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Compilation bibliographique des livrables du projet BioRéférences Tranches 1, 2 et 3 (2015-2022)
Les références technico-économiques sont essentielles pour aider au développement de lagriculture biologique, que ce soit dans le cadre de la production, du conseil (études de conversion, dinstallation ou de diversification ), de lenseignement, de la recherche, de laval ou encore des politiques publiques et agricoles. Depuis 2015, le Collectif BioRéférences collecte les références technico-économiques délevages de ruminants bio sur le Massif central, analyse lévolution de ces élevages et mène des études plus poussées sur certaines problématiques (systèmes diversifiés, aspects sanitaires, travail ). Cette compilation bibliographique centralise tous les travaux réalisés à partir des données collectées dans le cadre de BioRéférences 2015-2022. Afin de faciliter la recherche de références, les documents sont classés selon les grandes thématiques abordées par ce projet, à savoir : les cinq filières de ruminants étudiées (bovins lait, ovins lait, caprins lait, bovins viande, ovins viande), ainsi que, dans une moindre mesure, les monogastriques (porcins et volailles) ; les résultats interfilières ; les « focus thématiques » (grandes cultures, fourrages, santé animale, travail, systèmes diversifiés et milieu biophysique). Au sein de ces grands thèmes, les documents sont classés selon leur nature (synthèses technico-économiques, référentiels et observatoires, cas-types, posters, diaporamas, vidéos et webinaires, références bibliographiques, guides, mémoires de stage) et par ordre antichronologique (du plus récent au plus ancien). Cette compilation se termine par une revue de presse, non exhaustive, qui regroupe des références darticles parus dans la presse agricole et qui portent sur les travaux menés par le Collectif BioRéférences.
Compilation bibliographique sur les scénarios, les prospections et les questionnements liés à lélevage de ruminants à lhorizon 2030-2050
Cette compilation bibliographique regroupe une cinquantaine de références, éditées entre 2008 et début 2022, autour des scénarios prospectifs, des études prospectives et des controverses liés à lélevage, et plus particulièrement à lélevage biologique de ruminants, à lhorizon 2030 et 2050. Les études et scénarios prospectifs qui questionnent les systèmes alimentaires et les systèmes agricoles en abordant des thématiques pouvant impacter lélevage (ex : place des protéines animales dans les régimes alimentaires, rôle des effluents délevage dans la fertilisation et les flux dazote) ont également été pris en compte. Ces références ont été extraites de la Biobase, la plus importante base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique qui réunit actuellement plus de 43 000 références documentaires. Les documents sélectionnés ont été classés selon léchelle géographique considérée (échelle mondiale, européenne, nationale ou régionale) et selon les grandes thématiques abordées (environnement, économie et sociologie). Cette compilation bibliographique a été réalisée dans le cadre du projet BioViandes (tranche 2, 2021-2022), dont une des actions consiste à mener collectivement un travail de réflexion et de prospective sur le développement et la durabilité des filières viandes biologiques basées sur lherbe dans le Massif Central.
Compte-rendu : Essais légumes secs 2021 PEPIT LEG SEC AURA
Avec la demande croissante des consommateurs en légumes secs, notamment dans un souci de diversifier les sources protéiques pour une alimentation plus saine, les agriculteurs cherchent à intégrer les légumes secs dans leur production. En 2021, les Chambres d'Agriculture d'Auvergne-Rhônes-Alpes, avec Terres Inovia et Oxyane, ont mise en place plusieurs essais, en bio et en conventionnel, sur les variétés et les itinéraires techniques en lentilles et pois chiches, dans le cadre du projet PEPIT LEG SEC AURA. Le compte-rendu des essais, réalisés en 2021, fournit des références sur la conduite de ces cultures, peu connues et soumises à de forts aléas de production, ainsi que des conseils pour maximiser la réussite de ces cultures. Les résultats d'un essai, mené sur le haricot sec figurent également dans ce document.
