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Conseils phytosanitaires pour la culture maraîchère bio
Samuel HAUENSTEIN, Auteur ; Tino HEDRICH, Auteur ; Carlo GAMPER-CARDINALI, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2023Cette fiche technique suisse présente des mesures préventives et curatives en maraîchage biologique, pour lutter contre les principales maladies et contre les principaux ravageurs de dix-huit espèces ou groupes de légumes : - salade ; - choux de type pommé ; - radis rond et radis long ; - carotte ; - céleri ; - oignon ; - poireau ; - asperge ; - haricot nain ; - betterave rouge ; - épinard ; - mâche (rampon) ; - courgette ; - courge ; - concombre (culture sous abri) ; - tomate (culture sous abri) ; - poivron (culture sous abri) ; - aubergine (culture sous abri). Pour chaque ravageur ou maladie, sont indiqués : les points importants à savoir, les mesures de lutte avant le semis ou la plantation, ainsi qu'après le semis ou la plantation et en cas d'attaque. Un tableau présentant les produits de traitement indiqués complète ces informations.
Gels de printemps en arboriculture : Diversifier les moyens de protection
Antoine DRAGON, Auteur ; Rémy MULLER, AuteurLes gels de printemps successifs incitent les arboriculteurs à se préparer à ce risque qui peut fortement impacter la production. Les différentes formes de gel impliquent de diversifier les moyens de protection et les diverses situations pédoclimatiques des exploitations obligent à raisonner au cas par cas. Cet article commence par rappeler les différents types de gel (gel de rayonnement, gel d’advection, gel d’évaporation), ainsi que les moyens disponibles pour effectuer un suivi des températures dans les parcelles (système électronique, lecture directe en parcelle, se prévenir entre voisins, suivis départementaux…). Il indique ensuite les seuils critiques à partir desquels le gel va avoir un impact sur différentes espèces fruitières (abricotier, cerisier, pêcher, poirier, pommier, amandier, noisetier, noyer, kiwi) en fonction de leur stade physiologique. Par la suite, différents moyens de lutte sont détaillés. Les moyens de lutte active (aspersion sur frondaison, aspersion sous frondaison, bougies, chaufferettes rechargeables, tours à vent, chauffage mobile) sont listés et accompagnés de critères pour choisir le moyen le plus approprié. Des moyens de lutte passive, à ne pas négliger, sont également décrits en fonction de deux grandes catégories : ceux à réfléchir lors de la conception du verger et ceux applicables à des vergers déjà en production.
Guide Arbo 2023 : Fruits à coques – PFI-BIO
Karine GHION, Auteur ; Jean-Louis SAGNES, Auteur ; Marie DORDOLO, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTAUBAN CEDEX (130 Avenue Marcel Unal, 82 017, FRANCE) : CHAMBRE D'AGRICULTURE DE TARN-ET-GARONNE | 2023Ce guide Arbo 2023 consacré aux fruits à coques présente les canevas de traitement (sous forme de tableaux) sur amandiers, châtaigniers, noisetiers et noyers (stade végétatif ou époque à laquelle il faut réaliser le traitement, maladie ou ravageur ciblé, traitement administré, dose, autres observations), tout en distinguant, à chaque fois, la conduite à suivre en agriculture biologique et en PFI. Un tableau récapitule également les différents produits cupriques qui peuvent être utilisés.
Panique sur le persil
Jérôme JULLIEN, AuteurCultivé en pleine terre ou en jardinière, le persil craint les excès (chaleur, sécheresse, saturation en eau...), même si certaines variétés présentent une meilleure résistance au gel. Cet article indique comment lutter, de manière préventive et curative, contre les principaux ennemis du persil : la septoriose et les pucerons. D'autres problèmes moins fréquents sont également abordés : la fonte des semis, l'oïdium et le mildiou. Un encart fournit des astuces pour réussir le semis et la levée du persil, plat ou frisé.
Protection des plantes pour la production de fruits à pépins bio
Andreas HÄSELI, Auteur ; Patrick STEFANI, Auteur ; Hans-Jakob SCHARER, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2023La régulation des maladies et des ravageurs constitue la clé de la réussite pour la production de fruits à pépins bio. Outre des mesures préventives décisives telles que la sélection d’un site approprié, de variétés et de porte-greffes vigoureux, ainsi que des mesures d’entretien des cultures, un plus grand nombre de produits sont aujourd’hui disponibles, notamment en Suisse, pour la protection phytosanitaire directe. Cette fiche technique fournit les informations essentielles à une régulation efficace des maladies et des ravageurs pour la production de pommes, de poires et de coings, en Suisse. Elle explique les différentes possibilités de régulation des principaux agents pathogènes, indique à quel moment de l’année les mesures doivent être mises en œuvre et offre un aperçu des produits et méthodes disponibles.
