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Brique de connaissances 3 : Outils appropriés et appropriables en micro-maraîchage
I. CREQUER, Auteur ; A. DEMATHIEU, Auteur ; C. ICARD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2023Ce document est issu de la collection des Briques de connaissances MMBio, conçues dans le cadre du projet CASDAR MMBio (Microfermes Maraîchères en Agriculture Biologique). Cette troisième brique a été réalisée suite à une Tournée de Recensement des Innovations Paysannes conduite par l'Atelier Paysan. Ces innovations ont fait l’objet de développements pour aboutir à ce recueil de matériels adaptés au maraîchage sur petite surface. Chaque outil et matériel présenté dans ce document fait l’objet d’une évaluation selon trois axes : le prix, la complexité de fabrication et la reproductibilité. Les outils sont classés selon les thèmes suivants : Cultiver le sol (grelinette, houe maraîchère, butteuse autoconstruite, strip-till) ; Planter-Semer (canne à planter, canne à semer, plantoir à poireaux) ; Sur un motoculteur (souleveuse à pomme de terre, épandeur pour motoculteur, écarteur de paille) ; Ergonomie (pic à botte, landoryfort pour ramasser les doryphores, enrouleuse de bâches, brouette maraîchère, porte-tout) ; Les porte-outils à traction basse (ch’tit-bine, aggrozouk, BPO micro-tracteur) ; Traction animale (Kombine, avant-train 3 roues, néo-bucher, POP4, TriPOP)
Un couple de jeunes paysans bio expérimente des pratiques alternatives
Didier HARPAGÈS, AuteurMarie Peltier et Thomas Peyre sont paysans bio à La Haute Planche, à Bourbourg (59), depuis 2020. Ils produisent, sur 8,5 ha, du blé ancien panifiable et des légumes de plein champ, avec des débouchés dans la restauration collective, des Biocoop et des épiceries locales. Ils élèvent trois jeunes bœufs, neuf moutons et deux chevaux de travail. Marie et Thomas ont tous deux fait le choix de pratiquer la traction animale. Thomas, qui s'est familiarisé avec la conception d'outils adaptés aux pratiques en agroécologie paysanne par le biais de l'Atelier Paysan, construit, modifie et répare des outils récupérés auprès d'anciens agriculteurs, qui sont ensuite attelés aux deux chevaux de travail. Grâce à la mise à disposition des terrains par Gaëlle, la sœur de Thomas, et les missions d'intérim qu'assure Marie, le jeune couple arrive à auto-financer ses investissements et espère, dans quelques années, pouvoir vivre de son activité.
L'énergie animale, force motrice pour le Beaujolais
Jean-Louis CANNELLE, Auteur ; Pierre MARTINI, Auteur ; Brieg CLODORE, AuteurJean-Louis Cannelle, paysan et formateur au CERRTA, enseigne, depuis de nombreuses années, la traction animale à des agriculteurs, et en particulier des viticulteurs. C'est notamment le cas dans le Beaujolais, région viticole qui accueille, entre autres, le projet Caract'équivigne, qui a pour but d'évaluer l'impact de cette pratique sur l'animal, le sol, l'environnement, mais aussi sur le vigneron lui-même. Pour le formateur, la traction animale est une évolution nécessaire de nos systèmes agricoles pour faire face aux enjeux climatiques, énergétiques et agronomiques. En encart, trois vignerons bio ayant assisté à ses stages pratiques témoignent.
Lauréats et nominés du concours Sival Innovation 2023
BIOFIL, AuteurCet article présente des produits lauréats, ainsi que nominés, au concours Sival Innovation 2023 (Salon Sival Angers). Ces derniers, qui ont concouru dans différentes catégories, sont tous utilisables en agriculture biologique. Cinq d’entre eux font partie de la catégorie « Innovation variétale » : 1 – la pomme verte Canopy ; 2 – la pomme de terre bio Byzance ; 3 – l’oignon Sunions « fini de pleurer » ; 4 – la tomate Roujande ; 5 – le kiwi jaune Haegeum. Cinq autres font partie de la catégorie « Intrants, protection des cultures, fertilisation et substrats » : 1 – la solution Nezapar contre la punaise verte ; 2 – le biostimulant Nurspray contre le stress hydrique ; 3 – le produit Micromus-System contre les pucerons ; 4 - le produit de biocontrôle nématicide Cedroz ; 5 – l’écran physique à l’argile Cle’Flo (crème) pour résister aux stress thermiques et aux insectes ravageurs. Trois autres lauréats et nominés présentés dans cet article appartenaient à la catégorie « Machinisme et automatisme » : 1 – un enjambeur modulaire de maraîchage, développé par Romanesco ; 2 – Skiterre, un outil de désherbage mécanique des cavaillons et des interceps ; 3 – Orio, un porte-outils autonome (robot) pour les cultures légumières et les grandes cultures. Deux autres appartenaient à la catégorie « Services et logiciels » : 1 - Pats-C qui enregistre les mouvements de vol des noctuelles dans les cultures sous abri ; 2 – le Label Energie animale qui valorise la traction animale. Deux autres appartiennent à la catégorie « Solutions pour la production » : 1 – Les Tolériantes, des tomates F1 rouges sélectionnées pour la culture de plein champ ; 2 – Streamline X ReGen, un tuyau goutteur. Le dernier nominé présenté appartient à la catégorie « Démarche collective » : Humival Evolution, un engrais produit dans le cadre de l’économie circulaire.
