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Comment on parle avec des bovins
Eva FÖLLER, AuteurLa méthode Low Stress Stockmanship (LSS) a été inventée par Bud Williams (US). Il s’agit d’une méthode de communication avec le troupeau bovin, basée sur la collaboration avec l’animal. L’éleveur doit être attentif aux comportements et aux besoins des bovins pour mettre en place une relation de confiance et de respect. Cette méthode permet de diminuer le stress de l’animal, et aussi celui de l’éleveur. En Suisse, Philippe Wenz anime des formations à la LSS. Il conseille notamment d’éviter de crier, et de communiquer avec le troupeau en priorité avec l'attitude corporelle et la position par rapport aux bovins. Par exemple, marcher en zig-zag derrière le troupeau le fait avancer, alors que marcher sur le côté du troupeau le fera ralentir.
Programme Ambition Bio 2027 - Avril 2024
Le Programme Ambition Bio 2027, dont la gouvernance est assurée par la DGPE du ministère de l’Agriculture, a pour objectif de renforcer la cohérence des politiques publiques pour consolider et développer l’agriculture biologique, y compris l’aquaculture biologique. Il décline les trois axes du plan d’action bio européen de 2021 et se recentre autour d’une feuille de route opérationnelle de 26 actions. Détail des différents axes : Axe transversal (en plus) - "Veille scientifique et anticipation sur les impacts environnementaux, de santé et socio-économiques de l’agriculture biologique" (étude sur les externalités et étude prospective à 2040). Axe 1 - "Stimuler la demande de produits biologiques et renforcer la confiance des consommateurs" : Connaître la demande (consommateurs et restauration commerciale) ; Adapter la communication aux débouchés (grand public, restaurations collective et commerciale) ; Stimuler la demande (loi Egalim, distribution). Axe 2 - "Consolider et développer des filières biologiques résilientes et ancrées dans les territoires" : Connaître les filières biologiques et les territoires pour mieux piloter, anticiper et gérer les crises (étude sur la situation des filières, recueil de données amont-aval, la bio dans les territoires) ; Structurer les filières biologiques pour assurer une juste répartition de la valeur entre les différents maillons (outils de régulation, contractualisation…) ; Soutenir l’investissement dans les filières biologiques (Fonds Avenir Bio…) ; Favoriser l’installation et la transmission en bio (dispositifs PLOA et PACTE, accès au foncier) ; Conforter la place du bio dans la formation (référentiels, présence sur tout le territoire, exploitations d’EPL et transfert vers les agriculteurs, formation des cuisiniers…). Axe 3 - "Accompagner les opérateurs de l’agriculture biologique face aux enjeux sociétaux et environnementaux d’aujourd’hui et demain" : Anticiper les évolutions à venir ; Promouvoir et diffuser les résultats de recherche – développement ; Renforcer la complémentarité entre les systèmes bio et conventionnels ; S’adapter aux enjeux à venir (changement climatique, contaminations sur des fermes bio, fertilisation et intrants).
Qui va nous nourrir ? : Au cœur de l'urgence écologique, le renouveau paysan
C’est l’histoire d’une hémorragie. Une saignée entamée au début du XXème siècle, ininterrompue depuis. La France compte, aujourd’hui, moins de 400 000 exploitations agricoles, contre 4 millions de fermes un siècle plus tôt, ce à quoi on ajoutera que, d’ici à 2030, la moitié des agriculteurs et agricultrices seront partis à la retraite. Alors, qui va nous nourrir ? Soit on remplace les partants, soit c’est la mort des paysans, et on laisse définitivement le champ libre à l’agro-industrie. En parallèle des départs massifs qui touchent le secteur, une nouvelle population frappe à la porte. Souvent non issues du monde agricole, dotées d'une conscience aiguë des bouleversements écologiques en cours et riches d'expériences professionnelles dans d'autres domaines, ces personnes font preuve d'une ténacité à toute épreuve pour un vrai parcours du combattant… Au travers de son livre-enquête, l’autrice nous fait rencontrer des candidates et des candidats à la reprise de ferme aux idées novatrices, mais nous plonge aussi au cœur des blocages à l'installation.
