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Documents disponibles dans cette catégorie (1878)


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Adapter l'abreuvement à mon système de pâturage
Solène ROUSSELET, AuteurLa ressource en eau est essentielle pour les troupeaux : c'est leur premier aliment. Ainsi, dans la gestion du pâturage, l'accessibilité à une eau de qualité et en quantité suffisante est indispensable, et ce, d'autant plus en période estivale. Seront alors à prendre en compte l'emplacement des points d'eau, le débit, la capacité des abreuvoirs, leur surveillance et leur nettoyage. Les agriculteurs peuvent bénéficier de financements pour réaliser les aménagements nécessaires.
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Adapter la génétique : Croisement 3 voies : les essais de Trévarez avancent
Frédéric RIPOCHE, AuteurSur la ferme expérimentale de Trévarez, dans le Finistère, la reproduction du troupeau laitier biologique, initialement composé à 100 % de vaches Prim'Holstein, est gérée en croisement trois voies depuis 2015. L'objectif était notamment d'améliorer les taux (TB et TP) et de renforcer la robustesse des laitières. Comme l'explique dans cet entretien Estelle Cloet, de la Chambre d'agriculture de Bretagne, ce sont les races Normande et Jersiaise qui ont été introduites dans le schéma de reproduction. Lors des inséminations artificielles, réalisées avec des semences sexées, cinq taureaux par race sont choisis, afin de s'adapter à chaque vache et de favoriser la diversité génétique. Après six ans d'expérimentation, 80 % des vaches sont croisées trois voies et il n'y a plus d'Holstein pures. Malgré une moindre production laitière (5500 kg/VL), les bons taux obtenus permettent une meilleure valorisation du lait. Cette expérimentation va permettre de fournir des références aux éleveurs qui s'interrogent sur cette pratique, sachant que le croisement trois voies est un processus de long terme, dont les premiers effets ne se font ressentir qu'au bout de cinq ans seulement.
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L'agricultrice qui protège le paysage
Beat GROSSRIEDER, AuteurEsther Scherz élève, en bio, 14 bovins de race Highland et une douzaine de moutons, et cultive également des arbres fruitiers. Installée sur la ferme familiale à Wädenswil (Suisse), dans une région où l'agriculture biologique est encore rare, cette agricultrice se démarque sur plusieurs plans : d'abord, c'est une femme, comme seulement 6 % des chefs d'exploitations suisses ; elle est double active, n'a pas le permis et elle attache une importance toute particulière au maintien de la biodiversité et des paysages sur sa ferme. Elle a ainsi mis en place un système extensif, autonome en fourrages, et où de nombreux aménagements ont été faits pour maintenir la biodiversité (haies, mares, abris pour les animaux sauvages...).
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Bien-être en question : Du matériel pour l'améliorer
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe respect du bien-être animal est fondamental en agriculture biologique. A l'occasion du Space, plusieurs matériels susceptibles d'y contribuer ont été présentés aux visiteurs, parmi lesquels : la niche pour veaux modulable Hybrid, l'écorneur électrique Cosmos, le manteau pour veaux de la marque Tough Covers et le grattoir pour vaches Grat'O Gratte/Dairy Scratchy. Les éleveurs ne sont pas en reste : pour les aider à porter des charges lourdes ou soulager certains mouvements, le fabricant Comau a conçu un exosquelette.
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Biopresse Hors-série : Diversification et agriculture biologique - 2022
Esméralda RIBEIRO, Auteur ; Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2022La diversification fait partie des leviers mobilisables par les agriculteurs pour augmenter la durabilité de leurs exploitations. Il peut sagir de diversification au sein de leurs productions (ex : plusieurs ateliers de productions animales et/ou végétales), ou dactivités qui ne relèvent pas de la production alimentaire, mais qui prennent appui sur lexploitation (ex : accueil pédagogique ou social, production dénergie, vente directe ). Pour identifier plus facilement des documents portant sur la diversification au sein des fermes biologiques (descriptions de systèmes diversifiés, témoignages dagriculteurs, fiches, études, guides ), ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, a publié un numéro Hors-série de sa revue Biopresse sur ce sujet. Ce Hors-série est composé de références bibliographiques extraites de la Biobase, la seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique. Il compile environ 380 références sur la diversification, publiées entre 2012 et 2022, classées par grands thèmes (élevage, grandes cultures, maraîchage, arboriculture, viticulture, agriculture et environnement ). Cette sélection de références est le fruit dune recherche large sur la diversification, mais non exhaustive sur certains thèmes (ex : agroforesterie, circuits courts, agritourisme ). Précision supplémentaire pour les références en lien avec lélevage : elles portent aussi bien sur les systèmes délevage diversifiés, que sur les élevages mixtes et le pâturage mixte. Ce Hors-série a été réalisé dans le cadre du projet BioRéférences 2017-2022. Lobjectif de ce projet est dacquérir des références (notamment technico-économiques) sur les systèmes de production biologiques dans le Massif Central. Un volet sest intéressé à la diversification des systèmes, afin de voir comment mieux les accompagner et d'acquérir des références spécifiques.
