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Devenir maraîcher bio en Hauts-de-France : les 7 clés de votre réussite
En 2019, les Hauts-de-France comptabilisaient 265 exploitations maraîchères en bio, soit 44 de plus qu'en 2018. Comme dans toute la France, la progression des surfaces maraîchères en région résulte principalement des installations. Face à cette demande grandissante d'installations en maraîchage bio, les Chambres d'Agriculture Hauts-de-France, Bio en Hauts-de-France et le CFPPA de Lomme - Dunkerque ont réuni leurs compétences pour mettre à jour le guide "Je crée mon activité en maraîchage bio en Nord-Pas-de-Calais" datant de 2015, dans le cadre des missions du Point Accueil Installation Transmission. L'objectif du guide « Devenir maraîcher bio » est de fournir toutes les clés de réussite pour sinstaller en Hauts-de-France, que ce soit par la création ou par la reprise d'une exploitation existante. De la confrontation aux réalités du métier, à la construction du projet commercial, en passant par l'organisation du travail, 7 clés de réussite sont développées, appuyées par des témoignages et des références en Hauts-de-France.
Des canards coureurs indiens dans mon jardin : Stop aux limaces !
Pourquoi les canards coureurs indiens sont-ils particulièrement appréciés en permaculture et en jardinage biologique ? Tout simplement parce qu'ils se faufilent aisément entre les végétaux et attrapent, grâce à leur long bec, les limaces et leurs ufs sur les plantes, dans les paillages et dans la terre, tout en respectant les plantations. Ils apportent donc une solution naturelle à un problème crucial au potager. De plus, cette race est facile à élever. Les canes ont une excellente capacité de ponte et ce sont des animaux économiques qui se nourrissent (aussi) de grains, comme les poules. Tomate cerise sur le gâteau, ils sont faciles à vivre, drôles et attachants. Le lecteur trouvera, dans cet ouvrage, toutes les réponses aux questions qu'il se pose pour se lancer dans l'élevage de ces volatiles : comment les choisir, les loger, les nourrir, élever les canetons, comment les protéger des maladies et des prédateurs, combien de temps leur consacrer au quotidien, quel est l'intérêt d'une "mare aux canards", comment les faire cohabiter avec les légumes et les fleurs du jardin...
Dossier : Accueillir la faune
Sylvain LEFEBVRE, Auteur ; Marie ARNOULD, Auteur ; Danièle BOONE, AuteurCe dossier illustre, par des témoignages, les avantages de la présence d'une biodiversité riche au jardin pour lutter contre certains ravageurs. Des exemples de réalisations, destinées à accueillir certaines espèces utiles, sont présentés : - Mon jardin sauvage ; A quelques kilomètres de Rennes (35), un couple a diversifié son jardin, au départ terrain engazonné, avec un potager, des arbres, des arbustes et des plantes aromatiques. Il a également réalisé des aménagements (mangeoires, nichoirs, hôtels à insectes ) et a vu les effets sur la biodiversité, végétale et animale. ; - Bienvenue, M. Hérisson ; Dans le Jura, Yolande Letur a construit un abri à hérissons ; - Le campagnol et le renard ; Le renard, qui peut manger jusqu'à 3000 campagnols par an, serait donc bénéfique aux agriculteurs. Cependant, il est toujours considéré comme nuisible et régulièrement la proie des chasseurs.
Dossier : Petit élevage, lancez-vous !
Michel ANDUREAU, Auteur ; Anne DENIS, Auteur ; Marie ARNOULD, Auteur ; ET AL., AuteurIl est tentant d'acquérir des animaux et de les installer chez soi, pour produire des ufs ou de la viande, pour entretenir des terrains ou simplement pour jouir de leur présence. Avant de franchir le cap, il est indispensable de vérifier certains points : Quelles seront leurs conditions de vie ? Quelle surface leur sera attribuée ? Quel accès à l'eau leur sera réservé ?... Ce dossier fournit des conseils précieux pour réaliser un projet d'accueil d'animaux chez soi dans les meilleures conditions, grâce à des témoignages et des avis d'experts : - Bien-être animal et élevage familial ; Pour accueillir et élever avec respect chèvres, canards et autres moutons, plusieurs principes sont à mettre en place ; - 3 articles sont ensuite consacrés au canard : Le canard, rustique et robuste (focus sur l'espace nécessaire, tant sur terre que dans une mare, pour que les canards évoluent dans un milieu sain, sur l'abri et les clôtures, etc.) ; Le coureur indien, un auxiliaire du jardinier (focus sur cette race de canard, très actif pour dénicher insectes, limaces et escargots, tout en respectant les cultures) ; Histoires de canards (présentation de 5 races de canards, locales et rustiques) ; - La caille, un élevage de poche (focus sur une volaille miniature et adaptée à un petit élevage familial) ; - La chèvre, espiègle et familière (bien connaître la chèvre, savoir comment éviter qu'elle ne s'échappe, rappel réglementaire sur la détention d'animaux d'élevage).
