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Marketing channels and the adoption of organic certification in the French fruit sector
Magali AUBERT, Auteur ; Geoffroy ENJOLRAS, Auteur ; Zouhair BOUHSINA, AuteurPour les agriculteurs, le choix de l'agriculture biologique est dicté par plusieurs facteurs (structure de l'exploitation, situation financière...). Parmi ces facteurs, l'influence du ou des circuits de commercialisation a été étudiée à travers une enquête réalisée par l'Insee auprès d'arboriculteurs français en 2012 (enquête "Vergers"). Cette étude s'est appliquée à considérer à la fois les circuits courts et longs, ainsi que leurs hétérogénéités. La forte corrélation entre circuits courts et agriculture biologique a pu être confirmée, ces deux stratégies étant orientées vers une amélioration de la qualité des produits. Concernant les circuits longs, les résultats montrent que lorsqu'un agriculteur connaît la destination de ses produits, il est plus impliqué dans la qualité de ceux-ci et plus enclin à adopter des pratiques respectueuses de l'environnement. Une relative transparence dans la chaîne de distribution est donc un critère-clé pour favoriser l'adoption de pratiques biologiques. Les auteurs concluent sur la pertinence de renouveler cette enquête pour s'appuyer sur des données plus récentes et de l'étendre à d'autres productions végétales.
Optimiser les circuits courts de proximité avec local.bio
Frédéric JOUIN, AuteurLocal.bio est une plateforme qui met en relation des producteurs biologiques (toutes productions confondues) avec des consommateurs, des restaurateurs et des collectifs, à une échelle locale. Elle est utilisée par 542 producteurs répartis sur 72 départements, ainsi que par plus de 11 300 consommateurs. Elle propose, aux producteurs, un ensemble complet de fonctionnalités pour décrire leur gamme de produits et la faire évoluer au fil des saisons. Il est possible de créer un point de distribution, éventuellement en commun avec dautres producteurs, ou de rejoindre un point de distribution déjà existant. Cette plateforme numérique est parfaitement adaptée à un fonctionnement du type AMAP. Parmi ses multiples fonctionnalités, elle peut permettre de payer en ligne, déditer un récapitulatif pour préparer les commandes, de trouver d'autres producteurs pour rejoindre un point de distribution commun, de proposer un prix différent pour les restaurateurs et la restauration collective
Organisation du travail : Gagner du temps, ça ne se fait pas au champ
Maëla PEDEN, AuteurEn maraîchage bio diversifié avec vente en circuits courts, les différents postes (production, récolte, logistique et vente) impliquent un temps de travail important. Cet article fait suite à une formation, organisée au GAB 56, en fin d'année 2021, qui avait pour objectif de donner aux maraîchers des pistes pour optimiser leur temps de travail. Tout d'abord, ce sont les périodes de vente qui régissent la semaine de travail d'un maraîcher en vente directe. En découlent la logistique (tri, lavage, conditionnement), puis la plantation et les semis, ainsi que le travail du sol qui les précède. Le temps dédié à l'entretien des cultures (désherbage), plus chronophage sur les fermes bio, est parfois pénalisé par le temps passé à la vente. Ce dernier étant difficilement compressible si on veut s'assurer une rémunération correcte, ce sont donc l'adaptation de la gamme à la clientèle, l'aménagement de l'étal et l'adaptation de la communication qui sont les leviers principaux pour améliorer son chiffre d'affaires. Il est, par ailleurs, possible de gagner du temps sur le poste "logistique", avec des bâtiments bien aménagés et des modules qui s'enchaînent bien, de l'arrivée des légumes à la première zone de stockage jusqu'au quai de chargement, pour limiter ainsi le temps et la pénibilité des déplacements et des ports de charges. Il est essentiel d'avoir un temps dédié au désherbage dans la semaine : celui-ci peut être significativement réduit s'il est réalisé tôt, lorsque les adventices ne sont pas trop développées. Pour finir, afin d'éviter l'effet entonnoir entraîné par un poste moins productif, il est conseillé de noter le temps de travail consacré à chaque poste, afin d'identifier les points de blocage sur la ferme.
