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Actualité associative : Bio Cohérence fête ses 2 ans !
BIO-LINEAIRES, AuteurLa marque Bio Cohérence est née d'une démarche exigeante et d'un engagement pour une agriculture biologique respectueuse des équilibres environnementaux, sociaux et économiques. Bio Cohérence a pour mission d'offrir à ceux qui le souhaitent un complément au cahier des charges européens et permet de s'engager sur un projet de société. En juin 2012, Bio Cohérence (association dont la marque a été publiquement lancée en avril 2010) comptait 550 opérateurs adhérents (producteurs, magasins répartis sur toute la France, organisations économiques de producteurs et de nombreux consommateurs...). Plus de 200 attributions de la marque ont été accordées à des produits. Un cahier des charges sur la distribution est prévu et un travail a été effectué sur la vinification et sur le bien-être animal. Par ailleurs, la communication sur la marque se développe (plaquettes destinées aux consommateurs, annuaire des produits et des adhérents Bio Cohérence prévu sur le site www.biocoherence.fr...).
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La Bio en France : des Producteurs aux Consommateurs : Première édition 2016 : Les carnets de l'Agence BIO
L'Observatoire National de l'Agriculture Biologique publie la première édition 2016 du carnet "La Bio en France". Cette édition rassemble les principaux chiffres de production et de marché pour l'année 2014, ainsi que les premières tendances fin 2015. Les chiffres détaillés 2015 de production et de marché seront disponibles en ligne fin mai. Ils feront l'objet de publications au début de l'été (fiches régionales "La Bio dans les territoires" et la 2ème édition du carnet "La Bio en France"). Fin 2015, 28 725 fermes étaient engagées en bio (6,5 % des exploitations françaises). On dénombre 13 491 transformateurs, distributeurs, importateurs et exportateurs. Au niveau des surfaces, elles étaient estimées, fin 2015, à 1,3 million d'hectares (4,9 % du territoire agricole). Le marché, lui, est estimé à 5,5 milliards en 2015. En termes d'emplois, la Bio génère, en 2015, 100 000 emplois directs en équivalent temps plein en France (68 000 dans les fermes ; 30 000 pour la transformation et la distribution de produits bio ; 2 000 pour les actions de contrôles spécifiques à la bio, conseils, recherche et formation, développement, services administratifs).
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La Bio en France : repères
Ce document présente l'ensemble des caractéristiques de la Bio en France pour l'année 2013 : nombre de producteurs engagés en bio, nombre de distributeurs et d'importateurs, évolution des surfaces certifiées bio ou en conversion entre 2002 et 2013, la place de l'agriculture bio dans les différents secteurs de produits, la répartition des surfaces bio françaises dans les différentes régions, etc.
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La cantine inscrit au menu l'offre bio locale
Stéphanie STOLL, AuteurSuite à une réflexion sur la qualité des repas servis dans ses cantines, ainsi que sur la qualité de l'eau du réseau et les fortes teneurs en nitrates, la ville de Brest a entrepris une démarche plus large : l'introduction de produits bio et locaux. Ainsi, un premier contrat de délégation intégrant la fourniture d'aliments bio a vu le jour en 2007. Le système mis en place, associant Sodexo, l'Association des producteurs de fruits et légumes biologiques bretons, une société de collecte et de transport et un atelier de transformation des légumes, est décrit. Il permet de répondre à un triple objectif : engager les collectivités sur le développement de l'AB, s'engager sur un marché émergent et réhabiliter l'image de la restauration scolaire locale. Les agents de cantine sont également impliqués dans la démarche et bénéficient de formations. 5500 enfants et 450 agents consomment ces repas dans lesquels la part de produits bio devait passer de 20 à 30% dans le cadre de la nouvelle délégation, renouvelée pour cinq ans en 2012.
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Les chiffres de la bio 2012
Jean-Christophe GRANDIN, Auteur ; Edith LEMERCIER, Auteur ; Jean-Marie MAZENC, Auteur ; ET AL., AuteurSelon l'Agence Bio, en cinq ans, les surfaces cultivées en bio en France ont doublé (557 133 ha en 2007, 1 032 941 ha en 2012). La filière biologique compte, fin 2012, 36 766 opérateurs : 24 425 producteurs (+ 6% entre 2011 et 2012, + 41% en 2 ans) et 12 341 opérateurs de l'aval (+ 2% entre 2011 et 2012, + 39% en 2 ans). Le marché des produits bio est passé de 2 milliards d'euros en 2007 à 4,17 milliards d'euros en 2012, soit une progression de 104%. Pour l'Agence Bio, "ces cinq années de développement confirment bien que la bio est une tendance de fond, tant pour les professionnels de l'agriculture et de l'agroalimentaire que pour les consommateurs." Comme chaque année, Bio Centre présente un état des lieux de l'agriculture biologique en région Centre à partir des études menées auprès des opérateurs régionaux de différentes filières et des données de l'Agence Bio : - Croissance en demi-teinte pour la filière biologique régional ; - L'évolution des surfaces certifiées en bio dans les départements ; - Filières végétales : Les productions végétales continuent de progresser ; Les besoins en protéagineux et oléagineux non satisfaits ; Synthèses régionales sur les filières végétales (pommes de terre, pommes et poires, légumes secs, grandes cultures) ; - Filières animales : Un développement continu dans certaines filières ; Fort développement du nombre de ruches en Région Centre ; Filière "Bovin-lait" : tendance à la vente directe pour les éleveurs en conversion ; Bilan du programme "Porc bio Cur de France" ; La filière "Bovin-viande" au cur d'une étude menée par Bio Centre ; - Aval : Progression continue pour les opérateurs de l'aval de la filière biologique ; Les magasins spécialisés en alimentation biologique en Région Centre ; Les nouveaux opérateurs de l'aval de la filière biologique en 2012 ; La boulangerie biologique artisanale en Région Centre : Bio Centre a mené l'enquête!
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Commerce équitable : De belles perspectives à l'horizon 2015
BIO-LINEAIRES, AuteurLe cabinet d'analyse indépendant PERCEPTA (Groupe XERFI), qui mène de multiples études stratégiques, vient de publier, après plusieurs mois d'enquêtes, une étude sur le marché du commerce équitable. Intitulé "Le marché du commerce équitable en France à l'horizon 2015", le recueil de 120 pages, présenté dans l'article, montre que ce secteur va, semble-t-il, continuer à progresser de façon importante dans les années futures. L'article reprend les principaux enseignements de cette étude : - Le commerce équitable résiste à la crise ! ; - Une offre de plus en plus étoffée ; - L'essor des marques de distributeurs (MDD) ; - Les stratégies de riposte des opérateurs spécialisés ; - L'incursion de la restauration hors foyer sur le marché du commerce équitable : une nouvelle piste de croissance ? L'article présente, par ailleurs, les prévisions exclusives XERFI concernant les ventes de produits issus du commerce équitable (qui seront multipliées par 3 entre 2007 et 2015).
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Consommer sans ogm en Bretagne - 2ème édition
Ce guide, dont les informations utiles ont été rassemblées par Cohérence, a été constitué avec différents partenaires : le Réseau Agriculture durable, la FRCIVAM Bretagne (la Fédération régionale des Centres d'Initiatives pour Valoriser l'Agriculture et le Milieu rural), la Fédération Régionale des Agrobiologistes Bretons, Inter Bio Bretagne, la Confédération nationale du logement Bretagne... En préambule, Jean-Yves Le Drian et Pascale Loget (respectivement Président et Vice-Présidente du Conseil régional de Bretagne) reviennent sur l'avenir du secteur agricole et agroalimentaire breton et le soutien aux consommateurs qui, avec ce guide, peuvent faire le choix d'une alimentation sans OGM. Dans ce guide, l'accent est mis sur les produits locaux (carte des produits locaux de Bretagne), les marques bretonnes et les opérateurs : boucherie, charcuterie, produits laitiers, oeufs, produits de la mer... ; les produits sans OGM dans son épicerie et/ou son supermarché : aliments pour bébé, boucherie, charcuterie, fromages...
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Consommer sans ogm en Pays de la Loire : Guide par département - 1ère édition
Ce guide, dont les informations utiles ont été rassemblées par Cohérence, a été constitué avec la participation de différentes structures : la FRCIVAM (Fédération Régionale des Centres d'Initiatives pour Valoriser l'Agriculture et le Milieu Rural) Pays de Loire, la Coordination Agrobiologique des Pays de la Loire, Inter Bio Pays de la Loire, l'Ecopôle CPIE de Nantes, Terroirs 44, le Réseau Agriculture Durable. En préambule, Jacques Auxiette, président du Conseil régional des Pays de la Loire, rappelle le contexte dans lequel la région s'est positionnée en faveur d'une agriculture durable et a pris l'initiative de l'élaboration d'un ouvrage de référence qui recense les filières et les produits exempts d'OGM. Ce guide met l'accent sur les produits locaux (carte des produits locaux de Pays de la Loire, par département), les marques ligériennes sans OGM et les opérateurs : boucherie, charcuterie, produits laitiers, oeufs, volailles, lapins, produits de la mer... ; les produits sans OGM dans votre supermarché : aliments pour bébé, boucherie, charcuterie, fromages, lait/beurre...
