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Paroles de jeune : Laurine Rousset
Suzanne MARION, AuteurLaurine Rousset est éleveuse laitière en Haute-Loire, en AB depuis novembre 2017. En GAEC avec sa mère, elle élève une quarantaine de vaches sur 80 ha, dont 20 ha en maïs et blé et le reste en herbe. A 28 ans, elle a déjà derrière elle un parcours bien rempli. Après l'obtention d'une licence en agronomie, elle a parcouru la France pour faire passer le certiphyto à des personnels d'entreprises avec le CFPPA de Bonnefont (43), avant de devenir enseignante en biologie, phytotechnie et zootechnie. Son installation est venue combler un souhait de longue date. Elle pourra commercialiser son lait en bio en novembre 2019. Avec l'aide des conseillères bio de la Chambre d'Agriculture, elle revoit tout l'assolement de son exploitation en supprimant le maïs et en introduisant des méteils, par exemple. Mais Laurine ne vit pas que sur son exploitation... Engagée dans les JA (Jeunes Agriculteurs) dès l'âge de 20 ans, elle a assuré la présidence du CCJA d'Allègre (43) de 2013 à 2017. En 2018, elle a pris la vice-présidence des JA 43. Récemment, elle est entrée au conseil dadministration du syndicat national des Jeunes Agriculteurs et a pris la présidence du Comité d'organisation de Terre de Jim 2019.
Reine Mathilde : Bilan de 8 ans d'essais : 2011 à 2018 : 8 thématiques pour améliorer l'autonomie alimentaire des élevages en AB
Ce document présente des résultats issus des 8 dernières années (2010-2014, puis 2015-2018) du projet Reine Mathilde, qui avait pour but de renforcer la filière laitière bio en Normandie. Les huit thématiques choisies concernent l'autonomie alimentaire : - Associations riches en protéagineux en grains ; - Associations riches en protéagineux à ensiler ; - Associations lupin + céréales ; - Les mélanges prairiaux à récolter ; - Les mélanges prairiaux à pâturer ; - Associations maïs + plantes compagnes ; - Céréales, maïs et protéagineux cultivés en pur ; - Semis de prairies sous couvert de cultures annuelles. Pour chacune des thématiques traitées, une synthèse des essais est présentée et des conseils sont donnés pour une mise en uvre d'actions adaptées à la situation et aux objectifs de l'éleveur.
Rubrique "santé & bien-être" : L'alimentation est notre première médecine
Céline PEUDPIECE, AuteurEn élevage bio, le nombre de traitements curatifs mobilisables est limité et un animal malade engendre des coûts, de la perte de temps, mais aussi du stress. Ainsi, pour garder les animaux en bonne santé, il convient de travailler sur leur résistance et donc sur leurs défenses naturelles. Au-delà des pratiques sanitaires, l'alimentation joue un rôle primordial. Elle est source d'énergie (glucides, lipides et protéines), de minéraux (potassium, sodium, calcium...) et d'antioxydants (vitamines A, E, C, oligoéléments...), des éléments indispensables au bon fonctionnement et à l'équilibre de l'organisme. Dans cet article, des exemples concrets du rôle de ces éléments sont décrits : jeune ruminant à diarrhée, fièvre de lait...
Sécuriser un système laitier avec des fourrages économes en eau et en énergie fossile
Sandra NOVAK, Auteur ; Guillaume AUDEBERT, Auteur ; F. CHARGELÈGUE, Auteur ; ET AL., AuteurComment sécuriser les systèmes laitiers vis-à-vis des aléas climatiques, et notamment des sécheresses estivales ? Diverses solutions fourragères ont été testées par lINRA à Lusignan à léchelle de la parcelle, et maintenant à léchelle du système fourrager, dans la reconception dun système bovin laitier innovant. Deux grandes voies complémentaires ont été explorées pour produire des fourrages tout au long de lannée, en économisant leau et lénergie fossile : le pâturage et les fourrages conservés. Sont présentés les résultats obtenus sur des ressources fourragères destinées à allonger la saison de pâturage et à prendre le relai de prairies temporaires diversifiées (céréales, millet, stocks sur pied de couverts prairiaux). Lintérêt du sorgho et des associations céréales-protéagineux pour sécuriser les stocks est également discuté, à partir des différentes modalités mises en place. Enfin, les premiers résultats dun système fourrager à bas niveau dintrants, conçu pour être adapté au changement climatique et combinant plusieurs de ces solutions, sont exposés.
Des vaches laitières robustes : quest-ce que les éleveurs en disent ?
