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Composter les déchets agricoles de la filière fruits et légumes : des références techniques complètes
Estelle GORIUS, Auteur ; Laurence SIRJEAN, AuteurLa Chambre d'agriculture du Roussillon a mené 6 expérimentations de co-compostage (déchets agricoles maraîchers et/ou arboricoles et déchets verts municipaux). Après le travail sur le terrain, de 2001 à 2005, un procédé de compostage par aération mécanique a été mis au point, la valeur agronomique des composts obtenus a été mesurée et les coûts d'une telle filière ont été chiffrés. L'ensemble des références technico-économiques obtenues sont ainsi disponibles et une partie est présentée dans cet article : intérêt du co-compostage, ratios de mélanges déchets agricoles/déchets verts, process de compostage, qualité des composts, coût de la filière. Le principal frein à la mise en place d'une telle filière est économique et une réflexion est encore à mener sur ce point. Un tableau synthétise les paramètres observés sur les différents composts produits dans le cadre de cette expérimentation.
Le cuivre, micronutriment essentiel pour les plantes ! : Optimum de cuivre contenus dans les tissus végétaux de la vigne
Daniel NOEL-FOURNIER, AuteurLa teneur en cuivre optimale des tissus végétaux de la vigne en période de floraison se situe autour de 18 ppm. Les viticulteurs doivent alors adapter leurs pratiques pour maintenir ce niveau et ainsi s'assurer de bons résultats de production et d'une meilleure résistance aux maladies. Pour cela, différents paramètres sont à prendre en compte : - la faible disponibilité du cuivre dans les sols ; - le pourcentage de cuivre contenu dans les différentes parties de la plante. Cet article donne des indications sur les besoins en cuivre de la vigne et sur les apports nécessaires en conséquence. L'application de Labicuper, un produit systémique à base de gluconate de cuivre qui permettrait de réduire les doses de cuivre métal apportées et le nombre de traitements, est notamment conseillée par l'auteur. Utilisé depuis plus de dix ans par le groupe technique de Vini Vitis Bio, les résultats obtenus avec ce produit sont satisfaisants, aussi bien du point de vue de l'efficacité et de la qualité des raisins récoltés, que du point de vue environnemental.
Maraîchage : Y voir plus clair dans les nombreuses références sur les cultures associées
Sandrina DEBOEVRE, AuteurDans le cadre de la commission technique de l'ACPEL (Association Charentes-Poitou de culture légumière), les agriculteurs biologiques ont exprimé la nécessité d'établir davantage de références sur les cultures associées, ou plantes compagnes. Cet article présente les résultats de l'étude bibliographique réalisée dans ce contexte et qui avait pour objectif de recenser les types d'associations existants et les expérimentations déjà conduites sur cette thématique en France et à l'étranger. Ces associations, dont il existe une multitude de combinaisons, peuvent être deux cultivars d'une même espèce ou plusieurs espèces différentes. Un tableau présente certaines d'entre elles et le nombre de documents qui y font référence dans la bibliographie.
Place et conduite du maïs dans les exploitations laitières bio des zones IGP
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches Systèmes agricoles. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Celle-ci s'intitule "Place et conduite du maïs dans les exploitations laitières bio des zones IGP". Le suivi de 30 fermes de références en bovins lait bio, démarré en 2011 en région Rhône-Alpes, permet de proposer des résultats techniques et économiques d'élevages. Cette synthèse s'appuie sur les données de 3 exploitations situées en Savoie et Haute-Savoie. Les éleveurs sont en zone IGP tomme - emmental - raclette. Ce cahier des charges "produit" interdit tout recours à des fourrages conservés par voie humide (enrubannage et ensilage). Pour augmenter la valeur énergétique de la ration "fourrages", les exploitants produisent du maïs épi. Ce fourrage, récolté en moyenne à 55 % de matière sèche, est autorisé du 15 octobre au 15 mai. Cette synthèse présente la place et la conduite du maïs dans ces exploitations : Semer du maïs derrière une prairie temporaire ; Une utilisation des prairies avant leur destruction ; Semis lors de la 1ère quinzaine de mai ; Un désherbage assuré en deux passages ; Des rendements moyens de 9 t de MS par ha de maïs épi ; 6h45 en moyenne de travail par ha (hors récolte) ; Annexes : Détail des données des exploitations A, B et C - Système Lait bio avec maïs épi (Exploitation du GAEC des Cordiers, Avant-pays Savoyard (A), Exploitation du GAEC du Mont Grêle, Avant-pays Savoyard (B), Exploitation du GAEC du Crêt Joli, Genevois (74) (C)).
