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EAP : Enquête sur un canal en progression
Antoine LEMAIRE, AuteurCet article présente les résultats d'une enquête, menée auprès de 140 épiceries alternatives de proximité (EAP), qui visait à estimer le poids de ce canal dans le marché bio en France. Des données relatives au parc (nombre de magasins, surface moyenne, types d'EAP, parts de marché) et aux ventes (CA par régions, CA moyen au m², parts de l'alimentaire et du non alimentaire, part de bio) sont fournies.
Galerie des acteurs de la bio 2023
BIO-LINEAIRES, AuteurLes 24 acteurs bio présentés dans ce dossier (grossistes, fournisseurs, entreprises, importateurs, gestionnaires de marques, distributeurs, transformateurs), qu'ils soient historiques ou start-ups innovantes, sont tous animés par une volonté de résilience, de rigueur et de performance sur leurs marchés. Ces entreprises sont de tailles différentes : certaines sont des PME, d'autres des réseaux de magasins indépendants. Dans ce dossier, chacun de ces 24 acteurs présente ses produits et ses engagements (santé humaine, biodiversité, conditions de vie des producteurs), ainsi que ses innovations.
Le marché alimentaire bio en 2022
C. RENAULT, Auteur ; C. LEPEULE, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2023Ce rapport d'évaluation du marché alimentaire bio français 2022, réalisé par AND International pour l'Agence BIO, visait à estimer l'évolution du marché en 2022 et les perspectives pour 2023. D'après les réponses des opérateurs économiques des filières biologiques aux enquêtes d'AND International, les ventes de produits alimentaires bio sont en recul de près de 5 % en valeur et de 9 % en volume. Ce sont les ventes de viandes biologiques qui sont les plus impactées par la baisse de consommation des ménages. À ceci, s'ajoute un taux de déclassement atteignant les 40 % à certaines périodes de l'année pour le lait, les ufs et la viande de porc, ce qui pousse certaines exploitations à abandonner la certification bio. Quant à l'aval, le nombre d'emplois est en diminution pour la première fois depuis 15 ans, particulièrement dans le commerce de détail spécialisé. Des analyses transversales sont réalisées sur plusieurs autres thématiques : le commerce équitable bio, la situation dans les différentes régions, le marché de la restauration, les fruits et légumes frais, le vin bio, les céréales, les oléoprotéagineux, le secteur laitier, les viandes de boucherie, les productions avicoles, les produits alimentaires intermédiaires (farine, sucre, huile...).
Guide 2022/2023 des groupements de producteurs & des entreprises bio de Nouvelle-Aquitaine
En 2021, en Nouvelle-Aquitaine, 9,22 % des surfaces agricoles sont cultivées en agriculture biologique (+ 13,4 % par rapport à 2020) et près de 8 800 exploitations sont certifiées bio, soit 785 de plus quen 2020. Les surfaces biologiques sont en augmentation (+ 31 267 ha en un an), dont 88 982 ha en conversion et 42 354 ha en 1ère année de conversion en 2021. La Nouvelle-Aquitaine est la deuxième région en nombre de producteurs bio et en surfaces bio et la première en production de fruits et légumes. On y recense 5 425 transformateurs (+ 11 % par rapport à 2020), 3 431 distributeurs (+ 60 % par rapport à 2020) et 32 importateurs. INTERBIO Nouvelle-Aquitaine rassemble 296 organisations et opérateurs membres. L'interprofession liste, tout d'abord, dans ce guide, les organisations professionnelles, les lycées agricoles et les centres techniques membres. Les groupements de producteurs et les entreprises bio de Nouvelle-Aquitaine sont ensuite présentés, par grands types de produits (fruits et légumes frais, grandes cultures, lait, épicerie, etc.).
Kooma : Un lieu de vie 100 % bio à Strasbourg
Morgane FISCHER, Auteur ; Juliette OBERLÉ, AuteurKooma est un projet basé sur une économie circulaire entre plusieurs activités complémentaires : magasin de producteurs, épicerie, restaurants, et espace danimations pédagogiques et citoyens. Initié par la fondation Terra Symbiosis dès 2015, Kooma sest autonomisé, en avril 2019, par la création dune Société Coopérative dIntérêt Collectif (SCIC). Le projet est porté par un collectif dacteurs variés : des agriculteurs bio, des professionnels de la restauration, des associations, lOrganisation Professionnelle de lAgriculture Biologique en Alsace (OPABA - Bio en Grand Est), des citoyens et la Ville et lEurométropole de Strasbourg, et fait également partie du Projet Alimentaire Territorial (PAT) de lEurométropole de Strasbourg. En juin 2023, Kooma ouvrira un tiers-lieu dans lancienne Manufacture des Tabacs de Strasbourg et se donne pour ambition de devenir un lieu de vie convivial et engagé, autour de lagriculture biologique et de la transition écologique.
Le marché alimentaire bio en 2020 : Estimation de la consommation des ménages en produits alimentaires biologiques en 2020 Edition 2021
C. RENAULT, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; V. ROMIEU, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2021Ce document présente les chiffres-clés de la consommation et de la distribution de produits biologiques en 2020, en France. Ces chiffres ont été obtenus grâce à une étude réalisée par AND-International pour l'Agence BIO. Ils détaillent les évolutions : du marché global de la bio, de différents circuits de distribution et de divers types de produits bio (viande de boucherie, productions avicoles, productions issues de laquaculture, produits laitiers, céréales, oléoprotéagineux, fruits et légumes, vins et produits alimentaires intermédiaires). Ce document apporte également un éclairage sur le développement des filières bio françaises ainsi que sur le commerce extérieur. Globalement, en 2020, le marché alimentaire bio a progressé de plus de 12 % et a approché les 13 milliards deuros. Contrairement aux années précédentes, le développement des ventes a été moins rapide dans les grandes et moyennes surfaces (GMS) que dans la distribution spécialisée bio. Les produits qui ont connu les plus fortes croissances sont les surgelés et la bière (ces produits étaient déjà en pointe de classement en 2018 et 2019).
Le bio local sorganise en « Grap » en Auvergne-Rhône-Alpes
Jade LEMAIRE, AuteurLe Grap (Groupement régional alimentaire de proximité) accompagne, depuis 2013, les acteurs de lalimentation bio et locale autour de Lyon. Il fédère actuellement 54 activités, dont 28 épiceries, 9 bars/restaurants/traiteurs et 14 activités de transformation artisanale (boulangeries, chocolateries, brasseries ). Certaines se sont montées de toutes pièces avec le soutien du Grap, dautres lont rejoint alors quelles étaient déjà lancées. Toutes sacquittent dune contribution coopérative calculée en fonction de leur chiffre daffaires, ce qui leur permet daccéder à différents services : comptabilité, fiches de paie, logiciel de gestion des achats-ventes-stocks, formations, accompagnement Le Grap nest pas une centrale dachat ; en revanche, il aide les épiceries et artisans en circuits courts et bio à identifier des fournisseurs capables de fournir un ou plusieurs adhérents, et aide ces derniers dans leur logistique et leur gestion des approvisionnements. Par exemple, lépicerie Cur dartichaut (43) se fait livrer plus de salaisons quelle nen a besoin car la camionnette Coolivri récupère le surplus et lui livre, par la même occasion, des reblochons quelle est allée chercher en Savoie.
Biofach 2020 : Interviews des exposants
Biofach, salon mondial de lalimentation biologique, a lieu, chaque année, à Nuremberg, en Allemagne. Ces douze vidéos, disponibles sur le site de lAnnuaire Vert, sont dédiées à des exposants de lédition 2020 du salon. Ces derniers présentent leur entreprise et leurs nouveaux produits exposés sur les stands. Cest aussi l'occasion de parler des actualités des entreprises, comme les démarches de réduction des déchets. Les entreprises interviewées sont Apimab, Arcadie, Aromandise, Comptoir des Lys, Culture miel, Helpac, Kaoka, Les Jardins de Gaïa, Lou Prunel, Markal, Moulin des Moines et Naturinov. Elles exposent une diversité de produits alimentaires dépicerie tels que des jus revitalisants, des produits à base de miel et de propolis, des chocolats, des thés et des herbes aromatiques, mais aussi des produits cosmétiques ou des bougies par exemple.
Les clés de la croissance
Jacques BERTIN, Auteur ; Benoît MERLAUD, Auteur ; Patricia BACHELIER, Auteur ; ET AL., AuteurLe secteur bio ne connaît pas la crise. Au contraire, il a connu une croissance supérieure au conventionnel durant le premier confinement (mi-mars à mi-mai 2020). Les produits bio simposent ainsi parmi les principaux bénéficiaires de la crise Covid-19 qui a renforcé lintérêt des Français pour « le mieux manger ». Ce hors-série bio de la revue Linéaires apporte des explications sur les stratégies déployées par les grandes surfaces pour développer leur marché bio et détaille les chiffres de ce marché. Il commence par aborder le côté « enseigne » avec : une interview dEmmanuel Fournet (directeur analytique chez Nielsen France) ; une interview de Benoît Soury (directeur des marchés bio du groupe Carrefour) ; une interview de Séverine Jégou (chef de projet transverse bio chez Intermarché) ; un reportage sur Leclerc et le faible succès de son enseigne spécialisée Le Marché bio ; un point sur les enseignes bio des GMS et leur concurrence avec les magasins bio spécialisés. Le côté « marché » est ensuite développé. Des informations sont apportées sur les marchés bio suivants : surgelés, produits de la mer, boucherie-volaille, charcuterie-traiteur, crémerie, fruits et légumes, épicerie. Pour chacun dentre eux, un article effectue un état des lieux, puis dautres textes apportent plus dexplications sur des produits phares, sur des problématiques rencontrées par certaines filières ou présentent de nouveaux produits bio.
Elibio : la marque collective des détaillants bio indépendants
BIO-LINEAIRES, AuteurLes 1 500 magasins bio indépendants que compte actuellement la France sont des acteurs majeurs du marché bio. L'idée d'une marque collective commune aux magasins bio indépendants est née de la volonté de proposer des produits bio d'entrée de gamme, permettant de lutter contre l'emprise de la grande distribution. En 2017, les membres fondateurs de l'Association Nationale des Épiciers Bio (ANEB), qui regroupe un grand nombre de magasins bio indépendants, ont déposé la marque collective Elibio, réservée exclusivement aux adhérents de l'association. Outre le respect des obligations réglementaires en matière de production et de fabrication des produits bio, la marque Elibio choisit ses fournisseurs avec certaines exigences, comme l'antériorité dans la filière, la taille de l'entreprise, la situation géographique et le savoir-faire. L'originalité de la démarche repose sur l'union entre magasins bio, grossistes et fournisseurs, ce qui permet aux distributeurs indépendants de pouvoir faire face aux grandes enseignes en proposant des prix attractifs. Fin 2020, Elibio proposait 70 références, allant de l'épicerie salée à l'épicerie sucrée, en passant par des boissons, du café, du thé, et avait pour ambition de concerner 150 références. Aujourd'hui, 475 magasins ont rejoint le collectif.
L'épicerie, un lieu de vie pour deux vallées de la Drôme
CAMPAGNES SOLIDAIRES, AuteurDans la Drôme, lépicerie associative Gervanne-Sye est née en 2016, suite à la fermeture brutale de lune des dernières épiceries de ce territoire. Durant lhiver 2015-2016, les habitants se sont organisés pour imaginer son fonctionnement et son financement. Ils ont alors opté pour une structure associative. Ils ont également créé des évènements pour communiquer et fédérer des personnes autour de ce projet. Les évènements organisés, les dons, les adhésions à lassociation, les prêts des habitants et la campagne de financement participatif ont permis de récupérer 25 550 . Cette somme a servi à aménager un local, à acheter le stock de départ et à payer deux salariées. Lépicerie a ainsi pu ouvrir en août. Elle est ouverte six jours sur sept sur une grande amplitude horaire. Même si elle ne fait que 40 m2, elle propose plus de 70 produits frais locaux et bien dautres produits (60 % des marchandises sont locales). Une trentaine de bénévoles donnent de leur temps pour pallier les tâches que les épicières ne peuvent pas remplir (bricolage, approvisionnement ). La caisse enregistre en moyenne 63 tickets par jour et le chiffre daffaires a augmenté, ce qui a permis de faire évoluer le contrat de lune des deux salariées en CDI.
