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AGRICULTURE SOCIALE |
Documents disponibles dans cette catégorie (47)
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Agroécologie : Entre pratiques et sciences sociales
Denise VAN DAM, Auteur ; Michel STREITH, Auteur ; Jean NIZET, Auteur ; ET AL., Auteur | DIJON CEDEX (26 Boulevard Docteur Petitjean, BP 87999, 21 079, FRANCE) : EDUCAGRI ÉDITIONS | 2012Cet ouvrage nous conduit aux quatre coins du monde. On y découvre des expériences d'agroforesterie en Inde, le développement de l'agriculture biologique en Alsace, la mise en place de certification participative au Brésil, ou encore le fonctionnement de groupements d'achats alimentaires en Belgique... Ces expériences ont en commun de promouvoir une agriculture et une alimentation soucieuses des principes de l'écologie. Cet ouvrage est ainsi un des premiers en langue française à présenter les recherches qui se font dans le domaine de l'agroécologie, un courant qui se développe depuis une trentaine d'années, principalement aux États-Unis et en Amérique latine. Les multiples expériences sont analysées à travers le prisme des sciences sociales. On s'interroge sur le rôle des différents acteurs (paysans, consommateurs...), sur la manière dont les initiatives s'inscrivent dans les territoires et sur les modes de régulation assurés par les pouvoirs publics. Cet ouvrage s'adresse aux étudiants et chercheurs en agronomie, en écologie et en sciences sociales, aux responsables agricoles et aux décideurs politiques. Il intéressera également toute personne sensible aux défis que posent aujourd'hui le développement de l'agriculture et l'alimentation des populations.
L'argane de l'Indouzal
Renaud RUSSEIL, AuteurL'Argania spinosa est un arbre qui pousse principalement au Maroc, et dans la région de Tindouf, dans le Sud algérien. On peut tout utiliser de l'arganier dont son amande à partir de laquelle est extraite l'huile d'argane (ou d'argan). Dernier rempart devant la progression du désert, l'arganier retient les terres, assure la photosynthèse, draine les ressources en eau les plus profondes Pour recueillir l'amande de l'arganier, il faut ramasser, faire sécher les fruits, enlever la pulpe des fruits et concasser. Au Maroc, pour évoquer l'huile d'argane (cosmétique ou de consommation), les producteurs parlent d'huile torréfiée ou d'huile non torréfiée. L'huile cosmétique, issue des amandes non torréfiées, peut aussi se consommer comme une huile de table si elle est pure. Ses vertus sont nombreuses : antimicrobienne, antioxydante La torréfaction ôte certaines des propriétés de l'huile d'argane. Si l'on veut profiter de ses vertus sanitaires, il est préférable d'opter pour une huile bio non torréfiée. Depuis plusieurs décennies, la forêt d'arganiers du Maroc diminue régulièrement (agriculture intensive, rentabilité immédiate des sols, coupe de branches destinées à la fabrication du charbon de bois ). Selon les sources, cette forêt aurait perdu de 32 à 42 % de sa surface, entre 1994 et 2008 Alban s'est installé sur les collines de l'Indouzal (qui dominent le bassin de Taroudant) et, suite à la rencontre avec un notable du village Tazrilit, a décidé de se lancer dans la production d'huile d'argane. Entre la collecte et le concassage des fruits, la fabrique d'Alban fournit du travail à 380 femmes réparties entre plusieurs douars (villages). Par ailleurs, la fabrique d'huile finance 70 % de l'électricité publique, fournit l'eau à des habitations et a offert de planter 5 000 oliviers pour l'huile de cuisine. La production d'huile d'argane est certifiée bio et conforme aux règles du commerce équitable
Dossier : Agriculture urbaine
Dominique PARIZEL, Auteur ; Franck MARION, Auteur ; Joanna MARION, AuteurCe dossier, consacré à l'agriculture urbaine, comprend 4 articles : - Réflexions autour de la possibilité d'une agriculture urbaine ; - Vin de Liège : L'inestimable vitrine des Coteaux de la Citadelle ; - La Ferme urbaine : le luxe de la cohérence, la nécessité de l'utopie ; - Les Fermes Lufa : l'avenir de l'agriculture sur les toits de Montréal ?
Initiative : La Ferme Saint André ou les circuits courts moteurs d'insertion
Maud CESBRON, AuteurLa Ferme St André, également appelée Les Jardins de Kochersberg, se trouve dans le Bas-Rhin. Elle accueille 18 personnes en contrat d'insertion, et livre 1 000 paniers hebdomadaires sur le principe des Jardins de Cocagne. Elle comporte aussi, depuis 2007, un atelier de transformation, sous le statut d'entreprise adaptée. Douze des 24 hectares de la propriété sont en maraîchage biologique (cahier des charges Nature et progrès), le reste est en céréales et prairies. Les jeunes sont payés au SMIC, pour deux ans au maximum.