Résultats d'expérimentations et de suivis techniques "Grandes Cultures" en agrobiologie en Bretagne : Campagne 2010/2011 - Édition 2012
Cette 10ème édition de la brochure de synthèse des résultats d'expérimentations et de suivis techniques "Grandes cultures biologiques" a été réalisée en partenariat avec les structures bretonnes impliquées dans le développement et la recherche en agriculture biologique. La CIRAB (Commission Interprofessionnelle de Recherche en Agriculture Biologique), commission interne à Inter Bio Bretagne, coordonne le programme régional de recherche-expérimentation en agriculture biologique. Les actions mises en uvre répondent aux demandes des producteurs émises au sein des 3 commissions techniques : "Élevages", "Légumes" et "Grandes Cultures". En 2011, 52 projets ont été menés, dont 11 en Grandes Cultures qui font l'objet des synthèses de cette brochure. Au sommaire : - Action N°1 : Évaluations variétales de blé fourrager, triticale et maïs ; - Action N°2 : Évaluation variétale de protéagineux ; - Action N°3 : Comparaison de différentes légumineuses à graines biologiques en Ille-et-Vilaine ; - Action N°4 : Évaluation variétale de blé tendre en AB ; - Action N°5 : Optimiser l'itinéraire technique de la culture de seigle à destination de la consommation humaine ; - Action N°6 : Culture du chanvre biologique : choix variétaux et dates de semis adaptés au contexte climatique breton ; - Action N°7 : Adaptation de l'itinéraire technique des céréales biologiques au binage à faible écartement ; - Action N°8 : Réseau de références en systèmes de culture Bio ; - Action N°9 : Techniques de travail du sol en agrobiologie ; - Action N°10 : Les engrais verts en Grandes Cultures biologiques ; - Action N°11 : Introduction de grandes cultures dans les rotations légumières.
Système laitier bio avec maïs épis en Rhône Alpes : Observations en élevage
Le réseau des référents techniques régionaux agriculture biologique des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes a réalisé un ensemble de fiches Systèmes agricoles. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Celle-ci s'intitule "Système laitier bio avec maïs épis en Rhône Alpes : Observations en élevage". Le suivi de 30 fermes de références en bovin lait bio, démarré en 2011 en région Rhône-Alpes, permet de préciser les résultats techniques et économiques des élevages. Cette synthèse s'appuie sur les données de 3 exploitations situées en Savoie et Haute-Savoie. Les éleveurs sont en zone IGP tomme - emmental - raclette. Ce cahier des charges "produit" interdit tout recours à des fourrages conservés par voie humide (enrubannage et ensilage). Pour augmenter la valeur énergétique de la ration "fourrages", les exploitants produisent du maïs épi. Ce fourrage, récolté en moyenne à 55 % de matière sèche, est autorisé du 15 octobre au 15 mai. Cette synthèse présente le fonctionnement de ces systèmes d'exploitations : Plus de 180 jours de pâturage par an ; Maïs épis : 500 kg de matière sèche consommés par vache et par an ; Jusqu'à 25 kg de lait produit par jour en période hivernale ; Des maïs épi de bonne valeur énergétique ; 3 stratégies de complémentation en concentrés des vaches laitières ; Annexes : Détail des données des exploitations A, B et C - Système Lait bio avec maïs épi (Exploitation du GAEC des Cordiers, Avant-pays Savoyard (A), Exploitation du GAEC du Mont Grêle, Avant-pays Savoyard (B), Exploitation du GAEC du Crêt Joli, Genevois (74) (C)).
Abreuvement des animaux : zoom sur les besoins des brebis laitières
P. ROUSSEL, Auteur ; Aurélie WUCHER, Auteur ; Joël THOMAS, Auteur | RODEZ CEDEX 09 (Carrefour de l'Agriculture, 12026, FRANCE) : CHAMBRE D'AGRICULTURE DE L'AVEYRON | 2011S'il est estimé que la filière laitière française consomme 2 % du volume total d'eau consommée en France, il existe néanmoins peu de références sur la consommation en eau des exploitations d'élevage, et notamment en élevage ovin. Pourtant, la problématique de l'eau tient une place de plus en plus importante en agriculture. Le programme national de recherche sur la consommation en élevage vient de s'achever. Dans ce contexte, plusieurs organismes ont mené conjointement une étude sur les besoins en eau des brebis laitières en Aveyron. Dix élevages ont participé à cette étude et des données ont été collectées sur leur consommation d'eau, leur niveau de production laitière, leurs rations et les données météorologiques. Les résultats présentés dans cet article mettent en évidence deux facteurs influençant fortement la consommation d'eau des brebis : le pâturage et le niveau de production laitière.