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Coopérative des Pays des Gaves : Un outil collectif de découpe
Bernard GRIFFOUL, AuteurOuverte en 2001, la coopérative des Pays des Gaves est le principal outil de découpe des Hautes-Pyrénées et des départements voisins au service des éleveurs souhaitant valoriser leur viande en vente directe. Aujourd'hui, ils sont 170 à utiliser ce service pour un volume de 300 tonnes de carcasse. Cet article retrace le parcours de cette coopérative, installée dans les locaux de l'ancien abattoir de Lourdes et qui connaît une croissance annuelle d'environ 30 % depuis 2006. La coopérative des Pays des Gaves est certifiée pour travailler en agriculture biologique et a ainsi participé au développement local de ce mode de production et de la vente directe, et ce pour les quatre principales filières d'élevage : bovine, ovine, porcine et avicole.
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Current status of Organic Agriculture in Romania
Cet exposé présente la situation actuelle de l'agriculture biologique en Roumanie. D'après les données du ministère de l'Agriculture, les surfaces en agriculture biologique sont passées de 143 194 ha en 2006 à 260 000 ha en 2010, alors que le nombre d'opérateurs en agriculture biologique a fluctué, de 2006 à 2010, entre 3 228 et 4 322, avec un minimum pour 2009 et un maximum pour 2010. Les exploitations sont en majorité des fermes céréalières alors que, jusqu'en 2007, les systèmes herbagers dominaient. Concernant l'élevage, le nombre d'animaux en agriculture biologique a commencé à augmenter en 2005, avec les productions ovines et caprines, pour atteindre un maximum de près de 120 000 têtes en 2008, puis chuter brusquement en 2009 à moins de 40 000 têtes. La présentation aborde également la répartition des opérateurs par région, l'évolution et la répartition du nombre d'entreprises de transformation par secteur (le secteur fruits et légumes étant majoritaire). Concernant la réglementation, la Roumanie dispose de deux organismes nationaux d'inspection et de certification. Le commerce des produits issus de l'agriculture biologique était en augmentation de 2006 à 2008. 32 % des ventes se font en magasins spécialisés et 26 % en vente directe. Les prix des produits issus de l'agriculture biologique sont avantageux pour les producteurs et permettent d'augmenter leurs revenus.
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Développement économique territorial : Comment les collectivités locales peuvent-elles favoriser des filières agricoles durables ?
FNAB, Auteur ; EAU & BIO, Auteur ; BIO EN HAUTS-DE-FRANCE, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2018Pour accompagner la transition agricole et alimentaire de leurs territoires, de nombreuses collectivités locales cherchent aujourdhui à dépasser lappui aux circuits de proximité pour coopérer, dans le cadre de démarches de développement économique, avec les acteurs des "filières longues". Dès lors, les questions sont nombreuses : Comment mobiliser des acteurs économiques positionnés sur les marchés internationaux ? Comment accompagner lentreprenariat agricole individuel ou collectif ? Comment créer davantage de coopérations entre les acteurs économiques et les acteurs publics locaux ? Ce guide rassemble témoignages dacteurs, retours dexpériences et recommandations pour mieux comprendre et agir. Il est issu des travaux menés dans le cadre du réseau national des sites pilotes Eau&Bio, coordonnés par la FNAB et Bio en Hauts-de-France.
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Dossier - La filière "Lait Bio" en Bretagne : où en est-on ?
Goulven OILLIC, AuteurCe dossier présente un état des lieux de la filière « Lait Bio » en Bretagne, des producteurs aux transformateurs. En 2010, la région Bretagne est la deuxième en nombre de vaches laitières biologiques avec une augmentation du cheptel constante depuis 2006. La référence laitière moyenne livrée est également en progression et, en 2010, la collecte de lait bio en Bretagne représentait 21 % de la collecte nationale. Aujourd'hui, six structures se partagent cette collecte et le nombre d'opérateurs de la filière progresse. Les filières courtes sont également de plus en plus présentes et elles ont commercialisé 2 millions de litres en 2011. Toutefois, les grandes surfaces restent le principal débouché avec la commercialisation de 81 % du lait conditionné et de 61 % des autres produits laitiers. De nombreuses exploitations en conversion obtiendront leur certification en 2012, le marché devra alors s'adapter et l'équilibre entre l'offre et la demande pourra probablement être atteint.
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Le dossier du mois : Poules pondeuses : Ne pas laisser la filière devenir une coquille vide
Goulven MARÉCHAL, Auteur ; Régis LE MOINE, AuteurAujourd'hui, diverses questions sont au cur des débats sur la filière poules pondeuses biologiques. Cette filière, très structurée, représentant 3.4 millions de poules, soit 7 % du cheptel national en 2012, traverse une crise de surproduction. Les divers articles et témoignages de ce dossier illustrent certains des points clés qui font débat pour l'avenir de cette filière, à partir d'exemples bretons, la Bretagne étant la première région productrice d'ufs biologiques de France. Premier problème : la sécurisation de l'approvisionnement et le lien au sol. Avec l'important développement récent de la filière (+ 60 % de poules pondeuses bio de 2009 à 2012), la demande en aliments a augmenté ainsi que les prix. Or, beaucoup des élevages, surtout bretons, répondent à l'impératif du lien au sol par des achats d'aliments produits sur la région. A cela, s'ajoute la question de la fin normalement prévue au 31 décembre 2014 de la dérogation permettant 5 % d'aliments non bio dans la ration, notamment pour répondre au manque de protéines biologiques. Pour beaucoup, la question de l'autonomie et du lien au sol doit être mieux raisonnée, soit au niveau des exploitations, soit au niveau des régions. Un lien au sol plus fort, voire une évolution du cahier des charges limitant la taille des élevages, permettrait de ne pas tomber dans certains travers du modèle conventionnel, de maintenir un maximum d'exploitations, de taille adaptée au potentiel de leur territoire et d'arrêter la course au développement maximal de la vente d'aliments, synonyme d'achats importants de matières premières hors régions, voire hors pays, assez loin au final de l'esprit de l'agriculture biologique.
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Dossier : Le point sur... Le dévelopement des productions animales Bio en Bretagne ne se fera pas sans les autres filières
Michael BÖHM, Auteur ; Nadège GRIMAUD, AuteurAprès plusieurs années de développement parfois très perturbé, les filières Oeufs, Viandes et Lait bio bretonnes connaissent aujourd'hui une réelle progression, tant au niveau de la production qu'au niveau des débouchés : prix relativement stables et rémunérateurs, création ou extension d'ateliers animaux bio au sein des fermes existantes (lait, oeufs, porc), demande soutenue dans tous les circuits de distribution. Toutefois, les filières animales bio seront confrontées à plusieurs défis à moyen et à long terme, dont celui de l'alimentation des troupeaux, que ce soit en termes qualitatifs ou en termes quantitatifs. Le dossier fait le point : - Veiller à la cohérence... L'enjeu est de taille ! ; - Vigilance sur le rythme de la progression des surfaces en COP Bio en Bretagne ; - Approvisionnement régional et sécurisation des origines ; - Les opérateurs bretons en chiffres. Le dossier présente également la SICA (Société d'intérêt collectif agricole) BRETAGNE VIANDE BIO - BVB : organisation, débouchés, objectif qualité, défis de BVB.
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Dossier de presse : 2015 : Record d'acheteurs et de consommateurs de produits bio : Les Français confirment leur confiance dans une agriculture et une alimentation citoyennes
Ce document est le dossier de presse de la conférence de presse de l'Agence Bio, qui s'est tenue le 25 février 2016, à Paris. La Bio continue son ascension en France, en réponse aux attentes des consommateurs et, plus largement, des citoyens. D'après les résultats du dernier Baromètre Agence Bio / CSA 2015, en 2015, la Bio a enregistré un taux record de consommateurs et d'acheteurs. 9 Français sur 10 (89 %) consomment bio, au moins occasionnellement, alors qu'ils n'étaient encore que 54 % en 2003. 65 % des Français en consomment régulièrement, au moins une fois par mois, contre 37 % en 2003. En termes d'achats, des niveaux inédits sont également atteints : plus de 8 Français sur 10 (82 % vs 43 % en 2003) achètent des produits bio et 55 % le font régulièrement (vs 33 % en 2003). Ces très bons résultats se reflètent dans le poids croissant du marché bio (tous circuits confondus, y compris RHD). On estime ainsi qu'en 2015, il a gagné + 10 % par rapport à 2014, pour atteindre un chiffre record de 5,5 milliards d'euros. En cohérence avec cette montée en puissance de la consommation citoyenne, la production bio poursuit son solide développement, entraînée par la hausse de la demande. La France compte aujourd'hui un total de 42 216 opérateurs exerçant des activités bio (28 725 producteurs ; 13 491 transformateurs, distributeurs, importateurs et exportateurs), soit + 7,2 % par rapport à 2014. Les surfaces bio sont aussi en pleine expansion : + 17 % par rapport à 2014. Plus de 1,3 million d'ha sont désormais conduits selon le mode biologique sur le sol français, représentant 4,9 % du territoire agricole. En termes d'emplois, les emplois directement liés à l'activité biologique ont été estimés à environ 100 000 équivalents temps plein en France en 2015 ; la Bio, ce sont 69 000 emplois directs dans les fermes en équivalent temps complet, 30 000 emplois directs pour la transformation et la distribution de produits bio en équivalent temps complet, 2 000 emplois en équivalent temps complet pour les actions de contrôles spécifiques à la bio, conseils, recherche et formation, développement, services administratifs.