Valorisation du bocage
Sophie QUENTIN, AuteurCe dossier comprend trois articles. Le premier expose les intérêts de la conservation et de lentretien des haies (abri naturel, entretien du sol, régulation de limpact du climat). Le second présente la MAE « Entretien des haies localisées de manière pertinente » sur le territoire du Longeron (Pays de la Loire) et les conditions dattribution. Le troisième présente les types de valorisation possible des haies comme source dénergie, en donnant lexemple de Pascal Sachot, membre du GAEC Le Granit (Vendée). Il valorise le bois issu de ses haies et dune forêt de châtaigniers en bois de chauffage (pour lui, pour la commune et pour des particulier) et en piquets.
Dossier : Pollinisateurs : sauvages, cruciaux et menacés
Antoine BOSSE-PLATIERE, AuteurDomestiques ou sauvages, les abeilles sont essentielles à la pollinisation, dont dépendrait un bon tiers de notre alimentation. On sait que, depuis une vingtaine d'années, leur déclin s'accélère, notamment sous l'effet d'une exposition aux pesticides et d'une diminution des ressources alimentaires. Ce dossier rassemble des éléments de connaissance sur les abeilles (présentation de quelques espèces courantes), puis indique comment, au jardin, il est possible de contribuer à leur protection : sélection de fleurs susceptibles d'assurer aux abeilles une nourriture abondante tout au long de l'année, conseils pour choisir une diversité d'abris ou "hôtels à insectes", dont elles pourront aussi profiter. Huit abris différents sont ainsi décrits (matériau, forme, avantages, prix, nom du fabricant...). Quelques conseils sont donnés pour réaliser soi-même un abri simple.
Adopte un serpent !
Maude LE CORRE, AuteurLes serpents sont des auxiliaires qu'il ne faut pas négliger dans leur rôle de prédateur des rongeurs comme le campagnol des champs. Pour contribuer à leur recensement et afin de mieux les observer, le Ctifl de Balandran (30) a, depuis 2008, mis en place une technique pour abriter les serpents, à partir de plaques ondulées disposées sur le sol. Répondant au besoin de chaleur des reptiles tout en les protégeant des prédateurs, ces plaques sont aussi régulièrement visitées par les campagnols, mulots et musaraignes. Sur les 20 plaques installées, la moitié a été visitée au moins une fois pendant les 6 années d'observation. Le pic de fréquentation semble être entre mi-avril et fin juin, et la température maximum acceptée de 40° sous la plaque. D'autres observations ont pu être faites, concernant les espèces de serpents attirées par ces dispositifs, leur comportement, les liens entre leur fréquentation des plaques et la température ambiante, etc.
Loger et abriter les insectes au jardin
Vincent ALBOUY, Auteur ; André FOUQUET, Photographe | PARIS (57 Rue Gaston Tessier, 75 019, FRANCE) : ÉDITIONS DELACHAUX ET NIESTLÉ | 2014Longtemps les insectes ont été négligés au jardin. Pire, les espèces dites "nuisibles" ont été combattues à grand renfort de produits chimiques. Aujourd'hui, on sait combien les insectes peuvent être de précieux alliés des jardiniers. Devant la raréfaction inquiétante de nombreuses espèces autrefois banales, il est temps d'agir et d'accueillir, comme il se doit, les insectes au jardin, en leur offrant notamment des nichoirs et des abris variés. Cet ouvrage est notamment constitué des parties suivantes : I - Où logent les insectes au jardin ? ; II - Une petite histoire des nichoirs et abris à insectes ; III - Construisez vos nichoirs à insectes ; IV - Aménagez des refuges et abris pour les insectes ; V - Logements collectifs pour insectes ; VI - Un environnement favorable aux insectes ; VII - Le jardinage "insecto-compatible".