Initiatives solidaires : La bio pour tous n'est pas une utopie
Alexandra LANNUZEL, AuteurComment favoriser l'accès des moins aisés à une alimentation bio ? Des initiatives locales voient le jour, comme en Bretagne, où des producteurs, des magasins ou des artisans bio ont choisi de faire preuve d'inventivité. L'épicerie solidaire mobile Saint-Vincent de Paul, à Brest, par exemple, vend les marchandises à environ 10 % de leur prix et va directement au contact des personnes démunies. Grâce au Potager de Saint-Mathieu (29), qui lui permet de récupérer des retours de marché, des produits en excédent, etc., l'épicerie propose à ses bénéficiaires des légumes bio à moindre coût. Le programme UniTerre de la MSA a donné lieu à un partenariat du même type entre une autre épicerie solidaire et le GAEC Roc'h Glas (29). Des moments conviviaux sont organisés, notamment autour de la cuisine des légumes bio, pour apprendre à valoriser les produits. D'autres initiatives finistériennes illustrent ce qu'il est possible de mettre en place, sans qu'il y ait besoin de déployer trop de moyens logistiques, ni financiers : dons de pains bio aux Restos du Cur à Morlaix et au Secours Populaire à Sizun grâce aux boulangeries Canevet et Ty Forn Nevez ; instauration de cartes de fidélité dans des magasins Biocoop offrant jusqu'à 8 % de remise aux bénéficiaires du RSA, dons en nature à des associations d'aide locales...
Le marché alimentaire bio en 2019 : Estimation de la consommation des ménages en produits alimentaires biologiques en 2019 : Edition 2020
C. RENAULT, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; V. ROMIEU, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2020Les principaux chiffres de la consommation de produits biologiques par les ménages français en 2019, de l'étude réalisée par AND-International pour l'Agence BIO, sont présentés. En 2019, la valeur des achats de produits alimentaires issus de lagriculture biologique a progressé de 1,331 milliard deuros, soit une croissance de + 13,4 % vs 2018. Le marché a ainsi atteint 11,294 milliards de chiffre d'affaires. La consommation de produits alimentaires bio représente désormais plus de 6% de la consommation totale de produits agricoles et alimentaires. De nombreux tableaux et graphiques détaillent cette croissance : chiffre d'affaires des produits bio par circuit de distribution ; ventes de produits bio par famille et par circuit ; circuits de distribution de la viande bio de 2014 à 2019 ; vente des produits de l'aquaculture par espèce et par circuit ; chiffres d'affaires et parts de marché en fruits et légumes frais bio ; estimation des achats de vins bio par les ménages en France en 2019, par circuit, en volume et en valeur, estimation des emplois dans l'aval des filières bio de 2012 à 2019, etc.
Territoires en transition : Déconfiner les énergies
Stéphane THEPOT, AuteurLes initiatives pour un nouveau développement local sont nombreuses au sein des territoires ruraux. Cet article en présente plusieurs, du Berry au Quercy, en passant par le Gers. Quelles touchent au développement des circuits de proximité, notamment suite au confinement, à lapprovisionnement en produits locaux, bio ou non, à destination par exemple de magasins de proximité ou encore de la cantine, à linstallation de chaufferies au bois communales (dont une dans lIndre ne valorisant que du bois issu des haies du territoire), ou déoliennes « citoyennes », financées par des habitants, toutes ces initiatives, souvent basées sur des démarches collectives, montrent la vitalité de la « France profonde ». Elles montrent aussi limportance de penser autrement, de créer du lien, de mixer les avis et les horizons, de favoriser lécoute pour « jouer ensemble » et, ainsi, « déconfiner les énergies ».
Trophées de l'Excellence Bio 2020 : Primer des initiatives innovantes
Marie HILARY, AuteurLes Trophées de lExcellence Bio 2020, organisés par lAgence BIO et le Crédit Agricole, ont été remis, le 27 février, lors du Salon de lAgriculture. Le lauréat de la catégorie « Producteurs » est Romain Chemin, un jeune agriculteur breton qui sest lancé, en 2017, dans la culture de houblon bio (onze variétés sur 2,7 ha). Bien que le houblon soit peu développé dans cette région, la demande des brasseurs est forte. Romain a également monté le GIEE Houblon Grand Ouest avec trois autres producteurs. Le lauréat de la catégorie « Associations Entreprises » est France Cake Tradition. Cette entreprise fabrique des gâteaux dans les Hauts-de-France, et elle a souhaité remplacer le sucre de canne de certains de ses gâteaux par du sucre issu de betteraves bio. Ainsi, en 2019, six producteurs des Hauts-de-France se sont lancés dans la culture de la betterave bio, 20 tonnes de sirop ont été produites et France Cake Tradition en a utilisé deux pour sa nouvelle recette de pain dépices bio. Le coup de cur du jury de la catégorie « Producteurs » revient à la SCIC Graines équitables, qui développe lagroécologie et lentraide entre les producteurs depuis 2014 tout en produisant différentes productions, dont des graines à germer. Celui de la catégorie « Associations Entreprises » revient au Grap (Groupement régional alimentaire de proximité) qui a mis en place un système de livraisons mutualisées destiné aux épiceries (qui proposent au moins 80 % de produits bio) afin de promouvoir les circuits courts.
L'alimentaire bio en GMS fin 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurFin 2018, le taux de croissance de la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres et E-commerce était estimé à 21,4 %, contre 20,4 % en 2017. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché entre décembre 2017 et décembre 2018, ainsi que le cumul annuel.
Le bio en GMS : une croissance qui s'essouffle pour la première fois !
Ingrid CUGNIERE, AuteurDepuis le début de l'année 2019, le bio ne cesse de progresser en GMS (+ 21,6 %), mais cette croissance tend à s'essouffler, comparé à la croissance de + 23,1 % en 2018 vs 2017. Tous les rayons du PGC-FLS (Produits de grande consommation - Frais libre-service) ont progressé. A noter que, dans 4 rayons, le bio progresse, alors que le conventionnel non : hygiène, épicerie salée, épicerie sucrée et spiritueux-champagnes. Selon l'institut IRI, le bio devrait atteindre 7 % du chiffre d'affaires alimentaire d'ici 2021.
Distribution spécialisée : Bilan 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn France, en novembre 2018, le bio pesait 3,6 milliards d'euros en magasins bio et 3,9 milliards d'euros en GMS. Ce dossier présente l'ensemble des chiffres concernant la distribution des produits bio pour 2018. Ouvertures et fermetures de magasins bio, données de la bio en GMS et en magasins bio, résultats des principales enseignes bio nationales, régionales et des groupements, résultats de l'enquête auprès de plus de 2 000 points de vente (les évolutions concernant, pour le bio, le panier moyen, le taux de fréquentation des magasins, les chiffres d'affaires alimentaire et non alimentaire, le rayon vrac...). Un focus sur les principales enseignes belges bio complète le panorama.
Dossier : Le renouveau des épiceries de campagne
Michèle ROUX, Auteur ; Michel CURADE, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; ET AL., AuteurDans les villages, beaucoup dépiceries ont disparu avec le dépeuplement des campagnes. Toutefois, de nouvelles formes dépiceries fleurissent : épiceries solidaires, participatives, de proximité ou collectives. Leurs statuts varient, mais elles sont souvent issues de projets collectifs (associations de citoyens, magasins de producteurs, magasins à la ferme) et soutenues par les élus locaux qui veulent faire revivre leur commune. Ce dossier présente sept de ces nouvelles épiceries (fonctionnement, atouts, contraintes). La première est une épicerie solidaire, Epi-centre, soutenue par la municipalité, dans lAude. La deuxième est le magasin « Komm à la ferme », en Moselle : il a été créé par une agricultrice et a généré une forte dynamique dinstallations dans son secteur. Le marché de producteurs « Meraki », en Isère, est aussi pris pour exemple. Il associe agriculture et culture. Le collectif de consommateurs et dartisans OmeloKo est basé dans le Tarn. Il a mis en place huit points relais dans des villages qui navaient plus de commerce. Quant à « lÉpicerie Au Fournil », elle réunit une boulangerie, une épicerie et un dépôt-vente de producteurs locaux, le tout dans un lieu convivial, dans les Cévennes. Le sixième exemple est celui de la fromagerie « Les 13 blés », dans le Cher. Elle regroupe une quarantaine de producteurs et propose des activités culturelles. Le dernier exemple est un point de vente collectif à Corte, en Corse, qui réunit soixante agriculteurs de 47 communes.
Dossier : Le vrac, petit rayon devenu grand
BIO-LINEAIRES, Auteur ; Burkhard SCHAER, Auteur ; Aziz LAAZIZ, AuteurLe vrac (hors fruits et légumes) est aujourdhui partout, répondant à une tendance forte : réduire les emballages et éviter le gaspillage. Ce dossier est construit à partir des résultats de plusieurs enquêtes auprès de consommateurs et auprès de la distribution bio. Il décrypte les grandes tendances et les attentes sur ce rayon : - La consommation vrac, une vraie tendance de fond (le vrac, comment ça marche ? ; les chiffres de son essor, les raisons de son succès, notamment auprès des plus jeunes, moteurs de la tendance) ; - Le vrac en bio : Les magasins bio ont la parole (ce que représente le rayon vrac dans le CA des grandes enseignes bio et comment les responsables envisagent son évolution) ; - Le poids du vrac dans les enseignes et groupements (tableau représentant, pour 16 enseignes nationales ou régionales ou groupements, la part du vrac/CA total, la part des différents produits dans le rayon vrac, y compris fruits et légumes) ; - Etat des lieux de la règlementation de la vente en vrac ; - Le vrac marque sa présence dans les magasins spécialisés en bio (données sur la vente de produits bio en vrac issues dune étude portant sur 106 magasins bio en 2019) ; - Le vrac, les voyants sont au vert (comportements et attentes des consommateurs du BIO Panel vis-à-vis du vrac).
Observatoire 2018 des produits biologiques en restauration hors domicile
Les Français plébiscitent le bio et veulent pouvoir en disposer partout, que ce soit pour consommer chez eux ou hors domicile (restauration collective ou commerciale). Ces attentes sont particulièrement fortes pour la restauration scolaire. Lobservatoire national des produits biologiques en restauration collective suit, depuis 2009, lévolution du marché et les perspectives de développement. En 2018, le marché de la restauration collective a progressé de 28 % par rapport à 2017, et celui de la restauration commerciale de 11 %. Ce document présente les chiffres clés de l'évolution du bio en restauration collective : pourcentage d'établissements ayant introduit des produits bio dans la composition de leurs menus, familles de produits bio les plus représentées, origines des approvisionnements, perception des produits bio en restauration collective, pour les convives et pour le personnel, coût de l'introduction des produits bio pour les établissements.
Le vrac bio moins cher en magasin spécialisé bio
BIO-LINEAIRES, AuteurSur une sélection de 20 produits bio vendus en vrac, 14 ont été relevés avec un prix au kilo moins cher en magasin bio que dans les principales enseignes de la grande distribution. C'est le cas de l'amande blanche en poudre, vendue en vrac en GMS 22,98 /kg, contre 19,97 /kg en magasin spécialisé bio, soit 13,1 % de plus en GMS. Un tableau présente ces données pour 20 produits, dont seuls 5 ont un prix au kilo plus élevé en magasin bio qu'en GMS. Globalement, les prix du vrac sont de 5 % moins élevés dans les magasins spécialisés bio.
L'alimentaire bio à fin avril 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn avril 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une légère baisse de croissance (+ 20 %) par rapport à février et mars de cette même année (+ 25,6 % en février). Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour avril 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin avril 2018.
L'alimentaire bio à fin juin 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurFin juin 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de 22,4 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin juin 2018.
L'alimentaire bio à fin septembre 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurEn septembre 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une légère baisse de croissance par rapport aux trois mois précédents : 18,1 %, contre 22,4 % en juin, 19,9 % en juillet et 18,5 % en août. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché, du cumul courant et du cumul annuel mobile fin septembre 2018.
