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Documents disponibles dans cette catégorie (21)


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Biodynamis Hors-série n° 24 : L'eau, miroir de nos pratiques
Claude DELTON, Auteur ; Jean-Michel FLORIN, Auteur ; Marc HENRY, Auteur ; ET AL., AuteurCe hors-série de Biodynamis, consacré à l'eau, plonge le lecteur au cur des interactions entre l'eau et le reste du vivant. Au sommaire : - Faire dialoguer les éléments : exemple de l'eau ; - Mémoire du monde et mémoire de l'eau ; - De spirale à tourbillon ; - Un parcours de vie au fil de l'eau ; - « Je veux créer une mare ! » ; - Une eau de qualité pour les préparations biodynamiques ; - Dialogue avec l'eau à la ferme de Baume Rousse ; - Goutte après goutte ; - Sekem, histoire d'une oasis ; - Un désert pastoral ; - Cultiver l'eau comme on cultive la terre ; - Entre terre et mer ; - De la dilution homéopathique ; - Soins homéopathiques pour la vigne.
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Michel et Marianne Monseur : la force tranquille du bio
Mathilde RODA, AuteurCe bio-portrait présente les activités de Michel et de Marianne Monseur, maraîchers et éleveurs bovins et ovins viande, labellisés Nature & Progrès, en Belgique. Les dix premières années, Michel a travaillé en maraîchage, avant de compléter son activité avec un élevage, à partir de 2003, qui lui garantit laccès à de la fumure bio. Aujourdhui, il possède un troupeau de 45 brebis avec leurs agneaux, ainsi quune dizaine de vaches « Blondes dAquitaine », et sa ferme sétend sur vingt-neuf hectares. Sa ferme fonctionne un maximum en autonomie : il nachète aucun intrant, à lexception de la paille pour la litière, et le magasin permet au couple d'écouler 100 % de la production de la ferme (légumes et en colis de viande).
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Stocker les eaux de pluie sur sa ferme
Julien GRANDGUILLOT, AuteurEn maraîchage, la réalisation dun forage pour assurer son approvisionnement en eau peut présenter des contraintes administratives, techniques ou économiques. La mise en place dune installation de captage des eaux pluviales à partir dune toiture peut permettre de contourner ces impasses. Le volume deau potentiellement récupérable dépend de la pluviométrie locale, de la surface de toiture, du matériau utilisé pour la toiture (les tuiles absorbent une partie de leau) et du dimensionnement du réseau (qualité et diamètre des gouttières). Trois maraîchers bio, en Charente et Charente-Maritime, décrivent les systèmes de récupération deau de pluie quils ont mis en place. Ils expliquent également comment ces derniers influencent les itinéraires techniques et dimensionnent les surfaces cultivées. Les trois systèmes présentés ont des écarts importants en matière dinvestissements et de volume deau capté. Toutefois, en cas dannée sèche, les trois producteurs sont unanimes pour dire que les limites de leur système sont vite atteintes. Ils développement des itinéraires techniques adaptés (ex : paillages pour limiter lévaporation) et les surfaces irriguées en plein champ restent très petites (moins de 50 ares).
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L'eau de pluie est bien adaptée aux traitements
Isabelle MONTIGAUD, AuteurLa neutralité de l'eau de pluie en fait un bon support pour les traitements phytosanitaires, surtout en bio. Cependant, peu détudes ont été menées sur le sujet. Les caractéristiques de leau de pluie (dureté et pH) répondent aux besoins, tout comme labsence de chlore, surtout pour les préparations à base de plantes. De plus, cest une ressource renouvelable, écologique et économique, qui nécessite cependant des aménagements (récupération, stockage ). Un encart présente les choix réalisés par Vincent Fleith, vigneron en biodynamie dans le Haut-Rhin, lors de la construction de son bâtiment dexploitation.
