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VACCINSynonyme(s)vaccination |
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Réussir la vaccination orale des porcelets en plein-air
Aude DUBOIS, AuteurLes porcelets bio élevés en plein-air sur la ferme expérimentale des Trinottières sont vaccinés à 4-5 semaines dâge, contre les diarrhées et ldème colibacillaires, par voie orale, via leau de boisson, et ce, depuis début 2019. Le vaccin est distribué dans des auges larges, judicieusement placées pour être facilement trouvées (dans les couloirs de circulation, près des augettes daliments pour porcelets, elles-mêmes positionnées près des auges dalimentation des mères, tout en étant hors de portée de ces dernières). Pour habituer les porcelets, de leau sucrée est distribuée dans les auges qui vont recevoir le vaccin pendant la semaine précédent la vaccination, cette dernière étant à faire un jour sans pluie. Sappuyant sur la curiosité de ces animaux et leurs capacités dapprentissage, le protocole mis en place apporte des résultats très intéressants, alors que la vaccination par drogage est difficile en plein-air. Une expérience réussie qui amène à vouloir développer, sur la ferme expérimentale, les pratiques de domestication et dapprivoisement des animaux dès le sevrage des cochettes.
Diversifier en volailles de chair multi-espèces : La biosécurité renforcée ; Diversifier en volailles de chair multi-espèces : Poulets, pintades, oies et canettes
Frédéric RIPOCHE, AuteurDepuis le passage de la grippe aviaire il y a 3 ans, les obligations en matière de bio sécurité se sont renforcées dans les élevages de volailles. Patrick Baloche, vétérinaire, fait le point (sources d'information, mélanges d'espèces et d'âges, sas sanitaire...). Dans la Vienne, la famille Clerc, en GAEC comptant quatre personnes, conduit une exploitation en AB caractérisée par une forte diversification dateliers. Ainsi, sur 110 ha (moitié herbe, moitié céréales), la ferme compte un troupeau de 170 brebis viande, une vingtaine de vaches laitières et des veaux de lait, des poules pondeuses et une production annuelle de 10 000 volailles de chair. Ces dernières sont à 70/75 % des poulets, suivis des pintades, puis oies et canettes. Toute la vie de ces volailles se passe sur la ferme, même labattage. 40 % de la production est vendue (prête à cuire) sur le magasin de la ferme et le reste en partie dans dautres magasins de producteurs. Le système est bien rodé et laccent est mis sur la propreté, la prévention, le pâturage et une alimentation simple avec une autonomie en céréales de lordre de 80 %. Depuis trente ans que ces éleveurs pratiquent labattage et à cause de la charge trop lourde liée aux contrôles, ils ont fait évoluer leur abattoir agréé CE en tuerie ou établissement dabattage non agréé, chose possible vu quils vendent leur production dans le rayon maximum imposé de 80 km. Au final, le retour de ces producteurs sur leur parcours est positif, même si « devoir être bon partout est aussi épuisant, gourmand en heures et en main-duvre ».
Dossier : Rendez vos vaches super résistantes
Costie PRUILH, Auteur ; Emeline BIGNON, Auteur ; Bernard GRIFFOUL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier explique comment renforcer limmunité des bovins, et plus particulièrement des bovins lait. Bien quécrit dans un contexte conventionnel, il aborde des notions sur la santé animale, ainsi que des éléments techniques applicables à lagriculture biologique. Il aide tout dabord à comprendre ce quest le système immunitaire et comment le favoriser. Il sappuie pour cela sur les propos de Gilles Foucras, docteur en immunologie à lÉcole Nationale Vétérinaire de Toulouse. Six articles abordent ensuite différents leviers essentiels à maîtriser afin que les vaches soient en bonne santé et quelles puissent mieux se défendre face aux agents infectieux : identifier et limiter les différentes sources de stress, savoir gérer ses vaches taries, maîtriser les déficits énergétiques, apporter des minéraux et des vitamines via lalimentation, sélectionner ses animaux pour favoriser leur résistance, et enfin connaître les bénéfices de certains vaccins (vaccin contre les diarrhées néonatales, les maladies respiratoires des génisses et les mammites). Ce dossier est clôturé par le témoignage du GAEC des Minières, situé dans le Morbihan, où deux associés élèvent des vaches, très hautes productrices, en conventionnel. Ils expliquent pourquoi lalimentation est leur principal levier de prévention des problèmes de santé.