Concerted Evaluation of Pesticides in Soils of Extensive Grassland Sites and Organic and Conventional Vegetable Fields Facilitates the Identification of Major Input Processes
Judith RIEDO, Auteur ; Chantal HERZOG, Auteur ; Thomas BUCHELI, Auteur ; ET AL., AuteurL'utilisation intensive de pesticides et la diffusion subséquente de ces molécules actives dans l'environnement et dans des organismes non ciblés sont de plus en plus préoccupantes. Peu détudes ont analysé la présence de pesticides dans des sols de zones non traitées qui servent de refuges écologiques (ex : prairies). Un manque de connaissances est également observé au niveau des processus de contamination (non voulue) de ces surfaces non traitées. Cette étude, menée en Suisse, a analysé la présence et l'abondance de 46 pesticides dans des sols de prairies gérées de manière extensive, ainsi que dans des champs de légumes conduits en agriculture biologique et en agriculture conventionnelle (60 parcelles au total). Des pesticides ont été trouvés dans tous les sols, y compris dans les prairies extensives, démontrant une contamination de fond et généralisée des sols par les pesticides. Les résultats obtenus suggèrent aussi que des champs initialement conduits en agriculture conventionnelle, puis convertis en agriculture biologique, n'atteignent des niveaux de pesticides aussi faibles que ceux des prairies seulement vingt ans plus tard, ce qui illustre la persistance des pesticides dans les sols. Lanalyse des différents composés de pesticides trouvés dans les prairies et dans les champs biologiques ont permis de différencier les présences de résidus de pesticides dues à des molécules persistantes à long terme des présences dues à des processus de contamination diffuse (dérives de pulvérisation lors de traitements de champs conventionnels et dépôts atmosphériques).
Conjoncture laitière : Une occasion de réinterroger son système ?
Guillaume MICHEL, Auteur ; COMMISSION RUMINANTS DU RÉSEAU GAB-FRAB, AuteurAvec le ralentissement de la croissance de la consommation bio en 2021 et larrivée de nouveaux volumes de lait bio au sein des filières longues, le marché du lait bio sest engorgé. Pour faire face à cette période de crise, plusieurs marges de manuvre sont présentées dans cet article : - actions à court ou long terme pour réduire les charges opérationnelles (maximisation du pâturage, adaptation du chargement pour viser lautonomie fourragère ) ; - actions pour réduire les charges de structure (internalisation de certaines tâches ) ; - actions pour augmenter les produits (analyse de ses résultats en lien avec la qualité du lait, meilleure finition des réformes, mise en place de cultures de vente à haute valeur ajoutée ). Enfin, il est préconisé dêtre le plus réactif possible pour faire face à une situation de trésorerie difficile et dactiver certains leviers (demande davance PAC, planification des paiements ). Si cela reste insuffisant, il est important de ne pas rester seul et de se rapprocher des GAB, du réseau Solidarités Paysans Au-delà de ces actions individuelles, la commission ruminants du réseau GAB-FRAB Bretagne appelle à rester solidaires pour passer ce cap (modération collective des volumes de production, investissement des producteurs dans les organisations collectives, travail de sensibilisation des consommateurs ).
Contrer le parasitisme en bio par la prévention
Véronique BARGAIN, AuteurDans les systèmes d'élevage biologique, souvent très herbagers, la maîtrise du parasitisme est essentielle pour assurer une bonne santé du troupeau. Pour ce faire, quelques règles de base, axées principalement sur la prévention et rappelées dans cet article, sont à respecter. Cela passe, en particulier, par une hygiène correcte et une bonne alimentation du troupeau et par une gestion du pâturage adaptée (temps de retour sur les parcelles suffisamment long notamment).
