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Dossier de presse : Manger bio local en entreprise : Une opération en Rhône-Alpes inédite en France !
Depuis 2 ans, 9 entreprises de Rhône-Alpes et leurs partenaires en restauration collective sont engagés dans l'introduction de produits bio locaux dans les menus. Ce dossier de presse « Manger bio local en entreprise » présente le projet : Le projet « Manger bio local » en entreprise ; Des entreprises engagées ; Qu'est-ce que l'agriculture biologique ? ; L'introduction de produits bio locaux en restauration collective ; La restauration d'entreprise en chiffres ; Les 5 indispensables de saison : les fruits de saison ; les légumes de saison ; les yaourts et produits laitiers ; la viande ; le pain ; Journée du 18 juin 2013 consacrée au bilan annuel et aux perspectives ; Contact presse.
Dossier Voyage en alternatives
Nelly PEGEAULT, Auteur ; Anne-Sophie NOVEL, Auteur ; Marc MOSSALGUE, Auteur ; ET AL., AuteurQu'elles concernent l'agriculture, l'écologie, l'économie, le social, l'énergie, etc., des initiatives citoyennes et alternatives se développent, partout dans le monde. Ce dossier en présente certaines. Parmi celles-ci, l'épicerie « Le Zeybu solidaire », dans la banlieue de Grenoble, propose, dans un commerce local et autogéré par les habitants du quartier, des produits locaux, provenant directement des producteurs. Le village alternatif d'Emmaüs Lescar-Pau possède une ferme alternative qui compte un verger et 1500 animaux de races locales : vaches béarnaises, poules gasconnes, dindons noirs du Gers, ânes et chèvres des Pyrénées , et des variétés végétales anciennes : pomme Perasse de Nay, pêche Roussane de Monein Autres initiatives : - les légumes envahissent nos villes avec l'émergence de jardins sur les espaces publics délaissés ; - en Grèce, Nikos et Yiannis ont quitté la ville pour s'installer en pleine forêt, sur l'île d'Eubée. Une fois leurs maisons de paille construites, ils espèrent pouvoir vendre une partie de leurs productions légumières ; - la Nef, coopérative bancaire solidaire, est à l'origine de la Foncière Terre de Liens, qui acquiert des terres agricoles grâce à l'épargne solidaire.
Génération végétale : Ils réinventent le monde
Elsa BASTIEN, Auteur ; Aurélie DARBOURET, Auteur ; Cécile DEBARGE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (27 Rue Jacob, 75 006, France) : ÉDITIONS LES ARÈNES | 2013Guerrilla Gardening, Incroyables Comestibles, Végan, Locavore... Ces mouvements ont germé subitement en France grâce aux réseaux sociaux. Ils répondent à des problématiques économique, écologique, sociale et philosophique. Discrets mais actifs, intelligents et inventifs, le plus souvent soucieux du vivant et de la terre, les protagonistes ont entre 10 et 30 ans, c'est la génération végétale. Ce livre dresse 22 portraits. Tous partagent une envie commune : agir. Comment créer sa ferme à la fenêtre de son appartement ? Comment faire la fête autour de légumes voués au rebut ? Quelles sont les plantes sauvages à manger près de chez soi ? Plus de 50 fiches pratiques aideront le lecteur à devenir un citoyen du végétal en zone urbaine.
Guide technico-économique de démarrage de l'entreprise maraîchère commercialisant selon la formule de l'agriculture soutenue par la communauté : Résultats dune enquête réalisée en 2008 auprès des entreprises
L'achat de produits locaux connaît un engouement au Québec. L'agriculture soutenue par la communauté (ASC) est une formule souvent préférée par les entrepreneurs maraîchers souhaitant s'établir en agriculture. Dans le cadre de sa Politique jeunesse, le Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) a réalisé une enquête auprès de producteurs établis dans le but d'obtenir de l'information sur les conditions de succès du démarrage des entreprises utilisant cette formule de commercialisation. Au Québec, c'est 100 entreprises qui commercialisent en ASC et, sur ce nombre, 88 % sont certifiées biologiques. Les entreprises ont une superficie moyenne de quatre hectares et fournissent, en moyenne, 60 clients par hectare. Selon les résultats de l'enquête, 65 % des entreprises ont des revenus bruts inférieurs à 100 000 $. Une analyse de groupe plus approfondie met en évidence les aspects essentiels à la rentabilité des entreprises en ASC. La productivité des cultures et le contrôle des coûts de main-d'uvre s'avèrent très importants pour la rentabilité d'une entreprise.