Marie-Noëlle ROUSSEZ, éleveuse de chèvres dans les Alpes-Maritimes
Marie-Noëlle Roussez présente son élevage de chèvres laitières en bio situé à Ascros, dans les Alpes-Maritimes, à 900 mètres d'altitude dans l'arrière-pays niçois. Son exploitation est liée à un complexe médico-social qui accueille 24 personnes souffrant de troubles psychiques et à un ESAT, un établissement cherchant à insérer des personnes dans le monde du travail. La ferme est donc un moyen pour ces personnes d'avoir une expérience professionnelle aussi bien dans la fromagerie, que dans l'élevage, la traite des chèvres et la vente. Marie-Noëlle Roussez, issue elle-même de parents éleveurs dans le Nord, a été éleveuse à son compte en ovins viande pendant 10 ans, avant de tenir cette exploitation. Pour superviser les personnes en difficulté, elle est devenue éducatrice technique également.
La princesse et le paysan : Un conte écologiste
Laurent CARPENTIER, AuteurLe château de Kerbastic, à 20 kilomètres de Lorient (Morbihan), dispose de 150 hectares de bonne terre, gérés de génération en génération par la dynastie des Polignac. Pierre Rabhi, qui a rencontré Constance de Polignac (à un repas organisé par l'association de Pierre Rabhi, Colibris, il y a trois ans), est le parrain de ce domaine entièrement tourné désormais vers l'agroécologie. Constance de Polignac a donné neuf mois à un entrepreneur pour refaire le château du fond jusqu'aux combles selon des critères écoresponsables et, pour son domaine, a suivi les préceptes de Pierre Rabhi : écoute des saisons et du milieu, culture en biodynamie, humanisme (en l'occurrence : réinsertion sociale de travailleurs handicapés) et "sobriété heureuse". Pierre Rabhi est né il y a soixante-treize ans à Kenadsa, près de Béchar, dans le Sahara : installation sur une ferme à Lablachère, en Ardèche, dans les années 1960 ; voyages ; théorisation de son savoir-faire et de sa cosmogonie dans des livres... Constance de Polignac a fait surgir plusieurs projets sur son territoire : reconstruction d'un éco-hameau pour y installer six familles ; installation de dix-neuf ruches à miel ; potager bio ; remise en état d'une pêcherie sur la Laïta ; jachère fleurie dans les jardins...
Solefood : Farming in Vancouver's downtown eastside
Virginie LAVALLEE-PICARD, AuteurL'entreprise SOLEFood farm est née d'une initiative du groupe « United we can » en 2009 à Vancouver au Canada. L'idée était de créer un projet social d'agriculture urbaine dans un quartier défavorisé de la ville. Avec l'aide de Michael Aberman, les fondateurs de SOLEFood ont mis en place une infrastructure de production agricole dans un stationnement de la ville d'une superficie de 0,5 acre. La mission du groupe est de créer des emplois dans le quartier et de favoriser la réinsertion ou l'emploi de gens mis de côté par la société. La production maraîchère et le travail avec des gens aux horaires variés, n'ayant aucune expérience agricole et ayant des problématiques sociales est un défi de tous les jours. Bien qu'ils soient appuyés par quelques partenaires, l'objectif du groupe est de s'autofinancer avec les revenus de la vente de légumes d'ici 2012. Plusieurs autres projets sont en cours. Plusieurs problématiques sociales demeurent dans le quartier mais, le co-directeur Seann Dory est très enthousiaste par rapport au projet et affirme que celui-ci sensibilise la communauté à la production de nourriture saine.
Bio-dynamie en territoire confiné
Laurent DREYFUS, AuteurLe centre de détention de Mauzac (Dordogne) s'inscrit dans une démarche constructive de réinsertion par le travail ou la formation pour les détenus en fin de peine. Il dispose d'une plateforme de remise à niveau et de préparation à la qualification, et a l'originalité de proposer un choix entre travail et formation. La formation est diplômante, validée par deux CAPA : un CAPA horticole (maraîchers et production de plantes médicinales) et un CAPA Agent d'entretien d'espaces ruraux. L'administration pénitentiaire s'adjoint un partenariat avec deux associations. Sur les 380 détenus de Mauzac, 90 sont en fin de peine, et seuls 65 bénéficient de la formation professionnelle (la formation touche surtout les détenus de 1 à 3 ans avant la sortie). L'objectif est triple : occuper les détenus, leur permettre d'avoir un pécule qui favorisera leur sortie, indemniser les victimes et soutenir leur famille. Le domaine agricole sur lequel repose l'activité de formation, géré par une association, est engagé dans une démarche économique où formation et production vont de paire. La vente des légumes sert à financer le fonctionnement de l'atelier. Les légumes sont commercialisés en demi-gros, en Biocoop, dans un restaurant d'insertion, dans des cantines scolaires, etc. Les plantes médicinales, cultivées en bio-dynamie (label Demeter), sont entièrement livrées à Altaïr, entreprise de la famille Drai. Celle-ci est partenaire fondateur et initiateur du travail avec le centre de détention de Mauzac. Le maraîchage répond au cahier des charges de l'agriculture biologique.
