Thésaurus
Documents disponibles dans cette catégorie (1335)
Ajouter à la sélection Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
Bloc-outil et imagerie de précision pour le binage intra-rang précoce : BIPBIP, une solution de désherbage mécanique intra-rang et automatisé
Laure MICHAU, Auteur ; Florentin KACAR, Auteur ; Marine LOUARGANT, Auteur ; ET AL., AuteurLe projet BIPBIP a conçu un bloc-outil de désherbage mécanique automatisé qui travaille sur le rang. Ce bloc-outil sappuie sur un système dintelligence artificielle pour discerner les adventices des plants de cultures. Pour linstant, ce bloc-outil BIPBIP a été conçu et testé sur des cultures de maïs et de haricots. Les premiers essais sont prometteurs, avec une réduction de 71 % des adventices sur le rang et une conservation de 88 % des plants de cultures. Cet bloc-outil a été développé dans le cadre du challenge Rose (Robotique et capteur au service dEcophyto), un concours de robotique et dintelligence artificielle axé sur le désherbage intra-rang. Le consortium du projet BIPBIP est composé des laboratoires IMS et LABRI de lUniversité de Bordeaux, dElatec, des Fermes Larrère et du CTIFL.
Chanvre : Une faucheuse à double section pour optimiser la récolte
Céline ROLLAND, AuteurHabituellement semé à la mi-mai, le chanvre est une culture couvrante et nettoyante qui s'intègre bien aux rotations. Les débouchés sont nombreux, pour les graines comme pour les canes (paille). Le matériel de récolte choisi par le groupe AEP chanvre du GAB 56, la faucheuse à double section, présente les avantages d'être simple d'utilisation, robuste et pas trop cher (21 000 avec 2 jeux de lames et un banc d'affutage). D'autres machines, comme une moissonneuse modifiée, peuvent assurer la récolte des graines et l'andainage des tiges, mais entraînent un coût important, qu'il est nécessaire de réfléchir selon la valorisation finale du produit et les attentes des chanvrières. En effet, si la valorisation des graines peut assurer une bonne rentabilité de la culture, les charges liées aux différentes opérations nécessaires à la récolte de la paille (fauche, andainage, pressage, stockage...) ne sont pas couvertes par le prix payé au producteur (120-130/t). Certains producteurs préfèrent, d'ailleurs, laisser la paille au champ.
Le cheminement dune maraîchère de montagne
Marion HAAS, Auteur ; Stéphane COZON, AuteurLeslie Guyomard, maraîchère en biodynamie dans le canton de Bourdeaux (26), sest installée en montagne, en 2007, sur 5 ha . Avec Michaël Cardew, son compagnon, elle a créé, au fil des années, un maraîchage diversifié avec transformation sur 7 000 m², dont 750 m² de serres froides, entourés de prairies naturelles, de landes et de bois. Quelques animaux sont présents sur la ferme : deux ânes, utilisés pour le travail mais en demi-retraite depuis la mise en place dun maraîchage sur sol vivant ; une petite basse-cour qui protège aussi quelques colonies d'abeilles des frelons asiatique. Par ailleurs, des nichoirs et des abris à chauve-souris ont été installés dans les arbres et sur les bâtiments. Des caves semi-enterrées ont été construites pour la conservation des légumes et Leslie s'est dotée d'armoires de forçage pour les endives. Les légumes sont commercialisés en paniers à la ferme, dans un magasin de producteurs et en livraison à trois restaurants et à une épicerie. Les agriculteurs produisent une partie des semences utilisées sur la ferme, le reste provenant de semenciers bio ayant une gamme en biodynamie. Afin dalléger le travail physique, Leslie sest équipée dun dynamiseur mécanique pour réaliser les préparations biodynamiques.
Comment freiner l'envol des charges de mécanisation ?
David LAISNEY, AuteurLes investissements en matériel ne sont pas toujours bien raisonnés : voilà le résultat dune étude, menée par la Fédération des Cuma de Bourgogne-Franche-Comté et la Chambre dagriculture de lYonne, en 2021. Cette étude sest appuyée sur lObservatoire des charges de mécanisation de Bourgogne-Franche-Comté (Ocmeca BFC), qui effectue un suivi sur 19 exploitations en grandes cultures. Létude met notamment en avant une forte hausse du poste matériel et une dégradation nette du ratio defficacité. Globalement, les trois postes de charges « traction », « récolte » et « carburant » représentent quasiment les trois quarts du total des coûts de mécanisation des exploitations en grandes cultures, quel que soit le système (conventionnel ou biologique). LObservatoire atteste également que ce sont les exploitations bio, qui représentent 5 fermes sur les 19 suivies, qui affichent le meilleur ratio defficacité. Leurs charges de mécanisation sont parmi les plus élevées, mais elles ont un produit brut et des aides presque 50 % supérieurs à ceux des autres structures. Un tableau permet dailleurs de comparer les charges de mécanisation des différents systèmes suivis (bio, non labour, labour sur 20 à 40 % de la SAU, polyculture-élevage). En complément des résultats de cette étude, Richard Wylleman, conseiller en agro-équipements à la Chambre dagriculture de lYonne, alerte sur les investissements réalisés dans une logique de défiscalisation. Il explique en quoi investir pour ne pas payer dimpôts peut savérer dangereux.
Couverts végétaux en conditions difficiles : Semer malgré tout ?