Émilie OLLION, Auteur ; Fabienne BLANC, Auteur ; Chantal CHASSAING, Auteur ; ET AL., AuteurLa robustesse des animaux est un levier d'adaptation identifié dans le contexte de la transition agroécologique, dans la mesure où elle caractérise leur aptitude à maintenir des performances d'intérêt, dans des environnements variables. Il s'agit ici d'analyser comment les éleveurs de vaches laitières caractérisent et évaluent la robustesse de leurs animaux. Des entretiens conduits auprès de 39 éleveurs laitiers ont permis de mettre en évidence quatre définitions possibles de la robustesse d'une vache : - « qui s'adapte à son environnement et aux perturbations » ; - « solide avec du tempérament » ; - « économe et autonome » ; - « moins productive, mais qui dure ». Ces définitions se distinguent sur la base i) des caractéristiques phénotypiques mobilisées pour décrire les animaux (niveau de production, morphologie, docilité ), ii) de l'échelle temporelle mobilisée et iii) du rapport des éleveurs avec leur environnement de production (contrôle ou adaptation). Cette diversité de points de vue doit être prise en compte dans les échanges entre éleveurs et conseillers.
Arbres fourragers : De l'élevage paysan au respect de l'environnement
Pendant des millénaires, les feuilles d'arbres ont constitué la base de l'alimentation du bétail. La mécanisation de la récolte d'herbe a peu à peu fait disparaître cette pratique, qui a résisté jusqu'au milieu du XXème siècle pour le fourrage d'appoint. L'augmentation des périodes de sécheresse menace aujourd'hui les éleveurs qui, en fin d'été, se trouvent en rupture de pâtures et soit laissent surpâturer certaines prairies, soit doivent entamer prématurément leurs stocks fourragers... Les arbres fourragers représentent une solution à ce problème tout en contribuant à la biodiversité et en fournissant des produits pour d'autres usages : bois de chauffage, BRF, fagots, manches... Jérôme Goust nous explique les arbres, leur fonctionnement et leur valeur fourragère, et raconte l'histoire des arbres fourragers depuis le Néolithique. En s'appuyant sur l'exemple d'agriculteurs qui pratiquent encore cette technique, il présente ce qui peut être fait dès aujourd'hui, les recherches menées par l'INRA, les améliorations techniques qui pourraient redonner toute leur place aux fourrages arborés. Enfin, des fiches présentent plusieurs dizaines d'arbres dont les feuilles peuvent nourrir le bétail. C'est sur le terrain que ce livre s'est construit, au contact d'agriculteurs continuant à utiliser les arbres fourragers et de chercheurs s'attachant à actualiser ces pratiques. Écologiste depuis quarante-cinq ans, agriculteur biologique de 1977 à 1995, responsable de Nature et Progrès pendant des années, Jérôme Goust a toujours agi pour une agriculture biologique, paysanne, permettant une meilleure autonomie des producteurs.
Comment se portent mes chemins en sortie d'hiver
ECHO DU CEDAPA (L'), AuteurLe bon état des chemins en sortie dhiver est primordial pour la mise à lherbe le plus tôt possible dans la saison. Quatre éleveurs ayant opté pour des matériaux différents témoignent. Ronan Guernion est éleveur de vaches laitières en bio et a réalisé des chemins en sable et graviers sur 1 km. Ces matériaux lui conviennent, sauf pour la sortie du bâtiment où le chemin sabîme et où il conseille de mettre du bitume ou du béton. Christelle et Fabrice Charles élèvent des vaches laitières en bio et ont opté pour le goudron (sur 1,8 km), ce qui leur a permis de gagner près de 3 semaines de pâturage et davoir des chemins praticables toute la saison de pâturage. Jean-Charles Huon, éleveur de vaches laitières en conventionnel, a réalisé des chemins en caillebotis, construits avec des caillebotis de porcherie usagers disposés sur la partie de chemin la plus souvent bourbeuse. Au GAEC Arc en Ciel, en bio, la partie du chemin la plus utilisée (400m) est en béton, et les associés en sont très contents.
Dossier : Croisement de races laitières, effet de mode ou opportunité ?
Isabelle PAILLER, Auteur ; Anne BRIEND, Auteur ; Guylaine TROU, Auteur ; ET AL., AuteurLe paysage de lélevage bovin lait français est dominé par des troupeaux en race pure, au contraire dautres pays comme la Nouvelle-Zélande ou lIrlande. Mais, si le croisement reste minoritaire en France, il se développe aujourdhui, en AB et en conventionnel. Lobjectif des éleveurs qui croisent systématiquement nest pas de rechercher une production maximale mais de sélectionner une vache adaptée à leurs besoins, robuste, qui, par exemple, vêle bien, produit un lait avec de meilleurs taux et est apte au pâturage. Cest ce que montre ce dossier qui reprend divers cas déleveurs bretons qui se sont engagés dans cette voie du croisement, certains depuis plusieurs années, dautres plus récemment, souvent à 3 voies avec notamment de la Normande et de la Jersiaise sur des vaches Holstein. Ainsi, il sest constitué un GIEE en Bretagne, en 2015, ayant pour objectif dévaluer les conséquences de ces croisements, avec l'enregistrement de divers paramètres pour chaque femelle. La ferme expérimentale de Trévarez a aussi fait le choix du croisement sur son troupeau biologique. Dans tous les cas, cest bien la recherche dun troupeau adapté au système qui est le moteur de ces expériences, afin dasseoir ou de renforcer les performances techniques et économiques de lélevage.