C'est le début des haricots !
Philippe LAMOTTE, AuteurL'asbl (association sans but lucratif) "Le début des haricots" s'est vue confier, par le ministre wallon de l'Agriculture et de la Ruralité, la tâche d'établir un répertoire des différents jardins communautaires existant dans la partie francophone et bruxelloise du pays. Pour mener ce travail, l'asbl a défini six catégories dont les contours se croisent parfois : jardins "d'insertion", "de formation", "didactiques", "collectifs", "partagés", "coins de terre"... A la fin du printemps 2010, les jardins partagés représentaient 23 % des jardins comptabilisés... La mission de l'asbl consiste également à mettre ces centaines de jardins en réseau et à favoriser l'échange de connaissances et d'expériences... L'asbl dispose, d'ores et déjà, d'outils spécifiques destinés à aider les groupes lors de la création d'un jardin/potager collectif quelle que soit sa forme : mise à disposition d'un document type de "convention de mise à disposition temporaire" qui aide à régir les rapports que les jardiniers sont appelés à nouer avec le propriétaire de la parcelle..., conseils pour la recherche d'un terrain, la prise de contacts avec les autorités communales...
Care Farming : prestations sociales dans l'agriculture
Hans WYDLER, Auteur ; Rachel PICARD, AuteurLe « Care Farming » concerne les exploitations agricoles qui ont diversifié leurs activités agricoles en proposant une offre de soins, d'éducation et d'encadrement. Ces activités à caractère social concernent un public de personnes âgées, de personnes handicapées ou d'enfants en difficulté sociale. En Suisse, environ une exploitation sur 100 propose ce type de prestations sociales. Il existe donc un fort potentiel à développer mais qui ne doit pas se faire au détriment de la qualité des prestations fournies, le soutien des exploitations optant pour cette démarche apparaît donc essentiel. D'ailleurs, certains états se montrent très intéressés par le Green Care, autre appellation du Care Farming. De nombreux programmes de recherche s'y intéressent également, à l'image du projet de recherche mené par la station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART, dont les premiers résultats sont présentés dans cet article.
Chez Angélique Doucet dans l'Isère : Le rôle social et thérapeutique des chèvres
Claire DIMIER-VALLET, AuteurAngélique Doucet est éleveuse de chèvres à la Ferme du Clos, à Chatelus dans l'Isère (Vercors). Elle a aujourd'hui 40 Saanen conduites en agriculture biologique, ainsi que quelques moutons, des cochons, des lapins et un âne. En plus de cette activité, Angélique Doucet assure l'accueil de vacanciers... et l'accueil solidaire. Elle a notamment souhaité s'engager dans une démarche à long terme à travers l'accueil hebdomadaire (1 à 2 heures par semaine) de deux groupes de personnes handicapées adultes et enfants. Pour Annick Magniat, éducatrice spécialisée à l'Association familiale de l'Isère pour enfants et adultes handicapés intellectuels (troubles du comportement, psychose, maladies mentales...), comme pour Angélique, les animaux ont un rôle prépondérant dans ces activités d'accueil. Ils doivent être adaptables et dociles... Pour les malades, les animaux sont un vecteur d'épanouissement et de réalisation exceptionnel : ils renvoient aux malades une image positive d'eux-mêmes. Au contact du groupe, les chèvres sont curieuses... mettent en confiance. Par ailleurs, traire à la main, goûter le lait, puis mouler et déguster les fromages permettent de stimuler tous les sens, et d'exercer la psychomotricité des personnes en difficultés. Outre la description de cette expérience d'accueil thérapeutique, trois questions ont été posées à François Beiger, psychanalyste en médiation animale (choix de travailler avec des animaux, choix de la chèvre en particulier, déroulement des thérapies). Par ailleurs, une présentation des réseaux Bienvenue à la Ferme et Accueil Paysan engagés dans l'accueil social est proposée.
