilisés pour la répression du tétranyque, dont Phytoseiulus persimilis et Amblyseius californicus, deux acariens prédateurs, Feltiella acarisuga, une mouche dont les larves se nourrissent de tétranyques, et Stehorus punctillum, une petite coccinelle noire prédatrice.
Lutte intégrée contre le puceron du soya
Christine JEAN, Auteur ; Luc BELZILE, Auteur ; Geneviève LABRIE, Auteur ; ET AL., Auteur | LONGUEUIL (555 Boulevard Roland-Therrien, bureau 505, J4H 4G4, CANADA) : FEDERATION DES PRODUCTEURS DE CULTURES COMMERCIALES DU QUEBEC (FPCCQ) | 2010Le soya est une culture d'importance au Québec et l'arrivée d'un ravageur exotique telle que le puceron du soya (Aphis glycines) soulève des questionnements sur la gestion rationnelle des ravageurs. Le puceron du soya est observé au Québec depuis 2001. La présence de plantes hôtes et les conditions climatiques favorables ont permis l'implantation de ce ravageur à l'échelle de la province. Ce guide pratique a pour but d'aider les producteurs et les conseillers agricoles à prendre des décisions rationnelles sur la gestion du ravageur. L'utilisation d'insecticides sur d'importantes superficies aurait des impacts sur l'environnement et sur la santé humaine. De plus, de nombreux ennemis naturels font la lutte aux pucerons du soya et rendent les interventions humaines inutiles. Le document présente : - Une description du puceron du soya; - Le Cycle de vie du puceron du soya et les conditions favorables à son développement; - Les plantes hôtes; - L'impact du puceron sur le développement du soya; - Le dépistage et les notions de seuil d'alerte; - Les éléments à considérer dans la prise de décision; - Les stratégies d'intervention; - Les moyens de lutte (pratiques culturales, plantes résistantes, lutte biologique, lutte chimique (non bio)). Le guide présente plusieurs schémas et illustrations pertinentes.