Thésaurus
Documents disponibles dans cette catégorie (27)


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
Dossier : Climat, le réseau bio en Grand Est se mobilise
Pauline BOGE, Auteur ; Patricia HEUZE, Auteur ; Amélie LENGRAND, Auteur ; ET AL., AuteurEn 2022, les 2ème et 3ème volets du 6ème rapport du GIEC ont de nouveau mis en évidence lurgence dagir face au changement climatique. Diversification des cultures, agriculture biologique et réduction de la consommation de viande sont autant dingrédients qui pourront permettre datténuer le changement climatique et de sadapter à ses conséquences. Dans ce cadre, Bio en Grand Est participe à plusieurs projets en lien avec le climat présentés dans cet article : - Le projet Eau et Climat FNAB 2021-2022 ; - Le projet Transfrontalier Klimaco 2021-2023 ; - Un projet de développement des semences paysannes en Champagne-Ardenne et leur valorisation par des filières locales ; - Le projet « Résilience des systèmes grandes cultures biologiques en Champagne et en Meuse », proposé par lAgence de leau Seine Normandie ; - Le partenariat avec la Communauté de Communes des Crêtes Préardennaises ; - Le programme Agroécologie du Pays Terres de Lorraine ; Laccompagnement du réseau de fermes bio climat du Grand Est.
![]()
![]()
Dossier : Le label FNAB « Bio France », présentation des critères biodiversité
Léo TYBURCE, AuteurLa FNAB travaille sur le déploiement d'un label « Bio France », applicable à l'échelle des fermes. Après la création de la première brique bio-équitable en 2021, deux nouvelles briques sont à l'étude, sur le social et sur la biodiversité. Ce dossier est consacré aux 11 critères de la brique biodiversité qui seront progressivement mis en place, sur 3 ans. Ces critères sont : 1 - Renforcer progressivement le pourcentage d'infrastructures agroécologiques (IAE) sur la ferme ; 2 - Avoir au moins deux types d'infrastructures agroécologiques (ligneux, herbagers, aquatiques) sur sa ferme ; 3 - Respecter certaines recommandations de gestion des IAE pour favoriser la biodiversité ; 4 - Améliorer progressivement la diversité des espèces cultivées ; 5 - Limiter progressivement la part des parcelles de grandes tailles dans la SAU ; 6 - Interdiction des "nouveaux OGM" ; 7 - Fertilisation : interdiction des substances controversées ; 8 - Encadrement de l'utilisation des antiparasitaires en élevage : limitation des avermectines et interdiction des bolus ; 9 - Couverture du sol ; 10 - Réduction du travail du sol ; 11 - Sensibilisation à la biodiversité. Un encart présente les actions pour la biodiversité pour lesquelles Bio en Grand Est accompagne les producteurs bio.
![]()
![]()
Dossier : Le label FNAB « Bio France », présentation des critères sociaux
Thomas SEDLBAUER, AuteurLa FNAB travaille sur le déploiement d'un label « Bio France », applicable à l'échelle des fermes. Après la mise en place de la première brique bio-équitable en 2021, deux nouvelles briques se mettent en place en 2022, sur le social et la biodiversité. Ce dossier est consacré aux 9 critères sociaux qui seront progressivement mis en place, sur 3 ans, afin de : garantir la juste rémunération des agriculteur.rices et un lien employeur-employé plus cadré, de favoriser la transmission des savoirs et le renouvellement des générations (accompagnement des stagiaires et des woofers, plans de formation...) et de renforcer l'attractivité des métiers en agriculture. Les fermes souhaitant s'engager dans cette démarche de progrès bénéficieront d'un accompagnement à la labellisation, par le réseau, au deuxième semestre 2022.