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Dossier de presse : L'agriculture bio séduit de plus en plus de consommateurs et doit relever le défi de la croissance
Inscrits au cur des nouvelles tendances de consommation, les produits biologiques poursuivent leur progression en France en répondant aux attentes des consommateurs. Le bio fait partie des critères définissant la qualité dun produit pour les Français. Aujourdhui, ils sont près de 7 sur 10 à consommer des produits bio au moins une fois par mois et ils sont plus de 8 sur 10 à estimer que le développement de ce mode de production est important. Les ventes de produits bio des six premiers mois de lannée 2017 dépassent de 500 millions deuros celles du premier semestre de 2016. Pour produire et distribuer ces produits bio, les professionnels français continuent de sengager. Aujourdhui, 71 % des produits bio consommés en France sont produits en France. À la fin du premier semestre, près de 3 000 exploitations supplémentaires (+9,2 % vs fin 2016) se sont engagées en bio. Au 30 juin, la surface cultivée selon le mode biologique en France est estimée à 1,77 million dhectares, soit 6,5 % de la surface agricole utile. Les chiffres clés de la bio sont rappelés dans ce document. Aujourdhui, alors que la plupart des points de vente proposent des produits bio, des initiatives émergent pour que les produits bio, garants dune alimentation de qualité, soient accessibles au plus grand nombre. Des programmes sadressent ainsi à des publics défavorisés (association Vers un Réseau dAchat Commun ou projet « Bio Vrac pour Tous »), tandis que dautres proposent des partages dexpériences pour que tout un chacun puisse manger bio sans augmenter son budget (Familles à Alimentation Positive).
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Dossier de presse : La bio accentue son rayonnement en France : Production : +55% d'exploitations bio en 2 ans ; Marché bio : +32% en 2 ans ; Restauration collective : triplement des achats bio en 2 ans
Alors que débute prochainement la 12ème édition de Printemps Bio, du 1er au 15 juin 2011, les derniers chiffres 2010 montrent clairement que l'agriculture biologique a un rayonnement grandissant en France. De la production à la consommation, la Bio se développe sur tous les fronts. Le nombre d'exploitations a augmenté de +55% de 2008 à 2010, le marché des produits alimentaires bio a progressé de + 32% en 2 ans et la restauration collective a triplé ses achats bio en 2 ans. Les premières tendances 2011 confirment la poursuite du mouvement : au cours des 4 premiers mois de l'année 2011, plus de 1 120 nouvelles exploitations ont été engagées dans la conversion à la Bio. Fin 2010, la Bio représentait 3% de la SAU totale en France, 4% des exploitations et 2% du marché alimentaire, avec des différences fortes selon les secteurs de produits. En 2 ans, le nombre d'exploitations bio est passé de 13 298 à 20 604. Dans le même temps, les surfaces ont connu une hausse de +45% pour atteindre 845 440 ha conduits en agriculture biologique. Le nombre total d'opérateurs bio a progressé dans les mêmes proportions : +49% en 2 ans. A ce jour, la France compte au total près de 31 000 opérateurs exerçant des activités en bio (producteurs, transformateurs, distributeurs). La consommation est en développement. Le marché des produits alimentaires issus de l'agriculture biologique a atteint 3,4 milliards d'euros TTC en 2010 (+10,8% vs 2009), avec des prix globalement quasi stables par rapport à l'an passé. Le développement de la production va de plus en plus permettre de satisfaire les attentes des consommateurs avec des produits de plus en plus de proximité. Les achats à l'étranger sont passés de 38% à 35% de 2009 à 2010. De son côté, la place de la bio grandit en restauration collective, celle-ci y consacrant plus de 130 millions d'euros en 2010. Désormais, plus d'1 restaurant collectif sur 2 propose de la Bio à ses convives ne serait-ce qu'une fois de temps en temps et ce chiffre pourrait passer à 8 sur 10 d'ici fin 2012. Au sommaire de ce dossier de presse : - Les chiffres de la bio ; - Printemps Bio du 1er au 15 juin 2011 : des animations dans toute la France ; - Le calendrier de la bio : TECH&BIO et les prochains grands rendez-vous.
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Dossier de presse : La Bio passe à la vitesse supérieure en réponse aux attentes des citoyens-consommateurs
La Bio a connu un essor sans précédent en 2015, et cette croissance s'intensifie début 2016. Le marché de la Bio a progressé de 14,7 % en 2015 par rapport à 2014, pour atteindre un total de 5,76 milliards d'euros, au-delà des premières prévisions à 5,5 milliards. Sur ce marché en forte croissance, les achats bio de la restauration collective ont progressé de 18 % en un an. La production bio enregistre elle aussi des records. Fin 2015, la France comptait 28 884 fermes bio, soit +9 % par rapport à 2014. Ces fermes cultivent un total de 1,375 millions d'hectares en bio, un chiffre en augmentation de 23 % par rapport à 2014. La part de la SAU française consacrée à la Bio, fin 2015, passe ainsi, pour la 1ère fois, la barre des 5 %. A l'aval, le nombre d'opérateurs a augmenté de 5 %, pour atteindre 13 528 entreprises de transformation, de distribution et d'import/export. Au total, la France compte 42 412 opérateurs exerçant des activités certifiées bio, soit +8 % par rapport à 2014. Au sommaire de ce dossier de presse de la conférence de presse de l'Agence Bio qui s'est tenue le 25 mai 2016, à Paris : - La Bio en France : Les chiffres clés ; - Production bio : La croissance s'accélère ; - Le marché bio français atteint 5,76 milliards d'euros en 2015 : en hausse de +14,7 % vs 2014 ; - Restauration collective : Les achats bio en forte progression, +18 % vs 2014 ; - 9èmes Rencontres Nationales Professionnelles Printemps Bio : "L'agriculture biologique à l'école : Quelle place dans l'enseignement et la formation ?" ; - Printemps Bio : du 1er au 15 juin : Deux semaines pour tout savoir sur la Bio ; - Futurs cuisiniers : Le 1er concours de recettes bio pour les jeunes chefs ; - Concours "Les Petits Reporters de la Bio" : Des lauréats bretons et parisiens pour la 4ème édition ; - Les prochains rendez-vous de la Bio 2016 ; - Le logo bio européen : Le point de repère des produits bio.
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Dossier de presse : Lancement de l'expérimentation du contrat de filière grandes cultures bio
Pour développer l'agriculture bio et répondre à la demande croissante de produits, le GABNOR (Groupement des Agriculteurs Biologiques du Nord-Pas-de-Calais) a lancé, avec ses partenaires, une initiative innovante : l'expérimentation d'un contrat de filière grandes cultures bio en Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Ce dossier de presse présente le contexte et les enjeux de ce projet de contrat, puis détaille 4 axes stratégiques qui font l'objet d'un engagement de la part des entreprises pour sécuriser la transition des polyculteurs vers l'agriculture biologique et relocaliser leurs approvisionnements. Sébastien Lemoine, polyculteur bio à Gouzeancourt (59), apporte son témoignage sur son parcours et indique les avantages de la mise en place de ce contrat de filière.
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Dossier de presse : Printemps Bio 2017 : L'agriculture biologique confirme son développement en France : Une bonne nouvelle pour l'emploi !
