Thésaurus
Documents disponibles dans cette catégorie (23)


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
Evolutions en élevage biologique
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurLe nouveau règlement européen biologique 2018/848 (Annexe II, partie 2, point 1.4.1g) introduit une restriction vis-à-vis des aliments dallaitement utilisés en remplacement du lait maternel chez les ruminants. Désormais, ces aliments ne pourront plus contenir de composants de synthèse ou dorigine végétale. Les aliments dallaitement contenaient jusqualors souvent des matières grasses végétales (souvent issues de tournesol, de coprah ou en encore de colza biologiques) afin de ré-engraisser la poudre de lait écrémée. Des fluidifiants étaient aussi ajoutés pour pouvoir utiliser ces aliments dans des machines dallaitement sans obstruer les matériels.
![]()
![]()
Phase lactée des chevrettes en agriculture biologique : Etat des lieux des pratiques des éleveurs
Philippe DESMAISON, AuteurSuite aux évolutions du cahier des charges de l'agriculture biologique, qui préconise aujourdhui de nourrir de préférence les animaux non sevrés avec du lait maternel ou, à défaut, avec du lait bio dune autre mère, dune autre espèce, ou encore avec du lait en poudre bio sans composant de synthèse ou dorigine végétale, une enquête a été réalisée l'hiver 2021-22, auprès déleveurs caprins bio sur leurs pratiques et sur les freins à lévolution de ces dernières. 116 éleveurs ont répondu, dont 54 % étaient en AB depuis plus de 5 ans, et dont 61 % transformaient à la ferme tandis que 39 % étaient avant tout livreurs. Parmi les résultats-clés : 46 % des répondants navaient pas fait évoluer leur conduite de la phase lactée des chevrettes, les poudres de lait conventionnelles restant largement utilisées. Raisons évoquées : avant tout le prix du lait en poudre bio, des doutes sur sa qualité, ou encore le manque de disponibilité de ce produit sur le marché. Lutilisation dun lait conforme à la réglementation semble donc difficile pour beaucoup. Pourtant, les éleveurs connaissent les leviers à mobiliser pour utiliser un lait conforme à la réglementation pour les agnelles de renouvellement : lallongement des lactations, la baisse de lâge du sevrage ou du taux de renouvellement, la réduction des coûts de production. Certains parlent darrêter la certification. Au final, on peut distinguer des éleveurs "proactifs" déjà en conformité, dautres enclins à changer dès que le règlement des manquements sera impactant pour eux et certains pour qui toute augmentation du coût de production semble peu acceptable. Ces éléments sont aussi à mettre en perspective avec dautres postes de charges en augmentation, ainsi qu'avec des prix du lait contraints et une consommation de produits bio en baisse : autant de points qui font que lacceptabilité de la nouvelle réglementation nest pas acquise, sans parler du problème des chevreaux mâles pour la boucherie dont la production se ferait pour beaucoup à perte avec du lait en poudre bio.
![]()
![]()
Allaitement des chevreaux : Evolutions réglementaires et solutions dallaitement
Lisa AUBRY, AuteurCet article rappelle quelques points-clés pour avoir des chevreaux bio en bonne santé, puis s'intéresse à lallaitement des chevreaux en lien avec lévolution réglementaire. Le PEP caprin a testé différentes modalités dallaitement (aliment dallaitement bio, lait de chèvre thermisé, lait de chèvre acidifié et lait de vache acidifié) et les a comparées avec laliment dallaitement conventionnel d'un point de vue économique, sanitaire, prise de poids des jeunes et temps de travail. Le PEP a également fait une synthèse sur les procédés, intérêts et inconvénients des différentes pratiques dallaitement. Le GAEC de la ferme du Blanot (71) témoigne sur l'utilisation de kéfir de lait de vache et sur la pratique de la lactation longue.