Vocation paysan : Une histoire de persévérance
Stéphane COZON, Auteur ; Marion HAAS, AuteurIl y a deux ans, Rémi et Mathilde Colin, frère et sœur, non issus du milieu agricole, se sont installés, en biodynamie, à la ferme de Piedfroid, dans le Puy-de-Dôme (63). Ils élèvent, à l'herbe uniquement, une vingtaine de vaches allaitantes (race Aubrac) et vingt-cinq vaches laitières (races Abondance et Montbéliarde) dont ils transforment une partie du lait sur place (le surplus est collecté par une laiterie locale). Mathilde, qui s'est formée dans une école fromagère, s'occupe majoritairement de la transformation ; yaourts, faisselles et fromages blancs battus sont commercialisés en circuits courts (magasin à la ferme, AMAP, marché, point de vente de produits fermiers, tournées). Cet article retrace le parcours de ces deux éleveurs (formation, installation, aménagement du hameau, projets...).
Agir collectivement pour la capitalisation, l’appropriation et la diffusion des connaissances et des savoirs autour de la production de viande biologique produite à base d’herbe
Produire de la viande de ruminants, en particulier biologique, à base d’herbe sous-entend de nombreuses compétences et savoirs ou savoir-faire. Aussi, l’enjeu de la capitalisation, de l’appropriation et de la diffusion des connaissances et des savoirs en la matière, ainsi que le rôle-clé du conseiller agricole ou encore du collectif, ont été identifiés comme importants à consolider par les acteurs du projet BioViandes. L’équipe-projet BioViandes (ou collectif BioViandes) a ainsi été mobilisée en tant que « support d’étude », pour la mise en œuvre de la méthodologie Agri-Savoir, qui s’appuie sur les grands principes de gestion des connaissances. Celle-ci a permis : dans un premier temps, d’identifier des thématiques "critiques" pour le groupe (connaissances peu ou pas maîtrisées du collectif qui cherche à monter en compétences sur l’élevage biologique de ruminants engraissés majoritairement à l’herbe) ; puis, dans un deuxième temps, de définir et de mettre en œuvre un plan d’actions pour combler ces lacunes. Pour cela, deux volets ont été explorés : 1 - la montée en compétences par la capitalisation et la diffusion de documents au sein du collectif ; 2 – la construction et la réalisation d’un programme d’approfondissement des connaissances basé sur des échanges entre pairs. Le présent document revient sur l’approche méthodologique mise en œuvre, sur les résultats obtenus et sur les recommandations issues de ce travail.
D'une agriculture l'autre : Conflictualités, expérimentations, transmissions
Nathalie JOLY, Auteur ; Lucie DUPRÉ, Auteur ; Sandrine PETIT, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2023Dans une conjoncture incertaine (crises économique, écologique et sociale, accentuation des effets du changement climatique et impacts de la guerre en Ukraine sur la production et la commercialisation des denrées agricoles), cet ouvrage offre un éclairage sur de possibles devenirs agricoles à l'échelle des territoires. Il documente et analyse des expérimentations (valorisation de productions sur les marchés locaux, allongement des rotations de cultures), des changements de pratiques (élevage des veaux avec des vaches nourrices, conception de nouveaux contenus de formation dans l’enseignement agricole), ainsi que les conséquences humaines et au travail de cohabitations conflictuelles (entre le loup et les éleveurs, entre les apiculteurs et les agriculteurs). Les contributions réunies dans cet ouvrage prennent le temps de la présence sur le terrain et de l’écoute des acteurs pour décrire des initiatives ou des situations ancrées géographiquement, souvent sensibles et résolument actuelles. L’ouvrage dresse le portrait d’une « autre agriculture », soutenue par de nouvelles façons de travailler, ainsi que par des formes originales de transmission de savoirs professionnels entre pairs, de transmission des patrimoines et par une réflexion sur la relève en élevage. Cet ouvrage s'adresse aux enseignants du secondaire agricole et du supérieur, aux chercheurs, aux agents de développement et aux acteurs institutionnels et professionnels cherchant à comprendre les changements actuels en agriculture, au prisme des sciences humaines et sociales.