Lagriculture biologique poursuit sa croissance spectaculaire en France et génère de nombreux emplois sur tout le territoire. Tous les domaines sont concernés : à lamont, la production agricole, mais également à laval, la transformation, la distribution Au total, lagriculture bio représente aujourdhui près de 118 000 emplois directs en équivalent temps plein, soit 32 500 emplois gagnés en seulement 4 ans. Ces créations demplois témoignent du dynamisme de la production et de la consommation bio en France. En 2016, ce sont plus de 1,5 million dhectares qui sont cultivés en bio en France, soit +17 % par rapport à 2015. La Bio représente ainsi 5,7 % de la Surface Agricole Utile du territoire. Le nombre de fermes bio enregistre une hausse de +12 % de 2015 à 2016. Elles sont aujourdhui 32 264 et représentent 10,8 % de lemploi agricole en France, soit environ 77 700 emplois. À laval, 14 840 entreprises travaillent pour la bio, en progression de +10 % par rapport à 2015. Elles génèrent plus de 38 320 emplois directs. On estime également que la bio concerne 2 000 emplois en matière de conseil, contrôle, formation, etc. Ce dynamisme de la Bio en France sest reflété dans lédition 2017 du Printemps BIO pendant laquelle, du 1er au 15 juin, des centaines dévénements ont été organisés dans toute la France pour faire connaître le mode de production bio, ses principes, ses valeurs, ses produits.
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Dossier de presse : Repères chiffrés 2017 du bio en France
L'Agence BIO communique les chiffres clés 2017 du bio en France, 3ème surface bio d'Europe et 2ème marché bio européen : évolution du nombre d'opérateurs engagés en bio, répartition et progression de la bio dans les régions françaises, productions les plus concernées, chiffres de la transformation et de la distribution, évolution de la consommation alimentaire, etc., ainsi que les grandes tendances concernant le secteur bio au sein de l'Union européenne. En France, les tendances de croissance du bio de 2011 à 2016 étaient fortes et se sont confirmées en 2017. Durant cette période, les surfaces bio ont progressé de 60 % (+ 563 000 ha), le nombre d'exploitations bio de 40 % (+ 9 132) et les transformateurs et distributeurs de 22,3 % (+ 2 704 entreprises certifiées). En 2017, 36 664 producteurs sont engagés en bio, ainsi que 12 238 transformateurs et 4 752 distributeurs. 1,77 million d'hectares sont en bio, soit 6,5 % de la SAU. Le marché des produits alimentaires bio dépasse les 8 milliards d'euros.
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Dynamis : du bio, du Demeter... et des valeurs fortes !
BIO-LINEAIRES, AuteurGrossiste en fruits et légumes bio, l'entreprise Dynamis est installée au marché de gros de Rungis depuis 1991. Dans 2 500 m2 d'entrepôts, elle sert environ 1 000 clients par semaine avec une offre de 200 références. Son assortiment est 100 % bio ou biodynamique. Cet engagement pour le développement commercial de la biodynamie et de la bio est porté, depuis le début, par Markus Zeiher, d'origine suédoise, installé en France dès 1988. Aujourd'hui, Dynamis est le premier distributeur en fruits et légumes bio basé à Rungis. Plus de 10 000 tonnes de fruits transitent chaque année dans ses entrepôts. L'entreprise s'est dotée d'une logistique qui lui permet d'offrir à ses clients un service de commande en ligne et un service de livraison très performants. La recherche de partenaires fait partie du cur de métier de l'entreprise, en restant fidèle à ses principes d'"anciens de la bio". Les relations humaines avec les producteurs font partie intégrante des critères d'approvisionnement. Proche des producteurs qu'elle n'hésite pas à visiter, l'entreprise contribue aussi à améliorer leurs conditions de travail, y compris à l'étranger. Dynamis s'appuie sur un ensemble de valeurs fortes, s'inscrivant dans une chaîne d'acteurs de la bio qui défendent le circuit spécialisé, son expertise, et apportent une réponse globale aux attentes des consommateurs en recherche, au-delà des prix et des cahiers de charges, de principes forts.
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El 2004 refleja un cambio de las pautas de la agricultura ecológica en España
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Elevage biologique : Focus sur le marché de la viande bovine et ovine biologique
Stéphane DOUMAYZEL, AuteurEn France, la consommation de produits bio continue d'augmenter, avec une évolution de +6,2 % entre 2009 et 2010. En 2010, 5 % du cheptel bovin et 4 % du cheptel ovin français étaient conduits selon les principes de l'agriculture biologique. Cet article fait le point sur ces deux filières, dont la particularité est de pouvoir satisfaire les attentes du marché intérieur sans recours aux importations. Ces viandes sont valorisées dans l'ensemble des circuits de distribution, avec une orientation moins tournée vers les GMS en Aveyron que à l'échelon national. Sont également présentés les évolutions des différents cheptels et les opérateurs de l'aval présents en Aveyron. Lors d'une journée « amont-aval », ces derniers ont notamment mis en avant la nécessité de travailler sur une meilleure organisation des apports, sur la qualité de finition des animaux et sur le différentiel de prix entre bio et non-bio.
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État des lieux de la filière viande bovine biologique en Auvergne : Synthèse des résultats de lenquête CRAA, 2014 (Chiffres 2013)
La Chambre régionale d'agriculture d'Auvergne a réalisé, en 2013, une enquête auprès de 327 éleveurs de bovins bio de sa région. Les objectifs : caractériser la filière, quantifier le potentiel de production, et identifier les freins et leviers à l'engraissement, dans un contexte de sous-approvisionnement pour le marché. Après une caractérisation de l'échantillon, comprenant des élevages allaitants mais aussi laitiers, les taux de valorisation en bio des animaux, les circuits de valorisation, les principaux collecteurs sont détaillés. Un focus sur l'engraissement est présenté et les caractéristiques des élevages allaitants sont décrites.
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Fiche filière Grandes cultures bio en Auvergne
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière Grandes cultures bio en Auvergne pour 2014, un schéma de la filière, ainsi qu'un ensemble d'informations sur les opérateurs de la filière : le contact des entreprises et leur implantation sur le territoire, le nom des fournisseurs de semences, d'engrais et d'amendements...
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Fiche filière grandes cultures bio Auvergne : Édition septembre 2016
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière grandes cultures bio en Auvergne pour 2015, un schéma de la filière, un point de rappel sur la réglementation, ainsi qu'un ensemble d'informations sur les opérateurs de la filière : le contact des collecteurs et transformateurs pour l'alimentation humaine et animale et leur implantation sur le territoire, ainsi que celui des fournisseurs de semences, d'engrais et d'amendements...
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Fiche filière lait bio Auvergne : Édition mars 2015
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière lait bio en Auvergne, ainsi qu'une liste des fermes de démonstration, une carte des opérateurs bio et zones de production, les contacts des collecteurs et transformateurs, des fabricants d'aliments, et un zoom sur la transformation à la ferme.
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Fiche filière lait bio Auvergne : Édition septembre 2016
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière lait bio en Auvergne pour 2015, ainsi qu'une liste des fermes de démonstration (Cantal, Haute-Loire et Puy-de-Dôme), une carte des opérateurs bio de la filière et des zones de production, les contacts des collecteurs, des transformateurs, des fabricants d'aliments, et un zoom sur la transformation à la ferme.
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Fiche filière Ovin viande bio en Auvergne
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière Ovin viande bio en Auvergne pour 2014, une carte des opérateurs, un rappel du programme Casdar agneau bio, ainsi que les contacts des principaux acteurs de la filière : organisations de producteurs commerciales et non commerciales, principaux abatteurs et metteurs en marché, les abattoirs certifiés AB, les autres transformateurs AB et les fabricants d'aliments.
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Fiche filière ovin viande bio Auvergne : Édition septembre 2016
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière ovin viande bio en Auvergne pour 2015, une carte des opérateurs bio, un rappel du projet Casdar agneaux bio, ainsi que les contacts des principaux acteurs de la filière : organisations de producteurs commerciales et non commerciales, principaux abatteurs-metteurs en marché, abattoirs certifiés AB, autres transformateurs AB et fabricants d'aliments.
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Fiche filière viande bovine Auvergne : Édition mars 2015
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière viande bovine bio en Auvergne, ainsi qu'une liste des fermes de démonstration, une carte des opérateurs bio et leurs contacts (collecteurs, abattoirs, ateliers de découpe et transformateurs), la liste des différentes organisations de producteurs, et celle des fabricants d'aliments.
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Fiche filière viande bovine bio Auvergne : Édition septembre 2016
Cette fiche contient les chiffres-clés de la filière viande bovine bio en Auvergne pour 2015, ainsi qu'une liste des fermes de démonstration, une carte des opérateurs bio et leurs contacts (collecteurs-metteurs en marché, abattoirs, ateliers de découpe et transformateurs), la liste des différentes organisations de producteurs, et celle des fabricants d'aliments.