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La pluie, bon support pour les traitements
Isabelle MONTIGAUD, AuteurL'eau utilisée pour les traitements phytosanitaires doit répondre à deux critères qualitatifs : la dureté et le pH. Ceux-ci sont particulièrement surveillés en agricultures biologique et biodynamique. Dans ces deux modes de production, l'eau de pluie, réceptive et proche de la neutralité, est particulièrement intéressante pour les traitements, à condition d'éliminer les premiers millimètres, souvent trop chargés en impuretés et en polluants. Pour l'utiliser dans les meilleures conditions, il faut aussi être vigilant sur les conditions de récupération et de stockage.
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Dossier : L'eau : mainmise sur un bien commun
Pascaline PAVARD, Auteur ; Marc LAIMÉ, Auteur ; Jean-François PIQUOT, Auteur ; ET AL., AuteurRessource rare - un quart de la population mondiale n'a pas accès à l'eau potable -, l'eau est pourtant souvent gaspillée, polluée à des niveaux très importants en certains endroits. Ce dossier aborde la question du lobbying lié à l'eau, les problématiques de gouvernance, le rôle des associations, comme en Bretagne, dans la protection de l'eau et des milieux aquatiques, celui de la mobilisation citoyenne et des stratégies d'acteurs dans les territoires. Parmi les articles, l'un est consacré à la remunicipalisation de la gestion de l'eau en France et à l'étranger, un autre au rôle de l'agriculture biologique dans la qualité de l'eau. Les enjeux liés à l'eau sont multiples. En tant qu'individus, il n'est pas facile de savoir comment contribuer à la préservation de cette ressource. Des acteurs apportent leur éclairage, par exemple sur l'utilisation de l'eau de pluie ou encore sur différentes actions (phytoépuration, géoépuration...) qu'il est possible de mettre en uvre au quotidien, à titre individuel.
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Huiles essentielles au jardin
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Marceau BOURDARIAS, AuteurOn peut classer les huiles essentielles en deux grandes familles, celles qui aident à lutter contre les insectes (insecticides ou insectifuges) et les fongicides qui permettent de lutter contre les maladies cryptogamiques Tout traitement aux huiles essentielles doit commencer en effectuant une préparation à laquelle est ajouté un litre d'eau de pluie. Il est aussi possible de préparer un lait d'argile base. Des conseils portent sur le moment de pulvériser et les quelques précautions à prendre. La réussite d'un traitement dépend de la qualité de l'eau. Deux tableaux présentent les huiles essentielles selon les traitements voulus.
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Un bâtiment économe en eau et en énergie
Costie PRUILH, AuteurLe nouveau bâtiment d'élevage de la ferme expérimentale de l'Inra de Lusignan a été mis en service en juin 2010. Il a été construit de façon à être le plus économe possible en énergie et en eau. Pour la production d'énergie renouvelable, 1000 m² de panneaux photovoltaïques orientés plein sud ont été installés sur le toit. Pour le paillage et le raclage, 3ème poste le plus consommateur d'énergie sur une telle exploitation, un système d'hydrocurage avec séparation de phase mécanique a été installé. Il devrait permettre une économie d'énergie de l'ordre de 50 % pour ce poste. En ce qui concerne la consommation d'eau potable, elle est largement diminuée grâce à l'utilisation d'eau de forage et d'eau pluviale. Ainsi, seulement 15 % de l'eau totale consommée est issue du réseau d'eau potable. Pour récupérer et utiliser la chaleur issue du fonctionnement du tank à lait, deux systèmes ont été installés : un prérefroidisseur qui permet une économie d'énergie de 40 à 50 % et un récupérateur de chaleur qui permet une économie d'énergie de 70 à 80 %. Le récupérateur de chaleur permet de démarrer la chauffe de l'eau, qui est complétée par des panneaux solaires thermiques.
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Cet homme qui a inventé l'eau solide !
