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Approche technico-économique des exploitations ovines allaitantes en agriculture biologique du Massif Central : 3ème année de suivi : Résultats des campagnes 2014, 2015 et 2016
Cette synthèse présente les résultats du projet BioRéférences, issus du suivi du réseau de fermes ovins viande bio sur le Massif Central. Les résultats structurels, techniques et économiques des campagnes 2014, 2015 et 2016 sont présentés. Une comparaison est faite avec les systèmes conventionnels et les composantes de la marge brute par brebis ou du résultat courant sont détaillées. Ce projet est porté par le Pôle AB Massif Central.
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Approche technico-économique des exploitations ovines allaitantes en agriculture biologique du Massif Central : 4ème année de suivi : Résultats des campagnes 2017 ; Comparaison 2017 et 2016
Cette synthèse présente les résultats du projet BioRéférences (porté par le Pôle Bio Massif Central) issus du suivi d'un réseau de onze fermes ovines allaitantes bio sur le Massif Central. Cet échantillon compte six fermes situées en zone herbagère et cinq en zone de montagne. Les résultats structurels, techniques et économiques de la campagne 2017 sont présentés et comparés à ceux de la campagne 2016, avec notamment une présentation des coûts de production. Ces derniers ont été, en moyenne, en 2017, de 19,1 /kg de carcasse pour les systèmes herbagers et de 24,6 /kg de carcasse pour les systèmes de montagne. Pour tous, ces résultats sont supérieurs à ceux obtenus en 2016.
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Approche technico-économique des exploitations ovines allaitantes en agriculture biologique du Massif Central : 5ème année de suivi : Résultats de la campagne 2018 ; Comparaison pluriannuelle
Cette synthèse présente les résultats du suivi d'un réseau de dix fermes ovines allaitantes bio sur le Massif Central dans le cadre du projet BioRéférences, porté par le Pôle Bio Massif Central. Cet échantillon comptait, pour cette campagne 2018, cinq élevages herbagers et cinq élevages de montagne. Les résultats structurels, techniques et économiques de la campagne 2018, ainsi que leur évolution sur cinq années (2014 à 2018) sont présentés, et quelques éléments de comparaison avec un échantillon d'élevages conventionnels suivis dans le cadre d'Inosys-Réseaux d'élevage sont apportés. Les impacts de la sécheresse de 2018 sont bien visibles avec, pour certains élevages, des problèmes de reproduction et/ou de mortalité.
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Approche technico-économique des exploitations ovines allaitantes en agriculture biologique du Massif Central : Résultats des campagnes 2014 et 2015
Cette synthèse présente les premiers résultats du projet BioRéférences issus du suivi du réseau de fermes ovins viande bio sur le Massif Central. Les résultats structurels, techniques et économiques des campagnes 2014 et 2015 sont présentés. Une comparaison est faite avec les systèmes conventionnels et les composantes de la marge brute par brebis ou du résultat courant sont détaillées.
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CASDAR Agneau BIO : premiers résultats
Élise SCHEEPERS, AuteurDepuis 2012, dans le cadre de financements CasDar, un projet sur la question de l'Agneau bio (projet Agneau Bio) est en cours avec deux objectifs : i) améliorer l'efficacité commerciale via la construction d'un observatoire national et la création d'un outil d'aide à la décision et, ii) améliorer la durabilité de la production au travers du suivi de fermes (avec à terme la description de cas concrets par bassin de production) et l'analyse du cycle de vie. Après le suivi à ce jour de 49 fermes sur onze régions, dont une dizaine en ovins lait, certains premiers résultats peuvent être mis en avant : la diversité des systèmes, aussi bien en termes de SAU, d'effectifs, d'ateliers présents sur l'exploitation ou encore de type de produits obtenus. Globalement, la productivité économique par animal est assez basse, mais la faible consommation de concentrés, même s'il existe des variations entre exploitations, est un point fort de ces systèmes. Au final, au niveau économique, les marges des ateliers varient fortement, les systèmes avec un atelier granivore semblant avoir une meilleure efficacité économique.
