Thésaurus
> PRODUCTION VEGETALE > TECHNIQUE CULTURALE > CONTROLE DES ADVENTICES
CONTROLE DES ADVENTICESVoir aussi |
Documents disponibles dans cette catégorie (1481)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
Bien choisir son outil de désherbage mécanique
Le non recours aux herbicides chimiques invite les agriculteurs bio à pratiquer le désherbage mécanique. Cette pratique reste toutefois une technique pointue dont les conditions de réussite sont très rigoureuses. Herses étrilles, bineuses et houes rotatives, le désherbage mécanique propose nombre d'outils à choisir en fonction de l'état du sol, du stade des adventices ou de celui de la culture. Ce dossier fait une étude comparative de ces outils sur culture de maïs pour mieux comprendre comment et quand les utiliser, ainsi que leurs avantages et inconvénients respectifs.
Le désherbage mécanique des céréales : Un maître mot, l'observation
Le contrôle des adventices est indispensable en agriculture biologique, la présence d'adventices en nombre important (supérieur à 100/m2) pouvant occasionner une chute de rendement de l'ordre de 20%. Cependant, l'efficacité du désherbage mécanique dépend de plusieurs facteurs dont la rotation, la préparation du lit de semences ainsi que le nombre et les dates de passage. Dans tous les cas, l'observation régulière est le seul moyen de ne pas se laisser déborder par les adventices, les passages de herse sont à effectuer lorsque celles-ci sont au stade plantule.
Désherbage du soja : un itinéraire de base
Vincent LECOMTE, Auteur ; Alain RODRIGUEZ ; Christophe BONNEMORTSuite à une enquête menée auprès de producteurs de soja, un itinéraire standard de désherbage est ici proposé, détaillant notamment l'efficacité sur différentes plantes adventices de chaque étape de cette stratégie de désherbage. Deux témoignages viennent compléter cet article, l'un en Rhône-Alpes, l'autre dans le Gers.
Dossier bineuses : Le retour du désherbage propre entre rangs
Le développement de l'agriculture biologique a des répercussions inattendues chez les constructeurs de matériels de travail du sol, notamment les bineuses. Cette machine, destinée à désherber et à travailler superficiellement le sol entre rangs de cultures, était à l'origine confiée à la traction animale, chevaux et boeufs, voire vaches et mulets. L'arrivée du tracteur l'a profondément modifiée mais le principe de base est resté le même. Les bineuses de conception récente suivent l'évolution du machinisme actuel : de plus en plus grandes, de plus en plus lourdes et de plus en plus efficaces grâce à l'électro-hydraulisme et même à l'informatique.
Le liseron des champs : fiche technique
Le liseron des champs (Convolvulus arvensis L.) est une mauvaise herbe vivace qui possède un système complexe de racines et de rhizomes, de fines tiges volubiles ou traînantes qui forment souvent un tapis dense et enchevêtré, ainsi que des fleurs blanches ou roses en forme de trompette. Les feuilles, de 2 à 5 cm de longueur, ont une forme triangulaire à sagittée, une marge entière et sont placées en position alterne sur la tige. Le liseron des champs se propage au moyen de graines, de racines et de rhizomes. De façon générale, il s'introduit dans une nouvelle région grâce à la dissémination de ses graines par les oiseaux, l'eau, le fumier ou les semences commerciales contaminées. Les graines du liseron des champs possèdent un tégument très dur et imperméable, et peuvent rester en état de dormance dans le sol pendant une période pouvant atteindre vingt ans ou davantage. Deux années de jachère avec des sarclages répétés tous les dix jours constituaient une méthode courante de lutte dans les zones de culture céréalière. Toutefois, même deux années de défoliation continue ne réussiront pas toujours à épuiser complètement les réserves contenues dans les racines. La culture de plantes compétitives, comme le blé d'hiver ou certaines plantes fourragères vivaces, pendant plusieurs années, aidera à réduire, mais pas à éliminer les infestations de liseron des champs.
Matériels et méthodes de désherbage en agriculture biologique
Le Civam bio 34 et le GRAB ont organisé deux demi-journées de démonstration s'inscrivant dans une démarche d'optimisation des itinéraires techniques. Ce document offre une description (condition d'utilisation, principe de fonctionnement, prix...) des différents outils de désherbage mis en démonstration. D'autre part, il fournit les coordonnées des différents fournisseurs et distributeurs présents à cette journée.
Un paillage bio, quelle paille !
Présentation d'un nouveau paillage par un légumier finistérien : un film noir 100% biodégradable, fabriqué à base d'amidon de maïs non OGM. Intéressant par rapport au paillage papier (plus lourd et plus fragile) et par rapport au plastique noir (ramassage nécessaire et recyclage difficile), ce paillage a permis des rendements équivalents cette année. Au cours de l'été, quelques trous sont apparus qui ont favorisé l'apparition d'adventices et gêné le séchage des échalotes. La contrainte principale de ce paillage est son prix deux fois supérieur au film noir classique.
