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DIVERSIFICATION
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utilisé autant pour la diversification des productions, que pour la diversification des débouchés
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Dossier : Méthanisation à la ferme : Comment réussir son projet
Nicolas LEVILLAIN, Auteur ; Corinne LE GALL, AuteurLa mise en place d'une unité de méthanisation comme atelier de diversification sur une exploitation agricole est complexe mais pas impossible, comme le prouvent les 40 agriculteurs français qui se sont déjà lancés dans de tels projets. Les facteurs de réussite sont avant tout technico-économiques et socio-économiques. En effet, pour constituer un équilibre des composants qui alimenteront le digesteur, les agriculteurs peuvent utiliser leurs effluents d'élevage mais aussi d'autres intrants fermentescibles produits en dehors de la ferme (collectivités, entreprises ), ceux-ci devant alors être l'objet d'un contrat entre celui qui les produit et l'agriculteur-méthaniseur. La qualité et la quantité de ces intrants conditionnent la dimension et le rendement de l'installation. Ainsi, pour bien les choisir et respecter les contraintes réglementaires, des conseillers en Chambres d'agriculture ou dans des associations sont formés pour accompagner les agriculteurs. Concernant la rentabilité, elle repose sur la bonne valorisation de la chaleur produite, que ce soit sur la ferme (bâtiments d'élevage, séchage de végétaux ) ou aux environs (habitations, entreprises ). Autre produit de la méthanisation, le digestat possède des propriétés fertilisantes intéressantes, qui sont encore aujourd'hui l'objet d'études pour mieux les connaître et les utiliser. Enfin, dans ce dossier, l'auteur fait le point sur le montant d'un investissement dans une unité de méthanisation. Il reste encore élevé mais difficile à généraliser, chaque projet devant être adapté au contexte de l'exploitation agricole qui souhaite le mettre en place. En encart, deux agriculteurs présentent leurs installations de méthanisation, l'une individuelle et l'autre collective.
Gros plan : Transformation fermière
C. NOUZILLE-FAVRE D'ANNE, AuteurDans le domaine de la transformation fermière, la FNCuma développe des outils afin de favoriser le partage d'expérience. Les circuits courts prennent de l'ampleur (demande des consommateurs, valorisation par les agriculteurs de leur production, façon de vivre son métier). Face à cette tendance, se lancer dans les circuits courts exige l'apprentissage de nouveaux métiers : produire, transformer, vendre et assurer la logistique, comme le précise Fabien Valorge, en charge du développement des ateliers de transformation collectifs au sein de la FNCuma. L'Adie (Association pour le droit à l'initiative économique) a étudiée, de 2007 à 2010, la question des modes de constructions modulaires (modules préfabriqués adaptés à la transformation des produits agricoles). Depuis 2011, un projet de recherche-action, nommé Atomic, est en court (développement des ateliers de transformation collectifs, capitalisation, diffusion des méthodes, des outils et des références utiles aux porteurs de projet). Des témoignages accompagnent l'article : La SARL Côte-à-côte, à Davayat (63), regroupant les cinq associés de deux Gaec, est dotée d'un laboratoire de 150 m² pour découper et transformer les bêtes (transformation de viande bovine, de produits frais et salaisons porcines, diversification des produits) ; la SARL La Tourette (Saint Genès La Tourette (63)) transforme aujourd'hui 210 000 litres de lait sur les 800 000 produits par les structures associées (valorisation de la production, embauche de personnel dans la laiterie, distribution dans les épiceries de village, sur les secteurs de Clermont-Ferrand et Issoire).