Abris-nichoirs pour les auxiliaires du jardinier bio
Pour jardiner en bio, il est indispensable de s'appuyer sur la biodiversité et de favoriser l'équilibre d'un "éco-système-jardin". De nombreux animaux peuvent être qualifiés d'auxiliaires du jardinier : insectes, oiseaux, batraciens, petits mammifères... Leur présence permet de réguler les populations d'hôtes moins désirables comme les pucerons, les limaces ou les mulots. Ce livre guide dans la réalisation d'abris-nichoirs pour attirer certaines espèces particulièrement utiles. Il permet de travailler avec facilité, à partir de matériaux de récupération et dans un esprit totalement respectueux de la nature. Au sommaire : Chapitre 1 : Premières réalisations pour favoriser les auxiliaires ; Chapitre 2 : Accueillir quelques oiseaux ; Chapitre 3 : Accueillir quelques insectes ; Chapitre 4 : Accueillir d'autres petits animaux (Les pipistrelles ; La belette ; Le hérisson ; Le crapaud).
Biodiversité et régulation des ravageurs en arboriculture fruitière
Jean-Michel RICARD, Auteur ; Alain GARCIN, Auteur ; Michel JAY, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (97 Boulevard Pereire, 75 017, FRANCE) : CTIFL (Centre Technique Interprofessionnel des Fruits et Légumes) | 2012La prise de conscience de l'importance de la biodiversité gagne chaque jour davantage les esprits. Les agriculteurs en particulier, tout en veillant à la rentabilité de leur activité, sont mis au défi de maintenir la durabilité de leur exploitation en respectant le plus possible l'environnement. Au-delà de son intérêt patrimonial, la biodiversité rend des services fondamentaux à l'homme et à l'agriculture dont on commence juste à percevoir les multiples impacts : lutte contre les ravageurs, fertilité des sols, pollinisation... Tous les acteurs de la production fruitière se doivent donc de prendre en compte la valeur de la biodiversité au quotidien. Cet ouvrage présente d'abord des notions d'agro-écologie pour se focaliser ensuite sur la régulation des ravageurs des vergers par leurs ennemis naturels. Il propose également des méthodes de suivi et de diagnostic de la biodiversité dans les exploitations, associé à un fascicule d'aide à l'identification des principaux ordres et familles d'arthropodes des vergers. Le rôle des infrastructures agro-écologiques et les principes de la lutte biologique par conservation sont abordés avec des conseils de mise en uvre et de gestion.
Conservons nos légumes en hiver !
Philippe DELWICHE, Auteur ; Désiré GREVISSE, AuteurDurant l'hiver, les légumes racines peuvent être conservés dans des silos : les auteurs proposent, à l'aide de photographies, d'expliciter les étapes selon lesquelles procéder grâce à l'utilisation de tambours de machines à laver (dix à quinze kilos de racines) ou de sèche-linge (trente à quarante kilos de racines), posés dans un trou (équivalent à la hauteur du tambour, augmentée de trente centimètres) et protégés des nuisibles (limace, cloportes...) par du sable. La préparation des légumes à ensiler s'effectue le plus tard possible, en novembre-décembre ; juste après la récolte, les racines sont débarrassées du maximum de leur feuillage. Dans le potager, restent les légumes capables de supporter les plus grands froids (topinambours et panais, salade de blé, poireaux..., ainsi que choux verts...). Les poireaux, pour faciliter leur extraction, sont protégés d'un tapis de feuilles mortes... Les autres fruits et légumes sont conservés dans les abris de jardin, les caves et les greniers. Dès l'été, les herbes aromatiques sont séchées au fur et à mesure de leur maturité.