Ravageurs émergents dans le Grand Ouest
Lucie DROGOU, AuteurL’acarien Tyrophagus et les punaises phytophages sont deux catégories de ravageurs émergents en maraîchage bio diversifié. L’acarien Tyrophagus Similis se retrouve surtout sur l’épinard, sous serre, en période hivernale. Il serait introduit par les apports de paille et de fumier, et se développerait plutôt dans les sols riches en humus, en conditions fraîches (8-12°C) et humides. C’est un acarien blanchâtre de 0,3 à 0,4 mm de long. Il cause la mort des bourgeons apicaux, ainsi qu’une déformation et des nécroses sur les feuilles en développement. En prévention, un assèchement des serres et un travail superficiel du sol peuvent limiter son développement. Sur les zones ayant été infestées, un allongement de la rotation et un arrêt des apports de fumure sont conseillés. En curatif, l’utilisation de substances répulsives (ail, piment) ou asséchantes (terre de diatomée, soufre) et les lâchers d’acariens prédateurs auxiliaires ne sont pas concluants, pour l’instant. Des essais pour déterminer des moyens de lutte efficaces sont en cours. Concernant les punaises phytophages, celles-ci regroupent différentes espèces de punaises (Lygus, Nezara, etc.), qui s’attaquent, en particulier, aux cultures estivales. Leur température de développement optimale est de 25-30°C. Elles causent des nécroses sur les feuilles et les bourgeons, une chute des fleurs et des piqûres sur les fruits. L’utilisation de filets en ouverture de serre et sur les cultures sensibles est efficace. D’autres moyens préventifs sont la gestion de plantes hôtes attractives (vesce et phacélie), l’usage de pièges à phéromones ou la lutte avec des parasitoïdes (Peristenus, Trissolcus) qui s’attaquent aux œufs des punaises. En curatif, l’écrasement manuel des œufs (ponte groupée caractéristique sous les feuilles) est l’action la plus efficace. Les autres possibilités sont l’usage d’auxiliaires prédateurs (mirides et anthocorides), de soufre et, en dernier recours, de produits homologués.
BasIC – Bas Intrant Cuivre : Réussir sa lutte contre le mildiou avec peu de cuivre
Eric NARRO, Auteur ; Anaïs BERNEAU, Auteur ; Martin ROCOUR, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2022En agriculture biologique, le cuivre est la seule substance homologuée et efficace pour lutter contre le mildiou. Cependant, le cuivre peut s’accumuler dans le sol et avoir des effets indésirables. Ainsi, cette brochure a été conçue pour aider les vignerons à faire face au mildiou de façon efficace, tout en minimisant les quantités de cuivre utilisées. Ce document commence par rappeler les périodes durant lesquelles il est recommandé de traiter (la date et le nombre de traitements sont à ajuster en fonction de la météo – pluviométrie -, du stade physiologique de la vigne et de la pression en mildiou). Il indique ensuite les doses préconisées de cuivre métal en fonction du stade physiologique de la vigne et de la pression en mildiou, avant de schématiser une proposition de planning de traitement. Des informations sur les préparations à base de plantes (ortie, prêle, saule, ail, pissenlit, reine des prés) aidant à lutter contre cette maladie sont aussi apportées. Un focus est ensuite réalisé sur la prophylaxie car, au-delà du traitement en lui-même, la gestion du mildiou s’opère par des actions préventives tout au long du cycle de la vigne (ébourgeonnage, rognage, palissage, effeuillage, taille, travail du sol, etc). Ce document explique également quoi faire si un producteur bio s’est fait dépasser par le mildiou (utilisation de produits phytosanitaires et recours à des actions physiques sur la vigne) et donne des repères pour bien régler son pulvérisateur. Cette brochure a été réalisée dans le cadre du projet BasIC (Bas Intrant Cuivre), piloté par la FNAB et financé par le plan Ecophyto II.
Guide Arbo 2023 – PFI-BIO
Karine GHION, Auteur ; Jean-Louis SAGNES, Auteur ; Marie DORDOLO, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTAUBAN CEDEX (130 Avenue Marcel Unal, 82 017, FRANCE) : CHAMBRE D'AGRICULTURE DE TARN-ET-GARONNE | 2022Ce guide Arbo 2023 propose des stratégies de protection pour les vergers du Sud-Ouest de la France. Il décrit des méthodes de protection fruitière intégrée (PFI) et des méthodes de protection applicables en agriculture biologique. Ces stratégies sont détaillées pour les espèces fruitières suivantes : abricotier, cerisier, kiwi, noyer, pêcher, poirier, pommier, prunier et raisin de table. Ce guide présente également les canevas de traitement pour chacune de ces espèces (stade végétatif ou époque à laquelle il faut réaliser le traitement, maladie ou ravageur ciblé, traitement administré, dose, autres observations), tout en distinguant, à chaque fois, la conduite à suivre en agriculture biologique et en PFI. Des tableaux récapitulent également les différents produits phytosanitaires (insecticides, fongicides...) qui peuvent être utilisés, en précisant s'ils sont utilisables ou non en agriculture biologique.