L'alimentaire bio en GMS fin 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurFin 2017, le taux de croissance de la distribution des produits bio était estimé à 20,4 %, contre 19,7 % en 2016. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché entre décembre 2016 et décembre 2017, ainsi que le cumul annuel mobile. La conjonction dune demande croissante des consommateurs en produits bio et de la multiplication des initiatives des enseignes GMS porte le poids du bio à 3,4 % du chiffre daffaires des produits de grande consommation, frais et libre-service, dans tous les circuits GMS (hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives). C'est la plus forte croissance historique.
L'alimentaire bio en GMS à fin février 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a poursuivi sa croissance. Le mois de février a connu une évolution de + 25 %. Le bio représentait alors 3,9 % des ventes de produits alimentaires dans ces circuits. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour février 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin février 2018.
L'alimentaire bio en GMS à fin février 2018
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2018, la distribution de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a poursuivi sa croissance. Le mois de février a connu une évolution de + 25 %. Le bio représentait alors 3,9 % des ventes de produits alimentaires dans ces circuits. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour février 2018, du cumul courant à fin février et du cumul annuel mobile à fin février 2018.
Baromètre prix... Le grand écart du vrac
BIO-LINEAIRES, AuteurFocus sur 13 références de vrac vendues en magasins bio (dont lentilles corail, couscous complet, amandes décortiquées, pois cassés, riz, sucre de canne...) : un tableau comparatif présente les prix (minimum/maximum) relevés au cours du 3ème trimestre 2017.
Une croissance qui se poursuit en GMS
BIO-LINEAIRES, AuteurLe principal levier de croissance du bio en GMS repose sur le développement de l'offre bio globale. Pour le moment, la stratégie des distributeurs est tournée vers un remplacement des références non bio par des références bio dans tout l'univers des produits de grande consommation et frais libre-service. Pour répondre à la demande d'une plus grande accessibilité des produits bio, des stratégies prix et promotions pourraient évoluer dans le nouveau cadre juridique mis en place à la suite des États Généraux de l'Alimentation. Le bio serait alors l'une des catégories fortement jouées en "promo" en GMS.
La distribution des produits naturels et bio en Corée du Sud
Michel KNITTEL, AuteurEn Corée du Sud, le développement économique spectaculaire enclenché dans les années 1980 a donné lieu, depuis, à une croissance exponentielle. Le prix des fruits et légumes y est particulièrement élevé, et plus de 60 % des produits alimentaires sont importés. Pour ce qui concerne le bio, plus de 75 % des ingrédients utilisés pour la transformation sont également importés. En 2016, la SAU en bio était de 1,2 %, avec 12 896 producteurs et 729 transformateurs. La production bio est réglementée par une loi de 2013. La certification ne se limite pas à la qualité biologique des produits, mais peut porter sur d'autres cahiers des charges approchants avec l'apposition de logos graphiquement proches, qui peuvent entraîner de la confusion chez le consommateur. Pour de nombreuses associations, une meilleure définition et reconnaissance de l'AB est nécessaire. Les chiffres du marché bio sont de fait approximatifs. La dépendance aux importations rend les produits bio relativement chers (40 à 50 % plus chers qu'en conventionnel). En ce qui concerne la distribution, environ 78 % du marché bio passerait par la grande distribution conventionnelle, 16 % par les magasins spécialisés bio et 6 % par la vente en ligne. Il y aurait 1000 à 1500 magasins de produits naturels et biologiques, qui distribuent à la fois des produits bio et des produits "sans pesticides". On y trouve à 90 % des produits alimentaires, mais aussi des cosmétiques naturels, des produits d'entretien et de l'habillement, sans oublier les compléments alimentaires. Il existe plusieurs chaînes importantes de magasins spécialisés (dont "Choroc Maeul", qui signifie "Village vert", Hansalim, traduit par "Sauver toutes les choses vivantes"). Autre acteur, une coopérative agricole, ICOOP Natural Dream, qui rassemblait, fin 2017, 260 000 adhérents consommateurs et des producteurs. Orga Whole Foods, fondée en 1997, est la chaîne la plus petite, mais ses 125 magasins (en 2017) sont très modernes et attractifs. Les premiers acteurs de la vente en ligne ne sont apparus qu'au début des années 1980, mais ils génèrent aujourdhui une économie très importante.
Dossier : Epicerie : Tout n'est pas beau dans le bio
Patricia CHAIROPOULOS, Auteur ; Farid BENSAID, Auteur ; Marianne HOCHET, AuteurPour faire face à une demande croissante, 30 % des denrées bio consommées en France sont importées d'Europe, voire d'autres continents. Pour ces derniers, soit il existe des accords d'équivalence entre les cahiers des charges, soit les cahiers des charges sont validés par un organisme certificateur reconnu par la Commission européenne. Existe-t-il alors des différences de qualité ou des fraudes ? Pour répondre à cette question, 60 Millions de consommateurs a enquêté sur la qualité de certains de ces produits : chocolat noir, huile d'olive, miel de fleurs et miel de montagne, café moulu pur arabica, sucre de canne, quinoa blanc et riz. Diverses analyses ont été réalisées : recherche de résidus de pesticides, de produits vétérinaires, de plastifiants et solvants, teneurs en hydrocarbures aromatiques polycycliques, en acrylamide, en mycotoxines, en cadmium, en arsenic total. Si les résultats sont globalement bons et les teneurs en résidus inférieures aux normes, il existe des écarts entre produits d'une même famille.
Les nouvelles recettes du bio
Florence BRAY, Auteur ; Sylvie LAVABRE, Auteur ; Camille HAREL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré aux innovations en matière de produits alimentaires bio (Épicerie ; Crèmerie-Surgelés ; Frais non laitier ; Boissons). Il est composé des articles suivants : - Ces acteurs concoctent le bio de demain ; - Épicerie : De la qualité et des idées ; - Crèmerie-Surgelés : Des associations gagnantes ; - Frais non laitier : Des convictions et de l'audace ; - Boissons : Des start-up en vedette ; - Chiffres : Le bio dépasse les 4 milliards d'euros en GMS.
2016 : La bio continue son développement...
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de l'Agence BIO, la bio a connu un essor sans précédent en 2016. Le marché a progressé de + 21,7 % contre + 14,7 % en 2015, atteignant désormais un total de 7,147 milliards d'euros, dont 411 millions d'euros pour la RHD. Les chiffres clés de la bio pour 2016 sont à retrouver dans cet article : marché, lieux de vente, produits les plus consommés, évolution des achats des ménages par catégorie de produits et par circuit, nombre de producteurs, surfaces en conversion, nombre d'opérateurs, etc.
L'alimentaire bio en GMS à fin 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurEn 2016, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a progressé, avec un taux de croissance de 19,7 % contre 10,2 % à fin 2015. Les meilleures performances concernent en particulier lépicerie salée (+25 %). La crèmerie reste leader en matière de part de marché avec près de 6 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour l'année 2016.
L'alimentaire bio en GMS à fin septembre 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurEn septembre 2017, la vente de produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance de + 22 %. Les produits frais non laitiers, lépicerie salée, lépicerie sucrée ont notamment connu respectivement une croissance de 31 %, 28,3 % et 24,3 %. Les produits traiteur frais en libre-service observent la plus forte progression (+ 54,2 %), et la crèmerie prend + 6 % de part de marché. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour septembre 2017, du cumul depuis le 1er janvier 2017 et du cumul annuel mobile.
L'alimentaire bio en GMS en janvier et février 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2017, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes a connu une croissance un peu moins forte par rapport à lensemble de lannée 2016. Certaines familles de produits ont en effet régressé, comme la saurisserie (- 17,9 %). La crèmerie reste, quant à elle, leader en matière de part de marché, avec près de 6 %. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché pour janvier et février 2017.
Alimentation bio : De record en record au risque du manque !
Jean HARZIG, AuteurMalgré un rythme de conversions soutenu (2016 et 2017), la forte croissance de la consommation bio en France pose la question des pénuries possibles d'approvisionnement. 85 % des consommateurs attendent que le bio soit issu de productions locales et soit accessible chez un commerçant proche de leur lieu de vie. Cet article reprend les chiffres clés de la production bio (Agence BIO). Avec l'épicerie, les fruits et légumes sont les moteurs de croissance des ventes de produits bio sur tous les circuits de distribution. Ce qui pose nettement le problème de l'approvisionnement de ces rayons : la pénurie, notamment de produits locaux, ralentit une progression qui pourrait être encore plus forte.
Bio-Verde : fabricant de goût
BIO-LINEAIRES, AuteurD'abord spécialisée dans les produits d'épicerie fine de qualité (notamment française et italienne), la société allemande Isana se tourne vers le 100 % bio en 1986 et fonde la marque Bio-Verde. En partenariat avec Naturland, Bio-Verde est à l'initiative de conversions à la bio de producteurs de lait de brebis et de chèvre grecs ou encore des premières truites ou saumons certifiés bio. 30 ans plus tard, l'activité de la société s'est largement diversifiée avec un catalogue de 240 références : produits laitiers ou charcutiers de Bavière, pâtes fraîches italiennes, tomates séchées, pestos, houmous, aïoli... Bio-Verde entend pérenniser une culture culinaire et gastronomique de haut niveau grâce à des produits au goût authentique. Parmi les ingrédients à l'origine de la qualité de ses produits : l'utilisation de matières premières de qualité et biologiques, la fabrication selon le principe du travail à froid, ou encore la réalisation manuelle de la plus grande partie des opérations.
Dossier : Le bio, terre de conquête
Camille HAREL, Auteur ; Marie NICOT, Auteur ; François LECOQ, Auteur ; ET AL., AuteurLe baromètre de l'Agence Bio/CSA a présenté une croissance du marché bio de 20 % en 2016. L'alimentation bio est plébiscitée par les Français et fait désormais partie de leurs habitudes. La grande distribution prend sa place dans la distribution des produits bio. Selon les résultats du baromètre, 73 % des consommateurs souhaitent un développement de l'offre en grandes surfaces. Les gammes se multiplient, le nombre de références explose sur tous les segments. Cependant, les approvisionnements peinent à suivre, malgré les conversions en grand nombre. La création de filières bio est un enjeu majeur dans ce contexte. Ce dossier propose un ensemble d'articles pour mieux connaître ce marché, les produits et leurs circuits de distribution : - Les marques nationales en mode offensif ; La double vie des industriels engagés sur les deux circuits ; - Les marques de distributeurs défendent leurs positions ; - Ces puristes qui disent non à la grande distribution ; - La filière s'organise ; - Les consommateurs, toujours plus fans ; - Le bio continue sa poussée en GMS ; - L'Europe en pointe.
Dossier : Produits de grande consommation : Analyse des ventes : pourquoi les 40 % des volumes LS ?
BIO-LINEAIRES, AuteurLes produits en libre-service représentent 40 % des unités de vente consommateurs en magasin bio. Les produits concernés sont des "moteurs" des points de vente bio. Ils représentent en effet 1/4 du chiffre d'affaires. Ce dossier est consacré à ces produits "de grande consommation" en magasins spécialisés bio (uniquement les produits à code barre et hors fruits et légumes, vrac et activité service arrière). Il analyse les ventes (évolution mensuelle du chiffre d'affaires, etc.) de certains produits au cours de l'année 2016 : - Ultrafrais : un rayon toujours en croissance... ; - Épicerie sucrée : La plus grande... ; - Épicerie salée : forte volatilité des rotations... ; - Liquide : la plus fluide... ; - ufs et laits ; - Boisson végétale et desserts végétaux ; - Chocolat tablette et huiles ; - Rupture : comportement irrationnel... (cas particulier du beurre, en rupture en 2016, et dont les ventes ont cependant été très importantes) ; - Eau et jus de fruit. Le dossier s'intéresse ensuite au point de vue des consommateurs bio quant à leur appréciation des principaux réseaux de distribution de produits alimentaires bio (magasins bio, marchés, vente directe et GMS) : - Un réseau bio en pleine santé, mais... la concurrence des grandes surfaces est là !