Free Fowl : Outdoor access and summer shelter design for poultry
Jane MORRIGAN, AuteurLes systèmes mobiles de production de volailles en liberté sont très avantageux puisqu'ils permettent aux animaux de faire de l'exercice, de réduire les agressions entre individus, de diminuer les coûts d'alimentation et sont moins chers à implanter que des bâtiments fixes. Cependant, ce système requiert de la planification et une bonne gestion des risques environnementaux tels le froid, la chaleur, l'humidité du sol, les parasites, les bactéries et les prédateurs. Cet article aborde les bases de l'élevage de volailles en liberté. Plusieurs désavantages des abris fixes proviennent de l'utilisation récurrente du même terrain par la volaille. Cette situation génère une destruction de la végétation, l'accumulation de pathogènes au sol et le transport de fumier ou de terre à l'intérieur du poulailler en raison du sol nu et du passage répété des animaux. L'auteur présente différents designs d'accès extérieurs possibles comme les poulaillers portables sur roues ou au sol, les vérandas couvertes et les tentes danoises. Il est intéressant dans certains cas de combiner la volaille à d'autres types d'élevages. Par exemple, le passage de poules dans un pâturage de moutons permet de maximiser l'utilisation du pâturage et de contrôler les parasites. Intégrer la volaille en production maraîchère ou dans un verger permet de valoriser les déchets de productions, de fertiliser le sol et d'aider au désherbage. L'auteur mentionne également l'exemple d'une entreprise agricole canadienne qui désherbe ses framboisiers avec de la volaille.
Moustiques, tenez-vous à carreau !
Marie ARNOULD, AuteurL'un des principaux problèmes rencontrés par les chauves-souris est la disparition des ouvertures et des gîtes nécessaires à leur survie. Un accès au grenier, un soupirail, un fenestron... conviennent, ainsi que les façades de vieux édifices qui recèlent une multitude de cavités. Ces espaces constituent des gîtes très prisés par les espèces de chauves-souris "fissuricoles", comme la pipistrelle. En France, sur les 34 espèces de chauves-souris présentes, une est en danger critique d'extinction, trois sont vulnérables et sept quasi menacées ; on manque de données pour quatre espèces, tandis que les effectifs des 18 autres espèces semblent stables. Mais toutes sont sur la liste des espèces protégées depuis 1976... Seule la pipestrelle commune reste abondante. En Europe, les chauves-souris ne sont pas touchées par le terrible « syndrome du nez blanc » (SNB), qui a déjà décimé plus d'un million de chauves-souris, depuis 2006, aux Etats-Unis. Les baisses d'effectifs ont plusieurs causes : perturbation des gîtes, diminution d'insectes due à l'usage intensif des pesticides, ainsi qu'à la suppression des haies (qui appauvrit la faune entomologique). Petits mammifères volants, pesant entre 4 g environ - la pipestrelle commune - et 40 g pour la plus grande - le grand murin - , elles dévorent en insectes près du tiers de leurs poids, chaque nuit, absorbant notamment des milliers de moustiques, de papillons de nuit, voire, à l'occasion, des pucerons.
En pots ou en pleine terre, réussir ses tomates
Philippe DELWICHE, Auteur ; Désiré GREVISSE, AuteurLa tomate est particulièrement sensible au mildiou. Elle craint les pluies qui, associées à la chaleur de l'été, entraînent le développement du mildiou. Pour se préserver de ce champignon, il convient d'installer un abri de protection pour les plantes. L'article revient sur deux modes de culture de la tomate : - La culture en pot : repiquage de la tomate dans des pots d'une capacité minimum de dix litres (car elle est gourmande en eau et éléments nutritifs), constitution d'un substrat fait de terre, de terreau bio enrichi de compost, de fumier composté ou d'un fumier organique bio du commerce, tuteurage, arrosage, présence d'un sous-pot, précautions à prendre pour certaines variétés de tomates ; - La culture en pleine terre : pour protéger les plants de tomates de la pluie et donc éviter les traitements à la bouillie bordelaise, quatre exemples d'abris bricolés sont proposés : panneaux de jardins surmontés d'une chute de plastique ; structure en tuyau PVC de récupération appuyée contre un mur et recouverte d'un toit ; assemblage de bois récupérés, recouvert d'un simple pastique d'emballage ; soudure d'une structure apte à recevoir un plastique horticole.