Une conversion réussie malgré les années sèches
Emmanuel DESILLES, AuteurJoël Dufour élève un troupeau de bovins allaitants dans l'Allier, certifié en agriculture biologique depuis 2019. Ce naisseur-engraisseur finit des vaches, des génisses et des bufs de races Charolaise et Aubrac. Lors de sa conversion à l'AB, il a été confronté à plusieurs années de sécheresse. Toutefois, grâce à une possibilité d'agrandissement de sa SAU en 2019 (passant de 131 à 172 ha) et à une bonne diversité de cultures, notamment fourragères (méteil à double fin, maïs ensilage, prairies permanentes, temporaires et artificielles de luzerne et de trèfle), l'élevage est autonome en fourrages. Les animaux finis sont globalement plus lourds que ceux des élevages de référence du bassin charolais (497 kg contre 444 kg pour les bufs), et sont mieux valorisés grâce à la période de vente choisie par Joël qui permet de bénéficier de primes de saison (engraissement hivernal).
Couverts végétaux pâturés : Une pratique au bilan positif ?
Laura DUPUY, Auteur ; Agathe CYRILLE, Auteur ; Camille DUCOURTIEUX, AuteurLe pâturage des couverts végétaux (plutôt que le broyage de ces derniers) présente de nombreux avantages. Néanmoins, dans le cadre dun binôme éleveur-céréalier, il faut veiller à ce que cette pratique soit gagnante et sécurisée pour les deux parties. Cet article synthétise les premiers enseignements (issus de plusieurs projets) sur le pâturage de couverts. Celui-ci est davantage réalisé avec des ovins quavec des bovins, de peur que les bovins ne compactent le sol. Cette pratique présente lavantage de réduire de moitié le nombre de limaces dans la parcelle (le passage dun troupeau de brebis serait aussi efficace quun passage danti-limaces, selon des références en agriculture conventionnelle). Une estimation réalisée sur quatre fermes montre également que le pâturage par des ovins de couverts végétaux permet d'économiser, en moyenne, 30 /ha de charges de mécanisation et de carburant, comparé à leur broyage (sans compter les économies dheures de tracteur pour le céréalier). Les effets fertilisants sont, en revanche, assez faibles ; le pâturage améliore juste la disponibilité de lazote, avec un peu plus dazote nitrique, et na aucun impact significatif sur le rendement de la culture suivante. Cet article présente aussi les principaux résultats dune enquête réalisée, en 2021, auprès de 70 agriculteurs (63 éleveurs et 7 céréaliers) pratiquant le pâturage de couverts végétaux. Elle a été menée dans le cadre du projet Inter AGIT+ et avait pour objectif de mieux connaître les pratiques de ces agriculteurs.
Couverts végétaux semés en viticulture bio drômoise
Julia WRIGHT, Auteur ; Mathilde GIBAUD, AuteurEn 2021, puis en 2022, Agribiodrôme a suivi les pratiques de gestion de couverts végétaux, ainsi que les effets et les performances de ces couverts sur 19 parcelles viticoles biologiques. Les couverts suivis pour la campagne 2022, composés de une à sept espèces, ont été semés à l'automne 2021 et ont subi un premier entretien (broyage ou roulage) au printemps, printemps qui a été très sec. Les semis précoces n'ont pas été avantagés du fait d'un mois de septembre 2021 également sec. La biomasse fraîche aérienne produite, de 6,7 t/ha en moyenne, a été plus importante pour les mélanges riches en légumineuses, mélanges également plus riches en azote potentiellement restitué au sol 180 jours après destruction. Les taux de nitrates et d'humidité des sols ont également été évalués.
Les cultures fourragères, des solutions variées pour mieux faire face au changement climatique
Jean-Marie MAZENC, AuteurFace à un contexte climatique de plus en plus incertain, avec des sécheresses, précoces ou tardives, qui parfois se succèdent d'année en année, la production de fourrages en quantité et en qualité suffisantes se complexifie pour les éleveurs. Pour mieux s'outiller, l'une des solutions envisageables est de diversifier la production de fourrages sur l'exploitation. Dans cet article, plusieurs cultures fourragères pouvant fournir des possibilités de pâturage ou de constitution de stocks complémentaires sont présentées : méteils fourragers (en récolte classique ou précoce, avec ou sans possibilité de double fin), prairies sous couvert de méteils, et cultures dérobées fourragères (pures ou en mélange, en semis d'été-automne ou de printemps). Pour chacune de ces cultures, des préconisations en matière de doses de semis et de pratiques culturales sont proposées, ainsi que des références de rendements.