![]()
![]()
Fourrages et prairies 2.0
C. ALLAIN, Auteur ; Jérôme PAVIE, Auteur ; P. GAUTIER, Auteur ; ET AL., AuteurCe numéro de la revue « Fourrages » est consacré à lutilisation de nouveaux outils, notamment des nouvelles technologies (objets connectés) et des jeux sérieux, pour optimiser la gestion des fourrages et des prairies. Les différents articles regroupés dans cette revue portent ainsi sur : 1 lintérêt des objets connectés appliqués aux fourrages, à la conduite des prairies et à la surveillance des animaux ; 2 lutilisation de données satellites pour quantifier la production dherbe et de biomasse ; 3 le recours à la télédétection pour prédire la biomasse du maïs ; 4 la prévision de la croissance de lherbe en Irlande ; 5 la spectrométrie dans le proche infra-rouge pour évaluer la valeur alimentaire des fourrages ; 6 lutilisation de colliers de monitoring pour optimiser le pâturage des vaches laitières ; 7 la prise en main de clôtures virtuelles pour gérer le pâturage ; 8 la mise en réseau dacteurs de la prairie pour accélérer les échanges et les innovations ; 9 lappropriation, par des agriculteurs en Cuma, des stations météo connectées et des outils daide à la décision associés ; 10 - les jeux sérieux en élevage pour transférer les connaissances ; 11 lanimation de séances de diagnostic prairial en collectif pour favoriser le vieillissement des prairies temporaires (outil PERPET) ; 12 un jeu sérieux pour tout comprendre sur les prairies du Massif Central (AEOLE-le-jeu) ; 13 peu doutils numériques en élevage pâturant ; 14 la mesure de la hauteur despèces fourragères pérennes par photogrammétrie.
![]()
![]()
L'Agroécologie : Levier de redressement des exploitations fragilisées ?
Marie-Josèphe BIGEON, Auteur ; Jean-François BOUCHEVREAU, Auteur ; Amélie DUMEZ, Auteur ; ET AL., Auteur | BAGNOLET (104 Rue Robespierre, 93 170, FRANCE) : SOLIDARITÉ PAYSANS | 2020Depuis 2015, Solidarité Paysans analyse les parcours dagriculteurs en difficulté ayant adopté des pratiques relevant dune agriculture plus cohérente, autonome et économe leur permettant de rebondir. De la Savoie au Morbihan, du Nord-Pas-de-Calais au Gard et aux Bouches-du-Rhône, en passant par la Creuse ou encore la Sarthe, ces témoignages couvrent une belle diversité de systèmes de production : viticulture, bovins, arboriculture, chèvres, maraîchage, volailles... Trois niveaux de changement ont été identifiés, depuis la parcelle, au système de production et jusquà la filière, sappuyant chacun sur des leviers divers. Ces changements de pratiques, et plus encore la démarche de questionnement qui les accompagne, ont participé au redressement des exploitations suivies. Ce document sadresse aux agriculteurs et aux agricultrices, quils rencontrent ou non des difficultés sur leur exploitation, et aux acteurs qui les accompagnent. Un outil permettant dinterroger son modèle de production et ses pratiques et témoignant de la « redressabilité » de la situation ouvre des horizons. Chacun pourra y trouver, non pas des modèles ou des solutions toutes faites, mais plutôt des idées, des questionnements et des témoignages pour sinspirer et alimenter sa réflexion.
![]()
![]()
« En collectif, lincertitude devient une ressource pour laction » ; « Les groupes de discussion ont donné du sens au projet territorial »
Elsa EBRARD, AuteurCes deux articles expliquent en quoi les collectifs peuvent être une aide dans les changements de pratiques et dans linnovation. Le premier retranscrit une interview de Jean-Pierre Del Corso, un ancien animateur Jeunes Agriculteurs et professeur de lenseignement agricole qui est actuellement chercheur et dirigeant du LEREPS (Laboratoire dÉtude et de Recherche sur lÉconomie, les Politiques et les Systèmes Sociaux). En 2013, avec dautres chercheurs, il a publié une étude intitulée « Pratiques agricoles pour la réduction des produits phytosanitaires, le rôle de lapprentissage collectif ». Cette étude sappuyait sur le cas de la coopérative Qualisol, basée dans le Tarn-et-Garonne, qui a travaillé sur les possibilités daccompagnement de ses adhérents vers des pratiques plus économes en intrants. Jean-Pierre Del Corso revient ainsi sur les principaux enseignements de cette étude, tout en expliquant le rôle du collectif et des leaders dans les changements de pratiques. Le second article retranscrit une interview de Catherine Milou. Cette dernière effectue une thèse CIFRE auprès de la coopérative Qualisol. Dans ce cadre, elle a animé et étudié trois GIEE portés par Qualisol (dont un en bio) et qui ont tous les trois un objectif de création de filières territorialisées « légumes secs ». Catherine Milou explique en quoi ces collectifs ont permis de penser des actions communes au profit des agriculteurs et des consommateurs.
