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50 ans de recherches en productions animales
Ce document anniversaire présente, pour chacun des cinq départements de recherches de l'INRA constituant le secteur des productions animales, quelques exemples représentatifs de ses axes de recherche.
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Adapter sa production fourragère aux nouvelles donnes climatiques
ATOUT TREFLE (L'), AuteurCet article rapporte quelques éléments évoqués lors de la rencontre organisée en mars 2008 par l'Association Française pour la Production Fourragère sur les pistes d'adaptations envisageables en élevage pour faire face aux changements climatiques. Si la France n'est pas menacée d'aridité, les épisodes de sécheresses estivales s'y font plus fréquents et rendent les systèmes d'élevage plus vulnérables. Ceux basés sur l'herbe le sont particulièrement, du fait de la forte saisonnalité de la production. Cette dernière devrait devenir plus importante au printemps et à l'automne du fait d'hivers plus arrosés et doux, mais très aléatoire en été. L'adaptation passe avant tout, selon Gilles Lemaire de l'Inra de Lusignan, par la baisse du chargement et un changement des pratiques de pâturage. Ce dernier pourrait s'étaler et les stocks être réservés aux périodes de sécheresse. La culture de céréales ensilées immatures, de luzerne ou encore de sorgho grain ensilé constituent aussi des voies d'adaptation à explorer. Divers intervenants ont souligné l'intérêt des prairies multi-espèces en conditions de sécheresse estivale. Il faut aussi compter sur l'amélioration génétique des plantes fourragères vers une plus grande résistance à la sécheresse. Les principales règles de conduite adoptées au GAEC Ursule pour s'adapter aux étés rudes, et qui lui permettent une autonomie alimentaire totale en élevage bovin, sont détaillées. Elles consistent à : - utiliser des associations qui tolèrent mieux la sécheresse ; - profiter au maximum de la pousse de printemps ; - diversifier les productions végétales.
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L'agriculture renouvelle l'art plastique
"Dossier de Biofutur sur les nouveaux matériaux issus de plantes de grandes cultures. En pleine expoque d'excédents agricoles, les pays industriels cherchent de nouveaux débouchés pour leur agriculture. La fabrication de plastiques biodégradables et d'autres biomatériaux figure parmi les solutions favorites. L'enjeu est en effet la réduction de la pollution due aux plastiques synthétiques et à l'avenir, des modifications génétiques devraient permettre de réduire le coût de production des biopolymères (""Les biomatériaux détrôneront-ils les plastiques ?""). L'intérêt de ces biomatériaux est en effet leur biodégradabilité, celle-ci est en vogue et fait l'objet d'un débat au niveau européen pour une labellisation (""Un Label européen de biodégradabilité""). Alors que beaucoup s'intéressent à ce secteur naissant (""La bataille des brevets a commencé""), en France, la dynamique de développement semble freinée par un manque de coordination entre les différents acteurs impliqués, pouvoirs publics et firmes privées (""biopolymères : une dynamique économique étouffée"")."
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Les algues, des biostimulants pour les cultures
Les Laboratoires Goëmar transforment les algues récoltées sur les côtes bretonnes, pour en faire d'excellents produits capables d'améliorer les rendements et la qualité de certaines cultures. Reportage à leur siège, à Saint-Malo.
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Aliments transgéniques : une invasion inéluctable ?
Avec l'avancée des autorisations de variétés transgéniques un peu partout dans le monde, il est de moins en moins évident d'éviter les plantes modifiées et les aliments qui en découlent. Quels sont les véritables dangers de ces organismes et que faire pour s'en protéger ?
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Aliments transgéniques : des risques pour notre santé
Aujourd'hui, les organismes génétiquement modifiés (OGM), ou plus pudiquement dit améliorés (OGA), sont virtuellement dans nos assiettes, et cela malgré les risques qu'ils font courir à l'homme et l'environnement. Il faut dire que l'enjeu est de taille. Des estimations chiffrent le marché des plantes transgéniques à 250 Milliards de Frs à partir de l'an 2000. Le point sur la question.
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L'amélioration génétique animale
Gerald WIENER, Auteur ; Roger ROUVIER, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | Agricultures tropicales en poche | 2009
En s'appuyant sur de nombreux exemples, cet ouvrage (publié par les éditions QUAE, le CTA (Centre technique de coopération agricole et rurale des Pays-Bas) et les Presses agronomiques de Gembloux) examine en détail les diverses techniques utilisées pour l'amélioration génétique des cheptels, telles que la sélection, les croisements et l'élevage en consanguinité. Après un bref rappel des fondements de la génétique et des principaux facteurs à prendre en considération, comme les effets du milieu de l'élevage sur les animaux, les auteurs décrivent les méthodes en insistant sur leurs avantages et leurs inconvénients dans le contexte tropical et subtropical et sur la manière de les employer pour améliorer les caractères clés des animaux d'élevage. L'importance de conserver la diversité génétique des races locales d'animaux des régions chaudes est également soulignée. L'ouvrage aborde enfin les applications des progrès récents, de la génomique à l'amélioration génétique, dont certains sont interdits en bio comme le clonage... Cet ouvrage peut être utilisé par tous ceux - agriculteurs, éleveurs, techniciens et conseillers agricoles - dont les activités ou les intérêts touchent à la sélection et à l'amélioration des animaux et des productions animales dans les régions tropicales. Il servira également d'ouvrage de référence pour l'enseignement supérieur et les programmes de développement rural.
