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Documents disponibles dans cette catégorie (255)


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Auvergne-Rhône-Alpes : Un plan pour localiser la filière brassicole
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa région Auvergne-Rhône-Alpes compte plus de 80 brasseries bio, ce qui en fait la première région de France sur ce secteur d'activités. Toutefois, pour le consommateur, qui dit bière bio dit aussi bière locale. Aussi, les acteurs de la filière travaillent de concert, depuis quelques années, pour localiser la filière brassicole, et plus particulièrement la production des matières premières essentielles que sont l'orge et le houblon. Pour ce faire, un plan filière a été lancé par la Région en 2021. L'objectif : apporter un appui technique aux producteurs mais aussi un appui à l'investissement.
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Bretagne : Les légumes surgelés inspirent Eureden
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurTriskalia et la Cecab ont fusionné pour former Eureden qui affiche le nouveau slogan « Continuons à semer lavenir en bio ». Cette nouvelle entité bretonne regroupe plus de 20 000 adhérents, dont plus de 200 agriculteurs bio et une trentaine en conversion, et produit majoritairement des légumes. Lancés il y a seulement quelques années, les surgelés bio montent en puissance : Gelagri (filiale dEureden et leader français des légumes surgelés) a produit 10 000 tonnes de surgelés bio en 2020 (soit 20 à 30 % de plus quen 2019). Près de 120 agriculteurs produisent ainsi des légumes de plein champ bio sous contrat, destinés à être surgelés. Hormis les légumes ratatouille qui sont transformés sur des sites espagnols, tout est produit et transformé en Bretagne, à Loudéac. La majorité de ces légumes sont vendus sous marques distributeurs, mais la marque propre dEureden (Paysan Breton) souhaite se démarquer. Gelagri cherche également à sensibiliser et à impliquer les consommateurs dans les changements de pratiques nécessaires pour produire en bio (difficultés de mise en uvre et surcoûts) avec lopération « Faites un bio geste ». Lobjectif final étant de sécuriser la rémunération des producteurs avec des consommateurs prêts à payer un peu plus cher.
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Cantal, la ruée vers l'orge
Dominique DIOGON, AuteurEn 2018, Alexandre Veermersch installait sa brasserie "360" dans le Cantal. Soucieux d'apporter une certaine typicité aux neuf bières différentes produites à la brasserie, son fondateur a mis en place une mini-filière locale d'orge bio. En 2021, trois éleveurs bio du Cantal produisent de l'orge brassicole pour lui, ce qui couvre un tiers de ses besoins. A terme, il aimerait voir se développer ce type de partenariat et, in fine, une véritable filière orge brassicole locale pour fournir les quelques 380 brasseries de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
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Céréales et blé panifiable : Il reste du pain sur la planche
Cécile ROLLAND, Auteur ; Goulven MARÉCHAL, AuteurLa transformation de blé meunier et dautres céréales biologiques se développe en Bretagne : le nombre dunités certifiées bio est passé de 834 à 1 236 entre 2015 et 2019 (principalement des boulangeries-pâtisseries, meuniers, biscuitiers ). Ces derniers transforment une part relativement faible de céréales bio produites localement. Une enquête, réalisée par la Maison de lAgriculture Bio du Finistère (MAB29) auprès de 116 transformateurs, a révélé lintérêt de plusieurs dentre eux de sapprovisionner plus localement. Pour répondre à ce besoin, différents schémas et échelles dapprovisionnement en blé meunier bio sont actuellement testés. Des référentiels communs sur la qualité du grain sont également en discussion. Si la teneur en protéines nest pas un critère discriminant pour les meuniers, elle lest pour tous les autres transformateurs (elle doit être au-dessus de 10,5 %). La gestion de lazote reste donc un enjeu majeur en agriculture biologique. Il faut aussi que le grain respecte dautres critères : humidité, PS, temps de chute de Hagberg et force boulangère W. Cet article est accompagné dun tableau qui synthétise des informations (semis, variétés, place dans la rotation, prix de vente ) sur plusieurs céréales bio panifiables. Deux producteurs bio et un boulanger bio apportent également leurs témoignages.
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Comment valoriser et différencier la viande biologique du massif des Pyrénées ?
