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Gersycoop, coopérative de céréales et oléoprotéagineux : Un nouveau silo dédié à la bio
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurNée en 2008, la coopérative Gersycoop est détenue par 1 000 agriculteurs gersois, dont 180 producteurs biologiques. Les surfaces bio de cette coopérative ont doublé en trois ans. Elles se sont maintenant stabilisées. Les céréales et les oléoprotéagineux biologiques représentent 8 000 hectares, soit 20 % de la sole totale des adhérents. Gersycoop était déjà équipée d’un silo de 5 000 tonnes dédié aux récoltes biologiques, mais sa capacité de stockage est vite devenue trop limitée. En 2019, la coopérative a décidé d’investir dans une nouvelle installation destinée à la bio, avec séchage et tri des grains. Ce nouveau site est devenu opérationnel en juin 2022 et a pu accueillir les récoltes de cette campagne. Pour s’adapter à la multiplicité des cultures bio (l’une des spécificités de l’agriculture biologique), dont certaines sont collectées en très petits volumes, ce nouveau silo, d’une capacité de 10 200 t, est constitué de 16 cellules de 400 t, 16 autres de 200 t et 6 de 100 t. L’investissement, de 7 M€, a obtenu un financement de 635 000 € du Fonds Avenir Bio (géré par l’Agence BIO) dans le cadre du Plan de relance. Une partie des graines récoltées par la coopérative est destinée à l’alimentation humaine, et une autre à l’alimentation animale. Gasco, fabricant d’aliments pour les animaux de compagnie et filiale de Gersycoop, écoule notamment 10 % des volumes. Certaines références proposées par Gasco viennent d’être labellisées Biopartenaire (démarche de commerce équitable).
Nouveautés
BIOFIL, AuteurBiofil présente quatre nouveaux produits utilisables en bio. Deux d’entre eux sont destinés aux productions végétales : 1 – l’entreprise SPN Agrobio propose une large gamme de solutions alternatives, notamment des préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP), à usage biostimulant, ainsi que des produits à base de chitosane fongique (éliciteur naturel des plantes avec des effets bactéricides et fongicides) ; 2 – Koppert France a développé Lovell, une huile paraffinique contre les ravageurs des vergers (produit de biocontrôle contre les pucerons, acariens, psylles et cochenilles, applicable en fruits à pépins et en fruits à noyau). Les deux autres produits sont destinés à l’élevage : 1 – Naturivia a développé un composé analogue de la vitamine D3 (vitamine qui participe à la fixation du calcium et du phosphore), nommé D3-Like, qui est plus stable dans le temps, et qui peut être utilisé pour la fabrication d’aliments complémentaires à base de calcium et de phosphore ; 2 – Theos fabrique des bolus et des comprimés sur mesure pour les ruminants.
Sommet de l'Elevage 2023 : Parcours bio : Guide des exposants ayant une activité en agriculture biologique ; Programme des conférences bio
Ce guide "Parcours bio" recense les exposants ayant une activité en agriculture biologique et présents au Sommet de l’Élevage en octobre 2023. Une grande variété de professionnels et d'acteurs de la bio (conseil, collecte, transformation, formation, recherche, coopératives, matériel...) y figurent, ainsi que leurs coordonnées.
Œuf bio : face cachée du retour à l’équilibre du marché
Frédéric RIPOCHE, AuteurDepuis septembre 2022, un certain équilibre s’est opéré sur le marché de l’œuf bio. Certains éleveurs bio sont, en effet, repassés en poules plein air (conventionnel) ou sous d'autres labels, et d’autres ont cessé leur activité. La baisse du nombre d’éleveurs de poules pondeuses en agriculture biologique s’explique, en partie, par la nouvelle réglementation biologique,avec l’entrée en vigueur d’une alimentation 100 % bio des poules au 1er janvier 2022 (alimentation moins qualitative d’un point de vue nutritionnelle, qui engendre en moyenne 20 œufs de moins par poule et des œufs de plus petit calibre), ainsi que par une hausse du coût des aliments (200 €/t) et du prix des poulettes (2 €/poulette). La production est donc moins rentable. L’épidémie de grippe aviaire a aussi impacté la filière, qui pourrait continuer à perdre des éleveurs. La situation de la filière œuf bio pourrait impacter le secteur des grandes cultures et les fabricants d’aliments, sachant que les poules pondeuses tirent le marché de l’alimentation animale biologique.
