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Adaptation d'un outil de dépistage des adultes de la cécidomyie des atocas
Annabelle FIRLEJ, Auteur ; Jonathan VEILLEUX, Auteur ; Franz VANOOSTHUYSE, Auteur | OTTAWA (1341, chemin Baseline, K1A 0C7, CANADA) : AAC (Agriculture et Agroalimentaire Canada) | 2014La cécidomyie des atocas est un ravageur dommageable pour les cultures de canneberges en régie biologique. Elle peut affecter jusqu'à 50 % de la production des tiges affectées par rapport aux tiges non affectées. La méthode actuelle de dépistage s'avère laborieuse, car elle se fait par l'observation de 1000 pousses en vue de déterminer un seuil de contamination. Cette étude voulait développer une méthode efficace et hâtive de dépistage des adultes afin de mieux planifier la gestion de ce ravageur. Le projet a évalué l'efficacité de deux pièges d'émergence à dépister les adultes de la cécidomyie des atocas dans les atocatières québécoises. Le CETAQ a réalisé le dépistage traditionnel des pousses alors que l'équipe du laboratoire PFI de l'IRDA a réalisé les relevés de populations des adultes dans les pièges d'émergence. Selon les données recueillies, le piège d'émergence à pétri a été le plus efficace à capturer les adultes de cécidomyie en 2012. Une corrélation de 88 % a été observée entre les populations des adultes observés en 2012 et 2013 et les larves observées dans les champs la semaine suivante. Cette nouvelle méthode donne de bons résultats alors qu'elle est trois fois moins chère que la méthode de dépistage traditionnelle. La dernière étape de cette approche consiste à déterminer un seuil d'intervention pour la cécidomyie des atocas.
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Les baies : Des ressources en vitamines pour préserver votre santé et entretenir votre beauté
Répandues dans le monde végétal, les baies sont de petits fruits souvent sauvages, poussant facilement au bord des routes de campagne, et dont beaucoup sont comestibles. Au jardin, les arbustes produisant ces baies peuvent se cultiver avec un minimum d'entretien et de taille. Peu caloriques, savoureuses et riches en nutriments bienfaisants, les baies sont une source importante de vitamines, minéraux, oligoéléments et antioxydants et, à ce titre, elles sont précieuses pour la santé. Elles peuvent aussi s'utiliser pour fabriquer des produits de beauté. Cet ouvrage, qui comprend de nombreuses illustrations, permet de les découvrir ou de les redécouvrir : cassis, belladone, groseille, myrtille, douce-amère, canneberge, bryone baie de goji, myrte, aronia, physalis, raisin d'Amérique et d'apprendre à reconnaître celles qui sont toxiques. Le livre propose des conseils pour cultiver les baies, ainsi que des recettes de beauté (shampooings, gommages ), de santé (contre la fièvre, l'insolation, la fatigue ) et de cuisine (pour les transformer, fraîches ou séchées, en accompagnements des plats salés, en desserts, confitures, conserves, vins, liqueurs, jus, compotes, coulis ).
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Canada : Canneberge ou Cranberry
La canneberge est un petit fruit acidulé, cousin de la myrtille et de l'airelle, et fait partie de la famille des éricacées. Elle pousse sur un arbrisseau rampant, au feuillage lisse et persistant, dont la hauteur ne dépasse pas 30 centimètres. Elle est présentée plus en détail dans cet article, ainsi que sa récolte et les différents points de différenciation de la production biologique par rapport à la production conventionnelle.
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Canneberge et autres baies
La canneberge, succulent petit fruit rouge venu tout droit du Canada, est appréciée depuis peu en Europe pour ses vertus nutritives et préventives contre certaines pathologies (infections urinaires, diabète, troubles digestifs, ). D'autres baies, qui nous sont plus familières, méritent aussi toute notre attention. Cet ouvrage fait le point sur les bienfaits santé et nutrition de la canneberge, présente les bienfaits des autres baies : myrtilles, airelles, groseilles, cassis. Il donne également les conseils gourmands d'une spécialiste et un carnet de recettes savoureuses sucrées et salées.
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La canneberge et le fenouil
Jean-Claude RODET, AuteurLa canneberge et le fenouil non seulement aromatisent nos plats, mais sont de précieux alliés pour notre santé. Leurs modes de préparation et de consommation sont présentés, ainsi que les états et troubles de santé pouvant en bénéficier. L'un et l'autre sont particulièrement utiles pour aider à combattre les infections urinaires et les troubles gastriques.
