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Acquérir des références sur les systèmes d'élevage transhumant des Hautes Pyrénées
Michael MARTINEZ, Auteur ; Annie CIPIÈRE, Auteur ; Nicolas JAUBERT, Auteur ; ET AL., AuteurL'élevage transhumant pyrénéen voit diminuer son nombre d'exploitations alors que la demande des consommateurs en produits de qualité est en augmentation. De plus, il y a un besoin fort d'entretenir les zones d'estive, mais aussi les zones intermédiaires (ZI) constituées de parcours communaux d'automne et de printemps et d'anciens prés fauchés, zones où l'embroussaillement augmente. Dans un tel contexte, des actions ont été lancées afin, notamment, de fournir aux agriculteurs des éléments techniques, des références pour les aider à développer les systèmes de transhumance les plus performants, revalorisant au mieux les ressources. Pour cela, un travail de suivi de deux fermes en bovins viande et de trois en ovins viande a été engagé. L'article présente les principaux résultats du volet « suivi zootechnique » de ce travail, basé sur des pesées à des moments clés des animaux. Ce travail montre, en particulier, la plus value que peuvent apporter les ZI dans un système transhumant. En bovins viande, ces zones peuvent permettre une bonne reprise de l'état corporel des vaches ou être un atout pour optimiser la reproduction, clé essentielle pour ce type d'élevage. Elles peuvent aussi servir de site pour l'apprentissage de l'estive pour les jeunes animaux. En ovins viande, les ZI sont essentielles pour la reprise de l'état des brebis en sortie de bergerie, mais demandent une certaine vigilance au niveau sanitaire. Ces zones peuvent aussi être une alternative à l'estive des agnelles de renouvellement.
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Des agneaux 100 % à l'herbe avec le pâturage tournant
Marie-Astrid BATUT, AuteurEn Charente, Jean-Marie et Bénédicte Renard élèvent et engraissent des agneaux exclusivement grâce à l'herbe de leurs prairies, sans aucun concentré, et avec une autonomie fourragère totale (sauf en cas d'aléa climatique fort). Pour ce faire, un système de pâturage tournant a été mis en place : les sept à huit lots de brebis + agneaux changent de parcelle tous les jours, ce qui stimule l'appétit des animaux. Après le sevrage, entre trois mois et demi et cinq mois, le même principe est respecté, avec des changements de parcelle toutes les 24 à 48 h pour les agneaux. Environ dix hectares de nouvelles prairies, à base de légumineuses, sont implantés tous les ans. Côté valorisation, ces agneaux 100 % herbe ne sont à ce jour pas mieux payés que des agneaux produits de manière plus "classique", au grand regret du couple d'éleveurs.
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L'agriculture bio en Rhône-Alpes - Edition 2013 - Repères 2012 : Les chiffres de la production, transformation et distribution
L'agriculture biologique en Rhône-Alpes en 2012, ce sont : 2 864 exploitations agricoles bio (7,3 % des exploitations régionales), la région est d'ailleurs la 1ère région française en nombre d'exploitations bio ; ce sont aussi 96 075 ha en bio et en conversion (6,2 % de la SAU régionale) ; ce sont encore 1 149 préparateurs bio (12 % des préparateurs bio nationaux), la région est la 1ère en nombre de préparateurs bio, et 539 distributeurs bio (12 % des distributeurs bio nationaux)... Cette publication de Corabio et de Bioconvergence présente les chiffres de l'agriculture bio en Rhône-Alpes au niveau de la production, de la transformation, de la consommation, de la distribution. Elle fait aussi un point sur les productions végétales (légumes frais ; fruits ; vin ; plantes aromatiques et médicinales ; grandes cultures : céréales et oléo-protéagineux) et les productions animales (bovins : valorisation de la viande ; lait et produits laitiers ; caprins et ovins lait ; porcs ; ovins viande ; poulets de chair ; ufs ; apiculture).