Intégrer l'agriculture dans les politiques d'atténuation des changements climatiques : recueil d'expériences internationales
La responsabilité de l'agriculture et de la déforestation dans les émissions de gaz à effet de serre pourrait atteindre 30 % des émissions mondiales. Pourtant, jusqu'à présent, peu de pays ont intégré ce secteur dans leurs politiques de lutte contre les changements climatiques, focalisant leurs efforts sur les consommations d'énergie fossile et les émissions de CO2... Or, l'agriculture devra répondre à une demande alimentaire mondiale accrue d'ici 2050. Cela suppose notamment de pouvoir adapter les systèmes de production aux impacts des changements climatiques attendus (effet négatif des hautes températures et du stress hydrique ). Pour répondre à ces différents enjeux, plusieurs pays à l'avant-garde ont déjà mis en place des politiques innovantes dans le secteur agricole qui pourraient inspirer d'autres Etats. Sous l'angle d'études de cas, une majorité de pays industrialisés, qui se sont engagés à réduire leurs émissions en fournissant les moyens nécessaires pour concevoir des politiques ambitieuses, sont mis en avant dans ce document. Présentation : - Fiche repère : France/Union européenne ; - Nouvelle-Zélande : Intégrer l'agriculture dans le marché carbone ; - Australie : Permettre aux propriétaires terriens de participer de façon volontaire au marché du carbone ; - Etats-Unis et Canada : L'agriculture comme activité compensatoire ; - Pays-Bas : Gestion des apports azotés ; - Royaume-Uni : Réduire les émissions du secteur laitier ; - Allemagne : Indépendance énergétique, réduction des émissions de CO2 et de CH4 et diversification agricole en soutenant la méthanisation ; Brésil : Programme pour une agriculture à bas niveaux carbone ; - Que nous enseignent ces différentes expériences ?
Légumes industrie : Focus sur la production de haricot
SYMBIOSE, AuteurEn 2012, une vingtaine de parcelles bio bretonnes étaient consacrées à la culture de haricots et petits pois, à destination de la transformation en surgelé et appertisé. Ainsi chez Marie-Pierre et Gilles Bourglan, éleveurs de porcs dans le Finistère, la culture de haricots est un moyen de diversifier l'assolement. L'itinéraire technique et les précautions à prendre sur cette culture sont présentés dans l'article, de même que pour la culture de petits pois.
A multivariate analysis for evaluating the environmental and economical aspects of agroecosystem sustainability in central Italy
Vincenzo DI FELICE, Auteur ; Roberto MANCINELLI, Auteur ; Raphaël PROULX, Auteur ; ET AL., AuteurEn un siècle, l'activité agricole s'est fortement intensifiée un peu partout dans le monde, tendance qui s'est caractérisée notamment par une dépendance de plus en plus forte par rapport aux intrants. Alors que cette intensification de l'agriculture a entraîné un accroissement de la productivité, la durabilité des agroécosystèmes a été fortement compromise. Cette étude, conduite par l'Université de Tuscia en Italie et l'Université du Québec à Trois-Rivières, a pour objectif de construire des relations multidimensionnelles entre les caractéristiques structurelles des fermes et les performances de ces mêmes fermes. Le but est de mettre en évidence les coûts et les avantages relatifs des quatre principaux types de systèmes agricoles présents en Italie centrale : les systèmes biologiques ou conventionnels ; les systèmes polyculture-élevage ou non-diversifiés. Les résultats montrent que, dans la région étudiée, la relation entre la diversité des exploitations et leur durabilité est davantage due à la caractéristique mixte (élevage et cultures) ou non-mixte (élevage ou cultures) des fermes plutôt qu'à des pratiques biologiques ou conventionnelles. Par ailleurs, les auteurs préconisent le développement de l'agriculture biologique, dont les performances économiques sont proches des fermes conventionnelles et dont les pratiques semblent plus conformes aux futures mesures incitatives de préservation du paysage.