Lauréats et nominés du concours Sival Innovation 2023 : Sélection Vitisbio
VITISBIO, AuteurCet article présente des matériels, des intrants et des services destinés à la viticulture biologique qui ont été nominés au concours Sival Innovation 2023. Deux d’entre eux appartiennent à la catégorie « Intrants, protection des cultures, fertilisation et substrats » : le biostimulant Nurspray (développé par SUMI AGRO France), qui vise à activer les mécanismes naturels de tolérance au stress hydrique chez les plantes ; et l’écran de protection physique à l’argile Cle’flo (conçu par Vivagro), qui aide les plantes à résister au stress thermique. Deux innovations appartiennent à la catégorie « Machinisme et automatisme » : Skiterre (conçu par la SARL BG), un outil de désherbage mécanique du cavaillon et de l’interceps ; et Wulp (développé par Praysbee), un équipement de pulvérisation adaptable à tous les pulvérisateurs, qui permet de diffuser le produit phytosanitaire au cœur de la vigne. Trois autres innovations appartiennent à la catégorie « Services et logiciels » : le Label Energie Animale « Agricole », qui est géré par la SFET – Société française des équidés de travail ; Vit’LCA (conçu par le groupe ESA), un logiciel en ligne visant à calculer des impacts environnementaux des pratiques viticoles ; l’atlas agroclimatique du Val de Loire (élaboré par Interloire), une plateforme en ligne qui propose une information spatialisée sur l’évolution climatique et ses conséquences sur la vigne dans ce territoire. La dernière innovation appartient à la catégorie « Solutions pour la production ». Il s’agit d’une eau ozonée pour rincer les bouteilles (proposée par Fourage-CTI), qui permet d’éliminer les aromatisations industrielles du verre.
Matériels et intrants – Vu au Sival
VITISBIO, AuteurCet article présente des matériels et des intrants majoritairement destinés à la viticulture et utilisables en agriculture biologique (UAB). Ils ont été exposés lors de l’édition 2023 du Sival (salon dédié aux matériels et aux services pour les productions végétales spécialisées) : 1 – La société Action PIN a développé une gamme de produits contre les stress abiotiques, dont deux sont UAB, à savoir Amalgerol Essence (contre les stress pédologiques) et Syncro-Natural (contre les stress hydriques) ; 2 – Andermatt rappelle les extensions d’usage de son produit Vitisan, un fongicide à base d’hydrogénocarbonate de potassium, qui bénéficie, depuis février 2022, de trente nouveaux usages sur de nombreuses espèces en arboriculture et maraîchage ; 3 – Belhomme met en avant sa tondeuse gyrobroyeuse équipée de deux disques interceps Speedway, qui permet, en un passage, la tonte de l’inter-rang et le désherbage du rang ; 4 – Hippomeca (qui a repris la société Vitimeca) présente sa charrue de buttage de la vigne en traction animale ; 5 – Mycophyto est une start-up, encore au stade de recherche-développement, dont l’objectif est de caractériser et de produire des champignons mycorhiziens arbusculaires indigènes de chaque terroir ; 6 – Naturagriff propose un porte-outil quatre tête pour le désherbage mécanique ; 7 – Solemat présente deux nouveautés : Xosol, un déchaumeur à disques 100 % fabriqué en France, et un vibroculteur V.I.B.S.