![]()
![]()
La conversion en bio s'est-elle passée comme prévu ?
Annick CONTÉ, AuteurA l'hiver 2020, l'entreprise de conseil en élevage Seenovia a réalisé des enquêtes chez une trentaine d'éleveurs laitiers des Pays de la Loire convertis à l'agriculture biologique entre 2015 et 2018. L'objectif : évaluer la pertinence des outils d'accompagnement à la conversion en comparant les performances techniques prévues dans les projets à celles réellement atteintes après un ou deux ans de conduite bio. Si les prévisions concordent globalement avec la réalité, des points de vigilance ont pu être identifiés. Les éleveurs semblent avoir du mal, par exemple, à diminuer leurs surfaces en maïs, ou à voir baisser les quantités de lait produites, ce qui met à mal le système fourrager.
![]()
![]()
Témoignage : "Jai formé 400 agriculteurs au pâturage tournant dynamique"
Elsa EBRARD, AuteurAujourdhui, Xavier Barat est ingénieur-conseil dans un bureau détude, de formation et de conseil en agriculture écologique, spécialisé dans ladaptation dinnovations par et avec les producteurs en systèmes polycultures élevages herbivores. Ainsi, depuis 2012, il a formé plus de 400 agriculteurs au pâturage tournant dynamique (PTD) dans le grand Sud-Ouest (Nouvelle-Aquitaine et Ouest-Occitanie). Ceci lui a permis de capitaliser des résultats intéressants sur les atouts de cette pratique sur ce territoire, sujet sur lequel il a fait un article dans « Agronomie Environnement et Sociétés », publié en décembre 2019. Parmi les conclusions principales, même si le Sud-Ouest nest pas une zone herbagère, il peut accueillir des élevages à lherbe viables grâce à un PTD maîtrisé, en lien avec des chargements adaptés aux potentiels des exploitations. Le PTD permet notamment de réduire les coûts de production (ex. moins dintrants tels que les concentrés). Il permet aussi de réduire les dépenses pour la récolte et le stockage des fourrages. Il conduit ainsi à une meilleure autonomie alimentaire. Par ailleurs, sur ce territoire, lintégration de dérobées ou de prairies à flore variée dans la rotation, en plus de l'apport alimentaire, contribue à la fertilisation des sols. Pour cet ingénieur, le PTD est une innovation favorable au développement délevages herbivores plus durables sur le Sud-Ouest. Des partenariats producteurs-conseillers-chercheurs peuvent aider à consolider les résultats liés à cette technique et à la diffuser.
![]()
![]()
Le travail des "pâtureur.ses" à la loupe
Olivia TREMBLAY, AuteurDans le projet Casdar Transaé (2016-2020), les questions liées à la perception et aux transformations du travail ont été abordées, notamment dans le cas de changements vers des systèmes plus agroécologiques. Des enquêtes préalables auprès d'éleveurs avaient en effet permis de montrer que le travail peut être considéré aussi bien comme un levier que comme un frein lors de transitions vers des systèmes plus économes. 66 éleveurs volontaires ont travaillé avec les partenaires du projet Transaé, ce qui a permis d'identifier leurs préoccupations, mais aussi leurs satisfactions, et d'engager avec eux un accompagnement individuel sur trois ans, ainsi que des échanges en groupe. Au-delà des questions de temps de travail, de pénibilité, etc., ces travaux ont amené les acteurs concernés - agriculteurs et équipe-projet - à mettre sur la table d'autres notions tout aussi importantes, comme le sens que l'on peut donner à son travail, les apprentissages que l'on fait, ou encore la charge mentale, et ont induit des changements aussi bien chez les agriculteurs que chez les chercheurs, enseignants et animateurs qui les ont accompagnés.