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Lagriculture biologique en Normandie
Ce document récapitule les chiffres-clés de la bio en Normandie. Il se base sur les chiffres recueillis en 2018 par lObservatoire National de lAgriculture Biologique (Agence BIO), et offre également des tendances pour lannée 2019 (ex : tendances de conversion) à travers des analyses plus qualitatives menées par Bio en Normandie et la Chambre régionale dagriculture de Normandie. Après avoir contextualisé lévolution générale de la bio en France et dans cette région, des données détaillées sont apportées pour chaque filière normande : lait (bovin, ovin, caprin), viande (bovin, ovin, porcin, volaille de chair), poules pondeuses, apiculture, produits de la mer, fourrages, grandes cultures, cultures industrielles, légumes frais, fruits, PPAM et autres filières végétales (safran, cultures florales ). Pour chacune dentre elles, le nombre de fermes, la production, le cheptel, les surfaces, la transformation et les circuits de commercialisation sont évoqués. Des données sont également présentées, relatives aux préparateurs (entreprises réalisant des opérations de transformation, de conservation ou de conditionnement de produits), à la restauration, aux distributeurs, aux importateurs et aux exportateurs de produits bio (en France et en Normandie). La consommation de produits alimentaires biologiques est également abordée.
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L'agriculture biologique s'engage pour changer le climat : Tour de France des innovations systémiques des paysans et paysannes bio : Enquêtes 2017
Didier JAMMES, Auteur ; Alice FERMENT, Auteur ; William BEDUCHAUD, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2019Ce recueil sinscrit dans la continuité du "Recueil de pratiques favorables au climat, tour de France de paysans bio engagés", édité suite aux enquêtes de 2016. Sur la base de nouvelles enquêtes, réalisées en 2017, ce nouveau recueil met en lumière 14 pratiques favorables au climat, mises en uvre et testées par des agriculteurs bio, en élevage bovin lait, en grandes cultures céréalières, en viticulture, en arboriculture/volailles, en maraîchage, en élevage ovin viande. Les pratiques sont évaluées sur leur plus-value climatique afin didentifier celles qui sont réellement bénéfiques et afin de favoriser leur diffusion.
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L'agriculture biologique : Ses acteurs, ses produits, ses territoires : Edition 2012
Olivier DEVILLERS, Auteur ; Dorian FLÉCHET, Auteur ; Sarah LE DOUARIN, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL-SOUS-BOIS (6 Rue Lavoisier, 93 100, FRANCE) : AGENCE BIO (Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique) | 2012
L'édition 2012 de la publication annuelle de l'Agence Bio, "L'agriculture biologique : Chiffres clés", est parue. Ces chiffres clés offrent un panorama complet de l'agriculture biologique française, avec au sommaire : - L'agriculture biologique : un environnement préservé ; - L'agriculture biologique dans le monde ; - L'agriculture biologique dans l'Union européenne ; - La bio en France, de la production à la consommation (L'agriculture bio en France ; La transformation et la distribution ; L'importation ; La consommation ; Les produits bio en restauration collective ; La structuration des filières bio, des engagements sur tout le territoire) ; - Focus sur les filières bio végétales en France (Les grandes cultures ; Le secteur des fruits et légumes ; La filière viticole ; Le secteur des plantes à parfum, aromatiques et médicinales) ; - Focus sur les filières bio animales en France (Les filières laitières ; Le secteur des viandes bovine, ovine et porcine ; Les filières avicoles ; L'apiculture ; L'aquaculture) ; - L'agriculture biologique dans les régions (Fiches régionales) ; - Autres informations (Aides publiques : repères ; Qu'est-ce que l'Agence Bio ?). Ces données sont également téléchargeables sur le site de l'Agence Bio, à l'adresse suivante : http://www.agencebio.org/pageEdito.asp?IDPAGE=196. Fin 2011, la France comptait 23 135 exploitations agricoles engagées en bio, soit 4,5% des exploitations françaises, avec une augmentation de 12,3% en un an. Elles couvraient 975 141 ha conduits en agriculture biologique, dont 699 300 ha certifiés biologiques et 275 841 ha en conversion (soit 28% du total). Après une année 2010 record, les surfaces bio ont continué de progresser en France avec 130 000 ha supplémentaires en 2011 (soit +15,3%). Elles représentaient, fin 2011, plus de 3,5% de la SAU nationale, contre 3,1% en 2010.