Parcours de vignerons : Domaine Cadeillac – Bertrand Henry ; Domaine de l’Anchois – Stéphan Buffille
Frédérique ROSE, Auteur ; Willy KIEZER, AuteurCet article détaille les pratiques de deux domaines viticoles biologiques français. Le premier se situe en Haute-Garonne. Bertrand Henry a créé le domaine de Cadeillac dans un secteur où la culture de la vigne avait été abandonnée. Il s’est installé en 2005, en achetant et en plantant progressivement ses parcelles. Il gère maintenant 15 ha. Seul vigneron installé dans la région, sans conseillers viticoles ni pairs avec qui échanger, il a vite cherché à être le plus autonome possible. Après de sérieux soucis de santé, il est passé en bio (son domaine est certifié bio depuis 2018). Il met également en œuvre des pratiques biodynamiques. Il poursuit l’objectif d’améliorer constamment la qualité de ses raisins et de ses vins. Pour cela, il est retourné aux vendanges manuelles, il a développé la traction animale, renforcé la biodiversité sur son domaine… Il souhaite aussi vendre son vin le plus localement possible. Le second domaine, le Domaine de l’Anchois (7,5 ha de vignes et 5 ha d’oliviers ; certifié bio depuis 2007 et Demeter depuis 2020), est basé dans les Bouches-du-Rhône, à quelques kilomètres de la Méditerranée, sur les rives de l’étang de Berre. Au départ, Stéphan Buffille cultivait des oliviers, des figuiers et faisait du maraîchage. En 2015, il change de production, en plantant, de manière échelonnée, plusieurs parcelles de vignes avec des cépages anciens, résistants à la sécheresse et à l’oïdium. Il a ainsi misé sur l’originalité et la distinction, avec des cépages aromatiques peu cultivés. Son premier millésime a été pressé en 2019. Ce vigneron a choisi de confectionner des vins naturels, en fermentation spontanée, sans aucun intrant, hormis quelques sulfites. Il poursuit aussi l'objectif de limiter le travail du sol et de bien nourrir la terre.
S'adapter ensemble au changement climatique
Le Réseau InPACT Nouvelle-Aquitaine (qui comporte notamment les GAB et les CIVAM de la région) a travaillé, en 2022, à la capitalisation des pratiques mises en place au sein du Réseau, et dans la région, pour s'adapter au changement climatique. Ces mesures d’adaptation ont été pensées avec les paysan·nes et les salarié·es du Réseau, de manière à prendre en compte les spécificités locales (besoins, contraintes, techniques...). Les solutions présentées répondent à deux principaux enjeux : la nécessité d’atténuer les impacts et la nécessité d'adapter les pratiques agricoles. Elles portent sur les thèmes du sol, de l’eau, de la sobriété énergétique, de l'élevage, des semences, de la résilience, de la mutualisation. Les pratiques vertueuses présentées ont des résultats probants : elles restaurent les sols, améliorent la biodiversité et préservent les nappes phréatiques. Elles créent des écosystèmes agricoles aux températures plus basses, résilients aux événements extrêmes et capables de stocker le CO2. Des paysan·nes du Réseau apportent leurs témoignages sur les mesures d'adaptation mises en pratique sur leurs exploitations.
Dossier : Quels outils, pour quels paysans ?
Pascal PAVIE, Auteur ; Pascaline PAVARD, Auteur ; Daniel COUTAREL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré à l'évolution des machines et des outils agricoles. Étant actuellement dans la troisième révolution agricole (automatisation...), certains paysans souhaitent retrouver une autonomie et une créativité pour leurs outils. Les articles qui composent ce dossier traitent des sujets suivants : - le monde-machine et la dépendance du biotope humain à la technologie ; - le retour de la traction animale face à la motorisation ; - le bélier hydraulique, un outil pour remonter l'eau sans électricité ; - la machine et le paysan ; - L'Atelier Paysan : du lien aux machines à l'intérêt général ; Présentation d'outils de l'Atelier Paysan : colonne de tri densimétrique, épandeur maraîcher, four à pain.
Améliorer le travail du sol : Les bio, fer de lance de la traction animale
Tanguy DHELIN, AuteurLe 11 décembre 2020, la filière Cheval Sud a organisé une journée technique sur la traction animale en viticulture. A cette occasion, l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE) a présenté l’étude Equivigne. Cette dernière a été réalisée en partenariat avec l’Institut français de la vigne et du vin (IFV). Son objectif était d’identifier les viticulteurs qui ont recours à la traction équine et de mieux comprendre leurs attentes. Au total, 96 producteurs, répartis sur toute la France, ont été interrogés sur un volet quantitatif, et 36 ont été interrogés sur un volet qualitatif. Les résultats montrent que la majorité des domaines qui ont recours à la traction animale sont en bio : ils représentent 68 % des viticulteurs interrogés. La plupart des viticulteurs font appel à un prestataire (63 %). Les viticulteurs qui font travailler eux-mêmes leurs chevaux ont souvent des domaines plus petits (médiane à 7 ha) que ceux qui font appel à une entreprise extérieure (médiane à 20 ha). Par ailleurs, la traction équine n’est pas assez valorisée : 55 % des utilisateurs n’en tirent aucune valorisation économique. Un autre projet, CaractEquivigne, devrait voir le jour et s’intéresser à l’itinéraire technique de seize domaines viticoles en traction animale.
As veyou l'poré et tous les beaux légumes de Mélanie et Benoit ?