BIO OCCITANIE, Auteur ; BIOCIVAM DE L'AUDE (BIOCIVAM 11), Auteur ; BIO-ARIEGE-GARONNE, Auteur ; ET AL., Auteur | TOULOUSE (26-28 Rue Magné, 31 300, FRANCE) : BIO OCCITANIE | 2021Dans les Pyrénées, lagriculture repose principalement sur lélevage allaitant bovin et ovin. Lagriculture biologique est fortement représentée (26 % de la SAU). Ce territoire est donc un producteur important de viande bio. Toutefois, malgré une forte demande de la part des consommateurs pour de la viande bio et locale, les viandes bio pyrénéennes sont peu valorisées sur le territoire. En effet, les animaux bio sont régulièrement déclassés, les jeunes bovins sont souvent exportés, la viande bio est peu différenciée de la viande produite en montagne, la filière bio manque de structuration Afin de trouver des solutions pour mieux valoriser cette viande, Bio Occitanie, le Biocivam de lAude, Bio-Ariège-Garonne, le GAB 65, financés par le Commissariat de Massif des Pyrénées, ont réalisé un diagnostic territorial afin didentifier des actions à mettre en place. Pour cela, ils se sont appuyés sur la méthode RELOC, développée par INRAE. Au total, 83 entretiens ont été menés auprès des acteurs de la filière. Ils ont permis de mettre en valeur cinq manières de valoriser la viande bio dans les Pyrénées : 1 - Défendre les valeurs de la bio locale ; 2 - Proposer un produit viande bio d'excellence ; 3 - Standardiser la viande bio pour répondre aux attentes du marché ; 4 - Soutenir le local en priorité et la bio si opportunité ; 5 - Valoriser le territoire par ses produits locaux de qualité. Des rencontres ont ensuite été organisées afin de trouver des pistes de développement et des actions concrètes, comme, par exemple, développer la viande bio dans les boucheries et la restauration collective de la région.
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Communication from the Commission to the European Parliament, the Council, the European economic and social Committee and the Committee of the regions on an action plan for the development of organic production
Ce document retranscrit le plan dactions établi par la Commission européenne pour développer lagriculture biologique en Europe. Ce plan est composé de trois axes : Axe 1 Lalimentation et les produits bio pour tous : stimuler la demande et garantir la confiance des consommateurs ; Axe 2 - En route vers 2030 : stimuler la conversion et renforcer toute la chaîne de valeurs ; Axe 3 Lagriculture biologique montre l'exemple : améliorer la contribution de l'agriculture biologique à la durabilité. Chaque axe est décliné en sous-parties (exemples pour lAxe 1 : promouvoir lagriculture biologique et le logo Eurofeuille, promouvoir les produits biologiques dans la restauration collective, prévenir les fraudes et augmenter la confiance des consommateurs ), au sein desquelles des actions concrètes sont détaillées. Au total, 23 actions différentes sont présentées.
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Les CPIE : du dialogue territorial à la co-action en territoires
Elsa EBRARD, AuteurLes CPIE (Centres permanents dinitiatives pour lenvironnement) sont des associations nées dans les années 70, qui co-construisent au quotidien, avec les habitants et lensemble des acteurs dun territoire, des projets pour répondre aux enjeux de la transition écologique et solidaire de ce territoire. Et ce, dans le respect dune charte nationale. Ils sont regroupés et organisés dans une Union nationale reconnue dutilité publique (UNCPIE) qui compte actuellement 79 associations et près de 900 salariés. Ludovic Serin, chargé de mission à lUnion nationale des CPIE, soccupe du suivi des projets en lien avec la thématique Agriculture et Alimentation durables et Biodiversité. Il apporte plus de précisions sur les projets déployés.
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Enseigner les systèmes alimentaires locaux et durables
Agnès CATHALA, AuteurDepuis 2018, la Bergerie nationale de Rambouillet pilote le projet EducLocalFOOD (2018-2021). Ce projet européen, financé par lagence Erasmus+, vise à professionnaliser et à accompagner les enseignants des lycées agricoles sur le thème des systèmes alimentaires locaux et durables. Lobjectif étant de développer des outils pédagogiques pour aider les formateurs à enseigner sur ce sujet. Il réunit quatre autres partenaires : lUniversité de Maribor (Slovénie), lUniversité de Lisbonne (Portugal), lUniversité des ressources naturelles et des sciences de la vie de Vienne (Autriche) et lObservatoire européen du paysage de lArc latin (Italie). Cet article retranscrit linterview de deux chargées de mission de la Bergerie nationale, Sarah Cohen (chargée du projet) et Marie-Laure Weber (référente coopération internationale). Elles apportent plus de précisions sur EducLocalFOOD et présentent quelques résultats.
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Île-de-France : Place à une filière blé dur !