![]()
![]()
Dossier : Valoriser les jeunes animaux de la filière laitière
Annabelle WÜRBEL, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; Véronique LEON, Auteur ; ET AL., AuteurQue faire des jeunes mâles en élevage laitier, aussi bien les veaux, les chevreaux que les agneaux ? Majoritairement vus comme des « sous-produits » de la production laitière, ils sont globalement envoyés en systèmes dengraissement, organisés diversement selon les filières. Or, ces animaux sont achetés à des prix de plus en plus bas aux éleveurs, souvent en deçà du coût de production. Dans un contexte global de moindre consommation de viande en France, la crise Covid, synonyme de baisse des débouchés (ralentissement des exportations de ces jeunes animaux, ou de la restauration hors domicile), a mis en lumière la dépendance des éleveurs envers les engraisseurs, ainsi que la question plus globale de la cohérence des filières laitières aujourdhui. Les modèles actuels de production laitière, basés notamment sur lhyperspécialisation, ne sont-ils pas à questionner ? Quid du bien-être animal, de lengraissement industriel à la poudre de lait, des schémas de sélection de races, ou encore du manque doutils dabattage/transformation de proximité ? Ce dossier, via plusieurs témoignages, se fait le relai de questionnements de producteurs ou encore dinitiatives de certains pour trouver, seuls ou collectivement, des alternatives : lélevage des cabris sous la mère pour cette éleveuse productrice de fromages en Aveyron ; le passage de lélevage caprin laitier à lengraissement de veaux, de chevreaux et de cochons pour ce couple de producteurs dans lIndre ; une dynamique collective dans les Hautes-Alpes pour une filière « chevreaux » locale autour dun abattoir de proximité géré par des éleveurs ; le projet de création dun label rouge « chevreau lourd » par le Syndicat caprin de la Drôme ; lallongement des lactations, voire le développement de la lactation induite (stimulation de la production de lait par la traite sans mise bas) ; ou encore la mise en place dun système engraisseur à lherbe de veaux laitiers par un producteur du Pas-de-Calais qui achète les veaux à des éleveurs près de sa ferme Au-delà de ces initiatives locales, aller plus loin demandera échanges, réflexions et aussi un engagement des pouvoirs publics.
![]()
![]()
Drôme : Du chevreau sous la mère en système pastoral méditerranéen
Annabelle WÜRBEL, AuteurLa ferme Farigoule et Cie est basée dans le sud de la Drôme. Elle repose entièrement sur un système pastoral, avec une centaine de chèvres de race Rove conduites en agriculture biologique. Les associés de la ferme ont fait le choix délever les chevreaux sur place et de produire ainsi une viande de qualité. Les chèvres mettent bas fin février et restent dans les bâtiments durant cette période. Une fois les mises bas terminées, elles sortent dehors pour pâturer. Les chevreaux sont triés chaque jour afin que les plus âgés sortent avec le troupeau, et que les plus jeunes restent en bâtiment (ils sont trop petits pour suivre le troupeau). Une fois le poids de 10 kg atteint, vers lâge dun mois et demi ou de deux mois, les chevreaux sont amenés à labattoir, pour être vendus à lexport ou dans certaines grandes surfaces au moment de Pâques, en tant que chevreaux de lait. La viande nest toutefois pas rémunérée à sa juste valeur : 3,20 /kg vif. Dans une moindre proportion, la ferme valorise aussi quelques chevreaux lourds en vente directe (3 mois), en pré-commande via une Amap. Il serait possible de développer cette vente directe, mais le facteur limitant est labattoir, situé à plus d1h30 de route. Une fois les chevreaux élevés, la saison fromagère peut démarrer.
![]()
![]()
Ils engraissent les chevreaux à la ferme
Robin HORRIOT, AuteurCet article regroupe des témoignages déleveurs caprins qui ont fait le choix dengraisser eux-mêmes leurs chevreaux. Lun dentre eux, François Borel, est en agriculture biologique. Il élève 90 chèvres Roves en système bio extensif, dans les Bouches-du-Rhône. Il transforme son lait en fromages AOP Brousse du Rove. Le lait est ainsi valorisé à plus de 8 /L. Malgré cette valorisation élevée, François Borel a fait le choix délever une partie de ses chevreaux et pense être gagnant. Ses premiers chevreaux sont achetés par une restauratrice qui les cuisine en blanquette. Les autres partent à lâge de 3,5 mois ou à 4,5 mois et sont commercialisés en vente directe. Ceci est rendu possible grâce à la mise en place dun abattoir mobile.