Production d'aliments composés bio : La nutrition animale en repli
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurAprès une croissance continue depuis 2015, la production d’aliments composés biologiques destinés à l’alimentation animale a enregistré une baisse de 12 % au premier semestre 2022. La production avait atteint un pic en 2021. L’aliment volaille représentait alors 74 % des volumes, porté pour trois quarts par les poules pondeuses. Pour répondre à cette forte demande, les fabricants d’aliments du bétail avaient innové et investi, notamment dans des unités de trituration. En 2022, la tendance s’est renversée, en raison des multiples difficultés rencontrées par les élevages. Ces derniers doivent en effet faire face à la baisse de consommation des ménages, à la grippe aviaire (pour la filière volaille), ainsi qu’à la hausse du prix de l’énergie et des aliments. En effet, les fabricants d’aliments du bétail ont dû répercuter l’envol du prix des matières premières agricoles (notamment du soja) et le surcoût lié aux formulations 100 % bio. Le prix de l’aliment bio a ainsi augmenté de 25 à 30 % depuis début 2021. Les éleveurs bio achètent donc moins d’aliments. Certains revoient même leur stratégie alimentaire. En complément de cet article, un tableau détaille l’évolution de la production d’aliments composés bio en France, pour les différentes productions animales, entre 2019 et 2022 (données détaillées par semestre).
Sommet de l'Elevage 2022 : Parcours bio : Guide des exposants ayant une activité en agriculture biologique ; Programme des conférences bio
Ce guide "Parcours bio" recense les exposants ayant une activité en agriculture biologique et présents au Sommet de l’Élevage en octobre 2022. Une grande variété de professionnels et d'acteurs de la bio (conseil, collecte, transformation, formation, recherche, coopératives, matériel...) y figurent, ainsi que leurs coordonnées.
Vu à LTNM ; Vu au Space 2022 ; Vu au Sommet de l’Élevage
BIOFIL, AuteurCet article présente des nouveautés (utilisables en bio) vues lors des salons professionnels de l’automne 2022. Quatre d’entre elles ont été repérées à La Terre est Notre Métier : 1 – le réseau GAB-FRAB Bretagne a édité un guide de 120 pages « Produire de l’herbe biologique en Bretagne » ; 2 – le groupe coopératif Innoval accompagne les éleveurs et notamment les éleveurs bio grâce à douze conseillers spécialisés bio ; 3 – le fabricant de matériel Farmet propose des outils de transformation des graines et essaye de promouvoir l’extrusion à la ferme ; 4 – le fabricant de minéraux Néolait (spécialisé dans la nutrition pour les ruminants) propose une gamme UAB. Huit autres nouveautés ont été vues au Space : 1 – Altilis propose des farines de tagète (œillet d’inde) bio pour l’alimentation animale ; 2 – Biodevas présente la biosolution Sinea pour favoriser le démarrage des porcelets ; 3 – Biomat apporte des informations sur ses antiparasitaires à large spectre ; 4 – Eurodynam propose des aliments complémentaires et des minéraux pour améliorer l’immunité et faciliter les vêlages ; 5 - la SARL Fourrages de Vienne développe du négoce de luzerne bio ; 6 – Limagrain ingrédients présente un nouveau produit bio, BabyCorn Milled, utilisé majoritairement dans l’aliment des porcelets ; 7 – Natual met en avant Taritral, une solution pour le tarissement des ruminants ; 8 – Porman propose des solutions pour mieux gérer le stress oxydatif des animaux et des cultures. Au Sommet de l’Élevage, Cizeron bio (fabricant en nutrition animale bio) a proposé un nouveau concept de rationnement, basé sur la valorisation de l’énergie fourragère et de la qualité des fibres dans les rations des vaches laitières.
Dossier : Poulettes et pondeuses : Avancer… sans se faire plumer
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe 1er janvier 2022 verra l’entrée en vigueur de l’alimentation 100 % bio des poules pondeuses et de l’élevage plein air des poulettes (au moins un tiers de leur vie), le tout en lien avec le nouveau règlement bio européen. D’importants changements qui, même « si on en parle depuis longtemps », posent des questions liées aux défis techniques et aux surcoûts que cela engendre (+12% a minima pour une poulette et +14 % pour les œufs, soit + 2.30€/100 œufs boîtables, selon une étude de septembre 2020 de l’Itavi). Or, ces changements interviennent dans un contexte difficile de hausse des coûts et de baisse nette des ventes. Comment répercuter ces surcoûts, alors que le prix de l’œuf bio est plutôt à la baisse et que l’on voit augmenter les cas de déclassements ? A partir de témoignages d’experts, de responsables de filières, d’agriculteurs, de coopératives ou encore de fabricants d’aliments, ce dossier dresse un état des lieux des enjeux en cours pour ces filières et pour leur avenir. Il revient aussi sur les points-clés du nouveau règlement bio européen. Ce dossier illustre la diversité des actions ou des solutions mises en œuvre, avec des exemples en filières longues ou plus locales, ou encore en matière de fabrication d’aliments. Cette situation questionne la filière et ses stratégies, dans un contexte de forte concurrence. Un des experts interviewés conclut : « L’ensemble des opérateurs, éleveurs, couvoirs, fabricants, centres de conditionnement et distribution doivent accepter les investissements nécessaires à la bonne stabilité de la filière ».