![]()
![]()
Accompagner des collectifs en transition écologique
Christophe LESCHIERA, Auteur ; Muriel ASTIER, Auteur ; Agnès CATHALA, Auteur ; ET AL., AuteurFace à la remise en cause des pratiques agricoles, nombreux sont les producteurs à adapter leur système et à sengager vers une démarche agro-écologique. Pour produire des connaissances et sécuriser les personnes en situation de changement, le fonctionnement en collectif reprend de l'importance. En parallèle, la place du conseil évolue. Les compétences techniques ne suffisent plus, le conseiller se doit daccompagner le collectif et dêtre expert dans les processus dapprentissage, de relation et d'accompagnement. Dans ce numéro spécial sur laccompagnement des collectifs en transition écologique, les changement énumérés précédemment sont illustrés au travers des résultats du projet COTRAE (COllectifs en TRansition Agro-Ecologique), et plus précisément au travers danalyses et de témoignages de collectifs et daccompagnateurs, de réflexions plus conceptuelles des acteurs de la recherche et du développement.
![]()
![]()
LADAPA : une association déleveurs en recherche dautonomie dans le Limousin
Alexia ORAIN, AuteurDans le Limousin, lADAPA (Association pour le Développement dune Agriculture Plus Autonome) accompagne des agriculteurs pour construire des systèmes de production viables, cohérents avec leurs ressources et leurs valeurs. Il sagit avant tout d'une démarche ascendante et collective : des groupes déchanges se forment pour approfondir ce qui les questionne. Ces groupes sont suivis par une équipe danimateurs depuis que lADAPA a adhéré au réseau des CIVAM en Limousin. Les échanges ont principalement lieu dans les fermes des adhérents, autour dune question proposée par laccueillant. Certaines fois, un formateur est convié afin deffectuer un apport théorique nécessaire à lévolution de la réflexion. Les thématiques de travail gravitent principalement autour du développement de systèmes économes et autonomes (ex : engraissement à lherbe, intégration de végétation semi-naturelle dans les prairies ). Dautres sujets peuvent être abordés en fonction des besoins des adhérents (ex : les différentes formes de collaboration dans le travail). LADAPA est un bel exemple de réappropriation par les agriculteurs de leur outil de développement pour reconquérir leur indépendance décisionnelle.
![]()
![]()
Le dossier : La diversification, un levier pour une agriculture durable en moyenne montagne
Corinne MELLET, Auteur ; Lore BLONDEL, Auteur ; Elodie BUTIN, AuteurLa diversification est un levier pour augmenter la durabilité des exploitations de moyenne montagne. Dans cet article, plusieurs agriculteurs, appartenant tous au réseau ADMM et localisés dans le Massif Central, identifient les atouts de la diversification et les illustrent avec leur système. Ils évoquent tout dabord la diminution de limpact environnemental de leur ferme : moindre intensification à lhectare, éco-pâturage, complémentarité entre les différents ateliers. Les agriculteurs soulignent également le rôle de la diversification dans la sécurité financière des fermes puisquelle augmente leur résilience face aux aléas économiques, techniques et climatiques. De plus, certains ateliers permettent davoir une rentrée dargent régulière et non saisonnière. La diversification est aussi un moyen de développer des dynamiques locales : création demplois, redynamisation de hameaux, échanges et création de liens avec les habitants du territoire. Elle permet ainsi de redonner du sens au métier dagriculteur. Les agriculteurs évoquent tout de même les risques quelle peut engendrer avec laugmentation de la charge de travail et la multiplication des compétences. Laccompagnement par un collectif, tel que lADMM, peut dailleurs faciliter la période de transition. Cet article est accompagné du témoignage dAdrien Mazet, de la ferme du Val Fleury, dans la Loire, qui a des vaches laitières, des poules pondeuses, des cultures de légumineuses et qui fabrique des yaourts, ainsi que de la farine pour la consommation humaine.