Paniers étudiants : Des produits bio accessibles quand on n'a pas un radis
Julien BASTIDE, AuteurDepuis 2016, l'Université de Bretagne sud (UBS) a mis en place un projet, accompagné par le GAB du Morbihan (56), pour permettre aux étudiants de bénéficier de paniers de légumes bio et locaux à prix réduit. Chaque semaine, les étudiants peuvent commander, en ligne, leur panier aux producteurs partenaires, qui viennent livrer sur le campus. De nouveaux débouchés pour les producteurs, une meilleure qualité de vie pour les étudiants, cette initiative s'est, depuis, étendue à d'autres campus et à d'autres établissements qui soutiennent le projet, particulièrement pendant la pandémie qui a accentué la précarité étudiante. Pour finir, Delphine Le Gall, responsable du service culture et vie des campus à l'UBS, partage son témoignage.
Les Paniers Verts : « Nous voulons montrer aux gens qu'il y a moyen de consommer autrement ! »
Sam LIGOT, Auteur ; Mathilde RODA, AuteurC'est aux alentours de 2007 que Valérie Torton, installée en Wallonie (Belgique), en horticulture depuis 1995, a converti sa ferme en maraîchage bio. Soucieuse de fournir au consommateur une alimentation diversifiée, de qualité et pleine de saveurs, c'est avec l'aide de Kristian Crick, à qui succédera Didier Crick, qu'elle s'est lancée dans la production de légumes, commercialisés en paniers, en circuits courts. La ferme, nommée « Les Paniers Verts », est rapidement devenue victime de son succès : de l'objectif de 25 paniers par semaine, la demande atteignait jusqu'à 700 paniers hebdomadaires ! L'achat-vente est alors venu compléter la production qui, malgré l'augmentation des surfaces cultivées, n'arrivait pas à suivre. Finalement, en 2016, Valérie et Didier ont abandonné les paniers pour se consacrer à une production maraîchère à taille humaine. Depuis, ils alimentent le magasin à la ferme avec une sélection de légumes diversifiés, avec des espèces rares ou atypiques, ainsi qu'avec des plants (fruits, légumes, fleurs, aromatiques), l'offre étant complétée par un peu d'achat-vente et des aliments provenant de producteurs locaux (ufs bio).
Pays Basque : « Je voulais produire ce que j'aime consommer »
Julen OILLARBURU, AuteurEn 2017, Sylvain Régnier s'est installé en poules pondeuses et en porcs plein-air bio dans une ferme à Lasse, près de Saint-Jean-Pied-de-Port, au Pays Basque. Il élève cinq truies et un verrat et engraisse une trentaine de cochons dans les parcs. Il travaille avec un boucher pour la découpe de la viande, qu'il commercialise en direct et localement (marchés, AMAP, magasins locaux, livraison à un restaurant, vente à la ferme). Il élève aussi 80 poules l'hiver et le double l'été, dans un jeune verger s'étendant sur une dizaine d'hectares, où ont été plantés 120 pommiers, ainsi qu'environ 80 autres fruitiers (pruniers, pêchers, noisetiers, plaqueminiers...). Dans son témoignage, Sylvain s'insurge contre les mesures de biosécurité appliquées de la même façon aux élevages paysans et aux élevages industriels et contre l'administration. L'augmentation des prix des matières premières est également problématique pour les éleveurs qui doivent augmenter le prix de leurs produits pour survivre financièrement.