![]()
![]()
Le casse-tête de lallaitement des chevrettes en bio
Damien HARDY, AuteurAnne-Marie Filliat produit du lait de chèvre bio, en Indre-et-Loire (250 chèvres). Chaque année, elle élève 70 à 80 chevrettes pour le renouvellement, ainsi que 70 à 90 chevrettes et chevreaux pour les vendre à dautres éleveurs bio ou en conversion. Les autres jeunes caprins sont engraissés et vendus en direct. Jusquà présent, cette éleveuse utilisait de la poudre de lait conventionnelle pour nourrir ses chevreaux. Toutefois, elle va devoir sadapter aux modifications du cahier des charges bio : les jeunes caprins vont devoir être alimentés avec du lait « maternel » durant au minimum 45 jours. La priorité est donnée au lait de la mère, mais il peut très bien sagir dun lait de mélange (issu du tank) ou de lait de vache bio. Ce changement soulève toutefois des problèmes sanitaires : le lait cru peut transmettre certaines maladies aux chevreaux (ex : Caev, mycoplasmes, paratuberculose...). Pour éviter cette transmission, il est nécessaire de thermiser le lait à 56 °C, ce qui demande plus de travail et nécessite des investissements. Cest pourquoi lutilisation de poudre de lait reste tolérée pour éviter la propagation des maladies, mais elle est soumise à une attestation vétérinaire. Actuellement, il est encore possible dutiliser du lait en poudre conventionnel, mais cette tolérance sarrêtera dès que le lait en poudre bio sera disponible en quantité suffisante, ce qui posera des questions économiques aux éleveurs bio.
![]()
![]()
Elevage : Choisir l'alimentation lactée des jeunes caprins
Frédéric RIPOCHE, AuteurProblèmes sanitaires, coût, travail, nouvelle réglementation autant de facteurs à prendre en compte pour choisir ses pratiques dallaitement des chevreaux en élevage bio, entre lait maternel, de vache, en poudre, ou encore lait acidifié ou thermisé. En Auvergne-Rhône-Alpes, des travaux ont été conduits de 2016 à 2019 pour étudier plusieurs de ces pratiques, avec un premier résultat-clé : lacidification du lait maternel napporte pas de solution miracle au niveau sanitaire. En effet, cette technique ne permet pas un assainissement pour les virus responsables du Caev et les mycoplasmes. Par contre, cela peut être une solution pour limiter les diarrhées et le travail de distribution, ce lait pouvant être donné en une fois, avec mise à disposition pendant 12h dans un multi-biberon à température ambiante. Pour le lait de vache, lacidification peut le rendre plus digestible, mais il faut pouvoir sapprovisionner facilement et bien sûr en AB. La thermisation du lait maternel reste la meilleure solution pour le volet sanitaire mais le travail peut sen trouver fortement augmenté, en particulier selon le matériel utilisé. Le taxi-cuve est un matériel intéressant mais coûteux. S'il est encore possible, en 2020, en élevage biologique, d'utiliser du lait en poudre conventionnel (pour raison sanitaire), la future législation vise au 100 % bio. Certes, il existe aujourdhui des laits reconstitués bio, mais ils restent chers et la présence dans leur composition de certaines matières grasses végétales pose problème avec le nouveau cahier des charges. Autre pratique : le lait sous la mère mais avec des risques sanitaires. Il nexiste donc pas de solution idéale et les éleveurs, comme le montrent les témoignages repris dans ce document, ont des pratiques diversifiées selon leur système. Par ailleurs, leurs questionnements restent nombreux, en particulier face à la nouvelle législation.