Actualité technique : Conférences Space "L'autonomie alimentaire des élevages bio : des atouts économiques et écologiques"
Elisabeth COCAUD, AuteurCet article reprend des extraits de la conférence Organisée par BRIO, Bio des Régions Interprofessionnellement organisées, le 15 septembre 2011, au SPACE. L'article regroupe des témoignages d'éleveurs comme Christophe Gosselin, éleveur porcin dans la Manche (en bio depuis 2011), ou Gilles Simoneau, éleveur laitier bio, en Ille-et-Vilaine. Jérôme Pavie, de l'Institut de l'élevage, a présenté les enjeux de l'autonomie et plus particulièrement de l'autonomie alimentaire en agriculture biologique. Seules 20% des exploitations agricoles laitières sont autonomes en concentrés et 50% en fourrages. Les élevages biologiques, avec un système fourrager plus herbager, sont aussi exposés aux aléas climatiques et l'autonomie alimentaire est la première difficulté devant les problèmes sanitaires. Pour un des éleveurs qui a témoigné, le développement de l'autonomie alimentaire lui a permis de se réapproprier les formules alimentaires tandis que, pour le deuxième éleveur, produire le quota en maximisant l'alimentation produite sur la ferme est un objectif pour lui et ses associés.
Diversifier les prairies pour faire face aux aléas climatiques
François LERAY, Auteur ; Jérôme LOINARD, AuteurLes prairies multi-espèces présentent de nombreux avantages et notamment celui de faire face aux aléas climatiques. Le choix des espèces dépend des objectifs visés et du contexte pédo-climatique. Dans le cas d'une prairie de longue durée (au moins 5 ans), il faut veiller à installer des espèces pérennes car les espèces peu pérennes comme le RGH (Ray-grass hybride) ou le trèfle peuvent laisser des trous qui seront colonisés par des agrostis, chiendents, pissenlits, rumex... Il faut veiller à un pourcentage élevé de légumineuses pour compenser notamment l'appétence plus faible d'autres espèces comme la fétuque élevée. Plus la prairie est fertilisée et pâturée, plus le nombre d'espèces choisies doit être faible. Le RGA (Ray-grass anglais) tardif associé au trèfle blanc est une bonne référence dans l'Ouest, pour l'appétence, la valeur alimentaire, la productivité et la souplesse d'exploitation. Par contre, dans les situations séchantes, l'article propose plusieurs pistes d'après des témoignages d'agriculteurs : RGA demi-tardifs ou intermédiaires, trèfle violet, luzerne, fétuque élevée et dactyle. L'article présente des tableaux de synthèse sur les caractéristiques des espèces prairiales, un extrait du catalogue Arvalis 2009 et le site internet www.herbe-book.org.
Evaluation des performances énergétiques de prérefroidisseurs de lait et récupérateurs de chaleur sur tank à lait
Mélanie LOOBUYCK, Auteur ; Frédéric BAZANTAY, Auteur ; Coline WILLAME, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2011Dans un contexte de raréfaction des ressources énergétiques, les économies d'énergie sur le bloc de traite en exploitation laitière sont un véritable enjeu économique. En effet, les refroidisseurs de lait et les ballons d'eau chaude y sont les principaux postes consommateurs d'électricité. Les équipements de prérefroidissement du lait et de récupération de chaleur sur refroidisseur représentent deux alternatives intéressantes pour une économie d'énergie. Ainsi, dans le cadre de son programme « éco énergie lait », le GIE Lait-Viande Bretagne a commandé une étude sur ces équipements. Celle-ci, présentée lors des 18èmes Rencontres Recherches Ruminants (décembre 2011), a mené à la conception d'une méthodologie et d'un banc d'essais, ainsi qu'à la réalisation de campagnes de tests en laboratoire. Les résultats permettent d'évaluer la performance énergétique de ces équipements et constituent des références importantes pour leur utilisation. En effet, les techniciens et conseillers disposent désormais de ces données pour conseiller les éleveurs laitiers dans leur choix d'installation, de conception, et de réglage des prérefroidisseurs de lait et récupérateurs de chaleur sur tank à lait.
Expérimentation PEP Bovins Lait au L.A. du Valentin : Prairies multi-espèces. Comparaison de 6 mélanges
Dans le cadre des « Voyages du RMT Prairies » (Réseau Mixte Technologique), l'ITAB, l'INRA et l'Institut de l'Élevage ont organisé une journée Prairies & AB, à Mirecourt, le 20 avril 2011. Parmi les interventions de cette journée, Jean-Pierre Manteaux a présenté les résultats de l'expérimentation PEP Bovins Lait au lycée agricole du Valentin (à Bourg-lès-Valence). Cette expérimentation a pour objectifs de tester la résistance à la sécheresse de prairies multi-espèces dans le cadre de l'adaptation au changement climatique, de favoriser l'autonomie en azote des élevages et d'obtenir des prairies pérennes avec légumineuses dans le respect des cahiers des charges (IGP Saint-Marcellin et AB). Cet essai a été mené en conduite conventionnelle et en conduite biologique d'une part, et en irrigué et sec d'autre part. Les rendements des six mélanges testés sont présentés en fonction de la conduite (conventionnelle/AB et sec/irrigué) et de l'année (de 2008 à 2010).