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CEDABIO : Contributions environnementales et durabilité socio-économique des élevages en agriculture biologique
Loïc MADELINE, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur ; Erika MOUSSEL, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2013
Réalisé sur la période 2009-2012, le projet CasDar CEDABIO a suivi 144 élevages bovins, dont la moitié en AB, (96 exploitations laitières et 48 allaitantes), pour étudier leurs contributions environnementales et leur durabilité socio-économique. Les fermes étaient étudiées par paire, une exploitation conventionnelle / une exploitation en AB, présentant toutes deux des caractéristiques comparables (même zone, surface ou type de production comparables ). L'étude s'est faite selon trois axes, piliers de la notion de durabilité : les axes économique, social et environnemental. Parmi les résultats les plus significatifs, figurent l'efficacité des élevages biologiques en termes de bilan des minéraux, de consommations d'énergie, de performance économique (surtout en élevage laitier) ou encore dans l'utilisation des produits sanitaires d'élevage ou phytosanitaires. Par contre, il n'a pas été mis en évidence de différence significative entre AB et conventionnel en termes de ressenti de travail, de bien-être animal et de biodiversité au sens de la présence d'éléments agro-écologiques (le territoire semble être un facteur plus déterminant que le type d'agriculture pour ce critère). L'étude montre que, pour les déchets, la volonté de l'éleveur et la présence de filières de recyclages sont des éléments très déterminants, même si certains types de déchets (ex : les sacs de produits phytosanitaires) sont très peu présents sur les élevages biologiques.
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Comment les éleveurs laitiers normands sadaptent aux fluctuations ?
Cédric GARNIER, Auteur ; Florine GERVAIS, Auteur ; Laurence FOS, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2018
La question de la résilience des élevages bovins lait est dimportance dans un contexte daléas économiques et météorologiques forts. Mais les exploitations ne sont pas impactées toutes de la même manière, comme le montrent des résultats issus du suivi de fermes normandes. Dans létude présentée ici, il a été fait le choix didentifier les fermes les plus résilientes en sappuyant sur le niveau de rémunération moyen sur 7 années par unité de main duvre exploitant. Sur les systèmes bovins normands, en sappuyant sur ce critère, on note des écarts parfois très importants pour un même type de système. On observe, sur les systèmes les plus résilients, divers points communs : une productivité de la main duvre globalement plus élevée, tout comme les performances techniques. Lautonomie est aussi un atout au moins pour les systèmes spécialisés ou mixtes lait-viande. Mais, au-delà de ces éléments, il y a diverses voies explorées par les éleveurs les plus résilients. Cest ce que montrent trois témoignages dagriculteurs, un en AOP Normande, un en cours de conversion bio et un troisième en AB depuis 15 ans. Le premier a fait le choix de rester dans lAOP en intégrant plus de vaches normandes dans le troupeau pour respecter lévolution du cahier des charges. Le second sappuie sur la diversification, un suivi technique poussé et des investissements raisonnés. Le dernier, en AB, maximise le pâturage avec une conduite en 2 lots.
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La conversion à l'agriculture biologique : plus qu'un changement de pratiques
Alexandra BARON, Auteur ; Guillaume MICHEL, AuteurSuite au pic de conversions en bovins lait observé dans les années 2009 et 2010, le réseau GAB-FRAB de Bretagne s'est engagé dans le suivi pluriannuel de 15 fermes en conversion, des systèmes souvent éloignés des fermes bio « historiques ». L'article présente les grandes tendances identifiées après trois années de suivi. Tout d'abord, les systèmes étudiés sont allés globalement vers une désintensification (notamment moins de maïs). De nouvelles pratiques sont observées, comme l'ensilage (d'herbe surtout) en quantité en décembre, janvier et février. Economiquement, la majorité des fermes voient leurs résultats se maintenir, voire augmenter en fin de conversion. Cette étude s'est aussi focalisée sur des aspects sociaux, montrant, par exemple, l'importance du regard des autres (famille et voisins) au moment de la conversion, les avantages que peut trouver un agriculteur à échanger (visites, rencontres) et à prendre du recul (congés) dans la réussite de son projet bio. Au final, la conversion amène à des changements profonds, aussi bien techniques, économiques que sociaux.