Les pratiques de désherbage du soja biologique et en conversion dans le Sud-Ouest de la France
Résultats d'une enquête menée en 2000 par le CETIOM et Agri Bio Union auprès de producteurs en soja du Sud Ouest, afin de déterminer leurs pratiques de désherbage. Une grande diversité a été constatée, même si 3 modèles dominent : binage - binage, étrillage - binage, et étrillage - étrillage. Globalement, les moyens mis en oeuvre apparaissent nettement supérieurs à ceux utilisés en tournesol, avec 3.3 passages en moyenne d'outils de désherbage.
Prévention des mauvaises herbes : Grandes cultures
La prévention des mauvaises herbes en grandes cultures s'effectue tout au long de la saison de croissance des cultures. Ce document décrit les moyens pour prévenir les infestations par les mauvaises herbes sur la ferme. La plupart des moyens proposés s'appliquent à toutes les formes d'agriculture, sauf ceux qui utilisent des engrais et de pesticides, ces derniers étant exclus en agriculture biologique. Le sol, les sources d'infestations, la fertilisation, la rotation des cultures, la qualité des semis, les engrais verts et les cultures associées, la récolte et le dépistage sont les principaux sujets qui sont abordés. Les divers sujets sont illustrés et appuyés de tableaux de synthèse.
Travail du sol, la troisième voie
Les restrictions croissantes d'utilisation des herbicides, et le développement de l'enherbement amènent une part croissante de viticulteurs à opter pour le travail mécanique pour l'entretien de leur sol. Ce dossier fait donc le point sur le sujet, en abordant successivement les étapes à respecter pour progressivement abandonner les produits chimiques, les différents outils disponibles et leurs conditions d'utilisation, inter-rangs ou interceps.
Améliorez votre stratégie de lutte !
Cet article présente les moyens de répression mécanique contre les annuelles de printemps à disposition des agriculteurs biologiques : le peigne et la houe rotative. Ces appareils travaillent à la pleine largeur de la culture. Description et mode d'utilisation de ces outils.
Améliorez votre stratégie de lutte ! : Moyens de répression mécanique contre les vivaces
Comment lutter contre les mauvaises herbes dans les grandes cultures en bio ? Cet article propose des moyens de luttes efficaces et des mesures préventives adaptées selon qu'il s'agit de vivaces ou d'annuelles de printemps, les deux catégories d'adventices les plus fréquentes dans les cultures et qui peuvent causer des dommages importants. Le passage de peigne ou de houe rotative au printemps s'avérant inefficace car trop superficiel, il faut donc envisager un travail de sol plus profond et agressif, comme celui pratiqué lors de la jachère, du labour ou du sarclage entre les rangs de la culture.
Arbo : Biner pour désherber
Le contrôle des adventices sur la ligne de plantation des vergers pose parfois de nombreux problèmes techniques. L'alternative au désherbage chimique que représentent les méthodes mécaniques ne doit pas être négligée, ne serait-ce que pour l'intérêt que présentent ces techniques dans une démarche agro-environnementale. Le désherbage 100% mécanique n'est peut-être pas une utopie et le temps des décavaillonneuses n'est peut-être pas révolu... Description de matériels présents sur le marché.
Contrôle des adventices : grandes cultures biologiques en Midi-Pyrénées
La maîtrise des adventices étant primordiale pour réussir une céréale, une étude a été conduite pendant 5 ans en Midi-Pyrénées sur les pratiques de désherbage. La flore adventice du blé, du tournesol et du soja a ainsi fait l'objet d'un suivi, tout comme les techniques utilisées pour maîtriser son développement. La plus forte diversité des plantes rencontrées, l'importance des rotations, l'anticipation de la lutte ressortent comme autant d'atouts pour réussir une culture. Un tableau rassemble les principales adventices rencontrées selon les cultures, et analyse l'efficacité de diverses pratiques culturales préventives ou curatives.
La culture des protéagineux en Bretagne
Entre 1998 et 1999, les surfaces de culture sont passées de 190 ha à 280 ha de protéagineux bio et en conversion. Outre leurs qualités agronomiques, il est vrai que les protéagineux bénéficient actuellement d'un contexte très favorable : menace des OGM, volonté de traçabilité et d'autonomie alimentaire, interdiction des farines animales, déficit en protéines générant une forte demande des collecteurs... Dans ce dossier, Symbiose vous propose de faire le point sur la culture des protéagineux sur l'exploitation : - Pois, lupin ou féverole : quel protéagineux cultiver sur sa ferme ? - Quelles pratiques culturales mettre en place ? En complément, Pascale Prat, conseillère en agriculture biologique à la Chambre d'Agriculture d'Ille-et-Vilaine donne les résultats d'un essai mis en place, dans le cadre d'un programme régional, sur le désherbage du lupin en agriculture biologique.