Cuscute & résultats essais variétés blé Bio Sud-Ouest
Ce bulletin technique aborde deux thématiques : la gestion de la cuscute dans les cultures de légumineuses (notamment en luzerne) ; les résultats des essais sur les variétés de blé adaptées à une conduite en agriculture biologique dans le Sud-Ouest. La cuscute est une plante parasite : elle ne possède pas de racines et ne réalise pas de photosynthèse. Elle vit exclusivement aux dépens dune plante support en consommant sa sève grâce à ses suçoirs. Elle est dotée dune incroyable capacité de développement : elle peut pousser de 7 cm par jour et une seule graine peut couvrir 3 m2 (sachant quun pied de cuscute produit 3 000 graines et que les graines sont en capacité de germer jusquà 10 à 30 ans après leur formation). Il est donc difficile de limiter sa propagation, et cette plante parasite impacte fortement les rendements. La prévention des contaminations reste le meilleur moyen pour limiter sa propagation. Il est tout dabord recommandé dutiliser des semences indemnes. Dans les zones envahies, il faut repérer cette adventice le plus tôt possible et la détruire de façon précoce pour éviter sa montée à graines. La destruction seffectue par brûlage (une demande dautorisation de brûlage auprès de la DDT est nécessaire avant dintervenir). Il est ensuite conseillé de ne pas implanter de cultures sensibles (ex : luzerne, trèfle, vesce ) pendant 10 ans. Concernant les résultats des essais variétaux de blés conduits en bio, un tableau récapitule les observations 2022 (rendement, protéines, PS, comportement face à la septoriose ) des variétés testées dans le Sud-Ouest de la France.
Le Diagnostic Prairial : un outil pour apprécier et caractériser le fonds prairial des prairies temporaires de longue durée et permanentes
P. PIERRE, Auteur ; S. GRANGER, AuteurLes prairies permanentes et temporaires représentent près de 44 % de la SAU française. Ce vaste espace est riche dune très grande diversité floristique, qui va de la prairie de coteau à trèfle souterrain aux prairies inondables et marais à Baldingère, en passant par les prairies semées qui, au fil des années, peuvent accueillir de nombreuses espèces spontanées. La méthode du diagnostic prairial est fondée sur une approche botanique de la prairie dans lobjectif de qualifier les aptitudes fourragères du couvert. Le diagnostic dune prairie ne trouve son intérêt et sa pertinence que sil sintègre à un système fourrager en cohérence avec les stratégies dun éleveur. Il prend appui sur le postulat que la flore dune prairie est la résultante de linteraction des facteurs du « milieu » et des « pratiques ». Un ensemble dindicateurs issus de la « lecture botanique » de la prairie (espèces indicatrices, nombre despèces, abondance relative, fonds prairial) renseigne lutilisateur sur létat du couvert végétal, sa valeur fourragère et sur les possibilités dévolution de la communauté végétale.
Différents méteils fourrages pour différents objectifs
Cyrielle DELISLE, AuteurAfin de mieux faire face au réchauffement climatique, nombre d'éleveurs de bovins allaitants implantent des méteils fourrages (mélanges céréales-protéagineux). Sur les fermes expérimentales des Bordes, dans l'Indre, et de Thorigné d'Anjou, dans le Maine-et-Loire, toutes deux conduites en agriculture biologique, plusieurs essais ont été mis en place sur ce type de fourrage. Sur chaque site, trois mélanges plus ou moins riches en protéagineux ont été testés et ensilés à différents stades, avec des valeurs différentes en matière de rendements et de teneurs en protéines des fourrages récoltés. En Nouvelle-Aquitaine, des groupes fourrages se sont intéressés à différentes dérobées implantées après méteil. Des enquêtes, réalisées dans le cadre du projet Carpeso, font, par ailleurs, le point sur l'utilisation de ces méteils par les éleveurs de bovins viande : freins, avantages, rendements...
