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![]() PARTENARIATSynonyme(s)ORGANISATION DES PRODUCTEURS |


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Biolait - Biocoop : Fonctionnement du partenariat
Présentation des règles de fonctionnement et du contrat de cogestion lié au partenariat récent Biolait - Biocoop. La commercialisation des produits sera associée au logo "Ensemble pour plus de sens" dont l'analyse graphique montre une recherche de simplicité dans la lisibilité, de régénérescence écologique et la notion de chaîne humaine entre consommateurs et producteurs. Synthèse des réflexions communes préalables à cette association et à la génèse de ce logo.
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Biolait inaugure ses nouveaux locaux : Une dynamique toujours plus forte
Le groupement de producteurs Biolait inaugurait début avril 2009 ses nouveaux locaux dans un bâtiment de conception bioclimatique à énergie positive, investissement de 660 000 qui a bénéficié du soutien du Département de Loire-Atlantique et de sa région. L'assemblée générale qui a suivi a permis de réaffirmer l'ambitieux projet de développement de la structure, ainsi que ses valeurs. Le but est d'atteindre les 95 millions de litres de lait en 2013, tout en compressant les coûts logistiques qui pèsent sur la collecte. Cette dernière atteint actuellement 40 millions de litres sur 48 départements, ceci grâce à 237 structures agricoles. La structure s'appuie sur des partenariats forts : - avec Biocoop qui apporte une partie de la prime compensatoire des producteurs en conversion ; - avec Omsco, principal collecteur anglais qui pallie au déficit de collecte de Biolait sur la base de l'ancien cahier des charges français.
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Biolait poursuit son développement : Un contrat de trois ans avec Système U
Juliette LAKITS, Auteur ; Myriam GOULETTE, AuteurBiolait, collecteur de lait bio, vient de signer un accord sur trois ans avec Système U (pour la distribution) et avec la laiterie Saint-Denis de l'Hôtel, dans le Loiret (pour la transformation et l'embouteillage du lait). Cet accord est original pour Biolait, qui n'avait jusque-là que des accords avec des transformateurs (excepté la relation historique avec Biocoop), et pour Système U, qui contractualise généralement sur des durées plus courtes. En 2010, le prix payé par Biolait aux producteurs était de 43c/l et le prix du litre de lait U bio vendu au consommateur était de 99c. A l'avenir, 3c/l seront versés à Biolait pour les aides à la conversion. Partie d'un petit groupe de producteurs du Grand Ouest, Biolait collecte aujourd'hui 22% du lait bio de l'hexagone (soit 62 millions de litres de lait).
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BIOLAND : une organisation de producteurs
Marion GABORIT, AuteurEn Allemagne, des organisations de producteurs assurent le respect des exigences des producteurs, des transformateurs, des distributeurs et des consommateurs bio et ont créé leur propre marque. Bioland est l'une d'entre elles. Le premier article, "BIOLAND, une organisation de producteurs", a été rédigé à l'issue d'un entretien avec l'un de ses adhérents, Rainer Supan. Il présente Bioland, son organisation, son fonctionnement, les exigences de son cahier des charges et les relations de l'organisation avec Biolait. Dans l'article suivant, "La coopération BIOLAND-FNAB", Fiona Marty, responsable des affaires européennes à la FNAB, s'exprime sur la coopération entre les deux structures.
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Bjorg retente sa chance en ultra-frais : Avec 16 nouveautés
Arnaud MONNIER, AuteurLa croissance de l'ultra-frais bio (+ 25 % par an depuis 2006) a motivé Bjorg (marque de Distriborg) à revenir sur ce rayon. Cette fois, Distriborg, le leader de l'épicerie bio, a noué un partenariat avec Andros pour lancer la bagatelle de 16 références bio, réparties sur trois segments : soja, yaourts et compotes. En hypers, Bjorg espère en moyenne compter dix références en rayon : la signature bio vient concurrencer Sojasun (Triballat-Noyal) avec six desserts au soja et bifidus ; Vrai (autre signature de Triballat-Noyal) avec six codes à base de lait de vache et une au lait de brebis. Tous les produits lancés visent un prix inférieur à deux euros. Distriborg trouvera aussi sur sa route Danone (avec la marque Les 2 vaches). Reste à savoir s'il y a de la place pour trois marques nationales sur un segment qui ne pèse encore que 75 M. Avec trois desserts de fruits sans sucre ajouté, Bjorg arrive également en frontal face à Hero (qui vient de lancer ses compotes réfrigérées bio).