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La filière bovin viande bio impactée par le contexte national Exemple en région Centre
Jean-Marie MAZENC, Auteur ; Annie RIGAULT, AuteurEn France, le cheptel de bovins allaitants biologiques augmente depuis quelques années. Pourtant, le nombre d'abattages en bio ne progresse pas. Ceci s'explique par la valorisation fréquente des animaux bio dans la filière conventionnelle. Ce paradoxe est illustré notamment par une étude conduite dans la région Centre. Les pratiques des éleveurs de bovins allaitants de la région sont variées : les plus anciens en bio engraissent en général la totalité de leurs animaux et les valorisent majoritairement en bio, alors que ceux installés ou convertis plus récemment n'engraissent qu'une partie de leurs bêtes et ne sont que 14 % à les valoriser en bio. Ces derniers manquent en effet d'informations sur cette filière et de conseil technique. Par ailleurs, les prix intéressants des broutards conventionnels et le prix élevé des aliments bio n'incitent pas les éleveurs à engraisser et à valoriser dans la filière bio. Ainsi, 50 % des bovins allaitants bio de la région Centre sont valorisés dans la filière conventionnelle. Les opérateurs en bio, accompagnés de l'ensemble des acteurs de la filière, sont actuellement à la recherche de solutions : aide aux bovins abattus en bio, amélioration de l'accompagnement technique, mise en place d'une contractualisation
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Filière céréales, oléagineux, protéagineux bio de l'Ouest : Poursuivre le développement et s'organiser pour bien valoriser ses cultures de vente
FRAB BRETAGNE, Auteur ; BIO NORMANDIE, Auteur ; CAB PAYS DE LA LOIRE, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (9 Rue André-Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DES PAYS DE LA LOIRE | 2018Tirée par les demandes croissantes en alimentation humaine et en alimentation animale, la filière céréales, oléagineux, protéagineux bio se développe. Afin d'assurer un développement cohérent de la filière et une juste rémunération des producteurs, il est nécessaire d'anticiper et de s'organiser pour produire, collecter, stocker et mettre aux normes ces productions bio et en conversion pour répondre aux besoins des marchés. Cette brochure propose des informations pour aider les producteurs (Ouest de la France) de la filière céréales, oléagineux, protéagineux bio à se poser les bonnes questions avant de se lancer, ainsi que la liste des opérateurs collecteurs-stockeurs avec leurs besoins prioritaires, et une liste des structures d'accompagnement. Ce document a été co-rédigé par les groupements d'agriculteurs bio : FRAB Bretagne, Bio Normandie, CAB Pays de la Loire ; les associations interprofessionnelles bio : IBB et Inter Bio Pays de la Loire ; les Chambres d'Agriculture de Bretagne, Normandie, Pays de la Loire ; et Coop de France Ouest.
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Les filières bio bovines et ovines dans les Ardennes : état des lieux et pistes d'actions pour une progression de la bio sur les aires d'alimentation des captages (AAC) : Rapport d'étude
Sur les bassins hydrographiques Rhin-Meuse et Seine-Normandie dans les Ardennes, plusieurs captages sont classés prioritaires pour cause de dégradation de la ressource en eau par des pollutions dorigine agricole (pesticides et nitrates). Le constat de ces pollutions diffuses nécessite la mise en uvre dactions permettant la reconquête de la qualité de leau. Lélevage est prédominant sur le département des Ardennes, de par le relief marqué de ce territoire et labondance de pâtures. Dans ce département, lagriculture biologique ne représente que 5,1 % des exploitations agricoles, soit 3,3 % de la SAU des Ardennes. Afin de développer lagriculture biologique sur les Aires dAlimentation de Captage (AAC), il est nécessaire de trouver des débouchés locaux pour les fermes bio et les fermes conventionnelles qui souhaitent sengager dans cette voie. La FRAB Champagne-Ardenne a réalisé, en 2016, une étude des filières biologiques bovines et ovines ardennaises afin de mieux connaître ces filières, didentifier leur potentiel de développement et aider à leur structuration territorialisée pour la protection de leau. Les résultats sont présentés. Les pistes dactions destinées à consolider ces filières biologiques ont été définies selon trois axes : Développer de nouveaux débouchés ; Rendre les produits bio locaux plus visibles par des actions de promotion et de communication ; Mettre en lien les acteurs de lamont et de laval pour relocaliser lapprovisionnement et la distribution.
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Filières céréales et oléo-protéagineux biologiques en Auvergne-Rhône-Alpes
COOPERATION AGRICOLE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, Auteur ; FRAB AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, Auteur ; AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRE D'AGRICULTURE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON CEDEX 07 (Agrapole, 23 Rue Jean Baldassini, 69 364, FRANCE) : COOPERATION AGRICOLE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2020Cette fiche effectue un état des lieux sur les filières céréales et oléoprotéagineux en Auvergne-Rhône-Alpes (AuRA). Elle commence par présenter les volumes produits à léchelle nationale et régionale pour la campagne 2019/2020 et insiste sur la forte progression des surfaces cultivées en bio ces dernières années. Comme ce phénomène entraîne une hausse de loffre en céréales et oléo-protéagineux bio, cette fiche alerte sur la nécessité de faire un point tous les ans avec son metteur en marché afin de valoriser au mieux ses productions (il faut trouver le bon équilibre entre rentabilité et rotation culturale). Concernant le marché des cultures en deuxième année de conversion (C2), elle précise que les nombreuses conversions ont entraîné une saturation des débouchés et qu'il est possible que le prix dachat des C2 baisse au niveau national. Elle indique ensuite les cultures de vente les plus recherchées en AuRA ; un tableau récapitule les différents opérateurs économiques de la région, leur aire dinfluence, leurs coordonnées, ainsi que leurs attentes et leurs besoins en matière de cultures. Elle apporte aussi, sous la forme dun tableau, des informations (personnes ressources et coordonnées) sur les organismes de développement de lagriculture biologique en AuRA (structures de coordination régionale et structures daccompagnement technique).
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FORÉBio : Nouvelle Fédération d'OEBP 100 % bio
SYMBIOSE, AuteurFORÉBio est une fédération d'opérateurs économiques dont toute l'activité est en agriculture biologique, structurée en association depuis avril 2018, et qui regroupe les Éleveurs Bio de France (Bio Direct, Bio Galline, Biolait, BVB, COPEBIO, Lann Bodiguen, SCA Pré Vert, UNEBIO et VBO) et d'autres opérateurs, tels que COCEBI, CORAB, BIOCER, PROBIOLOR, NORABIO et BIOBREIZH. Les missions de FORÉBio sont présentées.
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Grandes cultures bio en Nouvelle-Aquitaine : La filière se structure
Martine CAVAILLE, AuteurEn 2016, les grandes cultures bio représentaient 1,5 % de la SAU en Nouvelle-Aquitaine, et 32 % de la surface régionale en bio. 70 % de ces grandes cultures étaient des céréales. Les départements de la Vienne et des Deux-Sèvres sont principalement orientés vers les céréales à paille, tandis que le Lot-et-Garonne est plutôt producteur de maïs et d'oléoprotéagineux. Des projets sont soutenus par la Région, ou par l'Agence BIO au niveau national, pour leur implication dans la structuration de cette filière grandes cultures Nouvelle-Aquitaine. Les opérateurs se réunissent dans le cadre de la commission Grandes cultures d'Interbio Nouvelle-Aquitaine, afin d'identifier les besoins de chaque acteur de la filière et de développer des projets collectifs. L'article dresse un rapide portrait de cette filière et des différents acteurs qui l'animent.
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Guide pratique de la notification en agriculture biologique
Chaque année, le dispositif de notification des opérateurs en agriculture biologique est un peu plus simplifié et modernisé pour en faciliter la gestion et offrir davantage de services, avec, depuis 2008, la possibilité offerte à chacun de notifier en ligne son activité. Après une présentation de ce qu'est la notification : déclaration d'activité, encadrée par les règlements (CE) n° 834/2007 et (CE) n° 889/2008 concernant le mode de production biologique, effectuée par tout opérateur qui produit, prépare, stocke, importe d'un pays tiers..., et de son rôle (la notification est essentielle pour l'attribution des aides à la conversion...), le guide pratique décrit l'annuaire professionnel des opérateurs en agriculture biologique de l'Agence Bio (http://annuaire.agencebio.org). Par ailleurs, le guide aborde les modalités, le délai de notification, la parution sur l'annuaire officiel des opérateurs en agriculture biologique et précise comment l'observatoire national et les observatoires régionaux rassemblent des données statistiques s'appuyant sur les notifications. Des informations sont données pour notifier son activité en agriculture biologique, sous forme de repères, ainsi que sous forme de questions/réponses à propos de la notification.
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Guide professionnel des opérateurs bio du Languedoc-Roussillon - Édition 2013-2014
Association interprofessionnelle créée en 2011, Sud et Bio Languedoc-Roussillon rassemble l'ensemble des opérateurs bio de la région, avec pour objectif le développement concerté de l'agriculture biologique en Languedoc-Roussillon. Dans ce guide, Sud & Bio présente l'association, ses missions, les structures adhérentes, puis les entreprises présentes sur le territoire.