Trouver des alternatives aux antiparasitaires
Véronique BARGAIN, AuteurEn réponse aux attentes sociétales et face aux problèmes de chimiorésistance en élevage, de nombreuses recherches saxent sur des alternatives aux antiparasitaires chimiques. Selon Bernard Polack, de lÉcole Nationale Vétérinaire dAlfort, la génétique est une piste intéressante. Une étude réalisée sur des brebis laitières sélectionnées par voie mâle sur la résistance aux nématodes gastro-intestinaux, montre que celles-ci sont deux fois moins contaminées. Une autre piste actuellement à létude est celle des champignons nématophages, notamment larvicides ou ovicides. Les vaccins, la phytothérapie ou encore les alicaments font aussi partie des méthodes alternatives encore à létude dans le but de réduire la charge parasitaire des animaux.
Guide de lecture : dernières évolutions
TECHNI BIO, AuteurSuite à la mise à jour du guide de lecture relatif à la réglementation sur l'agriculture biologique, cet article présente brièvement les principales évolutions. Celles-ci concernent : - l'écornage des bovins ; - le calcul de la part d'aliments en première année de conversion dans les rations des animaux ; - la prise en compte de la cuisson comme activité de préparation ; - le passage de volailles et de porcs non bio sur des parcours bio de cultures pérennes ; - l'utilisation de vinasses ammoniacales ; - la vaccination et les délais d'attente ; - l'interdiction du piperonyl de butoxyde ; - la conversion simultanée lors d'une reprise d'exploitation conventionnelle ; - les conditions d'utilisation du millepertuis ; - le code de l'organisme certificateur sur les étiquettes du dernier opérateur ; - le logo UE ; - le catalogue des manquements INAO.
Que penser des vaccinations dans le cadre de l'approche globale de la santé en agriculture biologique ?
GIE ZONE VERTE, AuteurCet article invite à penser la vaccination des animaux d'élevage en la contextualisant, selon qu'on se situe dans une démarche de prévention dite de prophylaxie médicale (vaccins, antibiotiques...) ou dans une démarche de prévention globale. C'est cette approche globale que revendiquent les éleveurs bio. Elle se caractérise par une prise en compte de l'ensemble des facteurs inter-agissants : lieux, climat, bâtiments, concentrations, sélection, etc., pouvant favoriser ou contrarier l'expression du bien-être et de la santé des animaux. Dans cette approche, les virus et les bactéries sont des compagnons historiques et inséparables des animaux, entretenant en permanence des rapports symbiotiques complexes. En agriculture bio, l'accent est mis sur les conditions globales d'existence des animaux, l'environnement, mais aussi la qualité et l'équilibre des rations alimentaires, l'ambiance affective, l'état d'esprit de l'éleveur, la cohérence du projet... Tout est fait pour diminuer les stress et les risques d'affaiblissement. Pour les éleveurs bio, l'apparition d'une maladie indique un déséquilibre dont il conviendra d'identifier les causes. Les éleveurs bio sont donc souvent réticents à utiliser la vaccination, en particulier lorsqu'ils ont bien équilibré leur système. Lutilisation de la vaccination est réservée aux seules maladies graves pour lesquelles aucune thérapeutique efficace, avec les médecines naturelles ou allopathiques, nest disponible. Pour les auteurs, l'explosion des maladies néonatales en élevage est consécutive à l'augmentation de la taille des cheptels et à la concentration des animaux. Dans l'élevage intensif, la prophylaxie sanitaire des 30 dernières années a eu un recours de plus en plus massif aux vaccinations, alors que, comme l'a montré l'exemple des diarrhées (collibacillaires, puis virales, suivies par les BVD - diarrhées virales bovines ; la diarrhée paralysante et les cryptosporidoses) dans les cheptels de bovins allaitants, à partir des années 1980, l'escalade à la vaccination n'a fait que contraindre à l'abattage de milliers d'animaux sains et coûter une fortune aux éleveurs. Les auteurs incitent donc à pratiquer la vaccination le moins possible, toujours avec discernement, en réfléchissant en permanence aux conditions délevage et aux effets à long terme des vaccinations sur la capacité globale de résistance dune population aux agressions.
Maîtrise de la santé des volailles de chair : Mieux vaut prévenir ; Programme Synergies : Santé et bien-être avant tout ; Deux éleveurs témoignent : Vigilance à tous les stades
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe projet CasDar Synergies (2013-2016), piloté par lITAB, portait sur la question de la santé des volailles de chair, avec comme objectif de définir des repères pour renforcer léquilibre sanitaire, limiter les traitements et privilégier la prévention. Ce dossier présente, à travers notamment des témoignages dacteurs dont des agriculteurs impliqués dans ce projet, les principaux résultats obtenus. Ainsi, la prévention est la clé principale pour assurer une bonne santé et le bien-être des animaux. La bio demande de la rigueur, surtout pour des cheptels de 500 animaux ou plus. Les qualités du bâtiment, de leau ou encore des parcours sont déterminantes, de même que celle de lalimentation. Il faut aussi veiller à la densité des animaux et au nettoyage des bâtiments. Pour la prévention, l'éleveur peut aussi recourir aux vaccins ou encore aux vermifuges, souvent à base de phytothérapie. Létude épidémiologique réalisée dans ce projet auprès de 85 élevages bio a montré un bon niveau de santé des animaux. Cependant, des marges de progrès ont été identifiées, en lien direct avec les points clés précédemment cités, comme l'amélioration des mesures dhygiène avec la désinfection des bâtiments ; de la biosécurité avec le changement de chaussures entre les bâtiments ; la qualité de leau et celle de la litière ou l'application d'un vide sanitaire périodique complet.