L'Eau Vive : un 50ème magasin qui marque l'entrée dans une nouvelle dimension
BIO-LINEAIRES, AuteurLa franchise de magasins bio L'Eau Vive a ouvert son 50ème magasin, en février 2017, à Chambéry. Créée il y a 38 ans, cette enseigne spécialiste du bio est présentée par son président actuel, Didier Cotte. Il souligne l'esprit pionnier avec lequel, dès 1984, a été ouvert le Fournil de l'Eau Vive, près de Grenoble, qui a contribué à forger la signature de l'enseigne, en fabricant un pain bio à partir de l'eau pure des Alpes et en affichant dès le début une volonté d'aller vers une qualité bio optimale. Faire des magasins "lieux de vie" où il est possible de bénéficier de conseils, où l'on peut prendre son temps dans une ambiance conviviale, telle est la ligne qui a guidé, depuis 10 ans, le développement de l'enseigne. Aujourd'hui, s'y ajoutent de nouvelles propositions pour répondre aux évolutions de la demande : vrac, rayon sans gluten, fromage à la coupe, livraison à domicile, etc, avec une offre d'environ 7 000 références.
Edition 2017 : Le marché alimentaire bio en 2016 : Estimation de la consommation des ménages en produits alimentaires biologiques en 2016
C. RENAULT, Auteur ; T. CHEVER, Auteur ; V. ROMIEU, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (12 Rue Henri Rol-Tanguy, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2017Les principaux chiffres de la consommation en produits biologiques par les ménages français en 2016 de l'étude réalisée par AND-International pour l'Agence BIO sont présentés. Ils montrent une croissance importante. En effet, en 2016, la valeur des achats de produits alimentaires issus de lagriculture biologique a été estimée à 7,147 milliards deuros, soit : 6,736 milliards deuros TTC de consommation à domicile par les ménages (+21,7 % par rapport à 2015), 411 millions deuros HT dachats de produits bio servis en restauration hors domicile, dont 229 millions deuros HT en restauration collective (+5 % vs 2015) et 182 millions deuros HT en restauration commerciale (+10 % vs 2015). De nombreux tableaux détaillent cette croissance : chiffres d'affaires des produits bio par circuit de distribution, part de la progression des ventes bio dans la progression du marché alimentaire, circuits de distribution de la viande bio de 2014 à 2016, tableau récapitulatif des produits de la mer, chiffres d'affaires et parts de marché en fruits et légumes frais bio, estimation des achats de vins bio par les ménages en France en 2016, par circuit, en volume et valeur, synthèse des emplois agricoles liés à l'alimentation (hors agriculture), etc.
Estimation du marché alimentaire bio en restauration hors domicile : Juin 2017 - Données 2016
Le marché des produits bio en restauration, tous circuits confondus, est estimé à 411 millions deuros en 2016, en croissance de 6,8 %. Il se répartit entre 182 millions d'euros en restauration commerciale et 229 millions deuros en restauration collective. Les résultats synthétisés dans ce rapport sont les fruits dun travail denquêtes. Le marché de la consommation alimentaire hors domicile englobe différents circuits de distribution : la restauration commerciale (en chaîne ; indépendant), la restauration collective (auto gérée ; concédée) et les circuits alternatifs (boulangeries, stations-services, ambulants ). Le marché des denrées bio est présenté par grandes familles de produits (vins, jus de fruits et autres boissons, fruits et légumes frais, produits carnés, épicerie, pain, produits laitiers, surgelés), puis sont indiquées les ventes de produits bio par famille et par circuit. Une approche qualitative du marché alimentaire bio complète les données : éléments danalyse régionaux, éléments sur les prix et sur les circuits dapprovisionnement.
Galerie des acteurs B to B de la Bio : Portrait(s) de la Bio qui gagne
BIO-LINEAIRES, AuteurCe panorama non exhaustif d'entreprises bio montre la grande richesse de ceux qui font vivre la bio au quotidien. 61 portraits sont présentés, composant une galerie d'acteurs emblématiques de la profession. Chaque portrait met en valeur la ou les missions de l'entreprise, ses engagements et les moyens mis en uvre pour produire et/ou distribuer des produits qui soient bons, sains, équitables et accessibles, ainsi que pour répondre aux critères de la RSE. Ces entreprises sont spécialisées dans les produits alimentaires (huiles, pâtes, charcuterie, fruits, laits végétaux, épicerie...), les cosmétiques, les produits d'hygiène, etc. Les produits sont d'origine française ou viennent d'autres régions du monde (thé, baobab, produits du Brésil...).
Guide 2017-2018 des Groupements de Producteurs et des Entreprises Bio de Nouvelle-Aquitaine
Fin juin 2016, la région Nouvelle-Aquitaine occupait le 3ème rang français avec 4 637 producteurs certifiés bio (+ 10 % vs 2015, soit 2,5 fois plus quen 2007) et 1602 opérateurs aval certifiés bio, dont environ 73 % de transformateurs (+ 6 % vs 2015 soit 3 fois plus quen 2005). Les productions de Nouvelle-Aquitaine sont très diversifiées. INTERBIO Nouvelle-Aquitaine rassemble 142 groupements de producteurs et opérateurs. Ce guide illustre la richesse et la diversité des productions de Nouvelle-Aquitaine. Il présente les producteurs et les entreprises qui produisent, transforment et commercialisent les produits bio dans cette région, en 7 rubriques : matières premières, produits frais, épicerie, vins, produits dhygiène et dentretien, distributeurs et services aux entreprises.
Réenchanter le consom'acteur : Les nouveaux espaces hybrides de restauration (4/5)
BIO-LINEAIRES, AuteurDans le numéro précédent de la revue, il était question des magasins lieux de vie expérienciels. L'article propose, tout d'abord, la suite et fin de cette thématique, avant de s'intéresser à un autre aspect de la tendance : les nouveaux espaces hybrides de restauration. Ces espaces proposent, la plupart du temps, une offre qui peut combiner restauration rapide de qualité, vente à emporter, service traiteur, livraison de repas à domicile et cuisine sur place. Ces services sont intégrés dans l'offre commerciale du magasin, au point parfois qu'il est difficile de discerner sa vocation réelle. C'est l'effet synergie de plusieurs services en un seul concept qui est attendu pour attirer la clientèle. 7 initiatives d'enseignes bio sont présentées, dont 3 aux États-Unis, comme ce magasin bio hybride lounge bar, dans l'Ohio, qui comprend, sur 830 m2, un café bar, un restaurant, un coin salon avec cheminée et une salle d'exposition d'artistes locaux... En France, le magasin Biocoop Data, ouvert en 2015, à Paris, mise sur le côté chaleureux et convivial en proposant une restauration "maison". D'autres initiatives ont vu le jour, par exemple à Bordeaux, où le Magasin Général vend des produits bio locaux et des plats éco-responsables. Citons encore le magasin La Récolte, avec une offre 100 % circuit court et de saison, et la Maison Plisson, épicerie fine parisienne, en partie bio, qui organise un "petit déjeuner des voisins" le dimanche. La grande distribution tend, elle aussi, à intégrer le concept dans ses hypermarchés.
Repères économiques : L'aliment bio en GMS au 2ème trimestre 2017
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données d'IRI, la distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP), drives et supérettes affichait, à mi 2017, une croissance de 17,5 %. Un tableau présente, pour l'épicerie salée, l'épicerie sucrée, la crèmerie, le frais non laitier en libre-service, les glaces et surgelés et les liquides bio : le chiffre d'affaires, la part de marché et les ventes, ainsi que leur évolution. Les plus fortes augmentations de la période concernent les produits traiteurs frais non laitiers et l'alimentation infantile. La crèmerie maintient sa place de leader en matière de part de marché, avec 6,3 %.
1er semestre 2016 : l'activité des magasins bio est au beau fixe
BIO-LINEAIRES, AuteurLe relevé d'activité des magasins bio français du 1er semestre 2016 montre une progression du chiffre d'affaires de toutes les familles de produits et une progression globale de 20 %. Le vrac, les fruits et légumes et le frais sont en tête de palmarès, l'épicerie sèche et les produits d'hygiène et d'entretien contribuent à la croissance pour une part importante et les compléments alimentaires et le "sans gluten" sont toujours en progression.
L'alimentaire bio en GMS au 2ème trimestre 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurLa distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a continué sa progression au 2ème trimestre 2016. Les meilleures performances sont celles des produits d'épicerie salée et de la gamme petit déjeuner. Dans ces circuits, le bio a représenté 3,3 % sur cette période. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires, de la part de marché et des ventes unités.
L'alimentaire bio en GMS au 3ème trimestre 2016
BIO-LINEAIRES, AuteurLa distribution des produits bio en hypermarchés, supermarchés, Enseignes à Dominante Marques Propres (EDMP) et E-commerce a continué sa progression au 3ème trimestre 2016. Les plus importantes performances ont été réalisées par les conserves de fruits (+39,2 %) et par les produits de la saurisserie (+ 35,6 %). Est à noter également, pour cette période, la performance des produits frais (hors produits laitiers) en libre-service. Comme pour les 2 premiers trimestres 2016, lépicerie salée maintient sa croissance, toujours boostée par les féculents, lalimentation infantile et les conserves de légumes. Un tableau présente, pour l'ensemble des produits bio (épicerie salée, sucrée, crèmerie, frais non laitier, surgelés-glaces, liquides), l'évolution du chiffre d'affaires et de la part de marché.
Annuaire des fournisseurs bio et en conversion de Rhône-Alpes : Restauration hors domicile - Edition 2016
Cet annuaire, réactualisé régulièrement, est réalisé par le réseau Corabio avec la participation de Bioconvergence Rhône-Alpes. Il a pour objectif d'aider les établissements de restauration collective souhaitant introduire des aliments bio à identifier des fournisseurs rhônalpins de produits bio. Il liste les fournisseurs bio et en conversion de la restauration collective de Rhône-Alpes par types de produits : Multiproduits bio locaux ; Fruits bio locaux ; Légumes bio locaux ; Produits laitiers bio locaux ; Viandes, volailles et ufs bio locaux ; Poissons bio locaux ; Pains bio ; Épicerie bio locale ; Boissons bio locales ; Complément de gamme.
Aromandise : aux sources du bien-vivre
BIO-LINEAIRES, AuteurDepuis 1993, l'entreprise Aromandise développe et distribue des produits de senteurs naturelles et de bien-être. Quatre marques composent Aromandise : Encens du Monde (encens traditionnels), Florisens (cristaux d'huiles essentielles), Hildegarde de Bingen (préparations diététiques à base de plantes) et Aromandise pour les autres produits d'épicerie (thés, tisanes, épices, fleurs...). Michel Pryet, gérant de l'entreprise, explique l'art de vivre qui est à la base de tous ces produits qui représentent des cultures et des savoir-faire à préserver.
Baromètre Prix Bio... : Le grand écart du vrac !
BIO-LINEAIRES, Auteur15 références phares de produits d'alimentation biologique vendus en vrac ont fait l'objet d'une étude comparative de prix pour montrer les écarts repérés dans 12 enseignes spécialisées bio au cours du 3ème trimestre 2016. Des écarts de prix peuvent aller de - 25 % pour le prix minimum à + 30 % pour le prix maximum par rapport au prix moyen au kilo relevé (cas des raisins secs, notamment). Globalement, les prix restent proches d'une enseigne à l'autre.
Le bio en circuit spécialisé ne connaît toujours pas la crise
BIO-LINEAIRES, AuteurLes marques de produits de grande consommation bio en magasins spécialisés connaissent la plus forte inflation de prix (+ 2 %) sur un an depuis juin 2014, date de la première parution du Baromètre prix bio (enquêteurs Opti-Mix). Pour les produits d'épicerie sucrée et d'épicerie salée, cette hausse de prix est même deux fois supérieure à celle constatée il y a un an : respectivement + 4,9 % et + 4,1 %. Les chiffres clés de l'évolution des prix sont présentés, avec un "TOP 10" des plus fortes hausses de prix.