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INTERBIO Midi-Pyrénées : Au service de la filière et des opérateurs bio régionaux
BIO-LINEAIRES, AuteurMidi-Pyrénées est une des régions françaises pionnières en terme de développement de la production bio. Elle représente en 2007 : 1 200 exploitations sur plus de 63 000 ha, 268 préparateurs et 133 magasins bio. Spécialisée dans les grandes cultures, elle reste leader sur de nombreuses productions : oléoprotéagineux (1er rang), légumes secs (1er rang), bovins (3ème rang), ovins (1er rang)... En 2003, les opérateurs de la région ont souhaité se doter d'un outil régional de développement et de structuration de la filière bio : INTERBIO Midi-Pyrénées. L'article fait une présentation de l'association : - Une structure représentative de tous les maillons de la filière ; - BIO SUD OUEST : une démarche interrégionale ; - Adhérer à INTERBIO Midi-Pyrénées, c'est donc : s'inscrire dans une dynamique régionale de développement de la bio..., mais aussi, pour tous les projets individuels : bénéficier d'un appui à la recherche de nouveaux débouchés ou de nouveaux fournisseurs...
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Marché bio belge... : Le bio belge... se porte bien ; Distribution... et consommation ; Les opérateurs spécialisés en produits bio en Belgique
BIO-LINEAIRES, AuteurD'après le recensement agricole général sur l'année 2007, l'agriculture belge est sur une courbe descendante : malgré une timide augmentation de la surface agricole utile (0,3 % de plus par rapport à 2007), le nombre d'exploitations recule de 3,8 %. Dans ce contexte plutôt difficile, l'agriculture biologique se démarque et enregistre à nouveau une nette progression en 2008, notamment en Wallonie où l'on observe une augmentation de près de 8 % du nombre d'exploitations. En Flandre, les chiffres stagnent depuis plusieurs années. La bonne santé de l'agriculture bio est de bon augure alors que la demande de produits bio est croissante. Côté distribution, face à une demande croissante des consommateurs, les produits bio se vendent bien, à la grande satisfaction de tous les opérateurs de la filière. La grande distribution reste le canal de vente privilégié, ce qui n'empêche pas les autres canaux de se développer. Mais malgré une production nationale croissante, la demande est telle que 80 % des produits sont importés (30 % de France). D'après l'organisme certificateur Certisys, le nombre total d'opérateurs spécialisés en produits bio en Belgique, en 2008, est en hausse de 9 %. L'augmentation est surtout importante chez les distributeurs (+ 57 %) et les points de vente (+ 29 %).
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Marché et consommation du porc bio français
Céline CRESSON, Auteur ; Vincent LEGENDRE, Auteur ; Ombeline CHAPOLARD, AuteurLa filière Porc bio française a été passée au crible de l'IFIP-Institut du Porc afin d'en définir les enjeux. Même si le porc est la première viande consommée en France, seuls 1 % de ses produits sont issus de l'agriculture biologique. Ces derniers sont toutefois en augmentation dans le panier des Français, avec une multiplication par quatre de leur consommation en valeur entre 2005 et 2011. Cet article présente ainsi les principaux aspects de la filière porc biologique française : - production et consommation ; - organisation des opérateurs et des circuits de distribution, dominés par la GMS ; - prix des produits biologiques et conventionnels ; - profils des consommateurs. Principales problématiques auxquelles la filière devra faire face dans les prochaines années : une conjoncture économique difficile pour le pouvoir d'achat des ménages et la hausse du prix des aliments pour les éleveurs. Dans ce contexte, la bonne valorisation de l'ensemble de la carcasse apparaît comme un enjeu majeur.
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Le marché des fruits et légumes bio : Satisfaction et attentes de la distribution
Xavier VERNIN, Auteur ; Muriel MILLAN, Auteur ; Prisca PIERRE, AuteurA la demande du comité bio d'Interfel, le CTIFL a réalisé des enquêtes auprès de l'ensemble des acteurs de la filière française des fruits et légumes biologiques. L'objectif était d'identifier les freins au développement de cette filière et les besoins techniques afin d'orienter au mieux les travaux de recherche et d'expérimentations. Les résultats concernant les acteurs de la distribution (metteurs en marché, grossistes, plate-formes de la grande distribution, magasins spécialisés) sont présentés. Les professionnels sont globalement satisfaits de l'offre de fruits et légumes bio tant sur la qualité que sur d'autres caractéristiques comme la fréquence ou la diversité de la gamme. Néanmoins, la faiblesse des quantités disponibles constitue le principal frein au développement du bio. Ainsi, il faut renforcer l'expérimentation afin de lever les verrous techniques qui limitent l'expansion de cette production. L'amélioration des conditions de récolte et de stockage devrait aussi contribuer à la qualité des produits et au maintien de cette qualité tout au long de la filière.
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Mobilisation des filières agricoles en faveur de la transition agro-écologique : état des lieux et perspectives
Dikran ZAKEOSSIAN, Auteur ; Anne DESGRÉE, Auteur ; Jean-Philippe HOUSSE, Auteur ; ET AL., AuteurEn quoi les acteurs économiques, notamment en filières longues, simpliquent dans la transition agro-écologique (AE), au-delà du seul maillon de lexploitant agricole ? Quelle est même leur perception, leur compréhension du terme dagro-écologie ? En quoi les politiques publiques pourraient mieux agir pour favoriser des démarches AE du producteur au consommateur ? Une étude a été menée pour répondre à ces questions. Ce document revient sur les principaux résultats de cette dernière qui intégrait six études de cas régionales et sectorielles, complétées par lanalyse dune douzaine de démarches innovantes portées par des acteurs locaux. L'AB a été abordée de façon indirecte en tant que point de comparaison. Un des premiers enseignements est que si le concept dagro-écologie est connu, il recouvre des réalités diverses selon les acteurs. Par ailleurs, quatre grandes démarches liées à lagro-écologie ont été identifiées : les démarches en AB, porteuses dimportantes garanties AE, les nouvelles gammes de produits dits « sans » (sans antibiotique par ex.), des ajouts dans les signes de qualité de critères agro-écologiques ou encore les démarches de durabilité au sens large, peu mises en avant et sinscrivant dans une approche de progrès continu (ex : réduction des gaz à effet de serre). Limplication des acteurs économiques est très hétérogène en fonction des filières, notamment selon le lien au consommateur. En effet, la motivation première des acteurs qui sengagent dans une démarche AE est de répondre à la demande sociétale. De plus, de nombreux freins peuvent intervenir comme la structuration de la filière. Au final, laction publique doit se renforcer pour aller plus loin, avec une politique en faveur de la transition AE plus incitative. Cependant, la transformation de toutes les filières agricoles dépendra aussi de la volonté politique de vouloir agir sur des composantes structurelles, macro-économiques, telles que la régulation des marchés.
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Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Limousin
Claire BRAJOT, Auteur ; Véronique BAILLON, Auteur ; Julie LAILLIAU, Auteur ; ET AL., Auteur | LIMOGES CEDEX 2 (Maison régionale d'agriculture du Limousin, 2 Boulevard des Arcades, 87 060, FRANCE) : CHAMBRE REGIONALE D'AGRICULTURE DU LIMOUSIN | 2012Cette deuxième édition de l'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Limousin présente un état des lieux de la filière biologique régionale, de la production à la distribution, en passant par les activités de préparation. Elle est basée sur les données 2011, complétées et enrichies par des enquêtes auprès des agriculteurs, des organisations économiques et des entreprises. Les analyses et commentaires ont été réalisés en concertation par les partenaires du Programme Limousin des Acteurs de l'Agriculture Biologique (PLAAB). Sommaire : - Les producteurs bio en Limousin : 1. Les données générales limousines ; 2. Les productions animales ; 3. Les productions végétales ; - Les préparateurs et distributeurs bio en Limousin ; 1. Les activités de préparation et de distribution bio ; 2. Impact socio-économique régional des opérateurs bio ; 3. Les approvisionnements et les ventes bio des opérateurs régionaux ; 4. Développement des activités bio ; - Focus : Quelle perception de la viande bovine biologique du Limousin par les opérateurs de l'aval ? : 1. La filière bovine bio en France ; 2. Perception et connaissance de l'agriculture bio et du Limousin ; 3. La distribution de viande bovine biologique ; 4. Développement de la distribution de viande bovine bio du Limousin ; 5. Liens entre les opérateurs aval et la production agricole ; 6. Témoignages de bouchers.
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Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Limousin : Édition 2014
L'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Limousin fait l'état des lieux de la filière biologique régionale, de la production à la distribution, en passant par les activités de préparation. Ce document regroupe des chiffres sur les productions animales (avec, notamment, un focus sur les différentes catégories de bovins allaitants vendus), les productions végétales, les préparateurs et distributeurs, et rend compte de la dynamique d'évolution de l'AB en Limousin. Cette édition se base sur les données 2013, complétées et enrichies par des enquêtes auprès des agriculteurs, des organisations économiques et des entreprises.