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Les BioThémas 2022 : Agriculture biologique et environnement : quelles adaptations et quels impacts ?
Marc BENOIT, Auteur ; Simon BROSSILLON, Auteur ; Marie MIQUEL, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : PÔLE BIO MASSIF CENTRAL | 2022Le 6 octobre 2022, plusieurs résultats de projets de R&D en lien avec les adaptations et les impacts de lagriculture biologique sur lenvironnement ont été présentés à loccasion des BioThémas (un cycle de conférences dédié à lagriculture biologique et à ses pratiques, co-organisé par le Pôle Bio Massif Central et lItab à loccasion du Sommet de lElevage). Marc Benoit, dInrae, a inauguré ce cycle de conférences en sinterrogeant sur « Quel élevage pour une agriculture biologique performante et adaptée au contexte énergétique à venir ? ». Léquipe du projet BioViandes, qui a pour objectif de contribuer au développement de filières durables de viandes biologiques de ruminants sur le Massif Central, a ensuite présenté les travaux dun stagiaire sur limpact du degré de valorisation de lherbe sur les performances des systèmes allaitants bio du Massif Central. Léquipe du projet CapProtéines, dont le volet élevage vise à accroître lautonomie protéique des élevages de ruminants et des territoires, a ensuite apporté des repères sur lautonomie protéique en ovins viande bio. Léquipe du projet Salamix, qui compare des systèmes délevages herbagers autonomes et valorisant lherbe au maximum, a ensuite présenté les diverses performances engendrées par une association ovins-bovins en système herbager bio. Léquipe du projet BioRéférences, qui produit des références technico-économiques actualisées sur les élevages bio du Massif Central, a présenté les travaux dune stagiaire sur ladaptation et la résilience au changement climatique des systèmes allaitants bio du Massif Central. Enfin, la FNAB a présenté les travaux autour de la création doutils dévaluation environnementale spécifiques à la bio. Il est également possible de regarder ces différentes conférences (qui ont été enregistrées) sur la chaîne YouTube du Pôle Bio Massif Central.
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Les BioThémas 2022 : L'engraissement à l'herbe en agriculture biologique : retours de pratiques et de la recherche en élevages ruminants et porcins
Antoine ROINSARD, Auteur ; Eva GROSHENS, Auteur ; Marion KENTZEL, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : PÔLE BIO MASSIF CENTRAL | 2022Le 5 octobre 2022, plusieurs résultats de projets de R&D en lien avec lengraissement à l'herbe en agriculture biologique ont été présentés à loccasion des BioThémas (un cycle de conférences dédié à lagriculture biologique et à ses pratiques, co-organisé par le Pôle Bio Massif Central et lItab à loccasion du Sommet de lElevage). Antoine Roinsard, de la Commission bio dInterbev, a commencé par indiquer les chiffres-clefs de la production et de la consommation de viandes biologiques en 2021 et les tendances pour 2022. Léquipe du projet Casdar Proverbial, qui travaille sur la valorisation des bovins mâles en bio (jeunes bovins et bufs rajeunis), a pris la suite avec une conférence intitulée « Lherbe au cur des régimes de finition des bovins mâles du troupeau allaitant bio pour répondre aux marchés de demain ». Léquipe du projet BioViandes, qui a pour objectif de contribuer au développement de filières durables de viandes biologiques de ruminants sur le Massif Central, a ensuite présenté les travaux réalisés par deux stagiaires sur « Lanalyse des trajectoires dévolution et des choix techniques et commerciaux des exploitations bovines allaitantes bio du Massif Central suite à leur conversion : un outil pour faire dialoguer lamont et laval de la filière ? ». Enfin, la dernière présentation, réalisée par léquipe du projet Valorage (valorisation de fourrages et de parcours riches en protéines par les monogastriques biologiques), portait sur les « Premiers retours dexpérience dun pâturage tournant par des porcs charcutiers sur prairie diversifiée ». Il est également possible de regarder ces conférences (qui ont été enregistrées) sur la chaîne YouTube du Pôle Bio Massif Central.