Moulin du Poher, dans le Finistère : « La nouvelle réglementation aura des impacts très significatifs »
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe fabricant d’aliments pour animaux Moulin du Poher (Provimi France), basé dans le Finistère, est engagé dans la bio depuis 1996. Actuellement, il produit 50 000 tonnes d’aliments bio par an. Il est engagé sur toutes les filières animales, bien que les trois quarts des aliments bio soient destinés aux poules pondeuses. Dans cet article, François Boucher, responsable aliments biologiques dans cette entreprise, et Sarah Poirot, chef de produit volaille chez Provimi France, évoquent les impacts de la suppression de la dérogation autorisant jusqu’à 5 % de protéines non bio dans les formules pour monogastriques. Ils expliquent plus particulièrement les incidences sur les aliments pour poulettes et pondeuses bio (déséquilibre dans les apports d’acides aminés soufrés, augmentation des protéines, baisse des performances zootechniques…), ainsi que sur les évolutions d’utilisation des matières premières (le maïs sera moins recherché que les céréales à paille). Ils évoquent également l’impact d’un autre changement dans la réglementation : la baisse de la part de cultures en C2 (cultures en deuxième année de conversion) de 30 à 25 % dans les aliments bio. Afin de se préparer à ces divers changements, Moulin du Poher réalise des essais longue durée avec des rations 100 % bio.
Nutrition animale : Cizeron anticipe l’avenir
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurCizeron Bio, pionnier en nutrition animale bio, situé dans la Loire, continue à développer sa micro-alimentation à base de noyaux protéiques (innovation développée par ce fabricant d’aliments). Comme les protéines bio sont de plus en plus rares et chères, Cizeron Bio a travaillé, dès 2012, sur la mise au point d’un noyau protéique concentré, obtenu à partir d’une diversité de matières premières et de technologies spécifiques. Ce noyau est incorporé à hauteur de 20 % dans les formules des aliments, ce qui permet d’obtenir une gamme d'aliments ciblés et de diminuer l’utilisation de soja (ce dernier n’entre que dans 9 % des achats de matières premières de Cizeron Bio). En 2020 et 2021, Cizeron Bio a réalisé de nouveaux investissements avec l’aide du fonds Avenir Bio : il a augmenté ses capacités de stockage en matières premières et a élargi les sources de protéines entrant dans la composition de ses aliments. Ainsi, en plus des pois, de la féverole, du lupin et des tourteaux de sésame, tournesol, lin et cameline, il utilise des coproduits régionaux, comme les drêches, les issues de triage des protéagineux, les Pat (protéines animales transformées), ainsi que les amidons déjà précuits.
Dossier : Alimentation 100 % bio des monogastriques : Un défi… avec encore des freins à lever
Frédéric RIPOCHE, AuteurPour les monogastriques bio, une alimentation 100 % bio sera bientôt la règle, à l’entrée en application du nouveau règlement européen, avec encore une dérogation jusqu’en 2025 pour les jeunes animaux. Les acteurs de ces filières se sont emparés de cette question depuis longtemps : les avancées sont nombreuses, certains ont même passé le cap du 100 % bio, mais les défis restent nombreux. Quid des performances ? Quels défis techniques ou organisations pour les fabricants ? Quelles sources de protéines et quelle origine géographique pour ces dernières ?... En s'appuyant sur des témoignages de responsables, de fabricants ou encore d’éleveurs, ce dossier fait le tour de la situation. Les solutions mises en place, ou en cours de test, sont diverses et elles apportent plus de cohérence face aux demandes sociétales. Il faut aussi tenir compte du défi d’un approvisionnement local, France tout au moins. Le 100 % bio fait bouger les lignes. Il sous-entend notamment une grande diversité de matières premières bio, en lien avec les assolements, au lieu du seul soja. Il amène aussi à repenser les logiques d’élevage, notamment en pondeuses : il ne faut peut-être pas chercher à faire comme « avant » et envisager des repères d’élevage différents (pic de ponte à des âges différents, par exemple, ou des souches de pondeuses plus rustiques), d’autant plus qu’il faudra tenir compte des nouvelles règles du futur cahier des charges en termes d’accès à l’extérieur et de parcours pour les monogastriques.