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La canneberge, héritage des Amérindiens
Remède ancestral des Indiens d'Amérique du Nord et du Canada, la canneberge est la cousine des airelles et des myrtilles. Elle était utilisée pour soulager les symptômes liés aux troubles de l'appareil digestif, du foie, mais aussi des reins. Réduite en purée, elle permettait de soigner les blessures cutanées, et son jus, grâce à sa forte teneur en vitamine C, pouvait prévenir et soigner le scorbut. Exportée en Europe au XIXème siècle, elle connaît un réel engouement auprès de médecins allemands. Elle est abandonnée dans les années cinquante avec l'apparition des antibiotiques. Elle fait l'objet de nouvelles recherches, dans les années soixante-dix. Grâce à certains de ses composants, elle permet de prévenir les infections urinaires, contribuerait au traitement des cystites, diminuerait le processus qui conduit aux maladies cardiovasculaires et serait garante de la bonne santé du squelette, des dents et des gencives. Cette baie rouge s'adapte parfaitement aux plats salés et sucrés.
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La canneberge au Québec et dans le Centre-du-Québec : Un modèle de développement durable, à la conquête de nouveaux marchés
La canneberge est une culture en pleine croissance au Québec, particulièrement dans la région du Centre-du-Québec. Ce profil sectoriel traite de la production au Québec et dans le monde, de ses vertus sur la santé, des retombées économiques, des avantages concurrentiels du Québec, de la recherche et développement, de l'industrie et des perspectives d'avenir. Le Québec occupe le troisième rang mondial en production traditionnelle et le premier rang mondial dans la culture de la canneberge biologique, qui correspond à 8 % de la production québécoise. La demande de canneberge biologique a augmenté de 20 à 25 % par année au cours de la dernière décennie. Même si la tendance à la hausse semble s'estomper, le secteur québécois se positionne encore très bien sur le marché international. Il faut souligner dans ce cas-ci le travail de concertation entre les producteurs et les transformateurs.
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Coup d'oeil sur les canneberges
Bernard LANTIN, AuteurDans la famille des Ericacées, le genre Vaccinum et le sous-genre Oxycoccus, un même substantif désigne deux espèces voisines, mais bien distinctes, la petite et la grosse canneberge. La petite canneberge bénéficie, depuis une vingtaine d'années, d'un statut de protection qui interdit l'arrachage et la cueillette dans neuf régions françaises. La grosse canneberge est présente surtout dans les milieux humides outre-atlantique. Aux Etats-Unis et au Canada, elle est cultivée pour ses fruits, consommés en majorité après transformation (jus, concentrés, coulis, purées, confitures, fruits séchés ou confits...). Ses fruits étaient connus au XVIIème siècle pour leurs vertus médicinales, alimentaires et tinctoriales. Encore peu connue en France aujourd'hui, 400 000 tonnes de canneberge sont produites et récoltées, essentiellement en Amérique du Nord. Ses bienfaits, de par sa richesse en vitamine C, sont à nouveau reconnus et d'actualité.
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Évaluation de l'efficacité des insecticides biologiques azadirachtine et B. thuringiensis var. kurstaki pour lutter contre la tordeuse des canneberges dans la production de canneberges
Le Québec est reconnu mondialement pour sa production de canneberges biologiques. Il base sa réussite, en partie, sur l'insecticide nommé Entrust pour contrer les ennemis de cette culture, dont la tordeuse des canneberges, le ravageur principal. Ce rapport d'une étude menée chez trois producteurs de canneberges au cours des saisons 2011, 2012 et 2013 cherchait à évaluer quelques substances insecticides sur les populations de tordeuses de la canneberge. L'objectif de l'évaluation de ces produits vise à prévenir la résistance des insectes nuisibles à l'Entrust, en offrant des alternatives aux producteurs de canneberges. Ainsi, trois insecticides furent testés : Azadirachtine, Bioprotec CAF et Pyranic. L'étude comporte un volet d'évaluation de la toxicité des insecticides sur des élevages en laboratoire de tordeuses de la canneberge. De plus, ce document rend compte de l'évaluation en contexte de champ de l'impact de ces insecticides sur les populations de tordeuses des canneberges et de la pyrale des atocas. On trouve aussi dans ce rapport d'expérimentation les manières dont ces substances insecticides ont performé comparativement à l'insecticide de référence (Entrust) et le témoin (sans traitement). À la lumière de ce projet de recherche, le Pyranic et l'Entrust semblent être les substances ayant lutté le plus efficacement contre la tordeuse de la canneberge.