Il n'y a pire sourd, que celui qui ne veut pas entendre...
Jean-François LEMAIRE, AuteurCet article fait le parallèle entre M. Charby, agrobiologiste qui, en 1974, passait devant les tribunaux pour avoir refusé la vaccination de son cheptel, et Emmanuel Giboulot, viticulteur bio à Beaune qui, le 24 février 2014, a dû passer devant le Tribunal de Dijon parce qu'il avait refusé de traiter ses vignes avec un pesticide à titre préventif comme le lui demandait l'Administration.
Gestion de la santé en élevage cunicole biologique
Ce document a été réalisé dans le cadre du Programme CASDAR RFI LapinBio : "Développer une production cunicole durable en AB", 2010-2012. LapinBio est un projet de recherche expérimentation piloté par l'ITAB, porté par l'ITAVI. Cette fiche traite de la "Gestion de la santé en élevage cunicole biologique".
FCO : De la casse après la vaccination
Aurélien CABROL, AuteurDeux éleveurs languedociens, l'un en élevage bovin, l'autre en ovin, ont constaté des dysfonctionnements du troupeau après les avoir fait vacciner contre la fièvre catarrhale ovine (FCO). Pour Aurélien Cabrol, jeune agriculteur qui élève des pures Aubrac, certaines de ses vaches gestantes ont fait un retour en chaleur suite à la vaccination (obligatoire, à l'époque). Pour Jean-Emile Sanchez, ce sont des taux d'infertilité anormalement élevés qui ont été constatés sur ses moutons. Fin septembre 2010, ces deux éleveurs ont déposé un « référé requête expertise » au tribunal de Montpellier, pour déterminer les responsables et obtenir réparation des préjudices.
FCO : Victoire confirmée... et encore à confirmer
Cécile KOEHLER, AuteurDes centaines d'éleveurs sont poursuivis dans la France entière pour refus de vaccination contre la FCO - entendez Fièvre catarrhale ovine, encore appelée maladie de la langue bleue. Leurs motifs de non vaccination ? Ils les ont détaillés dès le printemps 2009, avec l'édition d'une plate forme de constats, positions et propositions par la coordination nationale des collectifs anti-vaccination : la maladie n'est ni contagieuse, ni transmissible à l'homme ; 24 sérotypes différents de virus ont été identifiés : l'éradication du virus de la FCO est illusoire ; l'impact est limité sur la majorité des élevages ; la FCO est susceptible d'une excellente immunité naturelle qui serait remise en cause avec les vaccinations. En 2009, l'AFSSA publie un avis qui qualifie « d'injustifié de rendre obligatoire la désinsectisation alors que son efficacité réelle n'est pas reconnue, ceci quelles que soient les stratégies vaccinales mises en oeuvre (obligatoire ou pas) ». Cependant, les jugements contre les réfractaires se poursuivent un peu partout. Néanmoins, ceux-ci sont de plus en plus favorables aux éleveurs. Dernier en date : celui de la Cour d'appel de Riom (Puy-de-Dôme) qui a confirmé la relaxe de 13 éleveurs. 112 autres ont été relaxés dans le Cantal en première instance, mais, suite à l'appel du procureur, il seront rejugés le 17 novembre, également à Riom.
Pratiques sanitaires dans des ateliers ovins-viande biologiques ou conventionnels en Pays de la Loire
Vincent BELLET, Auteur ; Gilles CLENET, Auteur ; Laurent FICHET, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Secrétariat 3R - MNE, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : RENCONTRES RECHERCHES RUMINANTS | 2011Ce document a été réalisé dans le cadre des 18èmes Rencontres Recherches Ruminants (décembre 2011). Il rapporte les résultats d'un suivi des pratiques sanitaires de 21 ateliers ovins viande, dont 6 en AB, mené pendant quatre ans. Ce suivi concernait la gestion du parasitisme interne et la prévention vaccinale. En ce qui concerne le deuxième point, il existe une différence nette entre les systèmes bio et conventionnels puisque les bio ne pratiquent pas la prévention vaccinale. En revanche, en ce qui concerne le nombre de traitements antihelminthiques classiques, la différence est plus modérée entre les deux types de systèmes. Toutefois, en agriculture biologique, les produits utilisés sont plus polyvalents et non-rémanents. Le recours à des techniques alternatives est encore peu développé, même dans les six systèmes bio étudiés ici.