Of organic farmers and 'good farmers': Changing habitus in rural England
Lee-Ann SUTHERLAND, Auteur ; Ika DARNHOFER, AuteurAu cours des dernières années, de nombreuses études ont mis en avant l'importance des constructions culturelles de la « bonne agriculture » au sein des pratiques agricoles. Dans cette étude menée en Angleterre, les auteurs ont travaillé sur la construction d'une « bonne agriculture » à travers une étude empirique sur les agriculteurs biologiques et conventionnels, en mettant l'accent sur la façon dont le changement apparait chez ces personnes. En s'appuyant sur le concept de Pierre Bourdieu concernant le capital culturel, l'habitus et les champs, les auteurs soutiennent que les dynamiques dans le secteur agricole ont simultanément conduit à un élargissement de l'idéal de « bonne agriculture », et à une fragmentation selon laquelle les agriculteurs, de façon individuelle, donnent la priorité à un sous-ensemble de ce large éventail de possibilités. Ils ont pu démontrer que la dévaluation graduelle des moyens existants d'atteindre un capital culturel est essentielle pour le développement de nouvelles valeurs symboliques. Dans cette optique, les auteurs apportent une critique de la nature statique du capital culturel dans les études de réponse des agriculteurs aux programmes agro-environnementaux. Ils soulignent aussi le fait que les altérations de la perception et des pratiques des agriculteurs qui se sont convertis à l'agriculture biologique pour des raisons pragmatiques peuvent être plus importantes que seulement sous-entendues.
Permaculture : relevé d'expériences et applications possibles dans le Cantal : Livre I. "La permaculture : une ouverture pour l'agriculture aux hydrocarbures" ; Livre II. Annexes
Jérémy ADORNO, Auteur ; Maxime LAFON, Auteur ; Alain ROBERT, Auteur ; ET AL., Auteur | AURILLAC CEDEX (Antenne Universitaire, 100 Rue de l'Egalité, 15 013, FRANCE) : UNIVERSITÉ D'AUVERGNE - Institut Universitaire Technologie de Clermont-Ferrand | 2012Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de la Licence professionnelle : « Expertise agro-environnementale et conduite de projet » (Institut Universitaire de Technologie de Clermont-Ferrand, site d'Aurillac, département génie biologique). Selon ses auteurs, la permaculture est vue comme une des solutions à envisager pour tendre vers une agriculture durable, équitable et pérenne d'un point de vue social, économique et environnemental. Par des pratiques agricoles simples et économes, elle peut renouer les liens entre l'agriculteur et sa terre. Le département du Cantal présente de nombreuses prédispositions aux pratiques de la permaculture et, porté par sa Chambre d'agriculture, il peut devenir un pionnier dans ce domaine et un exemple à suivre. Présentation : - 1. La permaculture, un nouveau concept agricole ? ; - 2. Relevé d'expériences des pratiques de la permaculture ; - 3. Nos relevés et visites dans le Cantal et territoires limitrophes ; - 4. Applications possibles dans le Cantal. Annexes : - Historique de la permaculture : La terra Preta ou le compost de l'eldorado ; Le système des Trois-Soeurs ; - Personnalités : Masanobu Fukuoka ; Sepp Holzer ; Bill Mollison ; David Holmgren ; Philippe Boudias ; Christophe Vidal ; - Thématiques : Biodiversité des agroécosystèmes ; Haie bocagère ; BRF Elevage holistique ; Conduite du troupeau ; Cultures intercalaires et associations de plantes.