![]()
![]()
Dossier : Pour une nouvelle approche de la transmission en agriculture
Fabrice BUGNOT, Auteur ; Hélène BUSTOS, Auteur ; Amélie PELLETIER, Auteur ; ET AL., AuteurLa transmission des fermes est un enjeu important. Malgré les dispositifs publics daide et daccompagnement à linstallation-transmission, les départs sont très peu compensés par des installations : près de la moitié des terres libérées partent à lagrandissement. Ce dossier analyse ce phénomène et apporte des propositions. Les différents freins à la transmission sont tout dabord évoqués. Ils sont complétés par linterview de Coline Fillon, doctorante et animatrice à la Fadear, qui a travaillé sur les principaux écueils du programme Aita (Accompagnement à linstallation transmission en agriculture). Par ailleurs, la présentation dune étude menée par le Celavar Auvergne-Rhône-Alpes (Comité détude et de liaison des associations à vocation agricole et rural) explique pourquoi les cédants distinguent une pluralité de transmissions (patrimoine, entreprise, savoir-faire, réseaux ). Deux cas concrets sont ensuite détaillés. Le premier est le témoignage dÉlie et dArthur, installés hors cadre familial en 2013. Ils ont transformé une ancienne ferme laitière conventionnelle en une association élevages-céréales-maraîchage en bio, et ont dû visiter une cinquantaine de fermes avant den trouver une qui leur convenait. Le second est lexemple des paludiers de Guérande. Comme plus personne ne voulait sinstaller dans les années 70, ils ont alors créé un brevet professionnel, une coopérative, des groupes dentraide, des fonds de trésorerie afin de favoriser les installations. Des propositions du collectif Inpact (Initiatives pour une agriculture citoyenne et territoriale) afin daider la transmission-installation sont ensuite décrites : outil de stockage du foncier, réseaux locaux, espaces de rencontres, accompagnements collectifs et individuels Enfin, ce dossier est clôturé par un plaidoyer écrit par ce collectif pour une transition des politiques publiques.
![]()
![]()
« Janime le groupe 30 000 autonomie écodurable en Indre-et-Loire »
Elsa EBRARD, AuteurDenis Thomas est conseiller en développement local à la Chambre dAgriculture dIndre-et-Loire depuis 2011. Lune de ses missions consiste à animer le GDA (Groupement de Développement Agricole) Sud-Touraine. En 2012, certains membres de ce GDA ont souhaité axer leur réflexion sur la diminution du travail du sol (la plupart dentre eux sont en agriculture conventionnelle et quelques uns sont en bio). Au-delà de cette réflexion, ce groupe approfondit la thématique de lautonomie, aussi bien dun point de vue technique, que financière et décisionnelle. Il a dailleurs été labellisé Groupe 30 000 en 2018. À titre dexemple, il a mené des projets sur : la destruction dun couvert végétal sans glyphosate avec un faible travail du sol, la conduite de la luzerne avec une diminution du désherbage, létude de profils de sol après méteils fourragers Dans cet article, Denis Thomas explique plus précisément comment le groupe sest formé, quels sont ses objectifs, comment il fonctionne, ainsi que les points forts et les points faibles de la méthode daccompagnement qu'il utilise pour animer le groupe.
![]()
![]()
Rechercher la complémentarité élevage-culture
Elsa EBRARD, AuteurDepuis 2017, lInra a développé le « jeu sérieux » Dynamix. Ce jeu permet de dynamiser une réunion de territoire dans lequel la problématique de la complémentarité entre céréaliers et éleveurs a été soulevée par un groupe. Marc Moraine, ingénieur de recherche à lInra, présente loutil et son utilisation possible. Dynamix, qui allie discussions, plateau de jeu et modèle informatique, se déroule en cinq étapes : définition du problème, enquêtes individuelles dexploitations, conception participative de scénarios, simulation et évaluation (multicritère et collective) des scénarios.