Circuits courts : L'épicier du village a choisi la bio locale
Elodie MERABTINE, AuteurA Ercé-près-Liffré (24 km de Rennes (35), 1750 habitants), l'épicier du village a fait le pari de valoriser les produits bio des agriculteurs locaux. Après 6 ans de fonctionnement, ce petit commerce rural est devenu une référence en matière de circuits courts. Olivier, l'épicier, est un passionné. Grâce aux partenariats qu'il a su créer avec les producteurs, il propose des fruits et légumes bio toute l'année, une crèmerie à 50 % bio locale, la boucherie à 25 %. Mais, surtout, il y a une "ambiance" dans son épicerie : ici, les clients croisent les producteurs les jours de livraison, les enfants ont leur coin lecture, parfois on écoute la BBC... Olivier utilise les réseaux sociaux pour communiquer sur la bio, sur l'actualité du magasin, pour proposer des recettes... Il a également développé un service de commandes de paniers en ligne qui lui permet de compléter son activité (environ 40 paniers/semaine). L'article aborde les questions d'approvisionnement, de logistique, de contraintes qui peuvent le guider dans son choix des produits, de gestion administrative... Au-delà de l'épicerie d'Olivier, la situation reste difficile pour les épiceries de village, même si les commerces de proximité se portent globalement plutôt bien en Bretagne. Certains ont fait le choix d'un commerce mixte ou multi-activités, comme le Champ Commun, à Augan (56). Pour faciliter la logistique et les commandes groupées, développer des partenariats reste une piste privilégiée. Il serait également souhaitable que ces petites structures, pour lesquelles les aides existantes sont peu adaptées, alors qu'elles participent au développement des circuits courts, puissent bénéficier d'un soutien en termes de communication, de formation et d'information.
Dossier : Vrac, les clés de la réussite
BIO-LINEAIRES, AuteurLa vente de produits en vrac s'est affirmée ces dernières années. Elle s'est établie comme une marque d'identité des magasins bio, et répond à une demande des consommateurs soucieux, notamment, de limiter les emballages. Ce dossier fait le point sur les facteurs de développement du vrac en bio, qui reposent à la fois sur la professionnalisation du secteur (gestion du rayon, animation, diversification de l'offre...), sur les bons retours et la satisfaction des magasins bio qui le mettent en place, et sur l'évolution des comportements chez les consommateurs. Trois parties composent le dossier : - Vrac : les clés de la réussite ; - Vrac, le point de vue des magasins bio ; - Vrac : le point de vue du consommateur : Le vrac au service de l'environnement
E-commerce et magasin connecté : Le commerce bio à l'heure du digital (1/2)
BIO-LINEAIRES, Auteur46 % des Français déclarent pour 2014 et 2015 avoir effectué un achat alimentaire en ligne. Cet article propose de faire un point sur les pratiques en matière d'E-commerce bio, en regardant plus particulièrement les grandes tendances. Quelques exemples : - Les "pures players", distributeurs uvrant uniquement sur internet ; ils commercialisent tout ce qui peut s'imaginer en bio, sauf les produits frais. Ils peuvent aussi être spécialisés, par exemple, dans le commerce de l'alimentaire vrac, dans les cosmétiques...; - les services de livraison à domicile de produits frais commandés en ligne proposés par des magasins bio ; - les e-boutiques ou magasins de marques, développés par certaines marques qui proposent ainsi une vente sans intermédiaire via internet...
Repères économiques 2015 : L'alimentaire bio en GMS à fin 2015
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de IRI, la distribution des produits bio en 2015 en hypermarchés, supermarchés, hard-discount et E-commerce présente une croissance de 10,2 %, contre 9,3 % à fin 2014. L'épicerie (salée et sucrée) approche ou dépasse les 13 % d'évolution, boostée, semble-t-il, par l'alimentation infantile et la panification sèche qui continuent leur développement. La crèmerie reste leader en matière de part de marché avec près de 5 %. Dans ces circuits, les produits bio représentent aujourd'hui 2,7 % des ventes des produits alimentaires. Un tableau présente, pour l'épicerie salée, l'épicerie sucrée, la crèmerie, le frais non laitier en libre-service, les glaces et surgelés et les liquides bio : le chiffre d'affaires, la part de marché et les ventes, ainsi que leur évolution.
La bio se développe sur tous les fronts...
BIO-LINEAIRES, AuteurLa progression de la bio, confirmée par les données de l'Agence Bio pour 2014, concerne tous les niveaux de la filière. Cet article propose un zoom sur chacun : augmentation des surfaces en bio et du nombre de producteurs bio, augmentation des cheptels bio, progression du marché, développement de l'offre de produits bio en restauration collective, développement de la vente directe, etc. Des données permettent de connaître la répartition des achats des ménages, pour leur consommation à domicile, de produits biologiques, par catégorie et par circuit.
La Cabriole : un élevage de chèvres aux portes de Namur
Sylvie LA SPINA, AuteurTout près de Namur, en Belgique, une ancienne ferme a été transformée par deux passionnés qui en ont fait une fromagerie bio, La Cabriole. N'étant pas issus du milieu agricole, ces deux jeunes gens ont dû relever un véritable défi pour s'installer, en 2011. Aujourd'hui, la chèvrerie compte une trentaine de chèvres laitières gambadant sur 1,25 ha d'anciens vergers, et profitant de 3 ha de prés de fauche qui sont, de temps en temps, pâturés. Le bien-être des animaux et la prévention des maladies sont des points-clés de la gestion de l'élevage. Dans ce même lieu, les éleveurs ont aussi ouvert une épicerie bio. Leur projet : lancer une production bio de kéfir, de yaourts, de glaces, de ricotta..., et, peut-être, commencer un élevage en plein air de cochons.
Dossier : Regards croisés : Quel avenir pour la bio ?
ALTERNATIVES BIO, AuteurCe dossier comprend notamment 6 témoignages d'acteurs rhônalpins des filières bio (agriculteurs, transformateurs, distributeurs) qui livrent leurs visions de la bio d'aujourd'hui et de demain : Didier Perréol, président fondateur d'Ekibio à Peaugres (07) ; Loïc Bertrand, éleveur laitier à Saint Jean de Chevelu (73) ; Georges Quillet, fondateur des magasins spécialisés Satoriz (74) ; France Charvin, productrice de PPAM à Châtillon Saint Jean (26) ; Sylvain Billet - Brasserie La Pleine Lune à Chabeuil (26) ; Yannick et Agnès Le Moal - Epicerie La Halle Tournonaise Bio à Tournon (07). Acteurs à qui les questions suivantes ont été posées : Comment analysez-vous la situation présente de la bio ? ; Selon vous, où en sera la bio en 2050 ? ; Quels sont les défis à relever pour favoriser la bio qui vous tient à cur ? ; Le mot de la fin. En plus de ces regards croisés, le dossier comprend aussi l'interview de Cyrielle Denhartigh, du Réseau Action Climat, sur le bilan de la COP21, et sur les solutions qui permettraient de réduire les gaz à effet de serre au niveau du secteur agricole.
Guerre des prix en France : Bilan et enseignements pour les autres pays européens
BIO-LINEAIRES, AuteurLa société IRI, spécialiste des études sur la distribution des produits de grande consommation, a publié un recueil sur les prix pratiqués par la grande distribution en France. Cet article en propose les éléments clés, ainsi qu'une analyse et des enseignements sur les politiques de prix à mener.
Le Guide Bio de la Gironde - Edition 2015 : Annuaire des producteurs bio et des points de vente
Ce guide fournit, pour la Gironde, des coordonnées de producteurs bio (Rive droite ; Rive gauche) ; de distributeurs (Boucherie bio ; Boulangeries bio ; Alimentation bio ; Épicerie - Bien-être ; Salon de thé ; Supérettes) ; auprès de qui se procurer des paniers ; et donne la liste des marchés bio en Gironde.
Le marché bio et non bio en GMS 2014 (suite) et 2015
BIO-LINEAIRES, AuteurCet article fait suite à celui du numéro de mars-avril 2015 de la revue. Il présente, dans un premier tableau, les données détaillées de la société IRI concernant le marché bio et non bio en GMS sur la période 2014 et, dans un deuxième tableau, les premières données de l'année au 1er mars 2015.
Les pâtes fraîches biologiques
Angélique HOULBERT, AuteurLes pâtes fraîches se distinguent des pâtes sèches et des pâtes semi-fraîches. L'appellation "pâtes fraîches aux ufs frais" est réservée aux pâtes présentant un taux d'humidité supérieur à 12 %, confectionnées à partir d'une semoule de blé de qualité supérieure et d'un minimum de 140 g d'uf par kg de semoule. Elles ont subi une phase de pré-séchage qui les empêche de coller entre elles et ont été immédiatement conditionnées en sachets ou en barquettes. On les trouve sous différentes formes, nature ou agrémentées de légumes, farcies, à poêler ou encore en plats cuisinés. Leur conservation est limitée, entre 0° et 4°, à 21 jours. L'article présente les atouts nutritionnels de cet aliment.
Repères : L'alimentaire bio en GMS au 1er semestre...
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de IRI, la distribution des produits bio sur le premier semestre 2015 en hypermarchés, supermarchés, hard-discount et E-commerce présente une croissance de 8,3 %. L'épicerie (salée et sucrée) dépasse les 10 % d'évolution, boostée, semble-t-il, par l'alimentation infantile et la panification sèche. La crèmerie reste leader en matière de part de marché. En grandes surfaces, les produits bio représentent aujourd'hui 2,7 % des ventes des produits alimentaires. Un tableau présente, pour l'épicerie salée, l'épicerie sucrée, la crèmerie, le frais non laitier et les liquides bio : le chiffre d'affaires, la part de marché et les ventes, ainsi que leur évolution.
Le vrac est-il moins cher ?
BIO-LINEAIRES, AuteurUne société d'audit a réalisé des relevés de prix dans 12 points de vente spécialisés bio de 7 enseignes différentes, sur Paris et la Région Parisienne, en mars 2015, afin de comparer les prix en vrac et en sachet de 10 produits, parmi lesquels : abricots secs, haricots blancs, lentilles vertes, riz basmati, sucre de canne roux... L'achat en vrac est en moyenne 15 % moins cher.
Actualité économique : "Evolution du cours du lait, Janvier 2012 / Décembre 2013" ; Evolution des cours de la viande bio 2009-2013 ; Cours des céréales et oléo-protéagineux ; Cours de fruits et légumes, épicerie
Didier DESARMENIEN, Auteur ; Brigitte LAMBERT, Auteur ; Boris JEANNE, Auteur ; ET AL., AuteurL'article présente l'évolution du cours du lait de janvier 2012 à décembre 2013 (autosuffisance atteinte sur le marché du lait bio en France, prix du lait de 426/1000l en 2012 et 435/1000l en 2013 en Pays de la Loire) ; l'évolution des cours de la viande bio 2009-2013 (prix bio déconnectés du conventionnel depuis 10 ans, mais chahutés en 2013) ; les cours des céréales et oléo-protéagineux (en tendance octobre 2011 mars 2014 car les prix peuvent être différents selon les opérateurs) ; les cours de fruits et légumes, épicerie (2012-2014), issus de 3 principaux grossistes du MIN de Nantes (semaine 12 : 1,77 les 6 ufs, 1,18/l lait UHT ½ écrémé).
Guide des Groupements de Producteurs et des Entreprises Bio du Sud-Ouest 2014-2015
Arbio Aquitaine et Interbio Midi-Pyrénées, les deux associations interprofessionnelles bio régionales, se sont associées, depuis 10 ans, pour favoriser l'émergence d'une filière bio, dynamique et reconnue, dans le Sud-Ouest de la France. Le bassin de production Sud-Ouest représente, en 2013, près de 5 200 agriculteurs cultivant plus de 190 000 ha selon le mode de production biologique. Midi-Pyrénées est la première région française en termes de surfaces consacrées à l'AB, et l'Aquitaine arrive en 5ème position. Ce guide propose un panorama régional des associations interprofessionnelles et des actions de promotion d'Arbio Aquitaine et d'Interbio Midi-Pyrénées. Il présente ensuite les entreprises bio de la zone géographique, classées par thèmes : matières premières, produits frais, épicerie, vins, distributeurs, traiteurs.
Repères chiffres 2013 : Le marché en GMS
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de IRIworldwide, la distribution du bio en Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) en 2013 (jusqu'à fin octobre 2013) est plus dynamique que dans le conventionnel (+4,4% contre 1,6%). Le constat est le même sur les actes d'achat. Le bio pèserait 2,2% des ventes du total alimentaire. C'est sur les liquides que le bio progresse le plus en actes d'achat. La part du bio la plus élevée en valeur est effectuée sur le frais libre-service et notamment sur la crèmerie. Un tableau présente, pour chacune des catégories de produits, en bio et en non bio, l'état au 27/10/2013 de la distribution dans les GMS. Les données sont extraites de plus de 7000 points de vente Hypermarchés et Supermarchés dont la surface de vente est supérieure à 400m2.