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Au Chant du blé, du pain pour tous les jours
Marion HAAS, Auteur ; Stéphane COZON, AuteurOlivier Clisson est paysan-boulanger biodynamique en Ille-et-Vilaine (35), depuis 2007. Il propose un pain de campagne, qu'il fabrique à partir de sa production de blé et de seigle. Il élève également des animaux de races locales (des vaches Nantaises, des porcs Blancs de l'Ouest et des brebis Landes de Bretagne) qui contribuent à la fertilisation des sols. Il produit, par ailleurs, un compost à base de fumier de vaches bio pour fertiliser le jardin et les arbres fruitiers du domaine. Cet article aborde les expériences d'Olivier avec les préparations biodynamiques et fournit des informations sur son travail en boulangerie. Le pain fabriqué est commercialisé au travers de deux AMAP rennaises, un drive fermier et un marché hebdomadaire local.
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En chantier : Pour une meilleure valorisation des bovins mâles
Fabien CHAMPION, AuteurEn France, la majorité des bovins allaitants mâles sont destinés à lexport (en vif ou sous forme de viande). Les veaux laitiers mâles sont, quant à eux, destinés au marché du veau de boucherie ou à lexport en vif. Les incertitudes liées à ces marchés et la dépendance aux exportations questionnent les éleveurs depuis des années. En 2021, la Confédération Paysanne a analysé des initiatives conduisant à une meilleure valorisation des bovins mâles. Cette étude sest déroulée en deux phases : une enquête téléphonique auprès dune soixantaine déleveurs volontaires qui mettent en place des initiatives, et un examen technico-économique approfondi de 25 élevages. Plus de 80 % des fermes interrogées durant la première phase sont en agriculture biologique. Les mâles sont essentiellement valorisés en bufs ou en veaux sous la mère (VSLM). Les fermes qui engraissent des bufs reposent sur des systèmes très herbagers. La quasi-totalité des fermes valorisent au moins deux types de mâles (VSLM, buf, broutard ) et/ou conduisent une activité en plus de lélevage bovin (maraîchage, gîtes, élevage caprin ). Concernant la commercialisation, 44 pratiquent la vente directe, 18 la vente en circuit court avec un intermédiaire et 38 la vente en circuit long. Cette enquête a aussi mis en évidence la complémentarité entre la valorisation des mâles et les autres activités de la ferme (débouchés, fertilisation, valorisation de certaines parcelles ). Létude technico-économique approfondie montre également que ces pratiques sont rémunératrices. La Confédération Paysanne souhaite que ce travail danalyse débouche sur des propositions politiques pour lever les principaux freins au développement de ces initiatives.
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Circuits courts : Produire, transformer et commercialiser de la viande bovine en circuits courts
Le CERD (Centre détude et de Ressources sur la Diversification) et le réseau des Chambres dagriculture ont conduit une enquête auprès de 71 producteurs de viande bovine, dont certains en bio, commercialisant, en moyenne, une vingtaine de bovins par an en circuits courts. Cette enquête, réalisée en 2019, fournit des repères sur différents modes dorganisation pour commercialiser en circuits courts (transformation à la ferme ou via un prestataire de service), sur différentes stratégies commerciales, ainsi que sur le temps de travail. Elle a également permis de recueillir des données économiques. Ce document présente une synthèse de ces résultats. Il est structuré en six parties : 1 - Structure, trajectoire et place de latelier viande bovine sur les exploitations ; 2 - Commercialisation ; 3 - Organisation de labattage, de la découpe et de la transformation ; 4 - Choix des animaux pour les circuits courts et gestion de la qualité ; 5 - Organisation du travail ; 6 - Rentabilité de lactivité viande bovine en circuits courts.
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Communiqué de presse : Observatoire des viandes bio 2021
En France, le marché des viandes bio 2021 (bovins, ovins et porcs) sinscrit dans un contexte de défis à relever. Cette année a vu une augmentation de 10 % des volumes dabattage en AB, plus marquée en porcs. Parallèlement, pour les trois filières, les cheptels se sont peu développés en 2021 et, pour les ruminants, la concurrence du conventionnel a été significative. Par ailleurs, la filière des viandes bio a continué sa croissance, mais à un rythme moindre que précédemment, avec un second semestre plus difficile. Les évolutions sont différentes selon les circuits de commercialisation : les ventes ont progressé en magasins spécialisés (+4 %), en boucherie (+7 %), en vente directe (+10 %) ou encore en restauration hors domicile (+21 %), alors que les GMS ont vu un recul de 9 % de leurs ventes de viandes bio. Ceci montre une évolution dans les habitudes dachat des consommateurs qui privilégient de plus en plus le local. Si, en ovins, ladéquation entre offre et demande sest renforcée, on note, en 2021, des problèmes importants déquilibre carcasse en bovins (difficulté à vendre les morceaux nobles) et en porcs (forte demande en certains produits comme les lardons). Face à cette situation, les opérateurs cherchent à sadapter (export, déclassement, stockage...), mais le contexte reste incertain avec la flambée du prix des aliments et des autres charges, comme lénergie, le transport, les emballages, avec la hausse exceptionnelle des prix dachat en conventionnel (gros bovins et agneaux) et avec les changements dhabitudes des consommateurs.