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa Coopérative Bio dÎle-de-France regroupe 69 sociétaires. Elle collecte, transforme et commercialise la production de 4 500 ha (fruits, légumes, produits laitiers, céréales). Elle participe également au lancement dune filière blé dur bio. La demande en pâte bio est forte sur ce territoire, notamment de la part de la restauration collective. Cest Frédéric Bonomo, un ex-cadre de lhôtellerie, qui est à lorigine de ce projet de création de filière : il souhaitait construire une unité de fabrication de pâtes bio. Il sest alors tourné vers Moulins Bourgeois pour sapprovisionner et ce moulin a accepté de le suivre. Sociétaire de la Coopérative Bio, Moulins Bourgeois a réuni plusieurs partenaires pour monter ce projet et a profité de la construction dun nouveau site dédié à la bio pour mettre en place les équipements nécessaires à la transformation du blé dur en semoule (pour les pâtes). Au printemps 2021, 40 ha de blé dur ont été emblavés par des adhérents de la Coopérative Bio (deux autres coopératives vont également fournir Moulins Bourgeois pour obtenir les volumes nécessaires). Comme la culture de blé dur est aléatoire, Moulins Bourgeois sengage à payer une prime de 150 /t par rapport au prix du blé meunier bio. Toutefois, si le grain natteint pas les teneurs en protéines requises, il sera déclassé en blé meunier.
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Loi EGALIM : lenseignement sadapte face à la crise sanitaire
Karine BOUTROUX, Auteur ; Françoise DEGACHE, AuteurEn 2019, le projet intitulé « Les exploitations agricoles des lycées agricoles sengagent en faveur de la loi EGALIM » a été lun des lauréats de lappel à projets pour la transition agro-écologique de lenseignement agricole. Dans la région Provence-Alpes-Côte dAzur, des actions étaient notamment prévues sur le campus Nature Provence (Lycée agricole dAix-Valabre), sur le campus Vert dazur (Lycée agricole dAntibes) et sur le Lycée de Marseilleveyre (Lycée Marseille-Calanques). Les objectifs étaient : 1 de développer lapprovisionnement des cantines avec des produits issus de lexploitation du lycée ; 2 de réduire les pertes de production au champ ; 3 de développer des projets pédagogiques communs entre lycées agricoles et métiers de bouche. Avec la crise sanitaire, il a fallu sadapter et revoir les projets. Léquipe du CFPPA dAix-Valabre avait mis en place un atelier de maraîchage bio pour fournir la cantine. Faute délèves et de cantine, ce sont les formateurs qui ont assuré le suivi des cultures. Les légumes ont ensuite été vendus à Biocoop, ainsi quà un restaurant gastronomique. A partir de septembre 2020, plusieurs classes ont participé à la récolte et certains légumes ont été cuisinés à la cantine. Au Lycée agricole dAntibes, qui exploite une parcelle de maraîchage bio depuis plusieurs années, un partenariat a été créé avec lécole hôtelière de Grasse afin de mettre en place un concours nommé « Graines de toqués ». Il avait pour objectif de partager les techniques de production dun produit du terroir cultivé en bio sur le lycée agricole et de réaliser un plat pour sublimer ce produit.
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LSA Bio - Dossier : En quête dun nouveau souffle
Camille HAREL, Auteur ; Mirabelle BELLOIR, Auteur ; Morgan LECLERC, AuteurCe dossier, composé de quatre articles, est consacré à lévolution du marché bio durant le premier semestre 2021. Le premier article porte sur le ralentissement de ce marché : après plusieurs années de croissance, il a commencé à ralentir fin 2020. Cet essoufflement se confirme en 2021 ; il est toutefois plus marqué dans les GMS que dans les magasins spécialisés. Le deuxième article traite de la mobilisation générale de la filière autour du bio « augmenté » : les industriels et les distributeurs cherchent à ajouter de nouvelles promesses à la bio (en lien avec la santé, lenvironnement ou lapprovisionnement local), afin de renouer avec la croissance en satisfaisant les nouvelles attentes des consommateurs. Larticle suivant est dédié aux cosmétiques bio : leurs ventes connaissent une forte croissance depuis plusieurs années, notamment en GMS. Les marques prennent également des engagements qui vont au-delà des conditions de production des matières premières biologiques. Le dernier article porte sur le vrac : celui-ci avait marqué un coup darrêt pendant la pandémie, mais il se développe de nouveau et présente une piste intéressante pour dynamiser les ventes de produits bio. Cependant, de nombreux chantiers restent à mener pour rendre le vrac encore plus accessible et attractif.