Repères chiffres : Le marché en GMS
BIO-LINEAIRES, AuteurSelon les données de IRIworldwide, la distribution des produits biologiques sur le premier semestre 2014 en hypermarchés, supermarchés et hard discount dont la surface de vente est supérieure à 400 m2, ainsi que via le E-commerce, est globalement bien orientée. Que ce soit en épicerie, en liquides ou en frais libre-service, les ventes progressent entre 7% et 8%. Il faut, en outre, noter les fortes évolutions des ventes en unité bio sur les bières et cidres, les surgelés glacés et en épicerie sucrée. Un tableau présente, pour chacune des catégories de produits, en bio et en non bio, l'état au 29/06/2014 de la distribution dans les GMS.
Bio, local et convivial
Stéphane PERRAUD, AuteurLa Scic Le pain sur la table, à Cluny, en Saône-et-Loire, est une boulangerie, un restaurant bio, un traiteur, un salon de thé, un lieu d'exposition et une librairie... C'est aussi une entreprise sociale et solidaire qui crée du lien entre les habitants. Comme la plupart des salariés, le cuisinier, Jean-Paul Charvet, détient des parts de la Scic. Côté cuisine, pratiquement tous les ingrédients sont bio et locaux, même si ce n'est pas marqué sur l'ardoise. "C'est notre façon de démocratiser le bio...", explique Jean-Paul Charvet. En outre, l'équipe accueille volontiers des stagiaires ou des apprentis en reconversion, en situation de handicap ou d'origine étrangère. L'aventure du Pain sur la table a démarré en 2005, à l'initiative de la mutualité sociale agricole de Saône-et-Loire... Le bâtiment voisin à celui qui abrite la Scic Le Pain sur la table accueille une épicerie bio. Des précisions sont apportées sur le fonctionnement de la Scic, le montage financier et l'épicerie Bionali.
Dossier Voyage en alternatives
Nelly PEGEAULT, Auteur ; Anne-Sophie NOVEL, Auteur ; Marc MOSSALGUE, Auteur ; ET AL., AuteurQu'elles concernent l'agriculture, l'écologie, l'économie, le social, l'énergie, etc., des initiatives citoyennes et alternatives se développent, partout dans le monde. Ce dossier en présente certaines. Parmi celles-ci, l'épicerie « Le Zeybu solidaire », dans la banlieue de Grenoble, propose, dans un commerce local et autogéré par les habitants du quartier, des produits locaux, provenant directement des producteurs. Le village alternatif d'Emmaüs Lescar-Pau possède une ferme alternative qui compte un verger et 1500 animaux de races locales : vaches béarnaises, poules gasconnes, dindons noirs du Gers, ânes et chèvres des Pyrénées , et des variétés végétales anciennes : pomme Perasse de Nay, pêche Roussane de Monein Autres initiatives : - les légumes envahissent nos villes avec l'émergence de jardins sur les espaces publics délaissés ; - en Grèce, Nikos et Yiannis ont quitté la ville pour s'installer en pleine forêt, sur l'île d'Eubée. Une fois leurs maisons de paille construites, ils espèrent pouvoir vendre une partie de leurs productions légumières ; - la Nef, coopérative bancaire solidaire, est à l'origine de la Foncière Terre de Liens, qui acquiert des terres agricoles grâce à l'épargne solidaire.
Portraits : Les épiciers voient la vie en bio
Emeline SORLIN, AuteurC'est dans le centre de Liffré (35), commune de 7 000 habitants au nord-est de Rennes, que Sylvie et Briac Prévos ont choisi de s'installer. Dans leur épicerie, ils accueillent les clients 6/7 jours, de 8 heures à 22 heures. Le couple a choisi de mêler commerce de proximité et produits issus de l'agriculture biologique locale. On trouve dans cette épicerie : volailles, oeufs, viandes, fromages..., fruits et légumes (avec une vraie démarche de fraîcheur et de qualité). Des paniers de fruits et légumes bio sont aussi proposés aux clients et aux entreprises (commande sur Internet).
PubliReportage : Puraliment : appelez-nous "Partenaire" !
Puraliment, société bien connue pour sa logistique et la richesse de son catalogue, est une entreprise incontournable dans le réseau français des magasins spécialisés. Cette société appartient au groupe allemand Claus, et ses entrepôts se trouvent à Baden-Baden (Allemagne). Bien que les deux entreprises soient confondues, Puraliment, grossiste français en produits biologiques, biodynamiques et Demeter, est une société indépendante. Celle-ci s'appuie sur les marchés très différents que sont l'Allemagne, la Suisse et l'Autriche, explique Bernard Cron, Directeur de Puraliment. Le catalogue actuel compte 300 marques et 4 000 produits, dont 400 à la marque Pural. 42 % du CA sont assurés par l'épicerie, 25 % par les compléments alimentaires, et 11 % par la cosmétique. Le reste est représenté par le frais, en très forte croissance. Présentation : Pour que la "force de vente" devienne une force pour les magasins ; La logistique, fer de lance de l'efficacité ; La stratégie des marques.
Annuaire des fournisseurs bio et en conversion de Rhône-Alpes : Restauration collective - Novembre 2012
En préambule de cette nouvelle édition de l'Annuaire des fournisseurs bio et en conversion de Rhône-Alpes - Restauration collective, sont abordés les points suivants : - Repas bio en pratique ; - Qu'est-ce que l'agriculture biologique ? ; - Je m'engage en agriculture biologique ; - Une prise en compte de la saisonnalité des produits ; - Pourquoi les produits bio peuvent-ils être plus chers ? ; - 7 recommandations de base pour introduire des produits biologiques en restauration collective et garantir une maîtrise des coûts ; - Établir une relation partenariale avec les fournisseurs bio de proximité ; - Les règles de communication des produits bio intégrés en restauration collective. L'annuaire liste ensuite les fournisseurs de produits bio de la restauration collective par type de produits (cet annuaire a été conçu dans une logique de développement durable, c'est-à-dire avec le souci de promouvoir prioritairement les agriculteurs et les entreprises de Rhône-Alpes) : - Multiproduits ; - Boissons ; - Épicerie ; - Fruits ; - Légumes ; - Pains ; - Poissons ; - Produits laitiers ; - Viandes et volailles.
Circuits de proximité à dimension sociale en Agriculture Biologique : Recueil d'expériences innovantes
Claire TOURET, Auteur ; Quentin FOURNIER, Auteur ; Julien LABRIET, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2012Ce recueil d'expériences est un travail qui s'inscrit dans le cadre d'une convention de partenariat entre la Direction Générale de l'Alimentation (DGAL), le ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du Territoire (MAAPRAT) et la Fédération nationale d'agriculture biologique des régions de France (Fnab). Le recueil d'expériences a comme objectifs de recenser des projets innovants qui développent des circuits de proximité, afin de les valoriser (travail qui s'intéresse particulièrement à des projets de circuits courts à caractère social et à des projets qui développent des partenariats avec des collectivités territoriales) ; de donner des pistes d'actions aux porteurs de projet (qualité des productions, organisation territoriale et relocalisation des échanges, organisation collective, maîtrise des choix socio-économiques et environnementaux par l'ensemble des acteurs). Le recueil présente 13 projets de circuits de proximité et circuits courts, implantés dans différentes régions françaises, avec leurs caractéristiques, ainsi qu'à travers 11 fiches de capitalisation d'expériences. Celles-ci présentent : L'expérience des "Biocabas", région Nord-Pas-de-Calais ; "Le Terreau", Jardin de Cocagne à Cruas, en Ardèche (07) ; "Patates Douz'", à Paris (75 012) ; "Les paniers du Val de loire", association Val Bio Centre, Blois (41) ; "Les Jardins de la Paix", Châtellerault, Vienne (86) ; "La Tournée", à Paris et région Ile-de-France ; Les structures du collectif Raccourci à Lyon : "Alter-Conso", "Croc'Ethic" et "Arbralégumes", Rhône (69) ; "ESNOV", Emploi-Solidarité Nord-Ouest vendéen, à Challans (85) ; "Planète Lilas", à Vitry-sur-Seine, Val de Marne (94) ; "De l'Autre Côté de la Rue", épicerie de proximité à Lyon (69) ; "De l'Autre Côté du Pont", Restaurant coopératif à Lyon (69).
Compostage de proximité
André DUMONT, AuteurAZN2 Environnement, une entreprise québécoise fondée par Michel Dufour, est spécialisée dans le recyclage des déchets végétaux. Son objectif est de récupérer les fruits et légumes invendus des épiceries pour les livrer à des fermes locales qui en feront du compost. Chaque producteur reçoit une somme d'argent pour accueillir, sur son entreprise, le compost, qu'il faudra ensuite surveiller, gérer et épandre selon des normes. Quant aux épiceries, ce système de récupération leur permet de réaliser des économies et leur confère une image écologique aux yeux des clients. AZN2 accompagne une vingtaine d'épiceries pour une dizaine de fermes québécoises dans leurs démarches de recyclage en fournissant des formations, la construction du site de compostage et des aides à l'installation. Fonctionnant sur des réseaux locaux, l'entreprise uvre donc pour un « retour aux sources » de la matière végétale. Cette solution est d'autant plus pertinente pour des fermes qui possèdent des sols pauvres. En effet, la bonne gestion du lixiviat permet d'obtenir un compost très riche améliorant la qualité du sol et permettant de réduire les apports d'engrais. L'intérêt de grandes chaînes pour ce système pourrait bien amener AZN2 à s'étendre aux États-Unis.
Court circuit : Un an avec quatre agriculteurs qui ont réinventé leur métier
Stéphane SARPAUX, Auteur ; Nathalie CRUBÉZY, Auteur | GAP (5 Allée du Torrent, 05 000, FRANCE) : ÉDITIONS YVES MICHEL | 2012Quel est le rôle des agriculteurs aujourd'hui : fournisseur d'alimentation, aménageur paysager, acteur économique... ? Et si, plus modestement, leur vocation était de fournir des produits sains à des consommateurs qui se trouvent près de chez eux ? AMAP, marché paysan, épicerie participative, vente par internet... Depuis dix ans, de nombreuses initiatives qui permettent de retrouver un lien direct entre celui qui produit à la campagne et celui qui consomme en ville ont vu le jour. Pendant un an, les auteurs ont suivi quatre agriculteurs : un maraîcher, un apiculteur, un arboriculteur et un chevrier qui ont fait le choix des circuits courts. Une année de travail, de rebondissements, d'échecs et de joies, mais surtout une année pleine de sens. Car, en devenant des acteurs du mouvement "Locavore", ces agriculteurs ont pu donner du sens à leur métier.
Dossier : Biscuits et gâteaux bio : allier plaisir et nutritionnel ; Connaissance du client
BIO-LINEAIRES, AuteurLes biscuits bio ont une place prépondérante dans le secteur de l'épicerie sucrée avec plusieurs centaines de références. En bio, leur qualité dépend de multiples facteurs : le choix des ingrédients, leur proportion, la qualité du process utilisé pour leur fabrication en tenant compte de l'aspect nutritionnel. Ce dossier, sur les biscuits et gâteaux bio, est composé comme suit : - Les ingrédients (la farine, le sirop du glucose et fructose, les matières grasses, les oeufs, le lait..., les + bio, la fabrication) ; - Variétés et utilisation (biscuit cuiller, boudoir, cookie, crêpe dentelle, financier, florentin...) ; - Les spécificités (préparations prêtes à l'emploi, les "sans gluten", biscuits et vrac) ; - Côté nutrition (nutritionnellement ça donne quoi ?, la farine, la matière grasse, l'agent sucrant, comment et à qui les conseiller ?) ; - Connaissance du client (motivations et attentes des consommateurs : les caractéristiques recherchées pour acheter une première fois, les caractéristiques qui influencent le ré-achat et la fidélité au produit, position du consommateur à l'égard des matières grasses... ; perception du client : la satisfaction, les points forts et faibles de l'offre... ; développer le rayon biscuits).