Sanitaire : Fièvre catarrhale ovine : premier bilan
Denis FRIC, AuteurDenis Fric, vétérinaire à Gablim (Groupement des agrobiologistes du Limousin), revient sur la gestion de la fièvre catarrhale ovine, notamment par les instances publiques, sur la difficulté d'éradiquer ce virus et sur le coût qu'ont représenté les vaccinations.
Santé animale : Des vaccins et de la vaccination
Denis FRIC, AuteurDenis Fric est expert en santé animale à Gablim (Groupement des Agrobiologistes du Limousin) et anime des formations auprès des éleveurs. Il a pu observer que les maladies sur bovins et notamment les diarrhées des veaux apparaissent toujours dans les fermes aux bâtiments mal adaptés, mal ventilés et/ou surchargés, où l'alimentation est déséquilibrée, le parasitisme mal géré, etc... La santé repose donc sur l'adoption de mesures de prévention. Il existe à ce titre plusieurs types de prophylaxie : la prophylaxie sanitaire et la prophylaxie médicale. Concernant les vaccinations, dans le cahier des charges européen de l'agriculture biologique, il n'y a pas de précisions et celles-ci sont autorisées sans limitations. Toutefois, les éleveurs certifiés en AB sont souvent réticents à une utilisation importante de la vaccination. La position à adopter serait de réserver la vaccination aux maladies graves ou transmissibles à l'homme. L'élevage porcin est une production qui traduit bien les dérives de l'élevage industriel où l'on retrouve des « pathologies nouvelles ». La prophylaxie basée sur la mise en place de conditions défavorables à la propagation d'un virus doit rester la base du raisonnement.
FCO : Au-delà des procès, faire reconnaître la liberté vaccinale
Benoît DUCASSE, AuteurPremier succès obtenu en référé, le 7 mai 2010, au tribunal administratif de Lyon, qui a donné raison à quatre éleveurs qui demandaient la levée des sanctions prises à leur égard par la DSV de l'Ain. Ces derniers avaient refusé de vacciner leurs bêtes contre la Fièvre catarrhale ovine (FCO), et avaient en conséquence vu les déplacements de leurs animaux limités, avec interdiction d'échanger par exemple des reproducteurs. Suite au succès de ce référé, les éleveurs étaient bien décidé à continuer le combat sur le fond : obtenir la non obligation de vacciner contre la FCO.
FCO : Non à la reconduction de la vaccination obligatoire
GIE ZONE VERTE, AuteurAprès des mois de négociations, de protestations contre une obligation de vacciner n'ayant, pour beaucoup d'agrobiologistes, aucune légitimité, la bataille semblait aboutir à l'abandon de cette obligation. Mais, le 15 septembre 2009, Bruno Lemaire, nouveau ministre de l'Agriculture et de la Pêche, déclarait sa volonté de reconduire la vaccination obligatoire contre la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO), déclaration suivie concrètement par l'arrêté du 28 octobre 2009. Les vétérinaires solidaires du GIE (Groupement d'intérêt économique) Zone Verte apportent des éclairages sur le combat mené pour la liberté vaccinale : - Une nouvelle campagne de vaccination obligatoire sans justification ; - Un danger, quel danger ? ; - Une proposition de dérogation inacceptable ; - La dérogation et ses aberrations ; - Quelle gestion pour cette nouvelle campagne ? ; - Prises de position.
Dossier : Bio et pandémies
Geneviève FOURNIL MARIETTA, Auteur ; Régis PLUCHET, Auteur ; Elodie BRALIA, Auteur ; ET AL.Ce dossier est composé de sept articles : - Bio et santé : une approche globale ; - Grippe A : la mascarade ; - Vaccins et adjuvants : ce que Pasteur n'avait pas prévu ; - Prévenir, c'est guérir ; - Gestion des maladies : les bio en difficulté face aux décisions ministérielles ; - Pandémies virtuelles pour un nouvel ordre mondial... réel ? ; - Pandémies et libertés publiques : de l'utilité des peurs collectives.
Dossier FCO : De 2007 à 2009
GIE ZONE VERTE, Auteur ; GDS BOURGOGNE, Auteur ; Denis FRIC, Auteur ; ET AL., Auteur | ARBOIS (54 bis Route de Pupillin, 39 600, FRANCE) : GIE ZONE VERTE | 2009Ce dossier a été constitué en mai 2009, et est régulièrement mis à jour sur le site du GIE Zone Verte. Ce GIE (Groupement d'intérêt économique) regroupe des vétérinaires qui se sont positionnés, notamment, contre l'obligation de vacciner contre la fièvre catarrhale ovine qui était appliquée dans les élevages ovins et bovins. Le dossier compile un ensemble de documents qui ont traité la question de la FCO entre 2007 et 2009 dont : - les communiqués du GIE Zone Verte ; - des études sur les foyers de FCO en France et leur suivi ; - une synthèse bibliographique sur les traitements insecticides préconisés dans les élevages ; - des documents officiels de l'AFSSA, du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche ; - des articles de presse sur le sujet ; - une analyse des derniers textes législatifs concernant la FCO ; - un point sur la réglementation en ce qui concerne les élevages biologiques ; - la retranscription écrite de l'émission de radio Terre à Terre consacrée à cette thématique.