Louise CUNEO, AuteurSergio Rico, ingénieur chimiste mexicain sensibilisé aux problèmes de sécheresse auxquels sont confrontés les agriculteurs de son pays, a mis au point une technologie d'irrigation révolutionnaire. Il a trouvé le moyen de solidifier l'eau de pluie récupérée dans des réservoirs en y ajoutant du polyacrylate de potassium, un composé hyper absorbant. L'eau solidifiée peut alors être stockée et transportée plus facilement. Les essais d'irrigation réalisés par le chercheur ont donné des résultats très satisfaisants en termes de rendements (supérieurs aux résultats obtenus avec l'irrigation classique au Mexique). Brevetée sous le nom de « Silos de agua », cette technique est déjà mise en place en Inde, en Colombie, en Équateur, en Espagne et au Portugal. Si Sergio Rico remporte le Prix mondial de l'eau remis par le Stockholm International Water Institute, l'application de « Silos de Agua » pourrait se développer partout dans le monde.
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Rainwater Catchment from a High Tunnel for Irrigation Use
Shawn HOUSE, Auteur ; Linda NAEVE, Auteur | AMES (209, Curtiss Hall, 50011-1050, ÉTATS-UNIS) : IOWA STATE UNIVERSITY | 2012La production de fruits ou de légumes sous grands tunnels a plusieurs avantages comme le prolongement de la saison de croissance, la protection contre les intempéries et un meilleur contrôle de l'environnement de production (humidité, ravageurs, etc.). Ces infrastructures nécessitent une gestion de l'irrigation différente des cultures en champs. En plus de créer un environnement chaud et sec, ces grands tunnels peuvent générer d'importants volumes d'eau lors de pluie qui peuvent provoquer de l'érosion. Le document présente un système de récupération des eaux de pluie à des fins d'irrigation pour les grands tunnels. Le système comprend une gouttière, un réservoir, une pompe et un système d'irrigation. Le coût des matériaux, excluant le système d'irrigation et l'installation, est évalué à 1 200 $ US. Le document présente les matériaux utilisés, de même que des croquis illustrant en détail certaines composantes du système. La gouttière est installée sur un morceau de bois coupé en angle pour correspondre aux côtés du tunnel. Une pente de 15 cm à tous les 30 mètres linéaires est recommandée pour s'assurer d'une bonne circulation de l'eau dans les gouttières. Une lisière de plastique peut être collée sur les côtés du tunnel jusque dans la gouttière pour s'assurer que l'eau s'y insère. L'autre méthode proposée est de déposer un plastique au sommet du grand tunnel et qui descend de chaque côté jusqu'à la gouttière. Celui-ci est attaché de la même façon que le plastique du tunnel. Dans les régions plus froides, il est recommandé d'enlever les gouttières pendant l'hiver afin d'éviter les bris dus à la neige.
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La récupération des eaux de toitures : de l'histoire ancienne à l'actualité
Face à une certaine raréfaction de l'eau (sécheresses successives, réchauffement climatique), de nombreux agriculteurs se posent la question de la récupération des eaux de pluie via leurs toitures. Cette solution peut présenter pour eux deux avantages : autonomie et sécurité d'approvisionnement d'une part, et économie d'autre part. En théorie, il est possible de récupérer 90 % de l'eau qui tombe sur les toits. Mais avant cela, un investissement important est nécessaire pour mettre en place l'installation (stockage et réseau). A titre d'exemples, l'article présente deux investissements réalisés dans des exploitations d'élevage. La question de la réglementation se pose aussi, notamment en ce qui concerne la possibilité d'utiliser cette eau de pluie pour l'abreuvement des animaux.