Dossier : La génétique en lait bio : Y a-t-il une génétique adaptée à la Bio ?
Alain GUIFFÈS, Auteur ; Soizick ROUGER, Auteur ; Caroline DOS SANTOS, Auteur ; ET AL., AuteurLa plupart des éleveurs en bovins lait bio qui témoignent dans ce dossier souhaitent être le plus autonomes possible dans le pilotage de la génétique de leur troupeau. Ce dossier a pour objectif de : partager des informations, donner des éclairages, y compris scientifiques (INRA), sur les différentes façons d'envisager la génétique en bovins lait, selon les situations et les objectifs, et notamment dans le cadre d'une conversion. Au sommaire : - Le point de vue de Didier Boichard, chercheur INRA ; - Génétique et pâturage (FRCIVAM Limousin) ; - Brunes et fromage (GAEC de Chanac, 48) ; - Semences sexées : Le débat est ouvert ! (SCEA Grasteau, 72) ; - Utilisation de semences sexées en race jersiaise (GAEC des Jersiaises, 72) ; - Insémination par l'éleveur (IPE) (Norbert Peysi, 12) ; - Une reproduction 100 % naturelle (GAEC des Fontenilles, 21) ; - Allonger les périodes de lactation ? (GAEC Roz Voan, 29) ; - Comment adapter son troupeau à ses objectifs ? (EARL du Nid, 43) ; - Le croisement 3 voies pour s'adapter au changement de système (Stéphane Marloux, 15) ; - Les races à petits effectifs, quels enjeux ? (GAEC du Wern, 22) ; - Une agriculture capable de se perpétuer toute seule (EARL des Landelles, 27) ; - Acheter un troupeau adapté aux objectifs de système (Gauthier Fihue, 76) ; - Changement de système (SARL Côté Ferme, 16) ; - Toujours plus d'autonomie (GAEC des Pâquerettes, 42) ; - L'éleveur, gestionnaire de son élevage (échanges entre Olivier Mouton, du GAEC des Pâquerettes, et Olivier Vuillet, SARL VGRS (39)).
La Ferme Coq'Lait, beaucoup d'évolution avant de témoigner dans la Voix Biolactée
Bertrand ESCOT, AuteurEn 2007, Bertrand Escot et Vincent Forissier ont créé le GAEC de l'Horizon, à Saint-Héand (42), sur une zone de forte production laitière. Ils ont ensuite été rejoints par Ismaël, qui a commencé à développer une production de poulets de chair en vente directe. Ensemble, ils ont entamé une réflexion sur l'avenir et visité plusieurs exploitations en AB, un choix qu'ils ont estimé alors viable et cohérent pour leur futur projet à trois, pour sortir d'un système du "toujours plus", se garder du temps et ne pas réinvestir de façon importante dans la production laitière. Ils se sont engagé en bio en 2016, après un stage conversion avec l'ARDAB. Le GAEC de la Ferme Coq'Lait a vu le jour en décembre de la même année. Bertrand Escot raconte comment ils produisent aujourd'hui et comment ils produiront demain, une fois en bio, des poulets de chair et du lait. Il souligne le besoin de prendre son temps pour s'approprier la production laitière bio.
Ils ont choisi de semer des mini-mottes
Cécile JULIEN, AuteurPourtant persuadés de l'intérêt de la betterave fourragère dans la ration des vaches laitières bio, certains éleveurs ne la cultivent pas, ou plus, parce qu'elle nécessite un désherbage à la fois contraignant et aléatoire. La plantation en mini-mottes pourrait lever ce frein. C'est ce que teste un groupe de 10 éleveurs bio d'Ille-et-Vilaine, séduits par la perspective d'un désherbage facilité. L'article décrit comment ces éleveurs ont mis en place la culture de la betterave sur une vingtaine d'hectares : approvisionnement en plants, passage en serre, mise en terre grâce à une planteuse à godets, binages après la plantation... Au terme de cette première campagne jugée réussie dans son ensemble, en termes économiques et techniques, le groupe a identifié des améliorations à apporter, notamment une vigilance sur le travail du sol avant plantation et une augmentation de la densité à plus de 40 000 plantes/ha pour gagner en rendement et diminuer la pression des adventices.
Impact des sols de circulation sur la santé des pieds de vaches : Comment l'évaluer, le diagnostiquer et l'améliorer ?