Une vinocure de polyphénols au Château Vent d'Autan
Laurent DREYFUS, AuteurAnne et Olivier Godin sont retournés vivre sur la ferme des parents d'Anne, à l'ouest de Cahors, dans le Lot, en 1986. Anne a récupéré son droit à replanter de la vigne et le couple a inscrit son activité en agriculture biodynamique en 1992. La surface cultivée en vignes est d'abord passée à 6,5 ha puis s'est réduite à 1 ha après la diversification actuelle : production de compléments alimentaires à base de polyphénols extraits des pépins de raisin et élargissement de la gamme de leurs productions vinicoles : verjus, vins aromatisés à la framboise, au cassis, ratafia, vin de noix et de pêche Anne Godin produit du Cahors, un pur Mauzac, du vin du Quercy. Elle s'engage dans les organismes professionnels de l'agriculture bio, dans sa région, puis dans l'association pour la régénération de la vigne Mais, l'avenir de la bio avec le label européen l'inquiète (avec, par exemple, le projet d'autorisation de métabisulfyte dans le vin bio). En 2001, Olivier s'intéresse aux propriétés médicinales du raisin. Les premières analyses réalisées par l'Université de Bordeaux montrent que les vins du Château Vent d'Autan contiennent trois fois et demie plus de polyphénols que les vins de la région. Outre la production innovante de compléments alimentaires (possible grâce à un brevet désormais protégé), Olivier construit un espace de remise en forme qui propose la vinocure : hammam, luminothérapie Des encarts présentent : la Terra Preta (terre noire en portugais) biodynamique du Château Vent d'Autan, préparation utilisée à la plantation (jardin, arbres et buissons forestiers) ; les polyphénols et le resvératrol.
L'agriculture biologique
ALIM'AGRI, AuteurEn 2009, l'agriculture biologique a connu un essor important en France. L'article fait un point statistique : en Europe (2008), six états totalisent 2/3 des surfaces bio de l'Union Européenne. L'agriculture biologique progresse dans toutes les régions de France : le nombre d'exploitations bio est supérieur à 1 000 dans 7 régions (Rhône-Alpes, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte d'Azur...) ; en France, 3 769 exploitations sont engagées en bio en 2009 ; 83 % des ventes se font en grandes surfaces et magasins spécialisés, mais les ventes augmentent dans tous les circuits de distribution ; les exploitations bio sont diversifiées (viande (19 %), grandes cultures (16 %), culture de légumes et maraîchage (14 %)...).
L'agroforesterie, une diversification, une création d'éléments du paysage, une solution pour demain à mettre en place dès aujourd'hui
Michel DESMIDT, AuteurL'agroforesterie est la mise en place, sur une même parcelle, d'arbres et de productions agricoles, offrant ainsi la possibilité d'une double production : une annuelle et une différée à long terme. Divers avantages, ainsi bien environnementaux et agronomiques qu'économiques, sont identifiés dans cet article. La présence des arbres notamment permet de développer la biodiversité de la parcelle et une faune auxiliaire pour la culture associée, de mettre en place une protection contre le ruissellement et l'érosion, contre le vent et le lessivage Les études réalisées jusqu'à maintenant ont permis de mettre en évidence une production de biomasse plus importante sur les arbres associés à des cultures agricoles. La mise en place d'une mesure de soutien à l'installation de systèmes agroforestiers (mesure 222) pourrait favoriser le développement de ce type de pratiques.
Asparagus officinalis : L'asperge, c'est aussi bon pour la diversification
Charles SOUILLOT, AuteurAprès une évocation des origines de l'asperge et de ses aspects botaniques, l'article évoque la préférence de l'asperge pour des sols légers et profonds (favorisant l'enracinement), ainsi que le calendrier de production et le cycle végétatif de l'asperge. Par ailleurs, l'article décrit la mise en place de la culture (préparation du sol, plantation, mise en place des griffes, fertilisation, récolte) et les interventions culturales (1ère, 2ème, 3ème année, 4ème année et suivantes).