Paysanne fromagère : Prendre le temps d'affiner son projet
Coralie BOUVET, AuteurAprès plusieurs années d'expérience en élevage, Stéphanie Catherine a fait une formation en commercialisation et transformation des produits fermiers, avant de s'associer, en 2019, à ses parents, éleveurs bovins lait bio en Ille-et-Vilaine. Avec l'aide du salarié qui travaille sur la partie fromagerie, Stéphanie transforme le lait, très riche en matière grasse, du troupeau de race Bretonne pie noir. Elle commercialise ses fromages en circuits courts. Dans cet article, Stéphanie décrit l'organisation de son travail, les étapes de fabrication des fromages, ainsi que les facteurs qui font le goût, la texture et la qualité visuelle de ses fromages : race des vaches, alimentation du troupeau, hygiène du laboratoire, ensemencement, affinage...
Porter à connaissance : proximité, local, approvisionnements directs, circuits-courts (filière fruits et légumes frais)
Dans un contexte de crises globales environnementale, économique, sanitaire et géopolitique , lintérêt des consommateurs pour les produits alimentaires de « proximité », « locaux » ou encore issus de « circuits courts » sest particulièrement renforcé. Cependant, la confusion reste forte dans lesprit des consommateurs et pour certains professionnels. Ce document propose de clarifier les notions souvent ambigües de « proximité », de « local », de « circuits courts » et dapprovisionnements « directs ». Il a pour ambition daider lensemble des acteurs de la filière fruits et légumes (producteurs, expéditeurs, coopératives, importateurs, grossistes, acteurs de la distribution, acheteurs de la restauration collective...) à mieux comprendre les limites et les opportunités de ces modèles et les conséquences de la recherche dun approvisionnement qui vise à les intégrer.
Portrait de ferme : EARL Ferme de Cévin
Sophie Hélin, de la Ferme de Cévin, sest installée en caprins lait, à Lherm (46), en 2000. Olivier, son mari, la rejointe sur lexploitation, en 2004. La ferme, en bio depuis 2010, repose sur lélevage caprin (80 chèvres Alpines, Poitevines et croisées ; 20 chevrettes de renouvellement ; 2 boucs vasectomisés et 3 boucs entiers) et sur la transformation laitière, avec un léger complément en bovins lait. Lensemble de la production laitière est transformé sur place, en fromages, caillés et yaourts, et est commercialisé en circuits courts (marchés, GMS, restauration). Les éleveurs portent une attention particulière au bon maintien de la santé du troupeau : rusticité des mères, limitation de la pression parasitaire par lalternance du pâturage avec les bovins Ce portrait de ferme fournit, notamment, des informations sur la conduite du troupeau : traite (en 2020, un lot de 30 chèvres était en lactation longue), alimentation, devenir des chevreaux, gestion du parasitisme, reproduction, élevage des chevrettes, équipements agricoles, et sur les résultats économiques de l'exploitation. Un tableau compare les productions laitières des chèvres en lactation longue ou non.
Portrait : Rencontre avec Hélène Faust et Daniel Hoeltzel, paysanne à Hatten (67)
Julie GALL, AuteurC'est après avoir vécu en ville que, dans sa volonté de retrouver une autonomie alimentaire, Hélène Faust a repris la ferme familiale, à Hatten (67), en 2006. Elle dispose alors de 39 ha de surface agricole, qu'elle a directement convertis en bio, pour démarrer une activité d'élevage porcin. Finalement, les problèmes de maltraitance animale dans les abattoirs l'ont poussée à arrêter cette activité. Avec Daniel, son compagnon, boulanger de métier, ils ont démarré une activité de pains bio à la ferme, à partir de 2013. Les céréales qu'ils utilisent pour confectionner les pains (blé, seigle, amidonnier, épeautre...) sont produites sur la ferme, puis moulues dans un moulin Astrié. Une dizaine de pains différents sont commercialisés en AMAP et sur deux marchés locaux. En parallèle, Hélène et Daniel se sont engagés dans l'installation d'une mare et dans la plantation de haies, afin de favoriser la résilience de leur système.
Quand l'appel de la terre est le plus fort !