![]()
![]()
Guide éleveur.se.s : Élever des chèvres bio : Réédition 2020
En Pays de la Loire, la filière caprine est toujours dynamique, avec une évolution des effectifs de chèvres en bio et en conversion : 14 129 chèvres en bio ou en conversion en 2019 (101 exploitations), contre 10 265 en 2018. Ce guide s'adresse aux porteurs de projets qui souhaitent s'installer en élevage caprin bio ou convertir leur élevage. Il fournit des éléments de réflexion pour pouvoir se lancer. Neuf élevages de chèvres bio, issus de 4 départements de la région Pays de la Loire, sont présentés sous forme de fiches enrichies par les paroles des éleveurs. Ces fiches abordent les aspects suivants : assolement et conduite des cultures, gestion du pâturage, alimentation, autonomie de l'exploitation, conduite sanitaire du troupeau, commercialisation.
![]()
![]()
Retour sur le Space avec trois webinaires Biofil : Cerner les enjeux en bovins lait, pondeuses et caprins
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn 2020, le Space, salon international de l'élevage qui se tient habituellement à Rennes, s'est déroulé en version digitale. La revue Biofil a notamment proposé trois webinaires à cette occasion, consacrés respectivement aux filières bovins lait, poules pondeuses et caprins. Cet article propose un résumé de ces trois conférences. En bovins lait, le cap du milliard de litres de lait bio collectés a été dépassé au printemps 2020. 7,6 % des fermes françaises en bovins lait sont désormais certifiées bio. Pour les laiteries, la gestion du pic de collecte à chaque printemps est un enjeu majeur et plusieurs d'entre elles ont mis en place des dispositifs pour inciter les éleveurs à réguler leur production sur cette période de l'année. Luf bio a connu une croissance de +22 % en 2019. Une progression saluée, mais la filière va devoir faire face aux évolutions de la réglementation dans les années à venir. Même chose en caprins, où les pratiques d'allaitement des jeunes sont fortement remises en cause par la nouvelle réglementation.
![]()
![]()
Caprins bio : Prévention et soin des chèvres aux stades clés
Valérian LEBON, AuteurObserver, apporter une ration adaptée et complémenter au bon moment, selon des stades clés du cycle de production, sont essentiels pour limiter le recours aux traitements sur son troupeau caprin. Cet article présente les points et les actions clés (complémentation, type de ration, apports de vinaigre, dargile ) à avoir en tête tout au long de lannée, à la fois pour les chevreaux, les chèvres et les boucs. Ces éléments de base, résumés en un schéma, sont alors à adapter à son troupeau et, pour le piloter au mieux, il convient de suivre létat corporel de ses animaux, notamment via la note détat corporel (NEC), en particulier lombaire. Il faut la calculer sur un échantillon représentatif du lot de chèvres observées, à 4 moments clés du cycle : en fin de gestation, au début de la lactation, au moment de la fécondation, puis au tarissement. Pour apporter un plus, on peut aussi effectuer, sur son troupeau, un drainage en phytothérapie, par exemple au tarissement ou 1.5 mois après les mises-bas.