Agriculture : Les inégalités sont dans le pré
Ce rapport met en exergue les inégalités de genre dans le secteur agricole, en France métropolitaine, à l’aube de l’année 2023. Dans le monde agricole, les femmes doivent faire face à de multiples inégalités : de revenu, d’accès au foncier, de possibilité d’investissement, d’accès aux aides et aux formations... Les politiques agricoles n’enrayent pas, voire renforcent, ces inégalités de genre, que ce soit au niveau de la formation, de l’attribution des aides publiques, lors du parcours à l’installation, ou encore dans les représentations des différentes instances agricoles. Par ailleurs, la très faible disponibilité de données genrées freine le traitement de ces inégalités. Ce rapport est constitué de trois parties. La première partie apporte des données (chiffrées) sur ces inégalités et explique en détail comment les politiques sectorielles participent à accentuer les inégalités femmes/hommes dans le secteur agricole. La deuxième partie analyse la place des femmes à travers le prisme du changement climatique : elle explique que les agricultrices souffrent d’une plus grande vulnérabilité face au changement climatique (revenu plus faible, difficulté d’accès aux aides et aux formations…), mais qu’elles sont également plus motrices dans la réponse au changement climatique (elles sont donc au cœur des solutions). La troisième partie apporte des recommandations, établies par Oxfam France, pour lutter contre ces inégalités de genre au sein du secteur agricole français : orienter les statistiques pour pouvoir produire plus de données sur les femmes en agriculture, tendre vers la parité dans les instances des organisations agricoles, adapter la formation initiale pour lutter contre les stéréotypes de genre… Une note méthodologique et des éléments de contexte viennent compléter ces trois parties. À noter : les femmes sont beaucoup plus présentes sur les exploitations biologiques (46 % de chefs d’exploitations biologiques sont des femmes, contre 27 % toutes exploitations confondues).
Annuaire Biofil des fournisseurs de l’agriculture bio 2023-2024
Dans cette édition 2023-2024 de son Annuaire des fournisseurs de l’agriculture bio, Biofil répertorie les coordonnées de fournisseurs de : - Matériels (élevage, grandes cultures, maraîchage, viticulture, arboriculture, transformation et stockage, construction/économies d’énergie, protections physiques des plantes, tracteurs) ; - Agrofournitures (élevage, semences et plants, protection des plantes, fertilisation) ; - Aval/débouchés (collecteurs et stockeurs, transformateurs, groupements de producteurs) ; - Services (organismes de contrôle et marques, laboratoires d'analyses spécialisés, organismes institutionnels et de développement de la bio, instituts techniques, stations d’expérimentations/recherche, interprofessions nationales, conseils indépendants, agriculture connectée, diffusion et presse, banques/assurances, salons/foires/expositions) ; - Formation (initiale par voie scolaire, par apprentissage, pour adultes, enseignement supérieur, autres formations).
Bourgogne – Franche-Comté : Semeurs du possible essaime
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurCréée il y a dix ans, en Bourgogne, l’association Semeurs du possible se développe sur les territoires bourguignons (Saône-et-Loire, Côte-d’Or, Yonne et Nièvre). Elle accompagne des porteurs de projet d’installation agricole. Une trentaine de personnes ont ainsi été accompagnées depuis son lancement. Actuellement, huit porteurs de projet, accompagnés par cette association, bénéficient d’un espace-test. L'association Semeurs du possible est née en 2013, suite à une étude de faisabilité pilotée par la caisse régionale de la MSA. Cette association privilégie les porteurs qui ont un projet en agriculture biologique. Si les espaces-test sont des outils performants pour démarrer progressivement une activité en limitant la prise de risques, ce n’est parfois pas suffisant. Les candidats non issus du milieu agricole, ni même de zones rurales, sont de plus en plus nombreux. Même s’ils passent un BPREA, ils ont besoin de découvrir la réalité agricole. D’autant que leurs projets sortent souvent du cadre classique du parcours à l’installation, ce qui amplifie les difficultés et augmente les risques d’échec. Selon Maude Château, l’une des quatre salariées de l’association, les porteurs de projet pointent une lourde charge administrative et financière, avec des difficultés à identifier les bons acteurs. C’est pourquoi Semeurs du possible a coconstruit, grâce à des fonds européens, en 2022, le dispositif Immersion agricole, avec la Chambre régionale d’agriculture, le CFPPA du Morvan, le CFPPA 89 et Aventure Cellula. Ce dispositif s’appuie sur des stages de trois mois, sur au moins deux fermes, avec des sessions de regroupement entre stagiaires.
