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Documents disponibles dans cette catégorie (73)


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Plantes aromatiques en pot : Lusine flambant neuve de Bioplants
Marion COISNE, AuteurBioplants est une entreprise spécialisée dans la production de plantes aromatiques bio destinées à être vendues en pot au rayon fruits et légumes des supermarchés. Lusine, qui était auparavant localisée à Saint-Martin-du-Fouilloux (49), a déménagé sur un nouveau site de production comportant 14 500 m2 de serres, près dAngers (aux Ponts-de-Cé). Cette entreprise se porte bien : son chiffre daffaires est passé de 2,62 M en 2021, à 3,4 M en 2022 (en prévisionnel). Malgré la conjoncture, ce marché reste porteur et Bioplants ambitionne un chiffre daffaires de 6 M en 2024. Le processus de production est fortement automatisé et le nouveau site de production a été mûrement réfléchi afin d'économiser leau et lénergie. Les plants se développent grâce à de la sub-irrigation (ils baignent dans de leau avec des éléments nutritifs dorigine organique). Leau utilisée provient des toits des serres, elle est récupérée et stockée dans des bassins bâchés près du parking. Le dispositif dirrigation fonctionne en circuit fermé, ce qui permet à l'entreprise de consommer 8 à 10 fois moins deau et dêtre quasiment autonome. Lentreprise sinscrit dailleurs de manière plus large dans une démarche écoresponsable : implantation du nouveau site de production sur une friche péri-urbaine (et non sur de bonnes terres), 17 % des surfaces couvertes sont dédiées à la biodiversité, pas dutilisation du cuivre, recours limité à la tourbe, utilisation de housses (autour des plants) en papier kraft et de pots en matériaux 100 % biosourcés en France et compostables
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Couverts végétaux en conditions difficiles : Semer malgré tout ?
Robin EUVRARD, AuteurLes bienfaits des couverts végétaux ne sont plus à démontrer, notamment en viticulture biologique. Toutefois, leur mise en place et leur destruction peuvent savérer délicates dans les vignes cultivées en conditions « extrêmes » (vignes peu mécanisables). Dans tous les cas, il est important dimplanter des espèces en fonction de lobjectif recherché : couvrir le sol pour assurer la portance et limiter lérosion ? Augmenter la fertilité des sols ? Augmenter la biodiversité des parcelles ? En conditions difficiles ou en sol souvent séchant, il est conseillé dimplanter des espèces à cycle court pour assurer une forte production de biomasse dès le mois de novembre et de réaliser le semis peu de temps après les vendanges afin de profiter des premières pluies. Il est également préférable daugmenter la densité de semis pour optimiser la couverture. Les semoirs adaptés aux conditions difficiles sont peu nombreux (semoir sur treuil, sur chenillettes ou sur enjambeur) et il nest pas rare que les vignerons les autoconstruisent, certaines fois aidés par lAtelier Paysan. Aujourd'hui, plusieurs solutions techniques sont néanmoins disponibles. Cet article est accompagné de trois encarts : lun est consacré aux vignes non mécanisables, un autre aux couverts permanents et le troisième aux techniques régénératives et aux enrobages.