Groupe Michel et Biomat : Renforcer le segment bio
Ermeline MOURAUD, Auteur ; Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLe Groupe Michel, en Ille-et-Vilaine, est un acteur familial et indépendant qui intervient dans plusieurs filières animales. Il déploie, depuis les années 2000, une stratégie de segmentation qualitative et confirme de plus en plus son engagement dans la bio. L’entreprise a commencé à développer un segment bio en 2010 avec la production de poulettes et la création, en 2016, de la filière M’Bio qui regroupe 32 producteurs d’œufs bio (filière longue). En 2018, l’entreprise a commencé une activité de porcs bio qui regroupe six éleveurs. Comme le Groupe souhaite atteindre 5 % de son CA en bio, il lance, en 2019, une nouvelle offre de produits et de services (LV’Direct) destinée aux producteurs en vente directe d’œufs bio. Début 2020, le Groupe Michel acquiert Biomat. Cette société, basée en Loire-Atlantique, est l’une des sociétés pionnières en France de fournitures spécialisées en agriculture biologique. Cette acquisition permet au Groupe Michel d’apporter, aux éleveurs, des solutions durables sur les parties végétales. Cet achat sécurise également l’approvisionnement de sa future usine de fabrication d’aliments bio, prévue pour 2021 en Ille-et-Vilaine. Infeed, une autre société du Groupe Michel, spécialisée dans le développement de solutions nutritionnelles pour les animaux d’élevage, cible aussi la bio, comme le montre son nouveau produit (Solubird) qui optimise le démarrage des volailles en AB.
Nouvelle usine de trituration : Oléosyn Bio vise 35 000 tonnes de graines
Frédéric RIPOCHE, AuteurA Thouars, dans les Deux-Sèvres, une nouvelle usine de trituration dédiée à la bio a démarré son activité, le 8 juin 2020, située sur une ancienne fabrique d’aliments Sanders. Elle est le fruit d’un projet, mené par la coopérative Terrena et le groupe Avril, dont l’objectif est de structurer et de développer la production de tourteaux et d’huiles bio origine France. Terrena a ainsi apporté son expertise en nutrition animale et Avril, son expertise sur les filières oléoprotéagineuses. Cette usine devrait écraser près de 35 000 tonnes de graines de soja, tournesol et colza d’ici 2023. Un système de contractualisation sur trois ans est mis en place entre tous les maillons de la chaîne : agriculteurs, collecteurs, fabricants d’aliments et huiliers. Ces contrats pluriannuels permettent de garantir des prix minimums. Terrena est le principal collecteur impliqué dans ce projet, mais d’autres coopératives du Sud-Ouest de la France vont également approvisionner cette usine (les importations sont minoritaires dans ce projet qui vise à développer la filière française).
Nutrition animale : Caste se lance dans l'aliment bio
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurCaste Aliment est une entreprise familiale de fabrication d’aliments pour les animaux, implantée à Mirandol, dans le Tarn, depuis les années cinquante. Son dirigeant, Grégory Rossignol, présente la montée en puissance prévue pour ses aliments bio, grâce au rachat, en 2019, d’un site de production à Naucelle, dans l'Aveyron. Ce dernier, d’une capacité de 10 000 à 12 000 tonnes, va être modernisé pour améliorer la traçabilité et l’automatisation. Une formulation 100% bio est en cours de préparation. Pour son approvisionnement en matières premières biologiques, l’entreprise travaille en direct avec des agriculteurs dans un rayon de 120 km, ainsi qu’avec des fournisseurs régionaux. Pour Grégory Rossignol, l’ancrage dans le territoire et l’écoute des besoins des éleveurs sont fondamentaux.
L'Ufab inaugure un nouveau silo : Sécuriser et développer la collecte
Frédéric RIPOCHE, AuteurL’Ufab est un fabricant d’aliments bio pour animaux. Il est basé en Ille-et-Vilaine et produit près de 95 000 tonnes d’aliments par an, principalement pour poules pondeuses, porcs et ruminants. Depuis trois ans, sa croissance annuelle est de 15 %. Comme son silo de 6 000 tonnes arrivait à saturation, l’Ufab a investi 7 millions d’euros dans un nouveau silo (dont 1,5 million subventionné par la Région et l’Europe, dans le cadre des fonds Feader). Ce dernier a une capacité de 12 000 tonnes, ce qui correspond à un potentiel de 4 000 hectares. Ce silo est automatisé et est géré par deux salariés. Il a été conçu pour stocker une multitude de matières premières biologiques et en C2. Il possède vingt cellules à fond plat et cinq boisseaux de travail ventilés qui servent de stockage temporaire. La détection d’insectes (type charançon) est un motif de refus. Toutefois, ce site a été conçu pour gérer de manière indépendante d’éventuels lots infectés grâce à sa tour de séchage. Ces lots peuvent ainsi être nettoyés, puis stockés (s’ils deviennent conformes) sans contaminer le reste du site. Pour autant, le nettoyage par les agriculteurs reste indispensable.