Connaître les prophylaxies obligatoires en bio : La fièvre catarrhale ovine dite FCO
Le document fait une présentation de la fièvre catarrhale ovine dite FCO (maladie des ruminants, vectorielle, non directement contagieuse, considérée jusqu'à présent comme immunogène), de la déclaration obligatoire à l'Office International des Epizooties (OIE), des symptômes que la maladie provoque... Il aborde également les mesures obligatoires de prophylaxie (mesures de police sanitaire en cas de suspicion, d'infection avérée, dérogation aux traitements insecticides...) ; la vaccination (règle générale, calendrier de vaccination, coût des vaccins, dérogations) ; les conditions de mouvement (en France, vers le reste de l'Europe) ; les produits autorisés. Le document renvoie, par ailleurs, à la compatibilité des mesures de prophylaxie avec l'agriculture biologique, aux textes de référence, ainsi qu'aux autres traitements de la pathologie compatibles avec l'agriculture biologique. En élevage biologique, la prophylaxie et le traitement de la maladie passent en priorité via des traitements naturels, homéopathiques et phytothérapiques notamment. Sans préjuger des mesures obligatoires, quelques exemples de protocoles, mis au point par le GIE Zone Verte, sont présentés : les soins préventifs (renforcement de l'immunité des animaux, limitation de la présence de moucherons sur les animaux), les soins curatifs (cure de Chlorure de magnésium, homéopathie, phytothérapie, aromathérapie, gemmothérapie).
Connaître les prophylaxies obligatoires en bio : La rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR)
Le document fait une présentation de la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR) (Maladie virale du bétail provoquée par l'hypervirus bovin de type 1 (BHV-1) qui touche essentiellement les bovins), de la forme de cette maladie, de son potentiel de contagion ; des mesures obligatoires de prophylaxie (mesures de police sanitaire : dépistage de la maladie, vaccin des animaux positifs..., produits autorisés : IFAVAX, BOVILIS) ; des indemnités existantes dans certains départements ; de la compatibilité des mesures avec l'élevage biologique. Le document renvoie, par ailleurs, aux textes de référence, ainsi qu'aux autres traitements de la pathologie compatibles avec l'agriculture biologique (il n'y en a pas, la pathologie étant vraiment très rarement développée).
Dossier : La fièvre catarrhale, conséquences et prévention
Gilles GROSMOND, Auteur ; Gérard MONNIER, Auteur ; Rainer SUPAN ; ET AL.Dans un premier article, le docteur vétérinaire Gilles Gromond expose les conséquences de la nature virale de l'agent infectieux et de sa transmission par un moucheron, les techniques d'élevage, ainsi que les compléments existants pour prévenir la FCO, et enfin les essais réalisés sur des animaux atteints. Il rappelle que les conséquences sont le reflet de l'état de réceptivité du troupeau et qu'elles sont nulles si le potentiel immunitaire est bon. Un second article présente un résumé d'une conférence du docteur vétérinaire Denis Fric qui rappelle l'origine et l'évolution de la FCO et insiste sur la prévention grâce à une alimentation équilibrée, un bon état du troupeau et des cures de chlorure de magnésium. Il donne des moyens de prévention, ainsi que les soins alternatifs existants, puis appelle à une information objective sur le sujet, en particulier sur l'intérêt aléatoire de la vaccination dans les zones déjà contaminées. Deux éleveurs adhérents de BIOLAIT témoignent ensuite de la manière dont ils ont géré l'arrivée de la FCO dans leur élevage. Le groupement de défense sanitaire donne finalement son point de vue sur la vaccination contre la FCO en évoquant les moyens de lutte classiques, les raisons qui peuvent pousser à vacciner, les interrogations relatives à l'efficacité et la dangerosité du vaccin, et enfin son coût.
F.C.O.