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Dossier : Optimiser les charges de mécanisation
Cyrielle DELISLE, Auteur ; François D'ALTEROCHE, AuteurDans un contexte de prix croissants de lénergie et des intrants, maîtriser les charges de mécanisation est plus que jamais un point-clé de la performance dune exploitation en bovins viande. Or, ces charges augmentent de façon continue : + 20 % à lhectare en euros constants entre 1988 et 2018. De plus, il ny a pas déconomie déchelle avec lagrandissement des fermes : ces charges sont plus élevées dans les exploitations les plus importantes. Elles augmentent même avec la taille du troupeau, tout comme les charges fixes à lhectare de SAU, alors que le produit à lhectare évolue peu. Il est donc essentiel de bien raisonner ses besoins en matériel et de définir une vraie stratégie en la matière. Divers leviers déconomies sont possibles, à raisonner selon lexploitation : partager le matériel ou déléguer les travaux ; bien organiser ses chantiers ou encore favoriser la réalisation collective de ces derniers ; adapter la puissance de ses tracteurs ; privilégier le pâturage Ainsi, Thomas Lemée, éleveur bio dans la Nièvre, possédant 70 mères Charolaises sur 140 hectares, a fait le choix davoir le moins possible de matériel en propriété et de le faire durer. Il a recours aux services dune Cuma et, pour les foins et lenrubannage, il travaille avec deux autres agriculteurs, pour récolter ensemble 300 hectares. Autre exemple : Stéphanie Mocques-Goure, éleveuse de 70 Rouges des prés, dans le Maine-et-Loire, elle aussi en bio, « sort ses piquets plutôt que son tracteur ». Elle conduit un système très pâturant et a recours à la location de matériel pour ses gros chantiers. Une étude, menée sur 70 élevages du Réseau France Conseil élevage Loire-Atlantique, Maine-et-Loire et Mayenne, montre dailleurs que les systèmes les plus pâturants ont les charges de mécanisation les moins élevées, avec des retombées positives sensibles sur le volet économique.
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Dossier de presse : Collectif BioRéférences : réflexions sur les évolutions et les pistes davenir pour les élevages biologiques ruminants du Massif Central
Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; Julie GRENIER, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : PÔLE BIO MASSIF CENTRAL | 2022Lacquisition de références technico-économiques est essentielle pour aider au développement de lagriculture biologique. Dans le Massif Central, cette activité est au cur de travaux menés par différents acteurs de la bio depuis de nombreuses années. Ces acteurs ont peu à peu développé des habitudes de travail communes. Ils ont ainsi harmonisé leurs collectes de données et leurs outils. Ils se sont ensuite fédérés sous le nom de « Collectif BioRéférences ». Après sept années de collecte et de traitement de données, ce collectif a organisé un colloque de restitution, le 28 novembre 2022, pour présenter des références technico-économiques sur les élevages bio du Massif Central. Ce dossier de presse reprend les principaux apports de cette journée. Il commence par présenter les grandes tendances dévolution de ces élevages entre 2014 et 2018 (agrandissement des structures, bonnes performances technico-économiques des exploitations, avec toutefois des résultats économiques en baisse, notamment fragilisés par les sécheresses à répétition), ainsi que des pistes damélioration pour augmenter leur résilience. Des focus sont ensuite réalisés sur chaque filière : la filière caprine bio continue de croître, mais reste fragile ; la filière bovins lait bio voit globalement ses revenus menacés par les sécheresses successives et la stagnation du prix du lait ; les élevages naisseurs-engraisseurs de bovins viande bio restent économes, mais voient leur rémunération diminuer au fil des ans ; les élevages ovins lait bio reposent sur des systèmes en filière longue qui se sont modernisés ; la filière ovins viande bio tend vers une diversification des exploitations et des débouchés. Un focus est également réalisé sur lévolution des coûts de production en 2022 (année marquée par des contextes climatiques et économiques relativement compliqués).
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Dossier : Quels outils, pour quels paysans ?
Pascal PAVIE, Auteur ; Pascaline PAVARD, Auteur ; Daniel COUTAREL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré à l'évolution des machines et des outils agricoles. Étant actuellement dans la troisième révolution agricole (automatisation...), certains paysans souhaitent retrouver une autonomie et une créativité pour leurs outils. Les articles qui composent ce dossier traitent des sujets suivants : - le monde-machine et la dépendance du biotope humain à la technologie ; - le retour de la traction animale face à la motorisation ; - le bélier hydraulique, un outil pour remonter l'eau sans électricité ; - la machine et le paysan ; - L'Atelier Paysan : du lien aux machines à l'intérêt général ; Présentation d'outils de l'Atelier Paysan : colonne de tri densimétrique, épandeur maraîcher, four à pain.