Mathilde RODA, AuteurMembres de Nature & Progrès Belgique, Mélanie et Benoit se sont installés en maraîchage bio en 2011. Leur projet d’installation sur leur ferme « As veyou l’poré » correspond également à un projet de vie, dans le respect de l’environnement, avec des constructions écologiques. Au départ, ils proposaient des paniers de légumes bio ; puis, ils ont travaillé sur commandes et sur les marchés, ainsi qu’en vente directe à la ferme depuis la crise sanitaire, afin de continuer à fournir leur clientèle. Ils développent leur autonomie à travers la production de leurs propres plants maraîchers et font des essais de substrat pour se passer de la fibre de coco et de la tourbe. Leur cheval de trait est aussi un précieux collègue de travail : son fumier composté participe à la fertilisation du sol, et le travail par traction animale (pour remplacer le tracteur) permet de biner sans consommer de carburant. Le couple, porteur des valeurs de Nature & Progrès, s’investit auprès des consommateurs : le marché est l’occasion de partager leur passion et leurs savoirs.
La culture sur buttes, ça vous botte ?
Pierre LEPELLETIER, AuteurEn 1924, dans son « Cours aux agriculteurs », Rudolf Steiner soulignait les bénéfices de la culture sur buttes en matière de fertilité. Récemment, la culture sur billons a suscité de l'intérêt, notamment pour limiter le retournement de la terre. La méthode Kemink, issue de maraîchers allemands, consiste à réaliser plusieurs passages, espacés d’environ deux semaines, avec un outil muni de buttoirs et de socs (cette méthode est détaillée à l’aide de schémas). Elle laisse ainsi le temps à la vie du sol de se réorganiser entre chaque passage, et permet de déstocker les graines d’adventices, tout en mélangeant la matière organique au sol. Ainsi, la réussite de la culture sur buttes réside dans le soin particulier apporté à la vie du sol et au processus de compostage des matières organiques. Autre avantage de cette méthode : elle est particulièrement bien adaptée pour les systèmes maraîchers en traction animale.
J'accueillerais bien un âne : le choisir et en prendre soin
Dans ce livre, Sandrine Lemaire dévoile ses connaissances, fruit de plus de 15 ans d'expérience en tant qu'ânière. Elle offre, dans ce guide, toutes les bases pour bien élever un âne : de la sélection de l’âne, aux installations nécessaires, en passant par les soins et les besoins de l'animal, l’autrice dévoile tout ce qu'il faut savoir sur cet équidé aux grandes oreilles avant de l’accueillir.
Les bio pratiquent en Pays de la Loire : Portraits de fermes bio 2020 : 14 témoignages sur la transition agricole et climatique
14 producteurs.trices bio des Pays de la Loire, dans diverses productions (bovins, volailles, viticulture, arboriculture, maraîchage, céréales), témoignent sur leurs pratiques de transition agricole et climatique. Pour chacun.e, sont présentés : des repères sur le système de production ; des pratiques, techniques ou commerciales ; et les structures qui les accompagnent (structures économiques ou de conseil). Les pratiques abordées concernent : l’autonomie protéique en élevage, le remplacement de la paille par des plaquettes de bois, la biodiversité, l’adaptation du travail du sol, l’adaptation au changement climatique, la relocalisation des filières, l’implication dans les filières longues...
Dossier : Parcours de vignerons
Claire KACHKOUCH SOUSSI, Auteur ; Frédérique ROSE, AuteurLes vignerons biologiques ajustent sans cesse leurs pratiques pour obtenir des raisins de qualité. Ce dossier détaille les pratiques de deux domaines biologiques français. Dans les Bouches-du-Rhône, le Domaine Grand Boise est situé au cœur d’un massif forestier méditerranéen riche en biodiversité. Il est composé de 40 ha (dont 33 plantés en vigne), est géré en biodynamie et associe viticulture, sylviculture, élevage et restauration-hébergement. Jean Simonet est à sa tête depuis 2012. Ses principaux objectifs sont de restructurer le vignoble et de faire face au manque d’eau. Au chai, il essaye d’optimiser la fabrication du rosé et de mettre en avant le rouge de Provence. Il valorise ses vins en AOC côtes-de-provence Sainte-Victoire (80 %) et côtes-de-provence (20 %). Noëlla Morantin est, quant à elle, localisée à Pouillé, dans le Loir-et-Cher. Elle s’est installée en 2009 et a acquis des vignes conduites en bio depuis 1991. Son domaine comprend 6 ha et elle achète les raisins produits par deux voisins bio sur 3 ha. Son domaine est tourné essentiellement vers le blanc : 75 % de sauvignon (du romorantin est en cours de plantation). Elle produit aussi un peu de rouge : gamay et cabernet sauvignon (en cours d’arrachage). Ses crédos sont l’autonomie de son domaine, des vins de qualité et les plus naturels possible. Son système repose sur une bonne gestion de l’herbe, une fertilisation minimale et une taille Guyot Poussard.