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Agriculture biologique : Une situation contrastée
Le développement de l'agriculture biologique, dans le département de l'Aveyron, est très différent selon les filières. On compte près de 180 exploitations en agriculture biologique (certification et conversion). Ce sont les productions de lait de brebis et de viande bovine qui se taillent la plus grosse part avec 75% des exploitations. D'autres filières comme l'apiculture, le maraîchage, les fruits rouges, les plantes médicinales, le lait de chèvre et la production de porcs sont présentes mais avec peu d'unités.
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Alimentation : Limiter les concentrés pour les agneaux d'herbe
La forte augmentation du prix des concentrés impose de revoir les stratégies d'alimentation. La finition des agneaux à l'herbe est l'une des solutions pour diminuer les charges d'alimentation. La limitation des concentrés consommés par les agneaux dépend de la quantité de lait consommé et du poids au sevrage. La croissance des agneaux sous la mère doit être élevée. Elle dépend de la quantité et de la qualité d'herbe pâturée par les mères. La complémentation des agneaux à l'herbe n'est pas indispensable s'ils disposent de suffisamment de lait. Les lactations d'automne à l'herbe permettent d'économiser 50kg de concentré par couple mère agneau par rapport à une conduite en bergerie.
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Alimentation des ovins : rations moyennes et niveaux d'autonomie alimentaire
Carole JOUSSEINS, Auteur ; Edmond TCHAKERIAN, Auteur ; Catherine DE BOISSIEU, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS Cedex 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2014
Cette étude nationale synthétise les aspects qualitatifs et quantitatifs des rations pour les ovins laitiers et allaitants en France. Ils sont distingués selon les zones géographiques et les types d'aliments consommés. Il en ressort que l'herbe conserve une place importante dans l'ensemble des rations et que les élevages ovins ont une importante autonomie alimentaire puisqu'ils produisent environ 88 % de leur alimentation sur l'exploitation. Différentes catégories d'autonomie alimentaire sont analysées : massique, énergétique, protéique. Les exploitations pastorales du Massif Central sont les plus autonomes de l'échantillon national, malgré la forte variabilité des résultats.
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Alimenter ses agneaux sans lait maternel
Fabrice VASSORT, AuteurEn élevage ovin, il nest pas rare que des agneaux ne soient pas allaités par leur mère (agneaux surnuméraires, manque de lait maternel, mort de la brebis ). En élevage biologique, la réglementation impose un « lait entier ou non, sans additif, liquide ou en poudre, et biologique » sous peine de déclassement. Il existe plusieurs solutions pour arriver à alimenter ces agneaux. Lune consiste à utiliser du lait de vache bio déshydraté. Toutefois, son prix important rend très souvent la production déficitaire (environ 100 pour un agneau de boucherie). Dans les élevages mixtes ou voisins délevages laitiers bio, du lait cru directement issu de la traite de vaches laitières peut être utilisé (il faut cependant faire attention aux risques sanitaires si le lait provient dun élevage extérieur). Bien que chronophage, cette technique permet de valoriser correctement des agneaux de boucherie abattus avant six mois. Enfin, les organismes certificateurs peuvent accepter le déclassement dun certain nombre dagneaux. Mais les contraintes sont nombreuses : le lot doit être séparé des lots dagneaux bio, lidentification à laide de tip tag doit être spécifique et le déclassement doit être enregistré dans le cahier délevage. De plus, lobligation de sortie en extérieur sapplique aussi aux animaux déclassés.