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Evolution de la productivité et de la profitabilité délevages de ruminants en agriculture biologique : la taille et lautonomie alimentaire des exploitations importent
Patrick VEYSSET, Auteur ; Edith KOUAKOU, Auteur ; Jean-Joseph MINVIEL, Auteur | PARIS CEDEX 15 (19 Avenue du Maine, 75 732, FRANCE) : SFER (Société Française d'Economie Rurale) | 2022Cette étude porte sur lanalyse des performances en termes de productivité et de résultats économiques délevages de ruminants biologiques situés dans une zone herbagère de montagne (Massif Central). Elle se base sur un échantillon constant de 58 exploitations bio suivies de 2014 à 2018 dans le cadre du projet BioRéférences. Durant cette période, ces exploitations se sont agrandies sans augmenter leur productivité du travail, ni leur chargement (animal par hectare de surface fourragère). Si la productivité animale sest maintenue, les sécheresses répétées ont entraîné une baisse de lautonomie alimentaire, et donc une augmentation des achats daliments. Globalement, les prix de vente des produits sont restés stables, mais laugmentation des achats daliments, ainsi que laugmentation des frais de mécanisation impactent négativement les résultats économiques (le résultat courant par exploitant chute de 40 %). En cumul sur la période, les volumes dintrants ont augmenté plus rapidement que ceux de la production agricole. Il en résulte une baisse du surplus de Productivité Globale des Facteurs SPG (part de la croissance économique qui n'est expliquée ni par l'augmentation du volume du capital, ni par celle du volume du travail). Les prix des produits et des intrants étant relativement stables, cette baisse du SPG est financée à 41% par une augmentation des aides publiques (aides sécheresse, mesures agro-environnementales climatiques) et à 49 % par une baisse de la profitabilité pour lexploitant. Des analyses statistiques ont également révélé que la taille des exploitations est un déterminant négatif du SPG, tout comme la spécialisation des systèmes, alors que lautonomie alimentaire est un déterminant positif du SPG. Cet article a été rédigé dans le cadre des 16èmes Journées de Recherches en Sciences Sociales, organisées à Clermont-Ferrand, les 15 et 16 décembre 2022, par la SFER, INRAE et le CIRAD.
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Faire pâturer les couverts plutôt que les broyer
Laurence SAGOT, AuteurLe pâturage de couverts végétaux par des brebis en lieu et place du broyage a été expérimenté sur quatre exploitations céréalières. Les résultats obtenus sont globalement concluants, avec des économies en matière de mécanisation et pas de conséquences négatives observées sur la culture suivante.
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1967 : pourquoi sommes-nous empoisonnés ?
Jean-François LEMAIRE, AuteurBio Linéaires poursuit la reprise de l'article paru dans le numéro 31 du journal Agriculture et Vie en 1967, qui informait déjà les lecteurs des dangers des pesticides sur la santé. Avant de proposer les remèdes (dernière partie au prochain numéro de Bio Linéaires), cet article historique faisait l'état des lieux du désastre causé par des pratiques agricoles intensives : le recul de la forêt devant l'homme et l'utilisation des engrais chimiques et de produits biocides.
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Celle qui nous colle aux bottes
En fin de cursus aux Arts Déco, la jeune narratrice de cette histoire noue avec son père, agriculteur, un dialogue inédit autour de la terre et de lenvironnement, au prétexte den faire son mémoire de fin détudes. Leur échange, souvent heurté, mais toujours affectueux, trahit vite tout ce qui sépare et peut-être oppose les générations. Lui, fort de son expérience personnelle, se sent tenu de défendre lagriculture conventionnelle, même sil en connaît les défauts : il faut bien faire manger la planète Elle, pétrie de culture alternative et nourrie des références de lécologie politique, saccroche à ses convictions. Et si leurs positions respectives provenaient en partie didées reçues ? Et si lurgence était surtout dapprendre lun de lautre ? Dans cette bande dessinée, Marine de Francqueville retrace ce choc des valeurs et des sensibilités, et brosse en filigrane le tableau de la relation père-fille. À travers leur touchante histoire commune, manifestement autobiographique, cest un débat dune brûlante actualité qui sincarne, autour des enjeux cruciaux de lagriculture de demain.