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Conversion des fermes laitières : Des fermes plus vulnérables pendant cette période ?
Niels BIZE, AuteurEn 2009, le réseau GAB-FRAB de Bretagne lançait une étude sur lévolution de 14 élevages bovins laitiers suivis sur 5 années : 1 an avant la conversion, 2 ans pendant la conversion et 2 ans après la conversion. Les données recueillies alors ont fait lobjet dune étude complémentaire en 2017 sur la vulnérabilité de ces mêmes fermes. Cet article est le premier dune série de 2 présentant les résultats obtenus. Parmi ces derniers, on peut noter que la sensibilité aux aides ou encore le contexte climatique et économique ne sont pas des indicateurs permettant de caractériser la vulnérabilité économique des fermes suivies. Les indicateurs de pratiques délevage sont les seuls paramètres réellement discriminants. Ainsi, la principale conclusion à retenir est : lévolution vers des systèmes plus pâturants, ainsi que la robustesse économique avant conversion sont les facteurs principaux diminuant la vulnérabilité économique des systèmes bovins lait en phase de conversion.
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Coûts de production en élevage : Connaître votre coût de production, un incontournable pour prendre les bonnes décisions sur votre exploitation délevage
En élevage, la connaissance et lanalyse des coûts de production sont de véritables outils pour prendre des décisions. Ce document synthétise les résultats technico-économiques délevages situés dans le Puy-de-Dôme qui ont reçu des formations sur les coûts de production et sur lesquels un suivi a été réalisé durant lhiver 2019/2020. Parmi ces différents systèmes délevage (bovins viande, bovins lait, caprins et ovins viande), une catégorie concerne lélevage bio : exploitations bovines laitières avec vente en laiterie. Les coûts de production sont calculés sur 10 fermes, dont 7 sont en conversion récente. Les caractéristiques moyennes de ces fermes sont fournies : nombre de vaches (51), lait livré/VL (5806 l), chargement (0,91) ; ainsi que les coûts de production (841 avec une rémunération à 2 SMIC) et les produits (793 avec les aides). Dans le groupe, la rémunération des exploitants est en moyenne de 1,7 SMIC.
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Dossier Élevage : Coûts de production des élevages biologiques de Poitou-Charentes en production de viande bovine : Résultats 2012 et 2013
Marie BUARD, AuteurCe dossier présente la synthèse des résultats issus de fermes suivies par 3 réseaux de Poitou-Charentes (Chambre d'agriculture, GAB et CIVAM) sur les coûts de production des élevages de bovins allaitants bio. Ce travail montre la diversité des résultats observés en système allaitant biologique en Poitou-Charentes en 2012 et 2013 et situe ces résultats par rapport aux cas-types des réseaux d'élevage. Les principes et règles de calcul des coûts sont indiqués. Les résultats sont ensuite exposés.
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Le dossier du mois : Anne Le Brigant : Elle élève ses moutons guidée par lexpérience déleveurs bio et non bio ; Agneaux Bio : Une production en quête de références
Antoine BESNARD, Auteur ; Vincent BELLET, AuteurAnne Le Brigant, éleveuse bretonne qui sest installée en ovins viande bio en 2015, a dû faire face à un manque de références technico-économiques en ovins biologiques. Cela la gênée dans son projet (difficulté accrue à se projeter), même si elle a pu, et peut encore, sappuyer sur dautres éleveurs, bio ou non. En plus de lexpérience de ces derniers, elle lit beaucoup ou fait de nombreuses recherches sur Internet. Le projet CasDar « Agneaux Bio Développement concerté et durable de la production dagneaux biologiques » a travaillé à répondre à ce manque, notamment en constituant un réseau délevages sur dix régions en production allaitante (Lorraine, Centre, Auvergne, Limousin, Pays de la Loire, Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées, Rhône-Alpes, PACA) et deux bassins laitiers (Roquefort et Pyrénées Atlantiques). Les références issues de ce réseau portent sur les résultats techniques, socio-économiques et environnementaux (ces derniers non présentés dans l'article). Les résultats ont été exposés en septembre dernier au salon La terre est notre métier. En premier lieu, il existe une forte variabilité (entre territoires, entre systèmes et entre systèmes comparables). Cependant, globalement, on peut noter des performances techniques et économiques légèrement moindres en ovins allaitants biologiques quen conventionnel, mais un temps disponible semblant plus élevé. En ovins lait, les résultats technico-économiques sont plus en faveur de la bio.