"Un professionnel m'a montré ce que je pouvais faire en plus"
Stephan JAUN, AuteurLukas Studer produit des plantes aromatiques. Sa ferme Bourgeon, située à Attiswil BE (Suisse), compte plus d'une trentaine de sortes de plantes aromatiques et à graines. Il cherche d'autres variétés et fait aussi de l'engraissement de bovins au pâturage. Au fil des années, M. Studer a transformé sa ferme en une petite entreprise qui occupe, de mi-mars à fin octobre, neuf employés... Par ailleurs, ce producteur Bourgeon fait pousser des buissons, des haies et des arbres fruitiers haute-tige. Des abris pour les abeilles sauvages offrent aussi protection à de petits animaux. M. Studer, convaincu qu'il y avait encore beaucoup de potentiel inexploité sur sa ferme, a été conduit, du fait de sa recherche sur la biodiversité, au Programme d'encouragement de la biodiversité financé par la Coop et lancé récemment par Bio Suisse, le FiBL et l'Association Suisse pour la Protection des Oiseaux ASPO/BirdLife Suisse. Véronique Chevillat, conseillère en biodiversité du FiBL, a recensé sur place les possibilités d'amélioration comme la revalorisation du verger haute-tige pour en améliorer la qualité écologique : suspension de nichoirs, disposition d'un tas de branches, prairie extensive. Ce que Lukas Studer a pu reproduire sur d'autres surfaces de son domaine peut être, comme il le précise, plus difficile pour ceux cultivant uniquement des terres fertiles...
Mon p'tit verger bio
L'ouvrage "Mon p'tit verger bio" est destiné aux enfants. Il donne des indications et des conseils sur la façon d'obtenir les petits fruits rouges avec des techniques biologiques : la fraise, la framboise, la groseille et le cassis, ainsi que des fruits tels que la cerise, la pêche et l'abricot, les prunes, la pomme, la poire. Par ailleurs, des indications sont apportées pour privilégier les abeilles (semer un coin de prairie) et les insectes au jardin (fabriquer des abris). Une recette à base de petits fruits rouges est également proposée.
Le(s) point(s) sur les coccinelles
Denis PEPIN, AuteurParmi les 130 espèces de coccinelles présentes en France, les plus connues sont la coccinelle à 7 points et sa cousine à 2 points, auxiliaires appréciés des jardins. Présentation de ces deux espèces de coccinelles (taille, développement, activité) et de la façon de les accueillir et de les protéger (abris, fleurissement de plantes sauvages...). Des encarts sont réservés à d'autres espèces de coccinelles : version noire ou à damiers (Propylea quatuordecimpunctata, Chilocorus bipustulatus) ; une chinoise agressive (Harmonia axyridis).
Accueillir la faune au jardin
Denis PEPIN, AuteurDes lecteurs des 4 Saisons du Jardin Bio et Denis Pépin, journaliste et ingénieur agronome, se sont employés à tester de nombreux abris et nichoirs à oiseaux et mammifères auxiliaires au jardin. Bilan des expériences, avec des fortunes diverses : - Bilan mitigé pour les nichoirs à hérisson ; - Des nichoirs propres pour les oiseaux ! ; - Sélectives, les chauve-souris... ; - Abris à batraciens : la déception.
Auxiliaires : Faut-il loger les insectes auxiliaires ?
Denis PEPIN, AuteurCompte-rendu d'expériences positives ou non sur l'efficacité des nichoirs à insectes. En effet, les oiseaux ne sont plus les seuls à bénéficier de nichoirs artificiels. Abeilles, petites bêtes et insectes auxiliaires divers ont aussi droit désormais à leurs constructions : descriptions.
Les chauves-souris et les arbres fruitiers
Maria LANZELLOU, AuteurPeu connues et pourtant passionnantes, les discrètes chauves-souris ou "Chiroptères" ont un rôle à jouer dans le verger. L'article indique la manière de maintenir ces auxiliaires au verger : moeurs des chauves-souris ; régression des espèces de chauves-souris (destruction de leurs gîtes, dérangement..., rythme biologique des chauves-souris selon les saisons) ; gîte des chauves-souris dans les arbres et étude du CTIFL (Centre technique interprofessionnel des fruits et des légumes) sur les chiroptères dans les vergers pour la lutte contre les ravageurs ; études du CTIFL et de l'INRA d'Avignon pour cerner quelle gestion et quels aménagements sont favorables à l'installation et au maintien de ces auxiliaires généralistes ; précautions à prendre ; accueil des chauves-souris avec des nichoirs, à défaut d'arbres gîtes.