Il fait beau dans mon assiette : Charte régionale des engagements réciproques entre les acteurs de la filière Bio et de la Restauration Collective pour l'intégration d'ingrédients Bio dans les repas en Bretagne
L'objectif de développer l'utilisation d'ingrédients biologiques dans la restauration collective d'État, à hauteur de 20% en valeur, est renouvelé au travers du Plan Ambition Bio 2017. Pour répondre à cet objectif, Initiative Bio Bretagne a élaboré une charte qui fixe les engagements mutuels des fournisseurs de produits bio et des utilisateurs (la restauration collective). Cette charte s'appuie sur quatre approches : sociale, économique, territoriale environnementale et éducative. Les principaux engagements des structures d'accompagnement (Initiative Bio Bretagne, la FRAB, les GAB et MAB) sont d'informer, de fournir un identifiant valorisant les signataires de la charte, d'animer des actions pédagogiques et de proposer des formations aux acteurs de la restauration collective. Les fournisseurs s'engagent à s'approvisionner localement, à fournir les certificats Bio et à travailler en cohérence avec les autres acteurs. Enfin, les acteurs de la restauration collective doivent utiliser des produits bio ou en conversion, prioritairement locaux, et dans une proportion croissante. Ils s'engagent à tenir compte de la saisonnalité et à avoir une démarche cohérente d'un point de vue environnemental. Ils sont également tenus de signaler les produits biologiques utilisés et d'évaluer la progression des produits bio dans leurs restaurants.
Incroyables comestibles
Marie ARNOULD, AuteurA Todmorden, non loin de Manchester et de Leeds (Angleterre), l'association Incredible Edible Todmorden a été fondée par Pam Warhurst, Mary Clear et Estelle Brown. Elles ont eu pour idée, suite à une conférence sur la production alimentaire mondiale, de lancer une expérience autour de la nourriture et, par ce biais, de connecter les gens les uns aux autres. Elles ont choisi, pour leurs actions, de rester dans le bénévolat L'objectif ambitieux que s'est fixé Incredible Edible Todmorden est de rendre Todmorden autosuffisante en nourriture en 2018. Les écoles de Todmorden ont, par exemple, toutes des plantations. L'association a également aidé à monter un projet de ferme aquaponique qui associera un élevage de poissons et une production maraîchère sous tunnel. Un jardin forestier (permaculture), des ruches sont également prévus. Des tableaux noirs ont été offerts aux commerçants du marché couvert pour mettre en valeur les produits locaux en vente En France, le mouvement des "Incroyables comestibles" est pris en exemple, et l'exposition "Carrot City", au chai de Bercy (automne 2012), a montré comment l'agriculture urbaine gagne du terrain.
Les légumes de Fédéric Jadoul : produits avec patience, détermination et collaboration...
Sophie MAERCKX, AuteurIl y a dix ans, en s'installant comme maraîcher dans les plaines de la Hesbaye, à Aische-en Refail, sur la commune d'Eghezée (province de Namur, Belgique), Frédéric Jadoul, a réalisé un rêve d'enfant. Signataire de la charte Nature & Progrès, son installation s'est faite progressivement. Il cultive aujourd'hui un peu plus d'un hectare. Son activité fournit du travail à trois personnes à mi-temps, tout au long de l'année. Ses débouchés ont débuté avec la livraison de grossistes, mais ont ensuite évolué : magasins bio de sa région, contact avec des groupes d'achat, collaboration directe avec des producteurs maraîchers, livraison à la coopérative Agricovert. Frédéric a dû ainsi diversifier sa production. Présentation : Une production adaptée aux débouchés ; Une des clés de la réussite : maîtriser la commercialisation ; Des produits bio locaux d'Aische-en-Refail, à Bruxelles ; L'intérêt d'une structure collective pour gérer l'activité.
Ma cantine à l'heure du bio : La cuisine centrale joue la carte du local !
TERRITOIRES BIO LOGIQUES, AuteurDepuis plus d'un an, la municipalité de Vasles met en place un projet bio sur son territoire, alliant développement et accompagnement de la production pour approvisionner la cuisine centrale. Retour sur cette expérience où Michel Forest, chef cuisinier de la cuisine centrale de Vasles, est très investi. Les rencontres entre le cuisinier et les producteurs ont été accompagnées par Agrobio Poitou-Charentes, Agrobio Deux-Sèvres et Agorapole.