Brique de connaissances 1 : Facteurs de réussite et de risque des projets de microfermes maraîchères biologiques
Ce document est issu de la collection des Briques de connaissances MMBio, conçues dans le cadre du projet CASDAR MMBio (Microfermes Maraîchères en Agriculture Biologique). Pour construire ces briques, des enquêtes ont été réalisées auprès de 42 microfermes, puis complétées par des retours de personnes présentes au séminaire de restitution du projet (des maraîchers, des formateurs et des conseillers), le 1er juin 2023. Cette première brique s’intéresse aux conditions de réussite, aux facteurs de risques et aux autres points de vigilance dans l’installation et la conduite d’une microferme maraîchère diversifiée en AB : la formation et l’expérience nécessaires ; la conception du projet et la construction de l’outil de production (la recherche de foncier, l’installation de l’outil avant de lancer la production, l’insertion dans le tissu socio-professionnel local…) ; la stratégie d’entreprise (une installation seul ou à plusieurs, l’investissement, la mutualisation des outils et la délégation de travaux, la commercialisation) ; le pilotage de l’activité (la planification culturale, le suivi de l’activité, l’efficacité) et la santé du maraîcher (la santé physique et la santé mentale et psychologique).
Cahier pratique 1 : Accueillir et conseiller les porteurs de projets de microfermes maraîchères en agriculture biologique
G. BERNADAS, Auteur ; M. CONSEIL, Auteur ; L. MIGNOT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2023Ce guide est issu de la collection des cahiers pratiques du projet Casdar MMBio (Microfermes Maraîchères Biologiques : Acquisition de références techniques et économiques pour des systèmes de microfermes maraîchères diversifiées multiperformants en Agriculture Biologique). Il s’adresse particulièrement aux futurs candidats à l’installation qui en sont au début de leur projet, et aux personnes susceptibles d’être leur première prise de contact pour du conseil et pour un éventuel accompagnement (formateurs, conseillers…). Il fournit des éléments permettant de caractériser les microfermes maraîchères bio, et des repères pour questionner et évaluer le projet et son porteur, ses envies, ses besoins et ses compétences. L’objectif est de faciliter l’identification des points de vigilance à avoir sur le projet au cours d’un premier échange entre le porteur de projet et le conseiller. Une grille de questionnement « Questionner votre projet d’installation », complémentaire de ce cahier pratique, est également disponible : https://wiki.itab-lab.fr/espacemaraichage/?MMbio-idee/download&file=01_Questionner_votre_projet_dinstallation__PAI_1.pdf.
Cahier pratique 2 : Accompagner un porteur de projet dans la conception et le démarrage de sa microferme maraîchère biologique
H. CALANDOT, Auteur ; M. CONSEIL, Auteur ; M. GARABÉ, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2023Ce guide est issu de la collection des cahiers pratiques du projet Casdar MMBio (Microfermes Maraîchères Biologiques : Acquisition de références techniques et économiques pour des systèmes de microfermes maraîchères diversifiées multiperformants en Agriculture Biologique). Il s’adresse particulièrement aux candidats à l’installation qui ont déjà dressé les contours de leur projet et aux personnes accompagnant le porteur de projet. Il fournit des lignes directrices pour définir, de manière opérationnelle, son projet d’installation en microferme. L’objectif est de guider la réflexion des porteurs de projet et de leurs conseillers sur différents axes de conception du projet : identifier ses capacités et ses besoins, trouver son foncier, identifier le potentiel de son territoire, définir sa stratégie commerciale en fonction de son marché, définir son système de production, se financer. Une grille de questionnement « Réflexion sur les axes de conception nécessaires pour conforter son installation », complémentaire de ce cahier pratique, est également disponible : https://wiki.itab-lab.fr/espacemaraichage/?MMBio-Projet/download&file=02_Axes_de_conception_pour_conforter_linstallation__PP.pdf.