Pratiques alternatives : Des voies pour réduire l’utilisation de produits phytopharmaceutiques
Cathy ECKERT, Auteur ; Jean GUYOT, Auteur ; Nicolas CHARTIER, AuteurDe nombreuses pratiques alternatives, visant à réduire l’usage de produits phytopharmaceutiques, sont mises en œuvre au sein du réseau DEPHY FERME. Sur la période 2016-2020, les agriculteurs des filières légumes-maraîchage, horticulture, arboriculture et cultures tropicales ont testé soixante-neuf pratiques alternatives différentes. Ces pratiques pouvaient être préventives (répulsion, prophylaxie, diversification des cultures, renforcement de la plante, barrière physique, infrastructures agroécologiques…) ou curatives (solarisation, destruction mécanique, confusion sexuelle, piégeage, biocontrôle, lutte biologique, optimisation de la pulvérisation des traitements…). Parmi les exploitations engagées, 29 étaient en agriculture biologique (dont une non labellisée). L’ensemble des producteurs du réseau DEPHY FERME ont ensuite été invités à livrer leurs visions quant aux avantages et inconvénients de ces pratiques alternatives. Ces pratiques sont, en général, considérées comme contraignantes, au moins au début, plus coûteuses et aux résultats plus aléatoires que les traitements chimiques. En revanche, elles se traduisent plus souvent par une amélioration des marges, un meilleur confort de travail, une satisfaction intellectuelle et une amélioration de l’image de marque des exploitations et des produits.
L'ambroisie progresse en Occitanie
Agnès CATHALA, AuteurL'ambroisie est une adventice au pollen très allergisant. Cette plante se propage très vite car elle est dotée d’une forte capacité de multiplication et de survie. Il est donc nécessaire de la gérer dès son apparition et dans la durée. En Occitanie, sa présence devient préoccupante. Un projet de lutte contre l’ambroisie, financé par l’Agence Régionale de Santé, a même été lancé en 2018. Il est piloté par la FREDON Occitanie et l’Union régionale des Centres permanents d’initiatives pour l’environnement (CPIE). Cet article retrace l’interview d’Anne-Marie Ducasse-Cournac, la coordinatrice de ce projet à la FREDON Occitanie. Durant cette interview, elle liste les principales cultures à travers lesquelles l’ambroisie arrive à se répandre et explique ce que peuvent faire les agriculteurs pour limiter l’apparition et la propagation de cette plante. Un guide de 12 pages, intitulé « Les ambroisies : un problème agricole et de santé publique qui ne fait que commencer : pourquoi faire de la lutte contre les ambroisie une priorité ? », est d’ailleurs disponible gratuitement en ligne. Il apporte, entre autres, des éléments de reconnaissance précoce des plants d’ambroisie, ainsi que des informations sur des leviers de lutte efficaces en grandes cultures.
Arboriculture : Pratiques remarquables du Réseau DEPHY
Cette fiche décrit une combinaison de pratiques mises en place par Claude Vaudaine, un arboriculteur bio basé en Isère et membre du Réseau DEPHY, pour réguler l’hoplocampe du pommier en AB. Depuis 2017, cet arboriculteur a recours au piégeage massif pour diminuer le nombre d’insectes adultes au moment de la floraison. Il applique également une macération d’ail répulsive pour tenir les hoplocampes adultes à l’écart du verger. Il lutte également contre les larves d’hoplocampe en introduisant des poules dans son verger. Ces dernières grattent le sol et se nourrissent de larves. Il applique aussi des nématodes entomopathogènes sur le sol, qui participent à diminuer les larves dans le sol. Claude Vaudaine espère ainsi : 1 - réduire la pression d’hoplocampes ; 2 - ne pas dépasser 10 % de fruits touchés au moment de l’éclaircissage des pommes ; 3 - limiter le niveau de pression pour l’année suivante. Les schémas de protection, les avantages et les limites de ces différentes pratiques sont présentés. Ces dernières aident également à lutter contre le carpocapse (effet secondaire).