Natexpo 2013 : Le salon d'une profession qui bouge
BIO-LINEAIRES, AuteurLe salon professionnel biennal, organisé par la Fédération Natexbio (nouveau nom de la Fédération Française de la Diététique), a drainé, en 2013, sur ses 15 000 m², 14 308 professionnels auprès de 600 exposants (représentant 3 000 marques). Présentation : - Cosmétique : défendre le bio mais aussi le vrai naturel ; - Synadiet et Synabio : la règlementation en ligne de mire ; - Chez Bio Partenaire, un partenariat innovant ; - Sud & Bio dope le local ; - La remise des Trophées Natexpo ; - Paroles de visiteurs.
Pistes d'actions et de développement pour les plateformes de distribution et les GAB du Massif Central : Observatoire 2010-2012 : Introduction de produits biologiques dans les établissements de restauration collective à léchelle du Massif Central
L'observatoire de l'introduction de produits biologiques dans les établissements de restauration collective à l'échelle du Massif Central, piloté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central, comprenait un volet sur les plateformes de distribution. En effet, parmi les fournisseurs possibles des 140 établissements en restauration collective proposant des produits biologiques, certaines plateformes de distribution se sont spécialisées sur les produits biologiques, et sont ainsi de véritables moteurs de la production biologique locale. En 2012, 28 % des établissements interrogés ignoraient l'existence de telles plateformes, au nombre de trois sur le Massif Central. Pourtant, ils sont de plus en plus nombreux à s'intéresser à l'introduction de produits locaux dans leurs restaurants. Les groupements d'agriculteurs biologiques (GAB) peuvent également faire le lien entre producteurs et lieux de consommation, notamment par la réalisation d'actions de sensibilisation. Des pistes d'amélioration pour l'introduction de produits biologiques en restauration collective, et destinées aux plateformes de distribution et aux GAB, sont proposées.
La place de la viande bio dans les magasins bio du Languedoc-Roussillon
Burkhard SCHAER, Auteur ; Lisa GAUVRIT, Auteur ; Robin AVRIL, Auteur | MONTPELLIER (1 Rue Saint Barthélémy, 34 000, FRANCE) : ECOZEPT | 2013Cette étude, réalisée par Ecozept, bureau d'études franco-allemand spécialisé dans le marché bio, a plusieurs objectifs : - décrire la situation actuelle du marché bio ; - mettre en valeur les perspectives de développement des magasins bio ; - connaître la situation du rayon viande dans les magasins bio du Languedoc-Roussillon ; - mettre en avant les perspectives d'évolution de la viande au sein des magasins bio ; - vérifier l'intérêt des magasins de la région concernant la création d'une marque bio issue de jeunes bovins élevés en Languedoc-Roussillon. 56 magasins bio de la région Languedoc-Roussillon ont été sollicités. Même si un certain nombre d'entre eux proposent de la viande dans leurs rayons, le choix en produits carnés reste limité. Les quelques magasins bio qui ont développé un rayon boucherie ont vu leur chiffre d'affaires général augmenter. Les consommateurs à la recherche de produits de qualité, naturels et sans résidus chimiques, sont en effet demandeurs de ce type de produits. L'étude confirme l'intérêt de développer une marque régionale de viande bovine bio sur le Languedoc-Roussillon, à condition qu'elle se démarque bien (packaging, qualité, communication ). En effet, en bio, la viande bovine n'est pas celle qui se vend le mieux, ni celle qui est la plus difficile à trouver à l'échelle locale.
Plantes à parfum, aromatiques et médicinales : Des signaux favorables à la production
Danielle BODIOU, AuteurEn France, 38 000 hectares sont destinés à la culture de plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM), dont 12 % sont certifiés en agriculture biologique. La production est relativement variée, avec environ 120 espèces cultivées, et connaît une évolution globale à la hausse. Malgré le fait que les PPAM soient une culture de diversification pour les trois quarts des producteurs, la filière est relativement bien structurée, avec une vingtaine d'organisations de producteurs, des organismes techniques et des organismes de développement dédiés, ainsi que des débouchés dans divers secteurs (agroalimentaire, pharmacie, parfumerie, cosmétique ). Aujourd'hui, l'offre en plantes d'origine française est insuffisante pour combler la demande croissante des acheteurs, à la recherche de qualité, de traçabilité, d'une diminution de leur bilan carbone et d'une sécurité d'approvisionnement. Parmi les défis à relever pour la filière, surpasser la concurrence devient essentiel, d'une part aux champs avec les céréales (qui présentent des systèmes plus économes en main d'uvre), et d'autre part dans l'industrie avec les molécules de synthèse (qui remplacent le lavandin dans les lessives par exemple).