Dossier : Bilan carbone
Aurélie RINGARD, Auteur ; Claude AUBERT, Auteur ; Caroline TOSTAIN, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est dédié au bilan carbone : définition, témoignages, outils de diagnostic, place de la prairie... Si les systèmes herbagers et bio ont un meilleur bilan carbone que celui de la moyenne des élevages, l'élevage bovin, principal émetteur de GES, devra néanmoins activer plusieurs leviers pour atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050, objectif fixé par l'Union Européenne. Ce dossier se compose des articles et des témoignages d'éleveur·euse·s suivants : - De la prise de conscience environnementale à l'avènement du "Bilan carbone" et d'autres outils de comptabilisation des gaz à effet de serre : Bref historique autour de la comptabilité carbone ; - Faire son bilan carbone en élevage : Une panoplie d'outils existants ; - L'élevage à l'herbe : envisager un bilan carbone neutre à négatif, tout en ayant des atouts au-delà du carbone ; - Réduire son empreinte carbone en AB : L'exemple du GIEE lait bio bas carbone ; - Laitcoloscore : Calculer, agir pour améliorer l'empreinte carbone de nos produits laitiers ; - Le carbone est dans les prés ; - Amplifier l'autonomie de la ferme grâce au bilan carbone ; - Vers une ferme qui capte son carbone émis ; - Entrer dans un Plan de Gestion Durable des Haies en vue de l'obtention du Label Haie et de l'accès des paiements pour services environnementaux ; - Tout ce carbone pour faire dire quoi ? ; - Le bilan carbone à Biolait : où en est-on ? ; - La question du carbone vue par 2 services.
Dossier : La bio au Sival 2022
Bertille MATRAY, Auteur ; Louise PAILLAT, Auteur ; Florence LETAILLEUR, Auteur ; ET AL., AuteurLédition 2022 du Sival (salon des filières du végétal spécialisé) a accordé une large place aux productions biologiques. Le premier article de ce dossier revient sur lune des conférences organisées dans le cadre de ce salon. Intitulée « Conversion à la viticulture bio : quels impacts sur mon domaine ? » et organisée par la Chambre dagriculture des Pays de la Loire, elle a proposé une réflexion sur la conversion à léchelle de lexploitation. Pour cela, elle sest appuyée sur des références issues des réseaux DEPHY et INOSYS, ainsi que sur des témoignages de viticulteurs. Le deuxième article porte aussi sur une conférence en lien avec la conversion, mais, cette fois-ci, en arboriculture. Après une présentation des points-clefs du cahier des charges biologique, un focus a été réalisé sur les leviers techniques permettant de bien réussir la conversion dun verger, en abordant notamment la gestion de la charge en fruits et de lalternance, la gestion des bio-agresseurs et linstallation des auxiliaires de culture, la fertilisation Cette conférence a aussi été loccasion deffectuer un point sur le marché des fruits biologiques. Le troisième article porte sur une table ronde consacrée à la filière légumes secs, qui est en plein développement. Après avoir apporté des chiffres sur cette filière, une présentation du collectif LEGGO (Légumineuses à Graines du Grand Ouest) a été réalisée. Ce collectif a pour objectif de structurer la filière légumineuses pour lalimentation humaine, de lamont à laval. La société Agro Logic, qui donne accès à du stockage collectif et à du matériel, a également été présentée. Les deux derniers articles sont dédiés au biocontrôle (le SIVAL a créé « un village du biocontrôle » lors son édition 2022) et à litinéraire technique de la patate douce (à travers les résultats dessais réalisés par la Station dExpérimentation de Bretagne Sud).