![]()
![]()
Dossier : Pas de lait de chèvre sans viande de chevreau
Danaé GIRARD, Auteur ; Julia SICARD, Auteur ; Adeline WIMMER, AuteurPas de lait de chèvre sans mise bas. Mais que faire des chevreaux et des chèvres de réforme issus délevages bio, dans un contexte de demande croissante de lait mais sans vrai débouché pour la viande caprine biologique ? En France, les opérateurs dengraissement et dabattage des chevreaux sont surtout dans lOuest ou en Rhône-Alpes et tous conventionnels. Nombre déleveurs bio sont obligés de vendre leurs cabris en conventionnel faute dalternative. Une étude menée en Alsace auprès de 26 éleveurs, dont 9 en AB, montre que 50 % des chevreaux et des chèvres de réforme sont valorisés directement par les éleveurs eux-mêmes (vente directe, restauration ). En plus de la question du débouché pour les chevreaux, sajoute celle de leur alimentation. Quelles alternatives au lait maternel, très rentable sil est vendu ou transformé en fromage : lait en poudre bio, lait de vache bio ? La solution choisie impacte fortement les coûts délevage. De plus, le nouveau cahier des charges rend certains laits en poudre non utilisables, à partir du moment où ils contiennent des matières premières dorigine végétale ou des composants chimiques. En Alsace, dans ce contexte, les éleveurs se sont engagés dans une réflexion collective pour trouver des solutions : ateliers dengraissement des chevreaux bio collectifs, outils dabattage et de transformation bio locaux, liens avec les fermes-auberges, lactations plus longues pour réduire les naissances
![]()
![]()
Intérêts du kéfir pour les agneaux et les chevreaux
Fabrice VASSORT, Auteur ; Elise BRILLOUX, AuteurLe Kéfir (de lait ou de fruits) est une boisson fermentée source de vitamines et minéraux et bénéfique pour la flore du système digestif. Il peut être administré aux agneaux ou aux chevreaux afin densemencer leurs systèmes digestifs avec de bonnes levures, dans le but de réduire les problèmes digestifs ultérieurs. Les recettes pour réaliser son kéfir de lait ou de fruits sont détaillées. Pour son utilisation en élevage, une distribution juste après la naissance est conseillée (avec une recommandation de 25 g) mais ne doit pas remplacer la prise de colostrum. Certains points sont à respecter pour une bonne utilisation du kéfir, comme ne pas lassocier avec un lait contenant des résidus d'antibiotiques, ne pas utiliser de passoire en métal pour la filtration, etc. Par ailleurs, le kéfir peut aussi être utilisé pour assainir la litière.
![]()
![]()
Valoriser les chevreaux pour une cohérence du système délevage
Laure-Anne MERLE, AuteurDans le cadre du projet Food Heroes, qui cherche à revaloriser les aliments peu commercialisés pour lalimentation humaine, la CAPdL, lAC3A (Association des Chambres dAgriculture de lArc Atlantique) et le Laval Mayenne Technopole ont lancé une expérimentation sur la viande de chevreau. Classiquement, les chevreaux sont vendus à quelques jours pour 3 par tête, puis destinés à lexport après 2 mois dengraissement. Le projet a testé l'élevage de chevreaux jusquà 6-8 mois. Calqué sur un modèle déjà présent au Royaume-Uni, ce système permet surtout de compenser le coût du lait nécessaire jusqu'au sevrage. Car, dans un second temps, lalimentation est moins coûteuse. Ainsi, le poids carcasse de lanimal à la vente est bien plus élevé. Ce choix semble donc économiquement viable, à condition de faire connaître cette viande. En 2018, cinq agriculteurs bio des Pays de la Loire ont testé cette méthode et lont reconduite en 2019. Les chevreaux ont été abattus avec un poids moyen de 17 kg de carcasse, variable selon les itinéraires techniques adoptés.
![]()
![]()
Allaitement des chevreaux en bio
Fabrice VASSORT, Auteur ; Christel NAYET, Auteur ; Philippe ALLAIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON CEDEX 07 (23 Rue Jean Baldassini, 69 364, FRANCE) : AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRES D'AGRICULTURE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2018Les référents techniques régionaux en agriculture biologique des Chambres d'Agriculture d'Auvergne-Rhône-Alpes ont réalisé un ensemble de fiches thématiques. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion. Cette fiche porte sur l' "Allaitement des chevreaux en bio" et traite notamment des points suivants : - Préalables à la bonne alimentation des chevreaux (1 - Quelques repères techniques ; 2 - Réglementation bio et alimentation lactée) ; - Les modalités d'allaitement du chevreau (1 - Le lait maternel ; 2 - Le lait déshydraté ; 3 - Le lait de vache bio ; 4 - Récapitulatif).