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Amélioration variétale de la mélisse officinale (Melissa officinalis L.)
Dans le but de les sélectionner, 58 échantillons de diverses provenances de mélisse officinale ont été comparés dans 4 essais consécutifs de 2 ans, entre 1986 et 1990. Les résultats obtenus à Arbaz sont présentés ici. Ce travail a montré que l'espèce était préférentiellement autogame. Il donne le schéma d'obtention de la variété multilignées Landor n° 1 qui est de bonne qualité, productive, homogène et à port érigé-oblique en première année de culture. Susceptible d'être encore améliorée, cette variété donne satisfaction aux producteurs suisses qui la cultivent depuis 3 ans.
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Après la vache folle, les légumes mutants ?
L'arrivée des OGM provoque un véritable tollé chez les consommateurs, sensibilisés aux problèmes de sécurité alimentaire depuis la vache folle. La polémique née au Royaume-Uni suite à une expérimentation hasardeuse à base d'aliments transgéniques (l'affaire Pusztai), est ici analysée pour mettre en évidence les principales craintes de l'opinion publique et l'opacité des firmes agroalimentaires dans ce domaine. Un état des lieux au niveau mondial de la production d'OGM est également disponible dans cet article.
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Aspects agronomiques et génétiques de la production d'artémisinine à partir d'Artemisia Annua L.
L'artémisinine, un lactone sesquiterpénique extrait des feuilles d'Artemisia Annua, suscite un intérêt grandissant du fait de ses puissantes propriétés antipaludiques. Actuellement, seule l'extraction de la molécule de plantes cultivées et sélectionnées pour leur haute teneur est économiquement envisageable. C'est pourquoi nous avons commencé, ces dernières années, des travaux de domestication et de sélection de cette espèce. Aujourd'hui, des consignes générales de culture peuvent être proposées. Ainsi, des densités de plantation assez faibles, de l'ordre de 3 plantes au m2 environ, sont préconisées. Par ailleurs, une mise en place précoce de la culture, aux alentours de la fin avril, est recommandée. Une récolte à la fin du mois d'août ou au tout début du mois de septembre, soit bien avant la floraison, semble s'avérer la plus judicieuse pour une production optimale en artémisinine. En effet, même si la production en matière sèche augmente jusqu'au mois d'octobre, la teneur en artémisinine baisse à partir du mois de septembre. En ce qui concerne les aspects génétiques, il apparaît que l'espèce offre une importante variabilité, notamment dans sa teneur en artémisinine. Aujourd'hui, des lignées ayant permis une production d'artémisinine supérieure à 25kg/ha sont d'ores et déjà disponibles.
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Un auxiliaire précieux : Artemisia annua
Artemisia annua est une plante annuelle à partir de laquelle on extrait l'artémisinine qui présente de puissantes propriétés antipaludiques. La sélection végétale se réalise en culture in vitro.
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Beef breeds for organic farming
Dans le débat sur l'importance d'une sélection génétique d'une race spécifique à certains objectifs, Mark Measures est sans équivoque dans le camp de ceux qui sont persuadés que la "race est importante". Pour lui, avec toutes les races disponibles au Royaume-Uni, il est clair qu'il y aurait un avantage certain à identifier les caractéristiques souhaitables pour une ferme donnée et sélectionner une race en conséquence.
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Bilan d'activité 2002
Ce présent rapport d'activité illustre les compétences de l'ITP (Institut Technique du porc) sur différents chantiers : positionner la production nationale sur le plan de la compétitivité, étudier les itinéraires de production répondant à l'ensemble des contraintes réglementaires et sociales actuelles, fournir des références permettant des progrès à tous les producteurs, ouvrir les pistes d'une meilleure valorisation des produits mis en marché, apporter les expertises économiques et techniques indispensables aux organisations professionnelles dans leurs rapports avec l'administration, les partenaires de l'interprofession et les représentants de la société civile.
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Bilan des activités liées à la qualité de la viande et perspectives
La RAP (Station Fédérale de Recherches en production animale de Posieux) a, durant ces deux dernières décennies, tenté d'aborder tous les domaines sensibles touchant à la qualité de la viande au niveau de l'animal et de son environnement, malgré les moyens très réduits dont elle disposait. Le thème des races et des croisements a été abordé chez les bovins et ovins ; celui des systèmes de production chez le porc, les ovins et les bovins. L'alimentation a fait l'objet, mais dans une moindre mesure, d'essais ponctuels, notamment chez le porc et le veau. L'influence de l'âge sur la qualité de la viande, spécialement sur la tendreté et la couleur, a été étudiée en production chevaline. La question d'une différence de qualité entre la viande importée et la viande indigène est traitée pour plusieurs espèces. Pour compléter cette approche objective, des études de préférence à grande échelle sont réalisées ponctuellement. A l'avenir, les fluctuations de qualité devront être encore mieux connues et maîtrisées dans un marché où la qualité est appelée à être irréprochable. Dans cette optique, la recherche doit contribuer par ces travaux à en connaître l'origine, pour être en mesure, dans certains cas, de traiter le problème à la source.
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Biodiversité et droit en élevage du bétail
Dossier réalisé par Bertrand Vissac, Directeur de Recherche émérite à L'INRA - Département de recherches sur les systèmes agraires et le développement. - Biodiversité et développement, - Génération de la biodiversité en élevage, Formes d'élevage et évolution humaine, - Des objets aux finalités de la biodiversité en élevage, - Des représentations de l'élevage à la recherche d'un indicateur social de la biodiversité.