Le prix des paniers est-il un frein à l'ouverture sociale des AMAP ? : Une analyse des prix dans sept AMAP de la Région Rhône-Alpes
Patrick MUNDLER, AuteurDiverses questions se posent régulièrement sur les AMAP (associations pour le maintien de l'agriculture paysanne) : qu'en est-il du prix des paniers ? Comment est-il fixé et est-ce un mode de commercialisation économiquement intéressant pour l'agriculteur et le consommateur ? Cet article présente une étude, réalisée en région Rhône-Alpes, en 2013, et basée sur le suivi des prix pratiqués au sein de sept AMAP et comparés avec ceux pratiqués dans divers autres circuits de vente (marchés, GMS, magasins spécialisés biologiques ). L'étude montre que les prix des paniers sont fixés selon diverses modalités. Mais, elle montre aussi (fait déjà connu) que l'élément essentiel dans la démarche AMAP pour le consommateur n'est pas de payer moins cher, mais plutôt le lien social et de confiance établi avec le producteur. L'étude montre également que les prix pratiqués par les AMAP sont peu élevés. Globalement, seuls des circuits conventionnels proposent des prix moindres, mais pas forcément à qualité comparable de produits. Dans un tel contexte, pour l'auteur, si les AMAP ont du mal à se développer au sein de populations dites défavorisées ou dans des quartiers populaires, la cause n'est pas économique, mais plus sociologique. Vouloir s'ouvrir à des milieux sociaux plus variés, notamment plus défavorisés, demanderait donc aux AMAP non pas un travail spécifique sur leur prix, mais plutôt sur leur mode de fonctionnement et sur l'image qu'elles renvoient auprès de certaines catégories sociales.
Du producteur au consommateur : La ruche qui dit oui, ça butine, ça papillonne et ça essaime
Charlotte BERLIVET, AuteurCréée à l'automne 2010, La ruche qui dit oui est une plateforme Internet dont l'objectif est de réunir des producteurs et des réseaux de consommateurs, le plus localement possible. Rencontre avec Elisabeth Burki, responsable de la ruche de Concarneau, et Loïc Bernard, maraîcher bio, à Elliant (Finistère), qui livre La ruche : le rôle et les motivations d'une responsable de ruche, les atouts et contraintes de ce système, les pistes d'amélioration, ainsi que, côté producteur, les avantages et point faibles de la ruche. Elisabeth Burki a adhéré au projet, il y a un an, avec l'envie d'être un relai sur Concarneau A Rennes, Gilles Boulard a créée, au printemps 2012, la première Ruche de la ville dans le quartier de Bréquigny. Elle fonctionne avec 40 à 60 commandes régulières par semaine La Ruche de Caulnes, dans les Côtes d'Armor, dont Patricia Leblanc est responsable, compte déjà une quarantaine d'inscrits... Le système a le mérite de la transparence et, dans ce lien entre producteur et consommateur, joue un rôle de garantie réciproque. Un encart présente les plus et les moins de La ruche qui dit oui, et le développement de ce débouché en France.
Du producteur au consommateur : Vente mutualisée par Internet : S'inspirer des expériences voisines
Elodie MERABTINE, Auteur"Panier des Prés" a été officiellement lancé vendredi 12 avril 2013 et concerne 15 fermes de l'Est de Rennes qui souhaitaient offrir des produits biologiques locaux aux habitants de leur territoire. Un site de commande mutualisé en ligne a été lancé. Les producteurs à l'initiative de ce projet se sont appuyés notamment sur les expériences existantes dans l'Ouest du département. Situés dans un secteur Rennes, Fougères, Vitré, certains producteurs pratiquaient déjà la vente directe, notamment en collectif, d'autres producteurs, au contraire, venaient tout juste de s'installer dans le secteur. Tous avaient la volonté de créer une dynamique sur ce territoire qui compte désormais une offre bio locale très diversifiée. Présentation : des ressources pré-existantes ; des consommateurs impliqués ; un budget à prévoir.