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Dossier : Des repères pour une meilleure rémunération du travail
Vincent BELLET, Auteur ; Sabine DELMOTTE, Auteur ; Carole JOUSSEINS, Auteur ; ET AL., AuteurPour que les ateliers ovins viande rémunèrent correctement le travail des éleveurs, il faut que leurs coûts de production soient maîtrisés. Dans lobjectif détablir des repères techniques et économiques à léchelle nationale, les coûts de production des fermes de référence du dispositif Inosys-Réseaux délevage (observatoire commun aux Chambres dagriculture et à lInstitut de lélevage) ont été analysés. Pour cela, les exploitations ovines ont été classées en quatre grands groupes : pastoraux (fermes pour lesquelles les parcours jouent un rôle primordial dans lalimentation des ovins) ; herbagers des zones pastorales ou de montagne (fermes pour lesquelles les parcours sont absents ou minoritaires, avec un chargement inférieur à 1,4 UGB/ha de surface fourragère) ; herbagers des zones herbagères ou de plaines (fermes avec un chargement inférieur à 1,4 UGB/ha de surface fourragère) ; fourragers (fermes avec un chargement supérieur à 1,4 UGB/ha de surface fourragère). Ce dossier apporte des références technico-économiques pour chacun de ces groupes en détaillant leurs coûts de production et leurs produits.
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Elevages Optilait : la campagne 2012 passée au peigne fin
P. PERGUET, AuteurLes résultats 2012 des 651 élevages en suivi Optilait dans l'Aveyron sont analysés, en distinguant les 9 élevages en agriculture biologique. D'une manière générale, pour tous les élevages suivis, les taux de cellules sont encore trop élevés et le prix du lait est en baisse. Les élevages bio suivis présentent un chargement moyen de 1 UGB/ha de SFP et cultivent peu de maïs. Ils produisent 5 782 l/VL en moyenne, commercialisés plus chers qu'en conventionnel. Le prix du concentré est aussi plus élevé. La marge sur coût alimentaire des élevages biologiques est bien supérieure à celle des élevages conventionnels. Les indicateurs de reproduction bio sont dans la moyenne du suivi Optilait, mais le potentiel génétique n'est pas entièrement valorisé. Un tableau récapitulatif donne les résultats des élevages par petite région agricole, des élevages biologiques et des élevages équipés d'un robot de traite. On y retrouve le profil des élevages et des résultats concernant la production, la conduite, la reproduction, la génétique et l'économie.
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Engraissement à l'herbe : Des expériences existent !
CIVAM DU HAUT BOCAGE, AuteurEntre le découplage des aides, la hausse du cours des céréales et la baisse de celui des broutards, la filière bovine allaitante se trouve fragilisée. Le Civam du Haut Bocage dans le Nord Deux-Sèvres s'est ainsi engagé, en partenariat avec 11 exploitations, dans un projet d'engraissement de taurillons de huit mois au pâturage, avec un suivi technico-économique. L'objectif est d'évaluer la faisabilité et la rentabilité d'un tel système et de le comparer avec les systèmes à l'auge. En 2007, 45 vaches, 22 génisses et 15 taurillons ont été installés en pâturage tournant. Les éleveurs sont satisfaits et la faisabilité vérifiée. En 2008, plus de 100 animaux répartis sur 15 fermes seront suivis. Une expérience similaire menée sur le lycée agricole de Bressuire est rapportée, avec les caractéristiques de l'exploitation et de la conduite du troupeau, ainsi que les résultats technico-économiques. Un éleveur témoigne ensuite de sa pratique, il insiste sur l'importance d'une bonne gestion des prairies et sur l'intérêt des prairies à flore variée. Ce système est pour lui une véritable opportunité pour les engraisseurs et devrait être amené à se développer.