Des céréales bio dans la montagne
Marc TOURRETTE, AuteurLe projet Céréalpage, porté par l'association des bergers franco-suisse, a pour objectif de relancer la culture de céréales biologiques dans la montagne jurassienne, entre 840 et 1 150 m d'altitude. Les agriculteurs engagés dans le projet sont confrontés à la façon de préparer la terre, au choix des variétés, aux dates de semis A la ferme de la Batailleuse, à Rochejean (Doubs), Ludovic Orain veut gagner de l'autonomie dans l'alimentation de son bétail (vaches laitières et chèvres dont la ration sera complétée avec de l'orge issue de l'agriculture biologique), et envisage de semer un hectare de céréales fourragères, puis dans une seconde phase, des céréales panifiables. Norbert Bournez, qui possède l'alpage de la Petite Echelle sur les flancs du Mont d'Or, élève des génisses montbéliardes et propose notamment de la restauration. Son idée est d'augmenter la diversité du travail et de créer un emploi saisonnier. Il souhaite cultiver des céréales pour l'alimentation humaine. La ferme du Montrinsans, de Gérard Vionnet, bénéficie d'une gestion écologique avec des suivis de la flore et de la faune. Bien que la Politique agricole commune (Pac) impose certaines règles comme le ratio national de prairies permanentes, le collectif d'agriculteurs a entamé plusieurs démarches pour obtenir des dérogations à cette réglementation. Au printemps, la ferme de Montrinsans doit ensemencer un hectare de céréales fourragères.
En Charente-Maritime : Un bon complément pour une petite exploitation (Dossier : Agritourisme)
Véronique BARGAIN, AuteurEn 1991, Régine a repris l'exploitation de ses parents, située à Mortagne-sur-Gironde (Charente-Maritime), et a développé l'élevage ovin en agriculture biologique. Par ailleurs, depuis dix ans, elle accueille des vacanciers, de Pâques à mi-septembre. Elle cultive aujourd'hui 50 ha de terres dont 40 hectares de prairies, et élève 160 brebis qu'elle commercialise en vente directe. Après avoir reçu des enfants en gîtes pendant six ans, elle propose aujourd'hui six emplacements de camping, un gîte pour dix personnes, une table paysanne réservée aux résidents du camping et du gîte et la location d'ânes bâtés avec itinéraires de balades. Pour Régine, membre du réseau Accueil Paysan, l'accueil des vacanciers est avant tout basé sur les relations humaines... Au plan matériel, Régine a aménagé le gîte, une salle de cantine et installé des sanitaires, une piscine et des jeux pour enfants. La communication s'appuie surtout sur Internet. L'agritourisme apporte 30 % du revenu de l'exploitation de Régine. En termes de travail, c'est un temps plein, pour l'été, alors que les brebis sont à l'herbe à proximité ou à quelques kilomètres. Après la saison, les brebis sont ramenées sur l'exploitation et pâturent notamment sur le camping. L'éleveuse a, pour l'avenir, d'autres projets, comme développer la randonnée avec les ânes.
Cultiver l'autonomie pour récolter la sécurité
Gabriel OMNÈS, AuteurDepuis son installation dans le Maine-et-Loire en 1992, et sa conversion en 1999, Grégoire Gabillard n'a eu de cesse d'assurer son autonomie en construisant son système sur trois piliers : la cohérence, les circuits courts et la quête de valeur ajoutée : « Mon idée a toujours été de rester maître chez moi ». Ainsi, la rotation est raisonnée sur la base de la maîtrise des adventices et en fonction des marchés : la rentabilité est analysée à la rotation et non à l'année. Les 20 ha de blé constituent la première source de revenu de la ferme : 75 tonnes de la récolte sont engagées annuellement par contrat avec une petite SCOP de meunerie et de boulangerie. Ce type de circuit court permet de limiter les risques et surtout de travailler en confiance. M. Gabillard a développé une forte diversification de ses débouchés : huilerie, semences fourragères, culture de plantes médicinales
Cultiver la carotte de plein champ en agriculture biologique : Repères technico-économiques
Cette fiche a été élaborée dans le cadre du projet CAS DAR n°9016 « Accompagnement du développement et de la structuration de la filière légumes de plein champ en zones céréalières biologiques ». Elle donne notamment la carte d'identité de la carotte (caractéristiques physiologiques, besoins de la plante), sa place dans la rotation, son itinéraire technique (calendrier de production, préparation du sol, semis, variétés, fertilisation, désherbage, maladies et ravageurs, irrigation, récolte, stockage, débouchés), les repères technico-économiques (produits, charges opérationnelles).