Mathilde RODA, AuteurGwenaël du Bus, maraîcher bio, a créé la Ferme du Peuplier, la plus grande ferme de maraîchage en Belgique sous label Nature & Progrès, en Belgique. Ingénieur agronome, Gwenaël a d'abord réalisé des stages pour acquérir de l'expérience, puis il a été formateur en horticulture et conseiller MAEC. Cependant, l'appel de la terre a été plus fort. Il s'est installé en 2011, après l'acquisition de 3 ha, à Gottechain, qu'il a convertis en bio. Son exploitation maraîchère s'est ensuite développée très vite et s'étend aujourd'hui sur 25 ha, occupant 35 UTP. La réussite de Gwenaël et de son équipe passe par le soin qu'ils apportent au sol, plutôt qu'aux plantes : ils le nourrissent avec des déchets de la production de la ferme et du fumier bio, compostés, ainsi que des engrais verts. Entre 60 et 80 légumes différents sont produits pour être commercialisés, principalement, en vente directe (90 %) sur 19 marchés, le reste en coopératives, épiceries, restaurants et auprès de quelques distributeurs. Gwenaël reste, cependant, dans la recherche d'un équilibre entre idéal bio et rentabilité économique : si le nombre d'employés permet de développer des savoir-faire spécialisés et que la gestion de ses terres est assurée par une équipe bien rodée, l'achat-revente représente encore, par nécessité, une part importante des ventes de Gwenaël, la production seule n'étant pas rentable.
Rapport de Stage de fin détudes : Pour une juste valorisation du cheptel bovin viande - Analyse des choix techniques et commerciaux des éleveurs allaitants bio du Massif central
Ce rapport de stage de fin d'études a été réalisé par Marie Bernard, élève ingénieure à lENSAIA, dans le cadre du projet BioViandes. Ce projet a été impulsé par les acteurs des filières viandes bio du Massif central, soucieux de développer des débouchés locaux pour commercialiser la viande biologique produite à lherbe sur ce territoire (afin déviter que les animaux issus de ces élevages n'alimentent des filières conventionnelles). Lobjectif du stage de Marie Bernard était danalyser comment certains éleveurs bovins bio, qui engraissent majoritairement à lherbe et valorisent lintégralité de leur production dans des circuits de distribution bio, réfléchissent et effectuent leur commercialisation. Pour cela, trois aspects ont été étudiés : 1 - Quelles sont les stratégies de commercialisation de ces éleveurs ? ; 2 - En quoi les formes de commercialisation modifient le fonctionnement technique et organisationnel dune exploitation (et réciproquement) ? ; 3 - Quelles sont les caractéristiques des carcasses vendues en circuits courts et sont-elles compatibles avec les critères dachat des consommateurs ? Pour cela, huit élevages ont été enquêtés. Ces derniers présentent la particularité de commercialiser leur production en combinant des circuits courts et des circuits longs, ou 100 % en circuits courts. Ils produisent différents types danimaux : des veaux sous la mère/veaux lourds, des broutards ou des bufs. Les résultats montrent que les éleveurs enquêtés ont su faire preuve dadaptation et dingéniosité pour re-internaliser lactivité de vente. Ils montrent aussi que le développement de nouveaux débouchés (autres que celui de la filière longue) crée de nouvelles tâches souvent chronophages. Ces éleveurs activent également plusieurs leviers pour pallier léquilibre matière et la fluctuation de la demande. En complément de ce mémoire, des monographies détaillent les stratégies de commercialisation de cinq exploitations.