Chaire agriculture bio : 1er séminaire scientifique sur la biodiversité
BIOFIL, AuteurCréée en 2022, la Chaire agriculture bio a pour vocation de rapprocher les entreprises avec les acteurs de la formation et de la recherche pour accompagner le développement des filières biologiques. Elle est financée par une dizaine d’entreprises et d'organismes mécènes, en partenariat avec Inrae, l’Université de Bordeaux et Interbio Nouvelle-Aquitaine. Des ateliers thématiques sont organisés dans ce cadre, sur des axes de travail considérés comme prioritaires à questionner et à explorer : la fertilité des sols, le changement climatique, la biodiversité, la résilience des fermes, la consommation et la formation. Cette Chaire travaille également sur la structuration d’une offre de formation (initiale et continue) sur l’agriculture biologique. Des webinaires sont également proposés pour diffuser des résultats de recherche. Le premier séminaire de vulgarisation scientifique a été organisé le 28 juin 2023, à Bordeaux Sciences Agro. Il a questionné les liens entre agriculture biologique et biodiversité. La bio favorise l’abondance des espèces et, parallèlement, ce mode de production dépend étroitement des services rendus par la biodiversité. AB et biodiversité se rendent donc des services mutuels, mais comment valoriser ces interactions ? Lors de la certification bio, la biodiversité n’est pas contrôlée. Le cas des labels bio mieux-disants, axés sur la biodiversité, a été abordé, ainsi que l’outil Biodiv-score d’Inrae.
Dans le Muscadet : Des vignes et un lieu de vie chez Eco-Dyn
Louise JEAN, AuteurEco-Dyn développe, fabrique et vend du matériel et des équipements agricoles, qui sont destinés, à 80 %, au monde de la biodynamie (ex : des dynamiseurs) et, à 20 %, à l’agriculture régénérative (ex : du matériel pour faire des thés de compost, des rouleaux faca…). La majorité des clients de cette entreprise sont des viticulteurs (80 %) et les autres travaillent sur des productions variées (maraîchage, arboriculture…). Ce constructeur propose aussi, depuis 2021, des formations. L’équipe d’Eco-Dyn est composée de six salariés. En 2020, l’entreprise a déménagé sur un domaine dans le Muscadet, à Sainte-Radegonde, avec pour objectif de faire de ce domaine un lieu de vie avec des projets agricoles. Le site est composé de 12 ha de céréales, de 3 ha de prairies et des vignes en friches (abandonnées depuis 2012). Il abrite aussi un peu d’élevage (poules, lapins, cochons, oies) et un potager dans lequel les employés peuvent s’investir. Un autre site, à quelques kilomètres de là, comporte 5 ha de vignes en production. Ce domaine est piloté par Robin Euvrard (agronome, vigneron et formateur chez Eco-Dyn). Il permet notamment de tester différents itinéraires techniques sur la vigne. Des brasseurs seront accueillis sur le site de Sainte-Radegonde, en 2023. L’objectif de cette installation est d’aider à valoriser les cultures bio locales et de réfléchir à l’implantation d’une houblonnière.
Désherbage mécanique : Herse étrille, houe rotative, bineuses, que choisir en fonction de mes besoins ?
SYMBIOSE, AuteurDans cet article, le réseau GAB-FRAB Bretagne présente 3 solutions qu'il a développées pour aider les agriculteurs à choisir l'outil de désherbage mécanique le plus adapté à leurs besoins : 1 - Carto'Mat est une carte en ligne qui référence tous les outils de désherbage mécanique disponibles en Bretagne, faisant figurer les avis des utilisateurs et permettant de trouver, tester et partager ces outils ; 2 - Opti'Mat est un outil d'aide à la décision qui, d'après les informations entrées par l'utilisateur, propose les outils les plus adaptés à ses cultures et à son système ; 3 - La formation Expert Désherbage Mécanique permet d'aborder toutes les thématiques du désherbage mécanique en grandes cultures, y compris les réglages des machines.