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Construire sa citerne
Christian TESTARD, Auteur ; Julie BARBEILLON, AuteurAdepte du faire soi-même et ardent défenseur de la qualité des eaux, c'est tout naturellement que Christian Testard, autoconstructeur averti, s'est lancé dans la réalisation de sa cuve de récupération d'eau de pluie (une fois filtrée, l'eau servira principalement à alimenter les toilettes, lave-linge et lave-vaisselle d'un gîte et de sa maison d'habitation, à Pannecé (Loire-Atlantique)). Un modèle de 27 m3 en bloc de béton à bancher qui reçoit les eaux de 200 m2 de toiture. Les raisons principales du choix du béton sont la neutralisation plus efficace de l'acidité naturelle des eaux de pluie et l'absence d'odeur. Illustrés de photos, les détails de réalisation de la cuve sont exposés. Son coût est également précisé.
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Le jardin naturel : Nouvelle édition augmentée
Qui ne rêve de récolter tout au long de l'année de délicieux légumes, exempts de produits chimiques, pour sa famille et ses amis ? Depuis plus de quarante ans, Jean-Marie Lespinasse cultive son jardin. A force d'observation, de documentation, de réflexion et d'expérimentation, il a conçu un jardin naturel sans apport d'engrais, sans pesticides et sans herbicides. Tout repose sur la qualité du sol, le respect et la stimulation des capacités naturelles des plantes à se nourrir et à se protéger, sur la gestion de l'eau et sur le mélange et l'association de plantes stimulantes ou répulsives qui désorientent et indisposent les parasites. Illustré de photographies et de schémas explicatifs, ce livre apprend comment cultiver en respectant le fonctionnement naturel du sol avec une grande économie de moyens. Cette nouvelle édition augmentée (première édition en 2006) intègre l'expérimentation du BRF (bois raméaux fragmentés), du lombricompost et de la récupération des eaux de pluie.
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Votre éco-maison : équipez et rénovez écologique
Une maison saine dans un environnement sain ! Un guide essentiel pour réduire son empreinte écologique et transformer son logis en un espace de bien-être régi par les lois de la nature... Flavia Mecelis, architecte formée au Brésil et spécialisée dans la réhabilitation du bâti ancien et la préservation du patrimoine, s'intéresse à la rénovation écologique et à la construction traditionnelle. C'est son savoir-faire qu'elle livre, dans cet ouvrage, avec esprit pratique, illustré par les dessins de l'architecte et illustratrice Alexandra Arango. Au sommaire : Préface de Yolaine de La Bigne ; - Comment fonctionne ma maison ? (Les gains et les pertes de chaleur ; L'eau : d'où elle vient et où elle va) ; - Quels travaux ? Mes priorités et mes choix (L'air : l'isolation et la ventilation ; Le feu, le soleil : le chauffage écologique et les énergies durables ; L'eau : les toilettes sèches et les eaux de pluie ; Les aides financières : le crédit d'impôt) ; - La déco bio : un intérieur non toxique (La terre, la chaux, le bois et d'autres matériaux pour les murs et pour le sol) ; - Index ; - Bibliographie / Pour en savoir plus.
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Duplex à Bruxelles
Les appartements construits sur le toit d'un vieil immeuble bruxellois du XIXème siècle (quatre appartements sur trois niveaux, soit 440 m2) sont le résultat d'un projet ambitieux mené par l'entrepreneur Claude Rener et l'architecte Jean-Paul Hermant. Le temps de faire accepter leur projet par les autorités, les travaux démarrent en 2003. Ils consolident le mur porteur de l'immeuble, enlèvent la charpente et les tuiles flamandes et, pour la construction prévue, optent pour une ossature bois. Après la légèreté, les concepteurs insistent sur l'efficacité énergétique du bâtiment, maximisent les apports solaires passifs. Le toit de l'immeuble est équipé de panneaux solaires thermiques et l'eau chaude sanitaire participe au chauffage (chaleur rayonnante) des appartements. Une pompe à chaleur géothermique complète le système. Pour ce chantier, Claude Rener a tenu à travailler en partie avec des jeunes sortis de prison. Il a reçu l'Award 2007 de l'énergie pour l'habitat groupé et espère rentabiliser rapidement l'investissement consenti.