Rencontre avec Emilie Wintzenrieth, Ferme de la Petite Prairie, production laitière à Ranspach-le-Haut (68)
Frédéric DUCASTEL, AuteurEmilie Wintzenrieth s'est installée en Alsace, en 2012, sur la ferme de ses parents, en élevage de bovins lait. La conversion en bio a eu lieu en 2016. Elle transforme une partie de la production laitière en yaourts, en fromage blanc et en lait pasteurisé, qu'elle commercialise à la ferme, sur deux marchés hebdomadaires et sur un marché mensuel, ainsi que sur d'autres petits points de vente locaux. Le reste de la production est vendu à Biolait. Les yaourts sont aromatisés avec les fruits des vergers du domaine (cerises, poires, mirabelles, prunes, pommes, cassis, mûres) et d'autres fruits frais locaux et de saison, transformés en confiture avant d'être ajoutés au yaourt, mais aussi avec des arômes naturels et des huiles essentielles. Dans cette entrevue, Emilie raconte l'évolution de la ferme au gré de son activité et explique les projets qu'elle et son mari font mûrir à l'approche du départ à la retraite de ses parents.
Repenser la résilience de latelier volailles face au changement climatique par lautonomie et lapproche systémique de lexploitation
Solenn BRIOUDE, Auteur ; Charlotte DOR, AuteurDepuis 2018, Bio 63 a animé plusieurs formations et visites de fermes de volailles bio (volailles de chair ou pondeuses) pour accompagner les éleveurs vers une amélioration de leurs pratiques. Ces rencontres se sont consolidées, en 2020, par la création dun GIEE Emergence et, en 2022, par la reconnaissance dun GIEE Volailles. Ce dernier regroupe 7 élevages de volailles bio en circuits courts basés dans le Puy-de-Dôme et le nord de la Haute-Loire. Lors de la première année (2022), les éleveurs du groupe ont prévu de travailler sur des indicateurs pour mesurer lautonomie de leur atelier volailles. Ils ont notamment été invités à réfléchir à la provenance et à la race de leurs volailles, à lautonomie alimentaire, à la gestion de la prédation, à la gestion de la santé, ainsi qu'à lautonomie en matière de transformation et de commercialisation. Le tout couplé à une approche sur la viabilité économique et sociale de leur ferme (transmissibilité, rentabilité, pénibilité du travail ). Dans un second temps (2023 et 2024), le groupe se réunira pour échanger sur le fonctionnement de chaque élevage, et pour identifier des leviers afin daméliorer l'autonomie ou daccroître lapproche systémique des exploitations. Des journées de formations et des voyages détude seront aussi organisés. Enfin, les membres de GIEE capitaliseront et diffuseront des données technico-économiques afin daider les porteurs de projets en pondeuses et en volailles de chair en circuits courts.
Stratégie de commercialisation des exploitations du Massif Central : 5 monographies délevages bovin viande biologiques à lherbe commercialisant tout ou partie de leurs productions en circuit court
Ces monographies ont été réalisées par Marie Bernard, élève ingénieure à lENSAIA. Elles viennent compléter le rapport de stage de fin détudes de cette étudiante, réalisé dans le cadre du projet BioViandes (tranche 2), qui visait à analyser les choix techniques et commerciaux des éleveurs bovins allaitants bio du Massif central (étude réalisée sur huit élevages bovins bio de ce territoire, qui engraissent leurs animaux majoritairement à lherbe, et qui commercialisent au moins une partie de leur production en circuits courts). Ces monographies présentent, de manière détaillée, les stratégies de commercialisation de cinq de ces élevages, en apportant des informations sur les adaptations techniques et organisationnelles mises en place pour répondre aux besoins et/ou aux contraintes de leurs débouchés. Trois de ces élevages produisent principalement des veaux sous la mère, les deux autres produisent principalement des bufs. Chacune de ces monographies sarticule de la manière suivante : 1 Le contexte de létude et les caractéristiques de lexploitation ; 2 La description de litinéraire technique de la ferme (données techniques et schéma global de fonctionnement) ; 3 La description de litinéraire commercial (circuits de commercialisation et schéma dorganisation des différents circuits de commercialisation) ; 4 Ladaptation de la conduite zootechnique à la stratégie de commercialisation ; 5 Les résultats économiques ; 6 - Le retour de léleveur sur ses pratiques commerciales ; 7 Des éléments de compréhension (lexique et légendes).