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Coûts de production : Élevages ovins allaitants bio : Campagnes 2017 à 2020
Philippe DESMAISON, Auteur ; Marion ANDREAU, Auteur ; Fabrice ROCHE, Auteur | BORDEAUX (FRAB NOUVELLE-AQUITAINE, 347 Avenue Thiers, 33 100, FRANCE) : BIO NOUVELLE-AQUITAINE | 2021Ce document présente la synthèse de résultats technico-économiques en élevages ovins allaitants bio en Nouvelle-Aquitaine pour les campagnes 2017 à 2020 (chargement, autonomie alimentaire en concentrés, aliments achetés, frais délevage, productivité technique ). La disparité des résultats techniques (fertilité, mortalité, finition des agneaux ) montre quune consolidation de ces résultats doit être réalisée en priorité (avec des moyens engagés constants, voire inférieurs si possible). Produire mieux avec autant et idéalement moins. La recherche dautonomie alimentaire est toujours essentielle pour les élevages ovins et repose notamment sur le pâturage et les méteils grains. Les auteurs notent une baisse de productivité naturelle des agrosystèmes à cause du changement climatique. Des intrants et de la mécanisation peuvent parfois compenser cela, mais ce levier a des répercussions environnementales
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Dossier mécanisation
Philippe MOUQUOT, Auteur ; Olivier GUERIN, Auteur ; Mélanie GOUJON, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, portant sur la mécanisation des travaux en agriculture biologique, est composé de quatre articles. Le premier est dédié à loptimisation du désherbage mécanique en grandes cultures (optimisation de sa qualité et du débit de chantier). Plusieurs pistes damélioration sont évoquées : le gain en précision grâce au guidage RTK, le gain en régularité si les parcelles sont adaptées au binage ou si les sols sont plats, la possibilité de multiplier les passages à faible profondeur (avant semis) à laide dun scalpeur Plusieurs innovations sur des matériels de désherbage mécanique sont également présentées. Le deuxième article est consacré à la viticulture et propose différentes pistes pour réduire sa consommation de carburant liée à lentretien du sol. Il explique comment optimiser : son tracteur, sa stratégie de contrôle des adventices, ses outils, ses combinaisons doutils, sa vitesse, ses manuvres et ses conditions de travail. Larticle suivant aborde la question des investissements réalisés pour réduire les prélèvements directs (impôt, MSA) : la stratégie est-elle toujours gagnante ? Les investissements peuvent également impacter le revenu disponible de lexploitant. Le dernier article retranscrit le témoignage du GAEC Le Palaineau, situé en Vendée et qui est en bio depuis 2010. Il utilise une bineuse avec guidage par caméra pour gérer les adventices de ses cultures de printemps, implantées en terres superficielles.
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Bovins allaitants : Quel sera l'impact sur mon système si je passe en bio ?
Mathilde SCHRYVE, Auteur ; Christèle PINEAU, Auteur ; Baptiste CORNETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | BOURG LES VALENCE Cedex (Chambre d'Agriculture de la Drôme, 145 Avenue Georges Brassens - CS 30418, 26 504, FRANCE) : TECH&BIO | 2020Présenté lors du Rendez-vous Tech&Bio Élevage, qui s'est tenu les 9 et 10 septembre 2020 en Bourgogne-Franche-Comté, ce diaporama s'appuie sur des références technico-économiques issues de plusieurs sources - dont le suivi de plusieurs fermes réalisé dans le cadre du projet BioRéférences, piloté par le Pôle Bio Massif Central. Il a pour but d'apporter des réponses aux questions que des éleveurs de bovins viande peuvent se poser dans le cadre d'une conversion à l'agriculture biologique : - Est-ce qu'on gagne mieux sa vie en bio qu'en conventionnel ? ; - En Bourgogne-Franche-Comté, quelles sont les différences entre les élevages allaitants bio et les autres ? ; - Qu'est-ce qui peut limiter les résultats de mon exploitation ? ; - Pourquoi les élevages allaitants régionaux ont-ils de meilleurs revenus en AB ? ; - Est-ce que ma situation financière sera plus saine si je passe en bio ? ; - Comment se situerait ma productivité du travail à l'ha par rapport à un système conventionnel ? ; - Quels sont les leviers que je peux activer pour améliorer mon revenu ? ; - ainsi que diverses questions sur les aspects liés au matériel agricole et à la mécanisation.