Guide des Groupements de Producteurs et des Entreprises Bio du Sud-Ouest 2012-2013
Arbio Aquitaine et Interbio Midi-Pyrénées, les deux associations interprofessionnelles bio régionales, se sont naturellement associées, depuis 10 ans, pour favoriser l'émergence d'une filière bio, dynamique et reconnue, dans le Sud-Ouest de la France. Ce guide, qui est une publication d'Arbio Aquitaine, a pour but de montrer la richesse et la diversité des productions et des produits bio du Sud-Ouest, et de présenter les producteurs et les entreprises qui produisent, transforment et commercialisent ces produits, de l'Atlantique au Lauragais, de la vallée de la Dordogne aux Pyrénées. Le bassin de production du Sud-Ouest représente près de 4 600 agriculteurs cultivant 175 000 ha selon le mode de production biologique. Midi-Pyrénées est d'ailleurs la première région française en termes de surfaces consacrées à l'AB. Le guide fait une présentation du panorama régional, des associations interprofessionnelles et des actions de promotion d'Arbio Aquitaine et d'Interbio Midi-Pyrénées. Il présente ensuite les acteurs de l'AB (deux pages centrales les localisent géographiquement), classés par thèmes : matières premières, produits frais, épicerie, traiteurs, vins, distributeurs.
Mesure de l'introduction des produits bio en restauration collective : Rapport Mai 2012 - Etude n° 1101977
L'étude initiée par l'Agence Bio, en 2009, sur l'évaluation des besoins en produits biologiques pour la restauration collective (étude Gressard/CSA/Agence Bio 2009) est actualisée tous les ans. Principaux enseignements en 2012 : Avec les fortes progressions observées en 2010 (+ 6) et en 2011 (+ 11), les établissements de restauration collective qui proposent des produits bio sont maintenant majoritaires (57 % contre 46 % en 2011). Si la hausse (+ 11 points) est observée sur tous les segments, à l'exception des établissements en gestion concédée, le marché du bio est toujours mené par les établissements publics (67 %), de l'enseignement (73 %) et ceux servant plus de 500 repas par jour (75 %). Il est toujours porté par les produits frais (89 %), les produits laitiers (82 %), les légumes frais (77 %) et par des produits d'origine française (83 %). Les pâtes représentent 47 % et le vin 8 %. L'introduction se fait encore dans 40 % des cas sous la forme de produits et d'ingrédients bio plutôt que de plats ou de menus entièrement bio (respectivement 26 % et 34 %). Lorsqu'ils sont introduits, la part des produits bio dans les achats reste stable (12 % contre 11 % en 2011). Sur certaines cibles, il existe encore un potentiel non-négligeable d'établissements pouvant introduire des produits bio dans les années à venir : le secteur privé, la restauration du secteur santé et social, les restaurants collectifs servant 1 à 200 repas par jour. Les établissements ayant introduit des produits bio en 2011 et en 2010 devraient augmenter la part du bio dans leurs achats dans les 5 prochaines années.
Repères : Et la GMS... Comment évolue-t-elle ?
BIO-LINEAIRES, AuteurCet article est extrait du numéro de février 2012 de Nielsen Trends & Insights qui dévoile les tendances observées début 202 en grande distribution (données concernant l'activité de la GMS (Grande et Moyenne Surface) et l'ensemble des produits (pas seulement la bio)). La progression du chiffre d'affaires de l'univers de la grande distribution (Hypermarchés (HM), Supermarchés (SM), Discounters (HD)) sur les deux premiers mois de l'année est de +4,5 % mais les volumes eux-mêmes n'augmentent pas. Autres produits en hausse : café torréfié, épicerie salée, pâtes pressées en crémerie. En revanche, le département liquide subit les conséquences de nouvelles taxes qui se traduisent par des hausses de prix.
Vagabondage bio en Haute-Savoie : Des portraits et des sujets qui tournent autour de la Terre, ronde comme nos assiettes
ALPES CONTRÔLES, Auteur ; Virginie HEITZ, Auteur ; Pauline VIGNOUD, Auteur | ANNECY-LE-VIEUX (PAE Les Glaisins, 3 Impasse des Prairies, 74 940, France) : ALPES CONTRÔLES | 2012Ce livre invite à la découverte d'expériences et de parcours de paysans, d'éleveurs, de maraîchers, de chefs d'entreprise, de vétérinaires, de cuisiniers de Haute-Savoie autour du triptyque, tel qu'énoncé par Mathieu Calame, agronome, directeur de la fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l'Homme, dans la préface de l'ouvrage : des idées, des territoires et des hommes. Au sommaire : - Le vrai sens du mot ; - Au bonheur de manger ; - Notre mère à tous ; - Aller de l'avant ; - Bien vivre son travail ; - Dur d'être visionnaire ; - La vache ; - Santé ! ; Semer, le germe de la liberté ; - Devise de vin ; - Chic c'est beau ! ; - La certification.
3 petits pois fait fleurir les p'tits magasins ; Un projet "clef en main" pour les demandeurs d'emploi ; A cheval sur les routes du Morbihan ; Entreprendre à moindre risque
Nicole GELLOT, AuteurDes petits commerces ont choisi de promouvoir le bio, le local et l'équitable avec l'appui de dispositifs ou de financements qui facilitent ce type de projet. A Lyon, une petite épicerie est installée au dixième étage d'une tour, dans le troisième arrondissement, à proximité du métro Garibaldi : des boutiques comme celle-ci, la coopérative "3 petits pois" en a une quinzaine à son actif (Olivier Bidaut et Julien West se sont associés pour lancer cette coopérative). Dans cette même ville, District solidaire, née en réaction au libéralisme et à l'individualisme, permet à des demandeurs d'emploi de monter leur entreprise au sein de la coopérative d'activité partenaire Oxalis. District solidaire, qui repère de nouveaux métiers correspondant à des besoins sociaux émergents, s'appuie sur un bureau d'études et un réseau d'adhérents appelés "consom'acteurs". A bord de sa roulotte épicerie et au rythme de son cheval de trait, Violaine Frappesauce dessert deux fois par semaine une dizaine de villages du Morbihan (elle compte sur un financement européen (Leader) attribué au titre de la dynamisation en milieu rural et a déjà touché une subvention du Fisac (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce)). Béatrice, en Loire-Atlantique, et Joëlle, en Haute-Loire, ont créé leur entreprise au sein d'Oxalis. L'une a aménagé un ancien fourgon de La Poste et l'a transformé en épicerie itinérante, spécialisée dans le bio, le local et l'équitable. L'autre vend à Clermont-Ferrand des produits du terroir qui viennent tout droit des exploitations agricoles de Lozère.
Annuaire des fournisseurs bio et en conversion de Rhône-Alpes : Restauration collective - Novembre 2011 : Boissons - Epicerie - Fruits et légumes - Pain - Produits laitiers - Viande et volaille
En préambule de cet annuaire des fournisseurs de la restauration collective, sont abordés plusieurs points : Repas bio en pratique ; Qu'est-ce que l'agriculture biologique ? ; Je m'engage en agriculture biologique ; Une prise en compte de la saisonnalité des produits ; Pourquoi les produits bio peuvent-ils être plus chers ? ; 7 recommandations de base pour introduire des produits biologiques en restauration collective et garantir une maîtrise des coûts ; Etablir une relation partenariale avec les fournisseurs bio de proximité ; Les règles de communication des produits bio intégrés en restauration collective. Par ailleurs, deux cartes (une pour la Drôme et l'Ardèche ; une autre pour l'Ain, la Haute-Savoie la Savoie et l'Isère) situent géographiquement le type de fournisseurs : producteurs, transformateurs et distributeurs bio pour la restauration collective. L'annuaire présente les fournisseurs (département, nom, type) de la restauration collective par produits : Multiproduits ; Boissons ; Epicerie ; Fruits ; Légumes ; Pains ; Poissons ; Produits laitiers ; Viandes et volailles. Il précise, en outre, la gamme de produits, l'origine de la matière première, le volume et le montant minimum de commande, la zone de livraison, les conditions particulières, les moyens de contact (personne, adresse, téléphone/fax, mail).
Annuaire RHD : Annuaire régional Languedoc-Roussillon - Mise à jour du 17 janvier 2011
Cet annuaire, relatif aux fournisseurs régionaux de la Restauration Hors Domicile (RHD) en Languedoc-Roussillon, mis à jour le 17 janvier 2011, a été réalisé par la Fédération Régionale de l'Agriculture Biologique du Languedoc-Roussillon (FRAB LR). Mis à la disposition des responsables de la RHD, l'annuaire identifie les principaux fournisseurs susceptibles de proposer des ingrédients pour élaborer les repas bio (action soutenue par la région Languedoc-Roussillon dans le cadre de la promotion de la nourriture bio dans les lycées et les restaurants publics). Ne figurent, dans ce document, que les fournisseurs qui disposent d'une logistique de livraison à vocation régionale. Des artisans et des agriculteurs peuvent localement proposer d'autres produits : les modalités de livraison étant variables, il est conseillé de se rapprocher d'un contact FRAB LR départemental. Au sommaire des rubriques : - Boulangerie, céréales, farines ; - Conserves, jus ; - Epicerie, épicerie sec ; - Epicerie, fruits et légumes ; - Epicerie et plats cuisinés ; - Fruits et légumes frais ; - Fruits et légumes frais, produits laitiers, épicerie, 4ème gamme ; - Fruits et légumes transformés ; - Légumes 4ème gamme ; - Miel ; - Produits laitiers, fromages ; - Poisson ; - Viande. Pour chaque rubrique, sont indiqués le nom du fournisseur, ses coordonnées.
Fontaine à Lait : trois retours d'expériences
Nadège LUCAS, AuteurAfin de faciliter la diversification de la mise en marché des producteurs bio, Agrobio 35 a décidé, en 2004, de créer la Fontaine à Lait. En 2010, 9 Fontaines à Lait d'une capacité de 20L sont en circulation en Bretagne et Pays de la Loire, dont 3 en Ille-et-Vilaine. Ces fontaines sont placées dans une vitrine réfrigérée qui peut être placée dans un commerce de proximité ou à la ferme. Cette fontaine est notamment utilisée par un agriculteur qui fournissait déjà des berlingots de lait cru à l'épicerie spécialisée bio de sa commune. Le lait cru de la fontaine est ainsi vendu 1 euro le litre. Toutefois, les ventes sont moins importantes que pour les berlingots car les clients oublient leur bouteille. De plus, l'agriculteur commercialise dans 12 autres points de vente sur le même territoire, ce qui lui fait concurrence. Par ailleurs, l'entretien et le nettoyage de la fontaine prennent beaucoup de temps. Une deuxième exploitation utilise la Fontaine à Lait dans son magasin, ce qui permet de vendre du lait toute la journée et non pas juste après la traite, comme c'était le cas avant. La troisième exploitation vend 60 à 90L de lait par semaine. L'exploitation commercialise des paniers et les clients achetant du lait sont les mêmes que ceux achetant les paniers.
Guide professionnel des opérateurs bio des Pays de la Loire
Ce guide, réalisé par l'association interprofessionnelle Inter Bio Pays de la Loire, recense les opérateurs des Pays de la Loire en lien avec l'agriculture biologique. On y retrouve notamment les coordonnées des structures d'accompagnement, des fournisseurs de biens et services, des entreprises de transformation (Viandes et produits carnés ; ufs et ovoproduits ; Lait et produits laitiers ; Fruits et légumes ; Céréales et farines ; Boulangerie et biscuits ; Plats cuisinés - Produits de la mer ; Boissons ; Épicerie), des magasins (en Loire-Atlantique ; en Maine-et-Loire ; en Mayenne ; en Sarthe ; en Vendée), des grossistes généralistes proposant des produits bio, des grossistes alimentaires bio, des associations de consommateurs.