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Nantes, ville nourricière
Marie ARNOULD, AuteurHéritière d'un riche passé maraîcher, la ville de Nantes (44) se réinvente, notamment en attribuant de l'espace et des moyens à des projets d'agriculture urbaine. Loin des clichés, cette agriculture urbaine se veut avant tout productive et ancrée dans un projet de territoire. Olivier Durand, agronome de formation, gère un jardin potager en bacs, de 1 000 m2, créé en 2016, et dont les légumes alimentent une partie des besoins du restaurant/tiers-lieu la Cantine du Voyage, qui a financé le projet. Olivier Durand exploite aussi 3 000 m 2 à proximité de la ville. Pour lui, cette complémentarité ville/campagne assure à son activité la viabilité financière nécessaire. Le maraîcher s'occupe également du potager du restaurant étoilé l'Atlantide. Autre lieu dédié à l'agriculture, à deux pas de l'île de Nantes, l'Agronaute est une ferme urbaine transitoire qui préfigure la création de la Ferme des 5 Ponts, portée par 2 associations, lieu hybride qui accueillera des personnes en situation de précarité, un restaurant solidaire, une boutique Emmaüs et une ferme urbaine. Un peu plus loin, le Champignon urbain, créé en 2017, aujourd'hui GAEC de 3 personnes, produit 150 kg de champignons par semaine. Dans le quartier du Doulon, qui a donné son nom à la laitue originaire de ce quartier de Nantes, un programme d'urbanisme intègre le projet de création de 4 fermes urbaines sur 7 ha. Grâce au soutien de la Métropole envers les projets collectifs, d'autres maraîchers s'inscrivent dans cette dynamique qui cherche à allier urbanisation, restauration des écosystèmes et approvisionnement local. Citons aussi le projet de l'Etable nantaise, qui vise à faire pâturer des vaches dans l'agglomération. Aujourd'hui, avec une SAU de 13 500 ha et en inscrivant l'agriculture urbaine au cur de sa stratégie d'aménagement du territoire, Nantes est l'une des métropoles françaises les plus avancées en matière d'autonomie alimentaire.
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Pays de la Loire : Construire son PAT : au plus près du local
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurAngers Loire Métropole construit son PAT (projet alimentaire territorial) afin de favoriser les approvisionnements locaux, en phase avec la lois dAvenir (2014) et la loi Egalim (2018). Le 9 décembre 2020, Interbio Pays de la Loire, le Gabb Anjou et Angers Loire Métropole ont organisé une rencontre professionnelle afin daccompagner la mise en place de ce PAT. Cette réunion a rassemblé plus dune centaine de personnes. Il a été question de lutte contre le gaspillage, dadaptation des recettes et des portions, dincorporation de protéines végétales mais aussi de recalibrage des appels doffres des marchés publics pour quils soient plus adaptés aux approvisionnements locaux. Pour illustrer ce dernier point, lexemple de Papillotes et Compagnie est détaillé : cette cuisine centrale dAngers Loire restauration prépare 13 000 repas par jour et, depuis septembre 2020, elle sapprovisionne principalement via lassociation Manger Bio 44 (à la place de Sodexo).
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Plantes et ingrédients naturels : Se "sourcer" en Occitanie
Arielle BOURGEON, Auteur ; Amélie BERGER, AuteurPremière région française productrice de plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM) biologiques avec 559 producteurs certifiés, l'Occitanie a un potentiel important pour répondre aux besoins des filières. Le 21 octobre 2020, était organisée, à Carcassonne, une convention d'affaires visant, dans un premier temps, à faire le point sur la filière locale puis, dans un second temps, à organiser des rencontres producteurs-porteurs de projets et/ou experts-prestataires et/ou entreprises et industriels. L'objectif : accompagner le développement de filières durables d'approvisionnement. Les témoignages de quatre entreprises des secteurs de l'agroalimentaire, de la cosmétique et/ou du bien-être, engagées dans des démarches de relocalisation de leurs approvisionnements en PPAM, sont rapportés dans cet article.
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« Plus de produits meurthe-et-mosellans dans les cantines »
Elsa EBRARD, AuteurNicole Le Brun est responsable de la mission Restauration Hors Domicile à la Chambre dagriculture de Meurthe-et-Moselle. Elle est également référente Grand Est sur ce sujet, pour le réseau des Chambres dagriculture, et intervenante RESOLIA (service commun de formation et daccompagnement du réseau des Chambres d'agriculture), . Son rôle est de conseiller les collectivités qui souhaitent augmenter la part de produits alimentaires locaux, dont des produits bio, dans les menus des restaurants collectifs. Dans cet interview, Nicole Le Brun commence par raconter son parcours professionnel et par détailler son poste actuel. Elle explique ensuite les deux types daccompagnement quelle propose aux collectivités, puis donne un exemple, celui de la communauté de communes du Bassin de Pompey qui a souhaité proposer des produits locaux dans les menus de ses écoles. Elle présente également deux plateformes (une bio et une mixte) qui regroupent loffre des producteurs, des entreprises de transformation et des coopératives du territoire. Ces plateformes fédèrent 63 adhérents et proposent plus de 700 références de produits.