Choix de vie : WWOOFING : Le monde, de ferme en ferme
Axel PUIG, AuteurUn concept original connaît en France un développement récent : Le wwoofing. Des travailleurs volontaires sont accueillis dans des fermes biologiques réparties aujourd'hui dans le monde entier. Le but est de découvrir un mode de vie local associé à un voyage atypique. Le wwoofer s'engage à travailler cinq heures par jour, cinq jours par semaine en échange du gîte et du couvert. Ceci permet des moments de partages, centrés autour de l'écologie. Le choix de l'activité agricole est possible : maraîchage, arboriculture, élevage, écoconstruction. Un premier témoignage de maraîchers en Lozère explique comment les wwoofers ont aidé à sauver leur saison et ont apporté, par le biais des repas à table, une ouverture continuelle sur le monde. Les wwoofers s'enrichissent également grâce à la « formation » gratuite dispensée par les agriculteurs. Ceci permet aussi de se forger une expérience pour s'installer réellement en tant que paysan.
Handicap : Jardino-thérapie
Emmanuelle MAYER, AuteurDe plus en plus de jardins pédagogiques ou partagés accueillent des personnes handicapées. Certains établissements spécialisés ont cultivé même leur propre jardin. Rencontre avec le Centre d'activités de jour de l'Arimc, à Meyzieu (69), qui accueille des infirmes moteurs cérébraux, et avec Les Jardins de l'espérance, association d'éducation à l'environnement et d'insertion, à La Ciotat (13). Ces deux structures témoignent des bienfaits du jardinage. Au Centre de Meyzieu, le jardinage fait travailler sur les sens, la spatialisation, la dextérité des mains... Sur les 65 résidents, une dizaine sont jardiniers réguliers et disposent d'un petit coin de culture personnel. Le jardin est rendu accessible aux personnes en fauteuils roulants... Aux Jardins de l'espérance, des aménagements ont également été réalisés de manière à pouvoir accueillir des personnes handicapées : pentes douces, chemins stables, bacs surélevés... mais aussi un abécédaire du toucher et des senteurs (créé avec l'Institut Arc-en-Ciel qui accueille des enfants malvoyants et aveugles et une classe d'enfants de CM2). L'abécédaire compte 150 plantes, caractérisées par une odeur ou une texture particulière. Les personnes accueillies au jardin souffrent de différents handicaps : infirmes moteurs cérébraux, paralysés physiques... Des groupes viennent suivre des ateliers, ponctuellement ou régulièrement ; des personnes handicapées peuvent venir de manière individuelle pour cultiver un carré personnel. L'association accueille également des scolaires et des salariés en insertion... La contemplation a également sa place (observer ce qui a poussé, sentir, toucher, faire la sieste).
Un jardin, ça se partage !
Philippe LAMOTTE, AuteurEn quelques mois de travail, l'association sans but lucratif (asbl) "Le début des haricots", chargée de mission pour la Région wallonne, a dénombré une centaine de potagers/jardins partagés à Bruxelles et près de cent cinquante en Wallonie, dont près d'un quart sont de création récente. L'article revient sur les racines historiques des jardins collectifs : début du XXème, bout de friche confié aux ouvriers afin de les "détourner des tentations du cabaret"... ; aujourd'hui, volonté de citoyens d'origines diverses, de se réapproprier leur alimentation et, plus largement de peser davantage sur leurs choix de vie, grâce à la production de fruits et légumes sur des parcelles peu ou prou gérées en commun... Outre l'aspect de la convivialité, le jardin communautaire peut aussi se muer en véritable laboratoire d'expérimentations sociales qui s'ajoutent alors à la double dimension d'économie financière et de production saine et bio. À la rue Gray, à Ixelles/Etterbeek, un groupe de jeunes jardiniers improvisé n'a pas seulement réussi à transformer une friche de quelques ares en mini-réserve naturelle luxuriante... Il est aussi parvenu à créer une dynamique de quartier, brassant des populations qui habituellement se parlaient peu. Au point que l'école voisine et la grande surface locale se sont directement inspirées de certaines réalisations afin de les reproduire dans leurs propres murs.
Un jardin communal : Transmettre à ses voisins
Jean-Michel FLORIN, AuteurInstallé à Messon, à une vingtaine de kms de Troyes, Michel Leclaire a transformé, en trois ans, un simple parc avec gazon et quelques arbres en un "jardin de l'utile et de l'agréable" avec jardin d'ornement près de la maison, mare, poulailler... A côté de ses engagements associatifs pour la biodynamie, il a encore trouvé le temps de proposer ses services pour créer un jardin bio collectif sur la commune. Très enthousiaste pour le jardinage et la biodynamie, il a proposé à la mairie d'animer un groupe jardin qui cultive collectivement une parcelle de terre communale. De ce terrain de 2 000 m², le groupe n'a cultivé, en 2010, que 1 000 m². L'autre moitié a été ensemencée par un agriculteur du village d'un mélange de fleurs pour faire une bande fleurie... L'article évoque plusieurs aspects concernant ce jardin : l'implantation de haies, l'arrosage, le fonctionnement du groupe, la diversité des légumes récoltés..., ainsi que l'investissement de Michel Leclaire pour transmettre des savoir-faire.