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Contention des bovins, la sécurité avant tout !
ECHO DU CEDAPA (L'), AuteurAvant d'entreprendre la contention d'un bovin, il est nécessaire de connaître quelques principes de base sur le comportement de ces animaux, ainsi que les principales règles à respecter. Marcel Jolivel, éleveur-formateur, intervient fréquemment à ce sujet auprès d'éleveurs. Cet article présente les grands enseignements à retenir d'une de ses formations auprès du Cedapa. Après un rappel de quelques notions propres au comportement des bovins et à leurs sens (vue, ouïe, odorat) ou relatives à l'importance de la relation homme-animal, Marcel a expliqué aux éleveurs comment approcher et attacher un animal en toute sécurité, en évitant tout stress et tout traumatisme.
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Une conversion réussie malgré les années sèches
Emmanuel DESILLES, AuteurJoël Dufour élève un troupeau de bovins allaitants dans l'Allier, certifié en agriculture biologique depuis 2019. Ce naisseur-engraisseur finit des vaches, des génisses et des bufs de races Charolaise et Aubrac. Lors de sa conversion à l'AB, il a été confronté à plusieurs années de sécheresse. Toutefois, grâce à une possibilité d'agrandissement de sa SAU en 2019 (passant de 131 à 172 ha) et à une bonne diversité de cultures, notamment fourragères (méteil à double fin, maïs ensilage, prairies permanentes, temporaires et artificielles de luzerne et de trèfle), l'élevage est autonome en fourrages. Les animaux finis sont globalement plus lourds que ceux des élevages de référence du bassin charolais (497 kg contre 444 kg pour les bufs), et sont mieux valorisés grâce à la période de vente choisie par Joël qui permet de bénéficier de primes de saison (engraissement hivernal).
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En direct de lInao : Renouvellement des troupeaux bio : une offre en ligne pour le gérer
Léa ROUZEYROL, AuteurLe règlement européen sur lAB, entré en vigueur au 1er janvier 2022, prévoit que chaque pays membre ait une base de données afin que les opérateurs commercialisant des animaux biologiques y déposent leurs offres gratuitement. La base de données française danimaux biologiques sera en ligne au printemps 2022 et portera sur les offres danimaux reproducteurs en bovins, ovins, caprins, équins et cervidés, volailles, porcins, lapins et animaux daquaculture. Seuls les opérateurs certifiés (avec un compte Agence Bio) auront accès à la base. Si aucune offre danimaux bio nest disponible selon les critères de lopérateur, une demande de dérogation pour achat danimaux reproducteurs conventionnels pourra être déposée sur le site de la base de données. Lintroduction danimaux non bio dans les élevages est soumise à des règles précises : seuls des jeunes animaux à visée de reproduction sont concernés, avec des critères dâge ou de poids à respecter selon les espèces (voir détails dans larticle). Les animaux non bio introduits devront passer par une période de conversion dont la durée varie selon lespèce et la production de lanimal. A noter que lUnion Européenne ambitionne de mettre un terme aux dérogations pour lachat danimaux non bio fin 2036.
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Dossier : Bilan carbone
Aurélie RINGARD, Auteur ; Claude AUBERT, Auteur ; Caroline TOSTAIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est dédié au bilan carbone : définition, témoignages, outils de diagnostic, place de la prairie... Si les systèmes herbagers et bio ont un meilleur bilan carbone que celui de la moyenne des élevages, l'élevage bovin, principal émetteur de GES, devra néanmoins activer plusieurs leviers pour atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050, objectif fixé par l'Union Européenne. Ce dossier se compose des articles et des témoignages d'éleveur·euse·s suivants : - De la prise de conscience environnementale à l'avènement du "Bilan carbone" et d'autres outils de comptabilisation des gaz à effet de serre : Bref historique autour de la comptabilité carbone ; - Faire son bilan carbone en élevage : Une panoplie d'outils existants ; - L'élevage à l'herbe : envisager un bilan carbone neutre à négatif, tout en ayant des atouts au-delà du carbone ; - Réduire son empreinte carbone en AB : L'exemple du GIEE lait bio bas carbone ; - Laitcoloscore : Calculer, agir pour améliorer l'empreinte carbone de nos produits laitiers ; - Le carbone est dans les prés ; - Amplifier l'autonomie de la ferme grâce au bilan carbone ; - Vers une ferme qui capte son carbone émis ; - Entrer dans un Plan de Gestion Durable des Haies en vue de l'obtention du Label Haie et de l'accès des paiements pour services environnementaux ; - Tout ce carbone pour faire dire quoi ? ; - Le bilan carbone à Biolait : où en est-on ? ; - La question du carbone vue par 2 services.