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Opérateurs Bio de l'Aval dans le Finistère : Des liens à renforcer entre producteurs, transformateurs et distributeurs
Christian CARAYOL, Auteur ; Cathy PICHON, AuteurLa MAB du Finistère a lancé une étude visant à mieux connaître les entreprises bio de son territoire. 235 entreprises ont fait l'objet d'une enquête sur une période de plus de 4 mois. Outre des questions touchant, par exemple, aux caractéristiques de l'entreprise, son activité, ses produits, ses sources d'approvisionnement, ses circuits de commercialisation, ses projets de développement, etc., il était également demandé aux entrepreneurs quels étaient leurs besoins d'accompagnement, d'expertise, de formation et de mise en relation. Les détails des résultats de l'enquête sont présentés. Les opérateurs sont, pour beaucoup, en attente d'accompagnement et de conseils, et souhaitent que la MAB les informe sur le réseau bio du Finistère.
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Opérateurs contrôlés : Qui est concerné par l'extension réglementaire ?
Le règlement européen a étendu l'obligation de contrôle à tous les opérateurs de la bio (y compris détaillants, négociants, courtiers...) à partir de juillet 2005, répondant ainsi aux demandes de la profession.
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Organic in Europe : Prospects and developments : 2016
Stephen MEREDITH, Auteur ; Helga WILLER, Auteur ; Matthias STOLZE, Auteur ; ET AL., Auteur | BRUXELLES (Rue du Commerce 124, 1000, BELGIQUE) : IFOAM EU GROUP | 2016
Ce document, réalisé par IFOAM EU GROUP, le FiBL, l'Università Politecnica delle Marche et Naturland, dresse un portrait du développement de la production et du marché bio en Europe. La 1ère partie prend la forme d'un document de réflexion sur le développement de l'AB au-delà du positionnement de niche qu'elle avait auparavant, en prenant en compte les dernières tendances ainsi que la vision du mouvement bio européen qui est d'amener la surface agricole bio européenne jusqu'à 50% de la surface agricole totale d'ici 2030. La 2ème partie porte sur les chiffres de la bio en Europe en 2014 : marché, opérateurs, surfaces agricoles...
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Plus d'un million d'hectares : La bio française franchit un cap
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurAu premier semestre 2012, la surface agricole française certifiée en agriculture biologique a dépassé le million d'hectares. Ce passage de cap confirme l'essor de ce mode de production impliquant 35 271 opérateurs engagés fin 2011 (+14 % par rapport à 2010), dont 23 135 exploitations biologiques.
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Le point bio sur... : Filière « Fruits et Légumes Bio » en Bretagne : Situation Avril 2016
En 2015, la Bretagne reste la région dédiant le plus de surfaces aux légumes biologiques, avec 3558 ha certifiés et 158 ha en conversion pour les légumes frais, surfaces qui ont progressé de 4 % entre 2014 et 2015. Cela concerne 692 fermes, selon deux types de systèmes : - des systèmes "maraîchage", généralement avec moins de 10 ha par exploitation, assez diversifiés ; - des systèmes "légume de plein champ", généralement avec plus de 10 ha par exploitation, plus spécialisés. L'arboriculture bio, quant à elle, concerne près de 900 ha pour 390 exploitations, avec des productions de fruits frais ou de fruits pour la transformation. Le nombre d'opérateurs, autour de 120, stagne depuis plusieurs années sur la région. Les circuits de commercialisation restent dominés par les circuits longs (GMS et magasins spécialisés).
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Le point sur... La filière "Algues marines" Bio en Bretagne : Chiffres clés - Situation juin 2011
Depuis quelques années, la filière « Algues marines » est en pleine expansion. Grâce à ses avantages nutritionnels, l'algue marine suscite de plus en plus d'intérêt. Dans le monde, 15,74 milliers de tonnes d'algues fraîches ont été utilisées en 2008. En Europe, l'industrie des macro-algues est essentiellement basée sur la récolte d'algues « sauvages », puisque la culture d'algues ne représente que 0,3 % des volumes utilisés. Un point est fait sur "La filière "Algues marines" Bio en Bretagne", organisé comme suit : - Production et récolte d'algues : quelques repères ; - La filière "Algues marines" biologique ; - La filière "Algues marines" bretonne ; - Perspectives de développement de la filière. Des encarts sont réservés à plusieurs points statistiques : données pour la région Bretagne, soit la vente d'algues sous halle à marées ; carte des différents opérateurs économiques certifiés Bio, actifs dans la filière « Algues marines » Bio bretonne (algue alimentaire, cosmétique et alimentation animale) ; carte de l'état écologique des masses d'eau de la Directive cadre sur l'eau (DCE) (Directive 2000/60) ; adhérents à Inter Bio Bretagne acteurs de la filière « Algues marines » Bio.
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Pomme bio : Une filière d'avenir en manque de producteurs
Sophie SIMONIN, Auteur2,5% des fruits achetés par les consommateurs sont bio. Parmi ces fruits, 10% sont des pommes, ce qui représente 22 000 tonnes. Pour faire face à la demande, la production locale reste insuffisante puisque un tiers des volumes provient de l'étranger en frais et 70 % en transformation. Pour répondre à la demande et anticiper le doublement prévu de la consommation de produits bio, 500 hectares devraient être mis en culture d'ici 2012 en Aquitaine. Or, les producteurs intéressés manquent. C'est pourquoi deux transformateurs de la région ont décidé de s'associer pour planter une centaine d'hectares et contractualiser sur la durée avec des producteurs. En frais, et notamment en restauration collective, la pomme bio possède également un bon potentiel. La production de pommes bio est rentable sous réserve de valoriser les années de conversion et de maîtriser un itinéraire technique plus risqué. C'est pourquoi les expérimentations menées sur l'alimentation des arbres les premières années et sur la maîtrise du puceron cendré sont essentielles. Néanmoins, une réglementation phytosanitaire moins souple en France que dans les pays voisins et des critères d'éligibilité aux aides à la conversion restrictifs demeurent des freins au développement de la filière.
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"Producteurs de bovins bio, pourquoi pas vous ?" : Une journée filière organisée par Bio Centre
Jean-Marie MAZENC, Auteur ; Annie RIGAULT, AuteurLa journée filière Bovins biologiques, co-organisée par Bio Centre, en avril 2014, a été l'occasion pour les acteurs de cette filière de se réunir, mais aussi pour les éleveurs conventionnels de trouver des réponses à leurs questions sur une éventuelle conversion. Cette année, c'est l'Earl Le Métrot, en bio depuis 2012, qui a accueilli les participants. Véronique et Guy Pénin, les deux éleveurs, ont ainsi pu témoigner de leur conversion réussie à travers la présentation d'un comparatif économique avant/après conversion. Alors que les charges opérationnelles ont baissé, le produit a augmenté, notamment grâce à une conjoncture favorable sur la campagne 2012/2013. La journée s'est poursuivie par des échanges sur la gestion alimentaire, appuyés par des résultats d'essais menés sur la ferme expérimentale des Bordes, sur la culture du soja, et par un débat entre producteurs et opérateurs autour d'une table ronde. La question des prix a également été abordée.
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Produits biologiques en restauration collective : Evaluation des besoins, identification des attentes des acheteurs et mise en relation avec les caractéristiques de l'offre pour une dynamique de développement : Tome I. Rapport final
En préambule de ce document relatif aux produits biologiques en restauration collective, est présenté le contexte dans lequel l'évaluation des besoins en produits biologiques pour la restauration collective paraissait opportune (demande régulièrement exprimée par les partenaires professionnels de l'Agence Bio, existence d'évaluations partielles par filière, nécessité d'organisation pour répondre à une demande croissante en produits biologiques pour la restauration collective). L'étude, menée par le Cabinet Gressard, CSA (Institut de sondages d'opinion et d'études de marché en France et en Europe) et l'Agence Bio, a pour objectifs principaux de : consolider, actualiser et compléter les estimations du marché de la restauration collective ; disposer d'une évaluation globale des besoins et attentes en produits biologiques par secteur ; confronter ces résultats avec les caractéristiques de l'offre... Le document constitue le rapport des 3 premières phases relatives au fonctionnement de la restauration collective et de sa typologie, à la présentation du marché des produits biologiques en restauration collective, aussi bien publique que privée et à l'offre française.
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Rapport annuel d'activité 2015 de l'organisme de contrôle et de certification Certisys
Certisys, organisme de contrôle et de certification bio belge, présente ici son rapport d'activité pour l'année 2015. L'organisme a certifié plus de 2000 opérateurs en 2015, soit 179 nouveaux entre janvier 2015 et janvier 2016, de l'agriculteur au restaurateur, en passant par les importateurs ou encore les points de vente... En ce qui concerne les surfaces certifiées par Certisys, elles ont progressé de 7,3 % en 2015, pour atteindre plus de 54 800 ha. Le nombre d'animaux contrôlés augmente également. Chaque opérateur fait ainsi l'objet de 2,2 contrôles et de 0,6 analyse par an. Si le nombre de non-conformités reste stable, les avertissements ont diminué grâce à un bon suivi des déclarations bio.