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Bleu Vert : acteur et moteur de la cosmétique bio depuis 1998
BIO-LINEAIRES, AuteurCréée en 1998, la Société Bleu Vert a été pionnière dans la distribution de cosmétique certifiée en France. Aujourd'hui, elle représente 9 marques (dont Logona, Naturkosmetik, Khadi...) et livre environ 1 700 000 produits dans 1 700 points de vente, exclusivement en circuits bio. Plus qu'un grossiste-distributeur, Bleu Vert est un acteur engagé dans le développement de la bio. Forte de son expérience, l'entreprise choisit rigoureusement ses marques partenaires, mais elle joue aussi un rôle dans l'innovation en matière de cosmétique bio. Ainsi, certaines marques la consultent lorsqu'elles veulent faire évoluer leur gamme, et plusieurs produits sont déjà nés de ces partenariats.
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Boeuf AOC : Auchan décroche la timbale
Fruit d'un partenariat noué avec les éleveurs depuis 2001, Auchan propose désormais de la viande de boeuf AOC Maine-Anjou. Cette quasi-exclusivité ne concerne encore que 15 hypermarchés. La démarche concerne 225 éleveurs sur un potentiel de 700 à 800 exploitations, soit une production de 2 000 têtes par an. Pour le distributeur, la spécificité de la viande, la maîtrise de la traçabilité et une régularité des approvisionnements sont les principaux atouts de cette filière.
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Les bons avocats du bio
VEGETABLE, AuteurLa société Eurofresh commercialise des fruits et légumes exotiques en Europe. Sur les 25 000 tonnes annuelles vendues, 20 000 sont des avocats, à 86 % bio. Le reste de la gamme est constituée de mangues, de citrons, de patates douces, ainsi que du curcuma et du gingembre, le tout étant 100 % bio, issus de 3 000 ha en production propre et de quelque 400 fermes de producteurs partenaires : en Espagne, au Pérou, en République Dominicaine, en Colombie et au Maroc. Sa ferme historique de Malaga (Espagne) est en bio depuis 40 ans. Sergio Pérez-Borbujo, directeur des ventes, explique la démarche d'Eurofresh et revient, notamment, sur les partenariats avec les producteurs locaux.
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Les bons repas de l'agriculture durable
Une opération de distribution de repas issus de l'agriculture durable dans les restaurants scolaires a été instaurée en 2004 par l'association les Défis Ruraux et grâce au Conseil Général de Seine-Maritime et au Conseil Régional de Haute-Normandie. En développant des circuits courts de distribution, cette initiative joue en faveur de la protection de l'environnement et de la survie des petits producteurs. Par ailleurs, des actions sont développées autour du concept de repas biologiques et de terroir pour veiller à la qualité des aliments et au développement du sens critique des jeunes.
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Le Bourgeon et Goût Mieux veulent progresser dans la restauration
Stephan JAUN, AuteurEn Suisse, la restauration devient toujours plus importante pour le secteur bio. Les restaurateurs peuvent choisir entre deux variantes de certification (la cuisine avec composants Bourgeon, la cuisine Bourgeon) et une plus simple, la Cuisine avec produits Bourgeon, introduite par Bio Suisse, il y a une année et demie. "Le restaurant ne doit plus forcément se faire certifier, mais il a la possibilité d'utiliser le Bourgeon pour désigner certains produits de sa carte des mets", explique Jürg Schenkel, le responsable du marketing Bio Suisse. En engageant un partenariat, au printemps 2010, avec la fondation Goût Mieux (un label qui distingue des entreprises de restauration entre autres pour le fait de proposer tous les jours un assortiment minimal de mets et de boissons bio), Bio Suisse espère encourager ce concept de la Cuisine avec produits Bourgeon.
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Bourgogne - Franche-Comté : Le nouveau moulin de Decollogne opérationnel pour 2011
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe Moulin Decollogne, filiale du groupe coopératif Dijon Céréales, a pour projet la construction d'un nouveau moulin, dédié à la bio, à Aiserey (Côte d'Or). Les travaux débuteront au début du second trimestre 2010, l'installation sera opérationnelle pour la moisson 2011. La capacité d'écrasement à l'ouverture sera de 20 000 tonnes, avec possibilité d'accroissement de l'activité. Ce projet s'appuiera sur une coopération interrégionale, avec des partenaires locaux. Dijon Céréales apportera ses compétences et son potentiel de production. L'approvisionnement sera essentiellement de proximité. La réussite de ce projet nécessite donc le développement des surfaces bio (l'objectif serait de convertir 45 000 ha). Pour ce faire, Dijon Céréales promeut la conversion et participe à des travaux sur l'adaptation des variétés au terroir. Ce nouveau moulin, qui a nécessité 5,5 millions d'euros d'investissement, sera équipé à la fois de lignes de production avec des meules de pierre et des cylindres. Il proposera des modes de conditionnement variés, et permettra d'écraser de nombreuses céréales. Cette nouvelle filière permettra donc aux agriculteurs de la région de diversifier leur production, dans un contexte économique favorable à la production de céréales bio.