Fiche pratique : Où trouver de l'info technique en AB ?
Aude COULOMBEL, AuteurCette fiche pratique fait le point sur les différentes sources d'informations techniques en agriculture biologique. Le site internet de l'Itab regroupe de nombreuses fiches techniques, mais aussi des liens vers les sites internet des acteurs régionaux comme les groupements d'agriculteurs, les Chambres d'agriculture ou les stations de recherche. L'Institut technique de l'agriculture biologique publie également la lettre « Du côté de l'Itab & de son réseau », recensant l'actualité technique, réglementaire et celle des projets de recherche. D'autres organismes réalisent également des lettres d'information. Deux revues nationales « Alter Agri » et « Biofil » proposent, chaque mois, des informations spécifiques à l'agriculture biologique. Il existe aussi des bases de données agissant aux échelles nationale et européenne, telles Organic Eprints, Qui fait Quoi de l'Itab, Biobase d'ABioDoc.
Fiche technique : Stockage des grains
Cette fiche technique, élaborée par la Corab Centr'Atlantique, Agrobio Poitou-Charentes et les Chambres d'agriculture de Poitou-Charentes, en partenariat avec Arvalis, présente des conseils techniques et les règles à respecter pour le stockage et la conservation des grains biologiques, afin de préserver leurs qualités initiales. Cette brochure se compose de trois parties : règles générales à respecter pour tout type de stockage, stockage longue durée et stockage tampon de courte durée. Chaque partie comporte des références techniques, des photographies, mais aussi des informations concernant l'enregistrement des conditions de stockage et de traçabilité. Une liste de contacts est disponible dans le document.
Guide des intrants utilisables en agriculture biologique en France
Le guide des intrants utilisables en agriculture biologique en France a été édité le 22 juin 2011. Réalisé à la demande conjointe de l'INAO (Institut National de l'Origine et de la Qualité), de la DGPAAT (Direction Générale des Politiques Agricoles et Agroalimentaires des Territoires), de la DGAL (Direction Générale de l'Alimentation) et de la profession. Il a pour objectif de recenser des produits phytopharmaceutiques utilisables dans le cadre de l'agriculture biologique. Dans un premier temps, il ne traite que de la partie intrants autorisés pour la lutte contre les parasites et les maladies, c'est-à-dire les produits phytopharmaceutiques. Les substances actives référencées sont validées : 1 - par la DGAL au titre de leur inclusion au Règlement d'Exécution (UE) n°540/2011 de la Commission du 25 mai 2011 et des Autorisations de Mise sur le Marché au titre de l'article L. 253-1 et suivants du Code Rural et de la Pêche Maritime ; 2 - par l'INAO et la DGPAAT au titre de la réglementation Agriculture Biologique (RCE n°834/2007 du 28 juin 2007 et RCE n°889/2008 du 5 septembre 2008). Le guide répertorie, sous forme de tableau, chaque substance active par catégorie d'action (molluscicide, fongicide, insecticide...) et, pour chaque substance active, sont mentionnés le nom des spécialités commerciales contenant la substance active (lien hypertexte actif avec accès direct à la fiche de la spécialité commerciale sur le site e-phy) et diverses informations comme les références réglementaires ou l'origine des produits. Il est important de mentionner que le guide comprend aussi les substances non incluses au Règlement d'Exécution n°540/2011 (non autorisées en France).
Luzerne-dactyle, trèfle violet-ray-grass hybride : deux bases de mélanges qui assurent !
Alain LECAT, Auteur 2011Afin d'apporter des références aux éleveurs sur les prairies multi-espèces, un essai a été mis en place dans le Nord de la France, dans le cadre du projet européen VETABIO (Valorisation de l'Expérience Transfrontalière en Agriculture BIOlogique). Après la présentation des conditions d'implantation des prairies (sous couvert d'avoine), un tableau présente la composition des différents mélanges. Certains mélanges comportent plus de 8 espèces, mais les mélanges binaires trèfle violet-RGH ou luzerne-dactyle restent des références incontournables dans les régions du Nord. Les rendements vont de 11,44 à 15,25 t de MS/ha en fonction des mélanges en première année d'exploitation. Les mélanges à base de trèfle violet et de luzerne sont les plus productifs alors que ceux contenant une base de trèfle blanc le sont moins. Les résultats montrent également une variabilité de proportion de légumineuses fauchées, au cours de l'année, et entre les coupes. La proportion au semis est souvent bien différente de la proportion mesurée réellement dans les fourrages. Cette variabilité se répercute alors sur la valeur alimentaire des fourrages. Toutefois, la 1ère coupe de printemps est souvent la plus équilibrée pour la production laitière.