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Réglementation : Bilan des contrôles bio
BIO-LINEAIRES, AuteurCebio est l'association qui réunit les principaux organismes de contrôle agréés par l'INAO pour effectuer des contrôles et de la certification liés au règlement bio. En 2017, elle comptait, parmi ses membres, 8 organismes : Alpes Contrôles, Biotek, Bureau Veritas, Certipaq Bio, Certisud, Certis, Ecocert, Eurofins et Qualisud. En 2017, 97, 2 % des opérateurs de la filière bio française contrôlés étaient membres de Cebio. L'article fournit les chiffres clés des contrôles effectués en 2017 : nombre d'inspections, d'analyses, cas de non-conformités relevés, coûts des contrôles, etc.
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Règlementation : Bilan des contrôles bio 2019
BIO-LINEAIRES, AuteurCebio est une association qui rassemble les principaux organismes de contrôle agréés par l'INAO pour effectuer des contrôles et de la certification selon le règlement bio. En 2019, Cebio comptait, parmi ses adhérents, 9 des 10 organismes agréés en France. Cette même année, ces organismes ont effectué des contrôles dans 96,5 % des entreprises bio du pays avec la répartition suivante : producteurs : 68,3 % ; transformateurs : 20,3 % ; autres opérateurs : 11,4 %. L'évolution des chiffres-clés des contrôles bio en France en 2019, par rapport à 2018 est présentée.
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Repères : La bio : dynamisme dans une conjoncture difficile
BIO-LINEAIRES, AuteurDans un contexte de baisse de la consommation alimentaire au premier semestre 2012 (- 1 % pour les achats des ménages en Hyper et Super (source SymphonyIRI)), le marché des produits bio continue son essor. Toutes catégories confondues, on dénombrait, au 30 juin 2012, plus de 36 400 opérateurs bio (24 015 producteurs, 12 442 opérateurs aval). L'augmentation des surfaces certifiées bio est estimée à 25 % en 2012 (173 000 ha étaient en dernière année de conversion fin 2011). La croissance est observée dans le secteur laitier, des céréales bio, et selon les régions, dans les secteurs de la viticulture et de la production fruitière. De 38 % en 2009, la part (en valeur) des produits bio "importés" consommés en France devrait passer sous la barre des 30 % en 2012. Compte tenu des décisions d'engagement en bio prises depuis le 1er septembre 2010 jusqu'à fin juin 2012, environ 12 500 agriculteurs auraient, à titre strictement indicatif, l'intention de convertir leur ferme à la bio d'ici le 1er septembre 2015. Les perspectives de développement concernent la viticulture (triplement des surfaces du vignoble au cours des quatre dernières années) et l'arrivée des premiers "vins bio" (grâce à la nouvelle règlementation entrée en application le 1er août 2012), ainsi que la restauration commerciale (cahier des charges national réglementant l'utilisation de la mention bio, depuis le 1er octobre 2012).
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Repères : La bio maintient le cap...
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon l'Agence Bio, les premières tendances chiffrées de l'année 2011 confirment le dynamisme de l'agriculture biologique en France. Sur les 6 premiers mois de l'année, 1 990 exploitations supplémentaires ont rejoint la production biologique et les consommateurs ont confirmé leur enthousiasme pour les produits bio. La consommation continue ainsi de progresser : les premiers indicateurs d'évolution du marché pour le 1er semestre 2011 permettent d'estimer une croissance moyenne qui dépasse les 10 % tous secteurs de produits bio et tous réseaux de distribution confondus. Certains secteurs comme celui des produits élaborés affichent même des croissances record au cours de cette première partie de l'année. L'article revient sur l'évolution de la bio : - Premières tendances 2011 : la bio continue de se développer ; - Côté production ; Dynamique de développement des productions végétales et animales ; - Profils des opérateurs bio en 2011 ; - Le marché des produits bio continue sa croissance ; - Une grande variété de produits tous circuits confondus ; - Progression des ventes en GMS en 2011 ; - La vente directe : voie de commercialisation de plus en plus répandue ; - Focus sur la filière lait ; - Focus sur les ufs et la volaille.
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Repères : Le marché alimentaire bio : + 11 % en 2011
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de l'Agence Bio, le marché des produits alimentaires (à domicile) issus de l'agriculture biologique a encore connu une augmentation en 2011. En effet, il est passé de 3,385 milliards d' TTC à 3,755 milliards d' TTC, soit une hausse de 11 % (10,8 % en 2010). La consommation de produits bio a presque doublé depuis 2007 et le marché de l'alimentation bio a atteint 2,4 % du marché alimentaire total (contre 1,3 % en 2007). Sont présentés : un tableau de l'évolution du chiffre d'affaires par circuit de distribution (vente directe, magasins spécialisés en réseau ), de 2005 à 2011 ; la répartition en valeur des ventes de produits biologiques en France, en 2011 ; l'évolution du nombre de producteurs et des surface engagées (ha), de 1995 à 2011 (1 million d'hectares bio ont été dépassés en 2012) ; la répartition des opérateurs bio en France (35 271 opérateurs en 2011). Par ailleurs, de brèves analyses portent sur : la croissance des achats de produits bio, liée à une augmentation des volumes commercialisés ; les produits les plus vendus selon les circuits (les produits d'épicerie sucrée et salée occupent la première place en magasins spécialisés bio) ; l'augmentation des approvisionnements en France (surtout dans le secteur du lait et des produits laitiers) ; la part des « importations » en baisse ; les secteurs où la GSA (Grande surface alimentaire) a fait ses meilleures progressions.
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Sommet de l'Elevage : Philippe Cabarat : « La fermeté des prix dans le sillage du conventionnel »
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurPhilippe Cabarat est éleveur et président de la Commission bio d'Interbev et des Éleveurs Bio de France (EBF). Dans cette interview, il donne quelques explications sur l'évolution du marché de la viande bovine, en bio et en conventionnel, les deux étant liés. Plusieurs questions sont abordées : la fermeté et la flambée des prix du marché conventionnel, l'impact sur la filière bio, l'influence des conversions laitières sur la filière viande, le partage du marché entre petits et gros opérateurs
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Sud & Bio : La filière bio régionale se rassemble
Philippe GAUTIER, AuteurSept opérateurs de la filière maraîchère et fruitière biologique de la région Languedoc-Roussillon ont signé la charte Sud & Bio afin d'unir leurs forces : Alterbio, Bio Audema, Biogarden, Force Sud, Imago, Teraneo Bio et Univert, représentant 200 producteurs de la région, 80 % de la production régionale et un chiffre d'affaires global de 45 M . Présentation de la démarche et des engagements sur lesquels s'appuie la charte.
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Unébio : avant tout une histoire d'hommes
François D'ALTEROCHE, AuteurNée en 2004, la société Unébio a commercialisé, l'an dernier, 60 % de la production française de viande bovine biologique, soit 18 000 bovins. Elle travaille en partenariat avec trois entreprises d'abattage. Cette relation étroite permet aux éleveurs qui planifient leurs animaux d'avoir une lisibilité sur leur revenu. Le marché est en progression, et la production suit. La force d'Unébio est de participer aux négociations des marchés avec les distributeurs (notamment Auchan, qui s'est engagé sur des volumes, une qualité et des prix). Ce fonctionnement est lié à la particularité du secteur bovin viande biologique : volumes modestes, et concurrence limitée des viandes importées.
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Valoriser ses bovins viande dans les filières en bio
Ce document donne des éléments sur le marché de la viande bio en France, létat de la filière et les différents opérateurs intervenant dans cette filière en Auvergne. Il rappelle les modalités de classement des carcasses (conformation, état dengraissement et couleur) et la façon dont sont définis les prix carcasses. Les résultats de létude veau bio Auvergne sont également présentés.
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Viandes bio : Une dynamique en mutation
Niels BIZE, AuteurA l'échelle nationale, la production de viande bovine bio a continué sa progression en 2019, alors que la production de viande bovine conventionnelle a diminué par rapport à 2018. Dans l'Ouest plus particulièrement, le rythme des conversions des dernières années augure d'une offre en progression. Dans le même temps, on relève une baisse de la consommation globale de produits carnés et un marché de la viande bio moins demandeur que prévu. La filière va devoir composer avec une offre supérieure à la demande. Dans ce contexte, la restauration collective pourrait être un débouché à explorer. 2 graphiques illustrent l'évolution des cheptels de vaches allaitantes et de vaches laitières bio en Bretagne. L'Union des Éleveurs Bio de Bretagne (UNEBB) et Bretagne Viande Bio (BVB) sont présentés.