Jardinez avec les insectes : Comprendre, prévenir, attirer et contrôler les invertébrés au jardin
Aucune espèce ne se trouve par hasard dans un jardin, et toutes jouent un rôle dans l'écosystème miniature qu'il représente. Cet ouvrage rompt avec la vision étriquée et obsolète des jardiniers : il y aurait les invertébrés "utiles" s'opposant aux "nuisibles", en négligeant les "indifférents"... L'important, c'est de maintenir un équilibre dynamique entre les plantes cultivées ou sauvages et les invertébrés, qu'ils soient végétariens, prédateurs, parasites, pollinisateurs ou recycleurs. Après les indispensables notions d'entomologie, l'auteur détaille le rôle fondamental des invertébrés au jardin et apprend à reconnaître 84 groupes importants. L'auteur de l'ouvrage, entomologiste et jardinier bio, a enrichi son expérience de jardinage de diverses lectures et de très nombreux échanges avec des dizaines de jardiniers et de jardinières... Il permet de savoir comment favoriser la biodiversité synonyme d'équilibre ; loger les auxiliaires pour augmenter leur efficacité ; mener une lutte active contre les espèces à problème, etc.
Abris climatiques : Une nouveauté... à utiliser en particulier sur cerisier
Les nouveaux abris climatiques des Etablissements Barre (Lot-et-Garonne) possèdent des structures métalliques recouvertes de films plastiques entièrement débâchables, eux-mêmes recouverts de filets permanents anti-grêle. Un seul poteau central est aligné avec les arbres, ce qui facilite les passages dans le verger. Surtout, la couverture se découvre automatiquement en deux minutes grâce à un système de moteurs électriques/cardans, d'où un gain de temps notoire. Ce matériel permet de gagner en précocité et en qualité de production. Seule limite, le coût d'investissement de départ : 12 euros/m2.
Pensez à la pollinisation, abritez les bourdons !
Jacques DUPRET, AuteurLe bourdon est un pollinisateur de tout premier ordre. L'article s'intéresse particulièrement au bourdon terrestre, qui est actif d'avril à octobre. Son aspect physique, son comportement et sa capacité à visiter de nombreuses fleurs sont évoqués. Puis des indications sont données pour installer un abri nichoir à bourdons et préserver ainsi cet insecte auxiliaire.
Placez et déplacez les forficules
Les forficules ou plus communément appelés " perce-oreille " ont un intérêt tout particulier dans le jardin. En effet, ils sont très consommateurs d'insectes, ravageurs des légumes. C'est donc important de leur donner des abris favorables pour leur développement, quelques exemples sont donnés. Ainsi, ils participent à la biodiversité du jardin et limitent la prolifération des parasites.
Accueillez les guêpes et les abeilles solitaires...
Après un rappel quant à l'intérêt des guêpes et des abeilles au jardin (elles participent à la biodiversité, constituent un maillon de la chaîne alimentaire sauvage et participent à la "lutte intégrée naturelle" puisqu'elles se nourrissent de nuisibles), des instructions sont données pour leur construire un abri-nichoir.
Le faucon crécerelle, l'oiseau du "Saint-Esprit"
Après un descriptif du faucon crécerelle et de ses atouts comme auxiliaire au jardin où, pour le préserver, les produits chimiques doivent être proscrits, la construction d'un abri-nichoir, sa mise en place et son nettoyage sont évoqués.
Attirez la famille hérisson !
L'article permet de se familiariser avec le mode de vie des hérissons et donne tous les conseils pour lui construire un abri - nichoir et sur l'endroit où le placer.
Jardin : Des abris pour les abeilles
Comment faire des abris pour retenir les abeilles dans votre jardin afin qu'elles butinent les fleurs en toute sérénité ? Conseils pour utiliser les éléments naturels (bûches, fagots, pots de fleurs) et les aménager pour en faire des abris.
Une tour HLM pour insectes prédateurs
Pour favoriser l'accueil des insectes prédateurs (coccinelles, syrphes, guêpes solitaires, etc...) au jardin, cet article renseigne sur comment aménager des abris avec des matériaux de récupération (branchages, pots de terre, etc...).