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Brésil - Etats-Unis : Accord au sommet sur les biocarburants
Il est fait état d'un partenariat du Brésil et des Etats-Unis pour développer la production et l'utilisation des biocarburants. Les conditions de l'accord signé le 9 mars sont détaillées : faire de l'éthanol une matière première échangeable sur le marché international, établir une coopération technologique sur les biocarburants dits de deuxième génération à base de déchets végétaux, transférer la technologie à d'autres pays intéressés par la production d'alcool carburant, faire face aux limites quantitatives à la production d'éthanol à partir de maïs..., le contexte et les enjeux d'un tel accord sont mis en avant.
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Brest choisit le bio en partenariat avec Sodexo
Isabel SOUBELET, AuteurGrâce à une relation durable entre les élus de Brest, Sodexo (leader mondial des services de restauration collective et de "facilities management") et la Maison de la bio Finistère, 5 500 enfants bénéficient depuis la rentrée de près de 22 % de produits biologiques dans leurs assiettes. C'est à l'Ouest de Brest, sur la zone d'activité commerciale du Vern, qu'est implantée la cuisine centrale de la ville. Elle y réalise notamment les repas de 43 restaurants scolaires, soit 65 écoles. Lors de la mise en service de ce nouvel outil de production, en juillet 2007, les élus ont décidé, dans le cadre du renouvellement du contrat de délégation de service public, d'établir un nouveau cahier des charges comprenant des options qualitatives plus élevées avec des produits biologiques. La réflexion avait débuté dès 2000, dans le cadre d'une mise à plat complète, par les élus, des questions de pollution de l'eau, très présentes dans la région. L'objectif majeur avancé étant de réduire les pollutions à la source dans une optique de respect de la santé, de la saisonnalité et de la proximité. La bio est apparue comme la bonne carte à jouer. "L'idée était aussi de donner une meilleure image de la restauration scolaire...", précise Thierry Velly, responsable du service périscolaire à la direction éducation-enfance, pôle vie des habitants. L'article témoigne de la réussite de cette démarche, des relations nouées avec les transformateurs locaux, du soutien aux agriculteurs en conversion et du prix des repas.
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Bretagne : Agrobiologie : structurer les filières
En Bretagne, il sont 300 agriculteurs qui ont opté pour l'agrobiologie et cultivent près de 5700 ha (dont 30 % en reconversion). C'est numériquement peu, mais ce secteur de l'agriculture bretonne est en train de franchir des étapes capitales pour son avenir. A charge de preuve : la récente Assemblée du GAB des Côtes-d'Armor, consacrée à l'installation en production biologique ; et la présence à cette même A.G., notamment, du Président de la Commission agricole du Conseil Général, du Directeur de l'ADASEA et du Vice-Président du CDJA. Les relations évoluent. Les Côtes-d'Armor comptent une centaine d'agrobiologistes. Mais, pour Clément Doedens (Secrétaire général), on peut aller plus loin, notamment parce que le marché est demandeur, mais aussi parce que l'agriculture biologique répond à une demande pour des systèmes de production moins polluants, et qu'elle "peut permettre à un plus grand nombre de gens de s'insérer dans le tissu social". Le Vice-Président de la CDJA a également développé ces arguments, jugeant que "l'agrobiologie constitue une voie de diversification intéressante pour le département". Nathalie Langlois, animatrice d'Inter-Bio Bretagne, affirme qu'"installer des gens en agriculture biologique est une nécessité. Certaines filières manquent de matières premières, le cas des céréales et de la viande étant des plus criants". Inter-Bio Bretagne a été créé en Juin 1995, à l'initiative de la FRAB. Des producteurs aux consommateurs, en passant par les transformateurs, les prestataires de service et l'agrofourniture, l'Interprofession rassemble 6 collèges. Outre sa fonction d'interlocuteur auprès des Pouvoirs Publics, l'Interprofession assure tout un travail de communication et a pour tâche d'organiser les filières et les marchés. "Et c'est là encore le signe d'une très nette évolution".
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Café La Selva : on the road of life