Initiative : Marseille en direct : Une épicerie de quartier pour la souveraineté alimentaire
Benoît DUCASSE, AuteurFondée en 2009, l'association marseillaise Filière paysanne a ouvert une première boutique paysanne dans le premier arrondissement de Marseille en août 2010. Son objectif : commercialiser (quasi en direct donc) les produits de paysans qui connaissent quelques difficultés à les écouler face à la concurrence des supermarchés. Et dans le même temps, diffuser les idées liées à la souveraineté alimentaire, par exemple au moyen de la présentation d'un projet de loi pour la sauvegarde des terres fertiles. Les produits vendus dans la boutique doivent l'être à des prix accessibles, en tout cas moins chers qu'en supermarché (par exemple : carotte à 0,90 le kilo quand elle est à un euro dans les supermarchés proches). 100 à 150 clients fréquentent ce magasin tous les jours, magasin qui devrait atteindre l'équilibre économique en trois ans. Pendant cette période, il est aidé par le Conseil régional (70 k) et le Conseil général (18 k). Une nouvelle structure devrait permettre d'assurer l'essaimage de ce concept. Plus de 100 producteurs sont concernés, 20% des produits frais et 80% des produits secs sont en bio.
Rencontres Nationales du 8 juin 2011
Dans le cadre du Printemps BIO 2011, l'Agence BIO a organisé le mercredi 8 juin les Rencontres nationales de la Bio, au Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du Territoire (salle Gambetta), à Paris. Ces rencontres se sont déroulées avec la participation d'acteurs publics et professionnels de toute la France. Elles se sont adressées à un large public, en particulier les collectivités territoriales, les élus, les organismes professionnels, les entreprises de production, de transformation et de distribution, les instituts de recherche et technique, les associations de consommateurs, les journalistes, etc. Cet événement constitue chaque année un rendez-vous permettant à tous les professionnels, ainsi qu'à tous ceux qui souhaitent et soutiennent le développement de l'agriculture biologique, de se rencontrer et d'échanger. Les présentations des différents intervenants sont en ligne sur le site de l'Agence Bio : - Présentation d'Elisabeth Mercier, directrice de l'Agence Bio : Rencontres Nationales de la Bio 2011 : La dynamique de développement de l'agriculture biologique ; - Présentation de Jean Peytavin, Agence de l'Eau Rhône-Méditerranée et Corse : L'agriculture biologique comme soutien de la qualité de l'eau ; - Présentation de Thomas Breuzet, Directeur Général de Danival : Danival : Cuisinier Bio depuis 20 ans. Sont également en ligne les éléments du dossier remis aux participants : - Programme des Rencontres Nationales de la Bio 2011 ; - Développement de la consommation des produits biologiques en France ; - La Bio en France en 2010 - Un rayonnement grandissant ; - Observatoire 2011 des produits biologiques en restauration collective ; - Professionnels présents sur les espaces d'expression du buffet bio ; - Les actions de l'Agence BIO pour contribuer au développement de l'agriculture biologique.
Travail sur la diversification des activités de la SCIC Auvergne Bio Distribution
Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la licence professionnelle "Agriculture Biologique Conseil et Développement". À cet effet, Sébastien Chapuis a réalisé, au sein de la SCIC Auvergne Bio Distribution (située à Combronde (63)), un travail sur la diversification des activités de cette société, créée en 2007. Auvergne Bio Distribution est un groupement d'agriculteurs et de transformateurs auvergnats, tous certifiés AB, qui intègre également des fournisseurs extérieurs à l'Auvergne. La plateforme, qui centralise les commandes et gère l'approvisionnement de ses différents établissements clients, a été conçue pour répondre à la demande en produits biologiques des collectivités (restauration collective). La société souhaite se diversifier et faciliter à ses adhérents l'accès à d'autres marchés tels que de nouveaux circuits de distribution (magasins spécialisés, épiceries fines, crèmeries ). Dans ce cadre, le travail attendu avait différents objectifs : connaître le fonctionnement de la plateforme, recueillir les informations sur le développement de la filière biologique en Auvergne, découvrir le marché de la distribution Après une étude préalable et une présentation de la méthodologie et des démarches, le travail a porté sur l'analyse du marché. Celle-ci repose sur un état des lieux (l'offre, la demande), l'interprétation (l'organisation en amont et aval, quels produits ?, quels distributeurs ?), les perspectives et les propositions (liste des clients réguliers, trajet de la tournée pour la distribution des marchandises, organisation du travail interne avec la préparation des commandes, la réception des marchandises et la livraison, autres paramètres à prendre en compte comme le coût d'un salarié pour réaliser les tournées).
Le baby food bio en pleine croissance
Patricia BACHELIER, AuteurConcernant l'alimentation pour bébé, le bio est en plein boum : + 15 % en un an. Et avec un chiffre d'affaires de 37 M , les laits et petits pots AB pèsent 4 % de la nutrition infantile, soit deux fois plus que le bio sur un total épicerie. Si l'explosion des ventes s'explique par une demande en hausse, l'extension de l'offre y contribue aussi beaucoup avec différentes marques : Hipp, Vitagermine, Bjorg, Lactalis (avec sa marque Nutricia), Materna, Good Goût.
Dossier Bio
Arnaud MONNIER, Auteur ; Jacques BERTIN, Auteur ; Patricia BACHELIER, Auteur ; ET AL., AuteurLes Français sont désormais 46 % à consommer au moins un produit bio une fois par mois. Pour exprimer l'effervescence du marché bio, un article donne plusieurs indications : conversion de marques nationales, capacité de marques reconnues sur le bio à communiquer, tendance en faveur du local, données statistiques extraites de l'étude CSA-Agence Bio menée du 26 au 30 octobre 2009 (lieu d'achat des produits bio - à 72 % en GMS ; les raisons de consommer des produits bio - à 95 % préserver sa santé, à 94 % préserver l'environnement...), panel distributeurs d'après fabricants et estimation Linéaires (Frais LS - 620 M, soit + 27,1 % d'évolution en un an...). Le dossier aborde, par ailleurs, tous les aspects relatifs au développement de l'offre bio en GMS : - Merchandising : faut-il regrouper toute l'offre bio ? ; - Yves Belen, Auchan : "l'offre bio ne doit pas être élitiste" ; - Ces rayons où le bio explose ; - Le prix du bio : ce qu'ils en disent ; - L'ultra-frais bio prend du galon ; - F&L : quelle place pour l'origine France ? ; - Les ténors de l'épicerie persistent et signent.
"Ensemble, partageons la même humanité"
Isabelle CLEP, Auteur ; ANDES, AuteurL'épicerie Ti Dégra de Cayennes, en Guyane, a ouvert ses portes en octobre 2008, sous la houlette de sa présidente Heinricka Innocent. Une trentaine de bénéficiaires viennent y faire leurs courses de première nécessité. Au sein même de la structure, sept adultes tentent de se réinsérer dans le monde du travail. En Outremer, les denrées alimentaires sont en moyenne 30 % plus chères qu'en métropole (coût élevé des produits importés, liés au fait que les Guyanais exportent peu ; peu d'entreprises de transformation ou de conservation de denrées alimentaires ; l'économie agricole repose essentiellement sur des exploitations de type familial...). Pour ce qui est des programmes d'aide alimentaire, il n'y a actuellement pas d'approvisionnement du PNAA (Programme national d'aide alimentaire) ou du PEAD (Programme européen d'aide aux plus démunis). Le projet d'une plateforme logistique est en cours de réflexion, rencontrant des difficultés dans l'application du cahier des charges demandé. Pour l'approvisionnement de Ti Dégra, il a fallu créer un réseau local avec les grossistes de la ville en signant des conventions permettant d'obtenir des dons... Le programme d'approvisionnement 2008, ainsi que le nouveau programme 2009 "circuits courts" de l'Andes (l'association nationale des épiceries solidaires, présentée ensuite dans un encart) permettent de développer cet approvisionnement local, tout en adaptant les recommandations nutritionnelles aux habitudes alimentaires et au marché guyanais. Un encart est réservé au rôle des pirogues de l'association Mama Bobi qui remontent le fleuve Maroni (distribuant une tonne et demi de vivres par trimestre).
Le Guide des entreprises Bio Sud-Ouest 2009/2010
ARBIO Aquitaine (créée en mai 2002) et INTERBIO Midi-Pyrénées (créée en septembre 2003) sont deux associations interprofessionnelles au service des opérateurs bio de leur région respective. Elles ont été créées à l'initiative des opérateurs régionaux spécialisés dans les produits issus de l'agriculture biologique. Les deux associations partagent la même conception du développement des filières bio et ont conscience des liens économiques, géographiques et culturels qui unissent leurs deux territoires. Elles ont choisi de renforcer ces synergies en élaborant ensemble une stratégie de développement et en menant des actions interrégionales communes. La marque "Bio Sud-Ouest" symbolise ce partenariat et la volonté de coopérer mieux pour valoriser les atouts du Bassin de production Sud-Ouest. Le guide, édité par les deux associations, présente les entreprises bio du Sud-Ouest (Coopératives ; SARL (Société à responsabilité limitée) ; GIE (Groupement d'intérêt économique) ; CELPA (Coopérative des éleveurs des Pyrénées-Atlantiques)...), classées par type de production ou de fonction : - Matières premières ; - Produits frais ; - Traiteurs ; - Epicerie ; - Vins ; - Distributeurs. Une carte, située au milieu du document, permet de localiser ces entreprises bio du Sud-Ouest. Les adresses des entreprises sont mentionnées sur chacune des fiches les présentant.
Portrait de l'épicerie solidaire de Bourg-en-Bresse
Isabelle CLEP, Auteur ; ANDES, AuteurL'épicerie solidaire de Bourg-en-Bresse, Au Marché Conté (association loi 1901), a ouvert ses portes en février 2001 et accueille près de 70 familles par mois. L'idée d'une telle épicerie est née en 1997, lors de la réunion annuelle des associations caritatives de Bourg-en-Bresse, où le problème de l'aide ponctuelle à certaines familles en difficulté a été soulevé. Sabine Clapisson, conseillère en économie sociale et familiale, anime l'accueil et l'atelier cuisine du Marché Conté avec le soutien de bénévoles. Elle accueille les personnes, leur explique le fonctionnement de l'épicerie et établit la carte d'accès. Elle mène également des discussions avec ces personnes car l'objectif est de repérer les personnes en grande difficulté au niveau de l'alimentation, de la santé ou de l'emploi. Un encart donne la définition d'une épicerie sociale ou solidaire.
Restauration collective : Annuaire des fournisseurs bio et en conversion de Rhône-Alpes : Epicerie - Fruits et légumes - Pain - Produits laitiers - Viande et volaille
L'annuaire des fournisseurs bio et en conversion de Rhône-Alpes à destination de la restauration collective est conçu en deux parties (un préambule, l'annuaire des fournisseurs de la restauration collective). Le préambule aborde plusieurs points : Repas bio en pratique ; Qu'est-ce que l'agriculture biologique ? ; Je m'engage en agriculture biologique ; Une prise en compte de la saisonnalité des produits ; Pourquoi les produits bio peuvent-ils être plus chers ? ; 7 recommandations de base pour introduire des produits biologiques en restauration collective et garantir une maîtrise des coûts ; Etablir une relation partenariale avec les fournisseurs bio de proximité ; Les règles de communication des produits bio intégrés en restauration collective. L'annuaire des fournisseurs de la restauration collective se décline en différents types de produits : Multiproduits ; Boissons ; Epicerie ; Fruits ; Légumes ; Pains ; Poissons ; Produits laitiers ; Viandes et volailles. Un index par nom est également établi et présenté en fin de document.
Chiffres clés 2008... : Etude sur les 100 plus fortes ventes en CA 2007/2008
BIO-LINEAIRES, AuteurL'analyse des 100 meilleures ventes sur une année complète est riche d'enseignements. Le premier d'entre eux confirme la spécificité des magasins spécialisés. Les 100 meilleures ventes représentent, finalement, une part faible du chiffre d'affaires global. Les spécialistes ont besoin d'un assortiment riche et varié afin d'assurer leur pérennité. Ces ventes représentent 7,9 % du CA (en 2007 comme en 2008, résultat très stable). Pour rappel, une des précédentes analyses sur 4 mois indiquait les 500 meilleures ventes à 37,85 % du CA. Ces ventes représentent l'un des postes importants des actes d'achat des clients fidèles. Différents éléments de l'étude sont présentés : - Méthode (relevé pour chaque mois de 2007 et 2008 du chiffre d'affaires réalisé pour les 100 références les plus vendues sur un échantillon représentatif de magasins de plus de 300 m²) ; - Familles (épicerie, ultra-frais...) ; - Part du CA mensuel des 100 meilleures ventes ; - Représentativité des grandes familles dans le top 100 des ventes en CA (données en %).