Guide Arbo 2022 – PFI-BIO
Karine GHION, Auteur ; Jean-Louis SAGNES, Auteur ; Marie DORDOLO, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTAUBAN CEDEX (130 Avenue Marcel Unal, 82 017, FRANCE) : CHAMBRE D'AGRICULTURE DE TARN-ET-GARONNE | 2021Ce guide Arbo 2022 propose des stratégies de protection pour les vergers du Sud-Ouest de la France. Il décrit des méthodes de protection fruitière intégrée (PFI) et des méthodes de protection applicables en agriculture biologique. Ces stratégies sont détaillées pour les espèces fruitières suivantes : abricotier, cerisier, châtaignier, kiwi, noyer, pêcher, poirier, pommier, prunier et raisin de table. Ce guide présente également les canevas de traitement pour chacune de ces espèces (stade végétatif ou époque à laquelle il faut réaliser le traitement, maladie ou ravageur ciblé, traitement administré, dose, autres observations), tout en distinguant, à chaque fois, la conduite à suivre en agriculture biologique et en PFI. Des tableaux récapitulent également les différents produits phytosanitaires (insecticides et fongicides) qui peuvent être utilisés, en précisant s'ils sont utilisables ou non en agriculture biologique.
Guide : Conversion & Conduite du KIWI en agriculture biologique dans le Sud-Ouest
En France, en 2019, plus de 400 vergers produisaient des kiwis bio sur une superficie totale de 1 038 ha, dont 438 ha basés en Nouvelle-Aquitaine. Dans cette région, les vergers de kiwis bio sont principalement localisés dans les vallées fluviales situées au sud de ce territoire. Les producteurs de cette région ont entamé une vague de conversions en 2018 et le développement du kiwi bio devrait encore s’accentuer compte tenu de la demande des opérateurs économiques régionaux. Néanmoins, la conversion d’un verger doit être mûrement réfléchie et les actions à mettre en place durant cette période doivent être anticipées. Ce guide technique est à la fois destiné aux futurs producteurs (éléments pour réussir sa conversion ou son installation) et aux producteurs biologiques déjà en activité (informations techniques). Il s’appuie sur l’expérience de producteurs et d’organisations de producteurs, et apporte des informations sur : 1 – Le matériel végétal à utiliser ; 2 – La conversion ou la plantation d’un verger de kiwis ; 3 – La conduite du verger après plantation ; 4 – La gestion de l’enherbement ; 5 - Le recours aux engrais verts ou aux couverts végétaux ; 6 – La gestion sanitaire du verger ; 7 – Le canevas de traitement du kiwi en agriculture biologique ; 8 – Les acteurs du kiwi en Nouvelle-Aquitaine.
Retour sur l’état des lieux sur les strongles digestifs en élevage caprin pâturant en Auvergne-Rhône-Alpes
Dans le cadre du programme de recherche ParCap AuRA (programme dédié au parasitisme chez les caprins, porté par Cap'Pradel et piloté par l’Institut de l’Élevage), une enquête a été menée auprès de 198 éleveurs caprins, majoritairement situés en Auvergne-Rhône-Alpes, afin d’établir des références sur leurs pratiques de pâturage et sur leur gestion des strongles gastro-intestinaux. Des systèmes pâturants divers, avec différentes visions du parasitisme ont été enquêtés. Globalement, les éleveurs utilisent en moyenne 1,4 traitement/an. Pour la majorité d’entre eux, le pâturage est perçu comme un levier important dans la gestion du parasitisme. Toutefois, la conduite du pâturage et le suivi des préconisations en matière de traitements antiparasitaires varient selon les élevages. Ces enquêtes ont également fait ressortir le fait qu’il est essentiel d’adapter les conseils au contexte des exploitations (parcellaire dispersé, humide, pentu, type de prairie…) et de mieux prendre en compte la question du temps de travail. Elles ont également mis en avant des points sur lesquels certains éleveurs manquent d’informations : lecture des résultats de coprologies, temps de rupture de pâturage…
Tuta Absoluta : L’ennemi public n°1 des tomates
Lucie DROGOU, AuteurTuta absoluta, également connue sous le nom de mineuse de la tomate, peut provoquer d’importants dégâts sur les solanacées (tomate, aubergine, pomme de terre, poivron…). Les larves creusent des galeries dans les feuilles, perforent les fruits (ce qui engendre un déclassement immédiat) et peuvent même atteindre les tiges en cas de forte attaque. Pour lutter contre ce ravageur, la prévention par piégeage (piège delta) ou la surveillance par des observations sont de bons leviers à mobiliser. En culture sous abris, il est possible de recourir à la confusion sexuelle (Isonet T3), afin de saturer l’atmosphère en phéromones et, ainsi, d'éviter les accouplements et l’apparition de larves. La mise en place de mesures prophylactiques sur la culture et sur les abords des parcelles est également essentielle : éliminer les premières feuilles touchées, retirer les fruits « juste piqués », éliminer les plantes hôtes… Il est également possible de favoriser les insectes auxiliaires, tels que des punaises prédatrices (Macrolophus pygmaeus qui est favorisée par la présence de soucis). Enfin, en dernier recours, il est possible d’utiliser des méthodes curatives (Bacillus thuringiensis, Success4…).