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Les AMAP pour améliorer son revenu
Jean-François RIVIERE, AuteurMonique Brun, installée à Couteuges, en Haute-Loire, élève des brebis Noires du Velay. En 1992, son troupeau comptait 900 brebis. Elle se réinstalle seule, en 2000, après un divorce. Monique s'est lancée dans l'agriculture biologique en profitant des premiers CTE (Contrats territoriaux d'exploitation) reconversion bio. Les animaux (230 brebis et 4 béliers) passent la majorité du temps dehors, sur un domaine d'un seul tenant constitué, essentiellement, de 40 hectares de prairies. Au départ, Monique a choisi de vendre ses agneaux à une coopérative locale. Cependant, en 2006, encouragée par des collègues éleveurs bio de bovins et de porcs, Monique a rejoint l'Amap Absolu créée par des consommateurs de la ville de Brioude. Afin de disposer d'agneaux toute l'année, Monique organise une mise à la lutte par petits lots. Elle peut ainsi répondre à la demande de ses clients. Les agneaux destinés à la vente directe sont abattus à l'âge minimal de 4 mois. Puis ils sont découpés et conditionnés dans des cartons d'une demi-carcasse par l'abattoir de Brioude. Par comparaison, le prix de vente à Biovie (entreprise locale spécialisée en bio) est de de 6,20 /kg, alors que le prix de vente par l'intermédiaire de l'Amap est de 12,50 /kg. Le produit vente d'agneaux est de 19 435 dont 4 718 (30-40 agneaux, en 2009) par la vente en Amap.
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Analyse du fonctionnement et des performances des systèmes d'élevage agrobiologiques du Massif Central : Filière Ovins Viande, résultats de la campagne 2008
Le Pôle Agriculture Biologique Massif Central coordonne un important programme sur la durabilité et le fonctionnement technicoéconomique des systèmes d'élevage biologiques du Massif Central. Ce document présente les résultats de la campagne 2008 pour la filière Ovins Viande. Ces résultats montrent une convergence de revenu entre les 11 exploitations en agriculture biologique (AB) suivies et un groupe de 21 exploitations conventionnelles du Massif Central. La construction du revenu est néanmoins différente, avec une plus large diversification en AB. Les résultats de l'atelier ovin sont inférieurs en AB en terme de marge brute par brebis : malgré une consommation de concentrés inférieure aux conventionnels, le coût de l'alimentation est très élevé, et la plus-value perçue sur les agneaux en AB n'est pas suffisante, même si la plupart des agneaux sont vendus sous le label AB avec un poids légèrement supérieur aux agneaux des fermes conventionnelles. Ainsi, la forte autonomie alimentaire des fermes en AB semble avoir peu d'impact sur la marge par brebis. Cependant, avec une approche plus globale, elle est très favorable (marge brute alimentaire par UGB supérieure de 7 % par rapport aux fermes conventionnelles). Même si l'autonomie fourragère est supérieure aux fermes conventionnelles, la consommation de concentrés reste élevée. Ce point reste déterminant à travailler.
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Analyse du fonctionnement et des performances des systèmes d'élevage agrobiologiques du Massif Central : Filière Ovins Viande : Résultats de la campagne 2009 : Edition 2011
Le Pôle Agriculture Biologique Massif Central (Pôle bio) et une quinzaine de partenaires conduisent, depuis 2008, un important programme sur la durabilité et le fonctionnement technico-économique des systèmes d'élevage biologiques dans le Massif Central. Dans le cadre de ce projet, onze élevages en ovin viande sont suivis. Les données technico-économiques de 2009, présentées dans ce document, comparent les 7 exploitations privées du groupe (les autres étant des exploitations de lycées ou de domaines expérimentaux) à un groupe de 29 exploitations ovines conventionnelles. L'année 2009 est en nette progression pour le groupe des éleveurs en bio, avec une confirmation des résultats techniques de 2008 : une productivité du troupeau un peu en deçà des conventionnels (116 contre 124), mais un niveau de consommation de concentrés nettement inférieur, traduction d'une meilleure utilisation des fourrages (autonomie fourragère de 78,2% en bio contre 72,4% en conventionnel et autonomie alimentaire de 87% en bio). La valorisation des agneaux en bio s'est encore améliorée, avec 97% d'agneaux vendus dans la filière bio. La marge brute par brebis a fortement progressé de 2008 à 2009 (44/brebis à 63/brebis) et atteint celle des conventionnels. La progression en parallèle des résultats économiques des ateliers de diversification et la bonne maîtrise des charges de structure permettent d'afficher un revenu en forte progression (+42%) et de bon niveau (19 330) en comparaison aux années précédentes et aux conventionnels (+33% en bio).