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Évaluation du Munger Vinegar Plus contre les cypéracées et les joncacées dans les cultures de canneberge
Nancy CAIN, Auteur ; Jim JOTCHAM, Auteur | OTTAWA (1341, chemin Baseline, K1A 0C7, CANADA) : AAC (Agriculture et Agroalimentaire Canada) | 2014L'effet des mauvaises herbes sur le rendement et la qualité de la canneberge préoccupe grandement les producteurs au Canada. Le marché de la canneberge est actuellement évalué à 73,5 millions de dollars pour une production d'environ 79 000 tonnes métriques chaque année. Pour lutter contre les mauvaises herbes en production de canneberge biologique, les producteurs canadiens ont retenu le vinaigre horticole Plus de Munger (MHVP) comme solution prioritaire. Le MHVP (20 % d'acide acétique) est utilisé comme herbicide foliaire non sélectif de postlevée. En 2013, des chercheurs d'Agriculture Canada (AAC) ont réalisé deux essais au champ visant à évaluer l'efficacité du produit contre les Cypéracées dans des cannebergières d'Ontario et de Nouvelle-Écosse. Des concentrations de 3 et 6 % volume par volume (v/v), et des injections du produit dans le sol à des concentrations de 6 et 9 % (v/v) ont été utilisées dans les traitements. Entre 1500 et 2000 L par hectare (L/ha) ont été appliqués. Les applications ont été réalisées le 23 juin et le 31 juillet en Ontario et le 6 juin et le 6 août en Nouvelle-Écosse. De l'eau a été appliquée comme traitement témoin. Les résultats de la présente étude semblent indiquer que, pour l'élimination des Cypéracées, le MHVP devrait être utilisé de façon localisée, à une concentration de 6 % en traitement foliaire ou de 9 % en injection dans le sol, et il ne devrait pas entrer en contact avec les plants de canneberge, y compris leur système racinaire. Aussi, le produit pourrait être appliqué à la volée, à des concentrations élevées, pour éliminer les Cypéracées avant l'établissement des nouvelles cannebergières.
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Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan, ethnobotaniste, qui organise régulièrement des stages de découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales, ainsi qu'une formation complète sur trois ans, et est l'auteur d'ouvrages sur les plantes et la nature, s'intéresse, dans cet article : à l'oxyria (Oxyria digyna) ; à la canneberge (Vaccinium oxycoccus) ; au cakilier (Cakile maritima) ; au calament népéta (Calamintha nepeta). Il présente ces plantes et leur utilisation culinaire, et indique, pour chacune d'elles, une recette.
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Tendances de consommation : Edition spéciale
Jennifer GAGNE, Auteur ; Caroline TESSIER, AuteurCette brochure dresse le portait de la consommation des fruits et des légumes aux États-Unis, au Canada et au Québec. Comme ces données sont rares et difficiles à obtenir, plusieurs sources d'informations différentes ont été utilisées. Aux États-Unis, les statistiques proviennent d'une étude appelée « Fresh Trend », réalisée annuellement auprès des consommateurs et commanditée par « The Packer ». Comme il n'existe aucune équivalence au Canada, des données de Statistiques Canada sur la disponibilité des aliments pour la consommation en kilogramme par habitant ont été considérées. Au Québec, les chiffres proviennent d'estimations de la valeur des ventes aux consommateurs. Des indications sur les meilleurs vendeurs de même que des données sur la consommation de 21 fruits et légumes sont présentées dans ce document. Pour chaque produit, une fiche présente les données sur les ventes du Québec, du Canada et des États-Unis; le portrait du consommateur moyen des États-Unis (revenu, enfants, état civil, sexe et âge); le rang et l'évolution du produit dans le Top 20 des légumes ou fruits du « Fresh Trends »; les dépenses alimentaires des Québécois pour 2008 et 2009 et l'évolution des achats aux États-Unis. Pour chaque aliment, un graphique illustre la proportion du type de produits achetés (bio, conventionnel, bio et conventionnel, pas certain) aux États-Unis. Pour les pommes, les pommes de terre, les laitues et les tomates, les préférences des consommateurs quant à la variété de même que son utilisation y sont détaillées.