L'article donne des informations à mi-saison sur la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO). Elle concerne désormais la totalité des cheptels bovins, ovins et même quelques caprins. Si la plupart des animaux sont porteurs du virus, tous n'expriment pas la maladie, ou le font de manière discrète. Les différentes situations rencontrées sur le terrain sont exposées, à savoir : - les éleveurs qui ont vacciné ; - ceux qui ont mis en place des stratégies préventives ; - ceux qui n'ont ni vacciné, ni mis en place de stratégie de prévention. L'auteur rappelle ensuite les solutions à mettre en place d'ici à la fin de la saison de pâturage. Il évoque ainsi l'inutilité actuelle de vacciner, ce qui pourra être fait en fin d'hiver seulement si la vaccination s'avère une solution efficace. Il donne ensuite des moyens préventifs basés à 70% sur les oligo-éléments, qui constituent une proposition alternative et qui sont aussi utiles pour le fonctionnement global des animaux. Une solution basée sur 60% d'huiles essentielles s'avère très performante, mais difficile à pratiquer pour les non-initiés. Il rappelle enfin que la résolution de la nouvelle problématique que constitue la FCO et que la définition d'une stratégie pour 2009 passent par la contribution de tous les éleveurs afin de rassembler un maximum d'informations.
FCO ou langue bleue : La grande peur : Délire ou réalité ?
René (de) PAULIS, AuteurL'auteur propose une analyse critique sur la gestion française de la fièvre catarrhale ovine. Cette maladie virale et vectorielle, transmise aux ruminants par des moucherons piqueurs culicoïdes, est la plupart du temps très bénigne. Il dénonce l'inutilité des campagnes de désinsectisation pour lutter contre cette maladie vectorielle et leur dangerosité pour l'environnement et la santé, le manque de recul sur l'efficacité et l'innocuité des vaccins, l'inadéquation de la vaccination face aux nombreux sérotypes existants et enfin la surévaluation de la mortalité en France poussant à la vaccination en comparaison avec d'autres pays européens. Certains ont cessé de vacciner, comme l'Italie et la Grèce et ne présentent désormais plus de cas clinique, du fait de l'immunité naturelle acquise par les animaux. La maladie est par contre toujours présente dans des pays qui continuent à vacciner. L'auteur propose enfin des moyens de lutte contre la FCO en élevage biologique, les animaux étant souvent trop affaiblis en intensif. Les mesures préventives d'alimentation équilibrée, de sélection d'animaux rustiques renforcent la résistance des animaux, tout comme l'homéopathie, l'aromathérapie, la phytothérapie et des cures de chlorure de magnésium qui peuvent aussi permettre de traiter des animaux déjà atteints par la maladie. Ces faits et ces solutions doivent permettre aux éleveurs de rester libres et responsables dans leurs choix de gestion de la maladie.
FCO : Respecter la liberté des éleveurs
Les vétérinaires du GIE Zone Verte évoquent la problématique de la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO), maladie virale qu'ils estiment non contagieuse, non transmissible à l'homme, peu pathogène, susceptible d'immunité naturelle et pour laquelle la vaccination est présentée aujourd'hui comme la seule solution par les autorités et les grandes organisations professionnelles agricoles. Revenant sur la dramatisation de l'impact sanitaire de la FCO et sur l'échec de la désinsectisation, ils détaillent le mode de transmission vectorielle par un insecte autochtone, en démontrant l'impossibilité d'éradiquer la FCO par vaccination ou tout autre moyen. Selon eux, le vaccin ne présente aucune garantie d'efficacité, ni d'innocuité et divers impacts négatifs sur le cycle de production et la santé des animaux auraient déjà été observés. Les auteurs insistent sur la nécessaire liberté des éleveurs dans leur choix des moyens et méthodes de lutte contre la FCO. Ils misent sur l'information pour que ces derniers prennent leurs responsabilités en connaissance de cause. Ils proposent d'apprendre à vivre avec la FCO et de la domestiquer en s'appuyant sur l'immunité naturelle et la sélection des animaux du troupeau, ceci dans les élevages équilibrés et sains. Il faut noter que les changements climatiques favoriseront l'arrivée et le développement de nouveaux stéréotypes du virus de la FCO, comme c'est déjà le cas en Italie et en Espagne.
La fièvre catarrhale progresse très rapidement
Cet article fait le point sur la progression rapide de la fièvre catarrhale en France, notamment dans des régions indemnes jusqu'ici et qui n'avaient pas reçu de vaccins. L'ensemble du territoire est désormais en zone de prophylaxie obligatoire pour le sérotype 8 ; le sérotype 1 progresse toujours et couvre le quart sud-ouest du pays. Les mesures réglementaires concernant la vaccination, le transport d'animaux et les traitements insecticides sont rappelées au niveau national et breton. Concernant les élevages biologiques, aucun produit alternatif de traitement n'a actuellement d'autorisation de mise sur le marché. Le délai d'attente de 48 heures ne pose pas de problème dans le cadre des traitements avant transport pour abattage, mais entraîne un déclassement du lait pendant 2 jours. La vaccination est, elle, autorisée sans restriction à partir du moment où la pathologie est présente sur le territoire. La Fédération Nationale d'Agriculture Biologique demande que soit reconnue la liberté vaccinale et conseille une évaluation des risques par élevage avant vaccination.