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Analyse du fonctionnement et des performances des systèmes d'élevage agrobiologiques du Massif Central : Filière Ovins Viande : Résultats pluriannuels (campagnes 2008 à 2011)
Marc BENOIT, Auteur ; Gabriel LAIGNEL, Auteur ; Myriam VALLAS, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : PÔLE AB MASSIF CENTRAL | 2013Le Pôle Agriculture Biologique Massif Central (Pôle ABMC) et une quinzaine de partenaires ont conduit, de 2008 à 2013, un important programme sur la durabilité et le fonctionnement technico-économique des systèmes d'élevage biologiques dans le Massif Central (projet « Systèmes »). Dans le cadre de ce projet, 10 élevages ovins viande bio ont été suivis. Ce document présente les principaux indicateurs structurels et résultats technico-économiques de cet échantillon pour les campagnes de 2008 à 2011 : taille des exploitations, productivité du travail, reproduction, production, alimentation, charges et produits, marge brute, revenu disponible Globalement, les résultats techniques des exploitations ovines allaitantes de l'échantillon ont progressé sur la période étudiée, et ce malgré les conditions climatiques difficiles de 2011 (sécheresse entraînant une augmentation des achats de fourrages et de l'utilisation de concentrés, une augmentation de la part des agneaux vendus non-engraissés ). Le produit brut d'exploitation augmente (+17,4 %) grâce à de meilleurs résultats techniques, à une amélioration du prix de vente et à l'évolution des aides.
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Analyse du fonctionnement et des performances des systèmes d'élevage agrobiologiques du Massif Central : Résultats de la campagne 2008
Julien BELVEZE, Auteur ; Patrick VEYSSET, Auteur ; Jean Luc REUILLON, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : PÔLE AB MASSIF CENTRAL | 2010Le Pôle Agriculture Biologique du Massif Central coordonne un important programme sur la durabilité et le fonctionnement technicoéconomique des systèmes d'élevage biologiques du Massif Central. Ce travail pluriannuel (2008 - 2013) se base sur le suivi d'un réseau de 62 fermes, dont la conversion date d'au moins 5 ans (sauf une en cours de conversion). L'objectif est de mettre à jour et de consolider les références technico-économiques des productions bovines et ovines bio (lait et viande). Réalisée avec le soutien financier du Conseil Régional d'Auvergne et de la DATAR, cette étude résulte d'un partenariat entre 10 Chambres d'agriculture, l'INRA (Institut National de Recherche Agronomique), l'Institut de l'Elevage, l'AVEM (Association Vétérinaire Eleveurs du Millavois), le CETA (Centre d'Etudes Techniques Agricoles) Herbe au Lait, ABioDoc (le centre national de ressources en agriculture biologique) et VetAgro Sup (établissement d'enseignement supérieur et de recherche). Une analyse des résultats technico-économiques des exploitations suivies est diffusée pour chaque année du suivi. Ce document compile les synthèses des résultats des 4 filières étudiées (bovins et ovins, lait et viande) pour la campagne 2008, ainsi qu'une approche inter-filières de l'analyse des résultats. Chaque synthèse de résultats par filière fait aussi l'objet d'un document à part entière.