François GERVAIS, Auteur ; Dorothée BIZERAY-FILOCHE, Auteur ; Philippe BRIAND, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2017Les sols des aires de circulation doivent répondre à divers enjeux tels quoffrir un support adapté au système locomoteur des animaux, être résistants, durables et faciles dentretien. Quelle que soit la nature du sol, de bonnes caractéristiques physiques et un entretien adapté sont indispensables pour lui permettre de jouer pleinement son rôle. Dans ce recueil, le sujet des sols et leur impact sur la santé de lappareil locomoteur des vaches laitières est abordé au travers de deux diagnostics complémentaires : dune part, le diagnostic de lappareil locomoteur des vaches, grâce à un protocole dévaluation dun troupeau de vaches laitières ; dautre part, le diagnostic des sols de circulation des bâtiments pour vaches laitières. Dautres facteurs doivent aussi être bien gérés pour réduire les risques dapparition de boiteries. Cest pourquoi ce document, qui traite largement des sols et des points clés à observer pour lévaluer, aborde également dautres aspects pouvant avoir une incidence sur la santé des pieds des vaches : la qualité du couchage, la ventilation du bâtiment.
Paysans semeurs et éleveurs
Laurence DESSIMOULIE, Auteur ; Lycia WALTER, Auteur | BORDEAUX CEDEX (23 Quai de Queyries, CS 20001, 33 094, FRANCE) : ÉDITIONS SUD OUEST | 2017Ce livre propose une plongée dans lintimité de 15 éleveurs alternatifs et bio de Nouvelle-Aquitaine dont les animaux vont de la vache à labeille, qui utilisent des semences paysannes et préservent la biodiversité. Tous ont en commun le désir dêtre autonomes dans leur travail, notamment en ressemant leurs propres graines. Lélevage, selon ces paysans respectueux de lenvironnement et des animaux, reste fondamental pour la préservation des paysages de nos campagnes, et contribue à la fertilité des sols et à la qualité dune alimentation diversifiée et nourricière. Univers et recettes élaborées à partir des produits de la ferme, rencontres dhommes et de femmes, cest ce que cet ouvrage met en lumière, grâce notamment aux nombreuses photos illustratives. Les recettes y tiennent une part importante : émincé de buf au lait de coco, gingembre et lemon grass accompagné d'une purée de potimarron ; cookies à la confiture de lait ; rôti de cochon au lait et aux herbes potagères et purée au macis ; cake aux blettes, aux noix et au lait de chèvre...
Prevalence of production disease related indicators in organic dairy herds in four European countries
M. KRIEGER, Auteur ; K. SJÖSTRÖM, Auteur ; I. BLANCO-PENEDO, Auteur ; ET AL., AuteurL'objectif de cette étude était d'évaluer la prévalence des indicateurs liés aux maladies de production dans 192 fermes laitières bio en Allemagne, en Espagne, en France et en Suède. Les indicateurs suivants ont été utilisés : nombre de cellules somatiques élevées (> 100 000 cellules / ml, mammite subclinique), taux élevé de graisse / protéine (risque de cétose), faible teneur en graisse du lait (risque d'acidose), intervalle de vêlage prolongé, boiterie clinique et mortalité des veaux et des vaches. La prévalence des indicateurs évalués variait largement entre les fermes et les pays. La prévalence médiane (intervalle interquartile) était de 51,3% (15,4) pour la mammite subclinique, 10% (7,7) pour le risque de cétose, 3,2% (4,7) pour le risque d'acidose, 42% (20,7) pour un intervalle de vêlage prolongé et 14,2% (20,4) pour la boiterie clinique. Le risque de mortalité des veaux de 1 à 90 jours était de 0,002 (0,043) par mois. La mortalité des vaches a été de 0,026 (0,048) par an. L'évaluation a montré qu'un ensemble complet d'indicateurs peut être calculé à partir de données facilement disponibles, épargnant la nécessité d'établir des procédures nouvelles et coûteuses. Les recherches futures devraient se concentrer sur les stratégies d'utilisation de l'information de manière plus efficace pour réduire le niveau de maladies de production dans les fermes laitières biologiques.
La production biologique alsacienne : Les chiffres de 2016
La production biologique continue son essor en Alsace, avec un total de 656 fermes engagées en agriculture biologique fin 2016 qui cultivent 22 660 ha, soit 6,7 % des surfaces agricoles alsaciennes. Cette édition 2017 des chiffres de la bio présente les différentes filières biologiques en Alsace dans le contexte de la nouvelle grande région du Grand Est, avec un focus sur lemploi et la bio dans les territoires. Le programme de développement de la bio en Alsace 2014-2020 doit permettre de passer le seuil des 10 % de surfaces agricoles alsaciennes en bio, et de donner à lAlsace un statut de région phare de la bio en France.