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Dossier : L'autonomie technologique pour l'agriculture paysanne
Michèle ROUX, Auteur ; Sophie CHAPELLE, Auteur ; Patrick BOUGEARD, AuteurDans le contexte de crise sanitaire et de constat de notre dépendance technologique, ce dossier traite du rapport des paysan.ne.s à la technologie et à la mécanisation de lagriculture, avec lendettement et la perte dautonomie décisionnelle qui en ont découlé. LAtelier Paysan, coopérative dautoconstruction doutils agricoles, est notamment présenté, ainsi que le témoignage de Gérard Grandin, éleveur laitier bio dans lOrne. Ce dernier a fait le choix de produire à lherbe en dépensant le moins dargent et de temps possible. Côté matériel, il prône le lowtech, cest-à-dire « les bases technologiques ».
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Biodynamis Hors-série n° 22 : Préserver le vivant
Laurent DREYFUS, Auteur ; Jens-Otto ANDERSEN, Auteur ; Wolfgang SCHAD, Auteur ; ET AL., AuteurA tous les niveaux de notre existence, le vivant semble en danger, et nous sommes tous concernés par sa préservation. Une réflexion sur la nature du vivant et les lois qui le régissent pose le cadre. Ensuite, une sélection de sujets, dans des domaines variés du quotidien, illustre l'urgence de raisonner la part et le pouvoir que nous laissons à la technique dans nos vies, au détriment du vivant Au sommaire : - La vitalité, renaissance dun concept ancien ; Extrait du livre "Vitality" de Jens-Otto Andersen, chercheur danois, qui propose des définitions de la notion de vitalité ; - Et si la vie avait besoin de la mort : Un aspect du darwinisme ; Bien comprendre la mort pour comprendre la vie, tel est le propos de l'auteur ; - Lindividualisation de la nature à travers lhomme ; Johannes Wirz, biologiste au centre Goetheanum, décrit la relation particulière que l'homme en tant qu'espèce entretient avec la nature. Selon lui, cette relation comporte intrinsèquement une dimension de responsabilité de l'homme vis-à-vis de la nature ; - Identifier les forces de vie ; Maryna Bogdanok propose un tour d'horizon des méthodes qui permettent d'appréhender et de visualiser les forces de vie (cristallisation sensible, méthode de Dorian Schmidt...) ; - Le vivant et la technique ; Comment équilibrer contact avec le vivant et technicité de plus en plus envahissante dans notre environnement ? ; - Du changement climatique à la rupture climatique ; Quels sont les actions et les gestes en notre pouvoir pour agir à notre niveau contre le changement climatique ? ; - Limportance de leau pour la vie ; Manfred Schleyer, chercheur à l'Institut allemand sur les fluides, explique l'importance et la fragilité de l'eau en tant qu'organisme vivant ; - Effets du béton industriel sur le corps humain ; - Préserver la vie des substances thérapeutiques au laboratoire Wala ; - Essais sur les sources de chaleur ; - Recherche sur les concombres et sur les jus de pomme ; - Mécaniser pour soulager lêtre humain ; Grégory Fachon, maraîcher biodynamique en Bretagne, décrit comment et pourquoi il a mécanisé sa ferme.
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Réseaux délevage : Résultats annuels Campagne 2017 : Cas-type : ROQ09- Spé. Lévézou AB
Ce cas-type présente les résultats technico-économiques (campagne 2017) dune exploitation spécialisée en ovins lait et conduite en agriculture biologique. Cette exploitation est située dans la zone Roquefort, plus précisément dans le Lévézou (Aveyron). Ce document présente d'abord les résultats économiques (généraux) de la ferme ; puis, il détaille les coûts de production de latelier ovins lait. Globalement, ce système se caractérise par de fortes charges de mécanisation (362 / 1000 L de lait). Ces résultats peuvent être comparés avec ceux obtenus lannée précédente (campagne 2016), puisque cette ferme avait déjà fait lobjet dun suivi technico-économique, notamment dans le cadre du projet BioRéférences.