Méthodes alternatives pour la castration des porcelets
La castration chirurgicale des porcelets sans anesthésie, qui a pour but d'éviter l'odeur de verrat dans la viande, sera interdite en Suisse au 1er janvier 2010 afin de respecter le bien-être animal. Les acteurs de la filière se sont mis d'accord sur des méthodes alternatives à introduire progressivement. Avec le projet ProSchwein, la Haute Ecole Suisse d'Agriculture a eu pour tâche d'évaluer ces méthodes, ceci relativement au bien-être animal, à l'adaptation à la pratique et à la sécurité des consommateurs. Il s'agit de la castration chirurgicale avec anesthésie suiviede l'administration d'antidouleurs. Cette méthode n'est applicable que dans le cadre d'une coopération, vu le coût de l'appareil d'anesthésie. La deuxième méthode est la vaccination contre l'odeur de verrat qui évite l'intervention chirurgicale. Enfin, la méthode la plus naturelle est l'engraissement des verrats sans aucune intervention, mais avec une sélection des animaux à l'abattoir. La branche considère cette méthode comme la meilleure à long terme. Des améliorations génétiques et la mise au point d'appareils et de techniques de détection automatique de l'odeur devraient lui permettre de s'imposer.
Des paysans bio minent la campagne de vaccination
Alfred SCHÄDELI, Auteur ; Ulrich FREI, AuteurEn Suisse, un paysan bio thurgovien a refusé de faire vacciner ses bêtes contre la maladie de la langue bleue. Il n'encourra cependant sans doute pas de sanctions car le vétérinaire cantonal thurgovien se montre très compréhensif à l'égard des contrevenants, mais d'autres cantons exigent plus de discipline.
Le point sur la Fièvre catarrhale ovine
Concernant la fièvre catarrhale ovine, apparue en France en 2006, certains préconisent le traitement insecticide des animaux. En Bretagne, ces traitements ne sont pour l'heure que conseillés. Depuis que cette fièvre pose les questions de la vaccination et des traitements allopathiques, les représentants des agrobiologistes montent au créneau pour adapter au mieux les solutions aux intérêts et pratiques des producteurs bio. L'article nous livre un état des lieux de cette maladie (transmission et localisation de la FCO, traitements insecticides, obligations de vaccination), puis les enjeux et les solutions à étudier. La FNAB demande une liberté vaccinale, les arguments étant : l'absence de recul sur l'innocuité du vaccin, la méconnaissance des sérotypes 1 et 8, le fait que tous les animaux ne développent pas de symptômes, la surmortalité des animaux en 2007 qui pourrait être causée par une mauvaise qualité des fourrages, L'éradication de la maladie semble impossible car la faune sauvage constitue un réservoir. L'article présente ensuite les symptômes et les lésions de la FCO, ainsi que les soins préventifs ou curatifs alternatifs possibles en bio.
La vaccination animale
Pierre FROMENT, AuteurCet article propose une analyse critique sur la vaccination animale. Il rappelle que l'acquisition d'immunité est aussi un processus naturel, alors que le vaccin est souvent proposé comme seule solution d'immunisation. L'auteur souligne l'importance de l'hygiène et des conditions d'élevage, soulignées par Pasteur lui-même, qui ne sont pas toujours respectées. Ce qui fragilise alors les animaux. Par ailleurs, des éleveurs ayant réalisé des investissements importants, cherchent souvent une garantie en matière de santé à travers des traitements antibiotiques, des protocoles vaccinaux et antiparasitaires lourds. Les questions de l'innocuité vaccinale et du statut immunitaire global du cheptel sont rarement posées. Les différentes étapes (susceptibilité, peur, accumulation, doute, destruction) par lesquelles passe un organisme vivant et durant lesquelles il exprime sa sensibilité et son degré de réceptivité à un agent infectieux ou parasitaire sont détaillées.
Une algue pour vacciner les plantes
Le laboratoire français Goëmar a isolé, dans des algues marines, une molécule capable de jouer le rôle de vaccin contre certaines maladies des végétaux (piétin, septoriose, oïdium, fusariose, rouille, mildiou, anthracnose...). Ce "vaccin" apparaît comme une alternative supplémentaire aux traitements chimiques
Dossier : Sciences : les choix qui orientent notre avenir
Dans ce dossier Sciences, 9 articles traitent des choix qui orientent notre avenir : - Science et société civile : une relation difficile ; - Rompre avec la vision "pasteurienne" ; - Grippe aviaire : une catastrophe programmée ? ; - Le long combat des médecines alternatives ; - Quand la bio rencontre la "Recherche" : Indien, prends garde aux conquistadores ; - Pesticides : l'expertise officielle à peine sortie, déjà reléguée ; - Le "Nanomonde" pour le meilleur ou pour le pire ? - Criirad : la radioactivité sous surveillance citoyenne ; - Projet de loi OGM ou comment se débarrasser du témoin gênant bio.
Dossier : Les terrains
Le dossier s'attache à donner une définition du "terrain" et s'organise selon différentes parties : - Le terrain et les vaccins ; - Le terrain est tout ; - Sida : virus ou terrain affaibli ? ; - Le terrain biologique selon la bioélectronique ; Champs électromagnétiques et défenses immunitaires ; - La toxémie, perturbatrice de la qualité du terrain ; - La notion de terrain ; - Sauvez votre peau ! ; - Des animaux malades de la "civilisation" ; - La notion de "terrain" en médecine chinoise ; - Le terrain psychologique ; - Quand les émotions perturbent notre terrain.
Dossier : Vivre différemment
Le dossier pose, en termes d'éveil, de prise de conscience et de prévention, les questions de santé, d'éducation, d'alimentation face au réchauffement climatique, aux OGM, à l'influence des médias ou d'une société autodestructrice. Outre un développement critique, le dossier insuffle des alternatives comme l'agriculture biologique, le commerce équitable, l'homéopathie ou les thérapies douces... pour vivre mieux et différemment.
Après la "chèvre folle", plus rien ne va rond !
Suite à la confirmation, en 2005, qu'une chèvre était bien atteinte d'ESB et non pas de tremblante (les analyses durent au moins 3 ans), le journaliste s'interroge sur les liens entre l'éradication du varron et l'apparition de l'encéphalopathie spongiforme.
Dossier : Les allergies
11 articles sont présentés dans ce dossier sur les allergies : - Le système immunitaire, notions de base ; - Les allergies et le terrain ; - L'enfant et sa "maman" face à l'allergie ; - Allergies et bio-électronique Vincent ; - Allergie, que cherches-tu à me dire ? ; - "Allergique, allergique... Est-ce que j'ai des pieds d'allergique ?" ; - Les allergies alimentaires ; - Allergie ou intolérance au lait de vache ? ; - Gluten ou sans gluten ? Telle est la question ; - OGM et allergies : conséquences sur notre santé ; - Allergies et vaccins.
Alternative aux traitements chimiques : Un nouveau vaccin anti-coccidien atténué
Devant la sensibilité accrue des consommateurs à la manière de produire et sous la pression de la réglementation européenne sur les additifs, les moyens de recherche et de développement en matière de produit chimique anti-coccidien ont été fortement freinés. En raison de leur coût nettement plus élevé que celui des produits chimiques, les vaccins anti-coccidiens pourtant développés depuis 1954, ne sont pas ou très peu utilisés en production de poulets de chair à courte durée de vie. En France, l'élevage de volailles à longue durée de vie (biologique et label rouge) y a recours. Schering-Plough propose désormais son vaccin Paracox, décliné en deux formulations P5 et P8, à un prix de vente pratiquement divisé par deux. En bio et label, l'utilisation en alternance de P5 et P8 semble être une bonne alternative.
Les plantes ont le potentiel pour se défendre
Comme un humain, une plante infectée par un micro-organisme peut développer une maladie. Mais souvent la plante, comme l'être humain, se montre capable de résister naturellement et continue son cycle biologique normalement. C'est dans ce cadre que se sont déroulées les recherches d'une PME bretonne et du CNRS de Roscoff sur le premier vaccin des cultures, le GL 32, en cours d'homologation pour une utilisation en agriculture biologique.
Colostrum : sans lui, pas de survie !
Aussitôt après la naissance, le veau doit apprendre à reconnaître ses ennemis et à s'en défendre. C'est sa mère qui lui donne la leçon, par l'intermédiaire du colostrum. Cet article montre l'importance du colostrum, ses règles de distribution ainsi que la préparation et l'utilisation de colostrum congelé.
Dans un élevage : Quand suspecter l'intervention du virus BVD ?
Infection très fréquente, dont les manifestations sont très variées et maintenant bien connues, la BVD n'est pas pour autant facile à cerner. Seule une réflexion au coup par coup, au niveau de chaque élevage, peut permettre de lui attribuer ce qui lui est dû et d'élaborer les mesures à prendre pour limiter les dégâts. Explications.
Plantes médicinales, quelle jungle !
Phénomène de mode ou intérêt réel, la consommation de plantes médicinales a triplé ces 20 dernières années. Les prix de quelques préparations sont donnés sous forme de tableaux pour les huiles essentielles ou les plantes sèches en vrac sous sachet... La production française et le ramassage de plantes médicinales et aromatiques sont présentés sous forme de statistiques.