Robin EUVRARD, AuteurLes bienfaits des couverts végétaux ne sont plus à démontrer, notamment en viticulture biologique. Toutefois, leur mise en place et leur destruction peuvent savérer délicates dans les vignes cultivées en conditions « extrêmes » (vignes peu mécanisables). Dans tous les cas, il est important dimplanter des espèces en fonction de lobjectif recherché : couvrir le sol pour assurer la portance et limiter lérosion ? Augmenter la fertilité des sols ? Augmenter la biodiversité des parcelles ? En conditions difficiles ou en sol souvent séchant, il est conseillé dimplanter des espèces à cycle court pour assurer une forte production de biomasse dès le mois de novembre et de réaliser le semis peu de temps après les vendanges afin de profiter des premières pluies. Il est également préférable daugmenter la densité de semis pour optimiser la couverture. Les semoirs adaptés aux conditions difficiles sont peu nombreux (semoir sur treuil, sur chenillettes ou sur enjambeur) et il nest pas rare que les vignerons les autoconstruisent, certaines fois aidés par lAtelier Paysan. Aujourd'hui, plusieurs solutions techniques sont néanmoins disponibles. Cet article est accompagné de trois encarts : lun est consacré aux vignes non mécanisables, un autre aux couverts permanents et le troisième aux techniques régénératives et aux enrobages.
" Cuma et délégation pour limiter mon parc matériel "
Michel PORTIER, AuteurEric Nuttinck est installé en bio depuis une quarantaine dannées, sur des terres caillouteuses très superficielles, au nord de la Côte-dOr. Son exploitation, dune SAU de 230 ha, comporte 155 ha de cultures (blé dhiver et de printemps, orge de printemps, lentille verte, moutarde, sarrasin et tournesol) et 75 ha de luzerne, de sainfoin et de prairies temporaires. Cet agriculteur a fait le choix de réduire son parc de matériels pour limiter ses charges de mécanisation. Il concentre maintenant ses investissements sur son seul tracteur et sur ses deux déchaumeurs. Il fait appel à la Cuma pour les autres outils et à une ETA (entreprise de travaux agricoles) pour le semis. La délégation des travaux à une ETA lui permet également déconomiser du temps de travail (avant, cet agriculteur faisait face à une problématique de main duvre avec la transformation et la vente directe de ses produits). Ce système (matériel en Cuma et travaux délégués à une ETA) lui permet aussi de disposer de matériel plus performant, notamment un semoir multitrémie capable de semer plusieurs graines ou de fertiliser au semis (lachat de ce dernier naurait pas été rentable pour la surface de son exploitation).
"La cuma, je ne ferai plus sans"
Matthieu FREULON, AuteurAprès des expériences dans d'autres milieux professionnels, Julien Crinquand a repris l'exploitation viticole familiale en 2019, dans le vignoble de l'Arbois, dans le Jura. Son installation s'est faite de concert avec une conversion à l'agriculture biologique et avec la création d'une cuverie sur l'exploitation. Julien est accompagné, depuis ses débuts, par la Cuma des Baudines. Celle-ci lui permet de gagner en temps et en sérénité grâce à la mise à disposition de matériels récents et performants, à la non-facturation des parts sociales lors de la première année d'activité, mais aussi grâce aux échanges entre adhérents.
Destruction mécanique des couverts végétaux et désherbage mécanique précoce des cultures dhiver
Ce bulletin technique aborde deux thématiques : le désherbage mécanique précoce des cultures dhiver, et la destruction mécanique des couverts végétaux au printemps. Le désherbage mécanique précoce seffectue à laveugle, cest-à-dire entre le semis et la levée de la culture. Il peut être réalisé par un passage de herse étrille, de roto-étrille ou de houe rotative. Déjà pratiqué par les agriculteurs sur des cultures de printemps, il peut aussi être réalisé sur des céréales à paille semées à lautomne, si les conditions pédoclimatiques le permettent. Il sera efficace sur des adventices au stade fil blanc, et le sera peu sur des adventices aux stades 1 feuille et 2 feuilles. Des encarts listent les conditions de réussite dun désherbage mécanique précoce sur une culture dhiver, ainsi que les causes dinefficacité. Les réglages du matériel de désherbage mécanique sont également évoqués. Concernant les couverts végétaux, une fois leur développement réussi, il faudra les détruire pour laisser la place à la culture de printemps. La destruction dun couvert est une étape cruciale puisquelle va conditionner la réussite de la culture suivante. Des focus sont réalisés sur deux outils adaptés pour cette opération de destruction : la fraise rotative et la désherbeuse à disques Orbis. Ces focus apportent des informations sur leurs conditions dutilisation et renvoient vers des vidéos permettant de les visualiser en fonctionnement.
"Des disques pour biner au plus près de la culture"
Michel PORTIER, AuteurInstallés dans le Gers, Olivier et Benjamin Batiot binent, chaque année, de 200 à 250 hectares de tournesol bio : une partie sur leurs exploitations respectives et une autre partie en prestation sur d'autres fermes. Pour ce faire, les deux frères ont investi dans une bineuse équipée de disques trancheurs. Cela leur permet de travailler le sol au plus près de la culture et de gagner en précision sur leurs terres vallonnées. Le guidage par caméra de cet outil est un plus important, même s'il reste à améliorer.
Dossier : Désherbage mécanique : Des outils et stratégies multiples
Jean-Martial POUPEAU, Auteur ; Marion COISNE, AuteurEn cultures bio, la gestion des adventices est un point crucial pour la qualité et les rendements. De nombreux outils existent pour faciliter les travaux de désherbage mécanique pour les agriculteurs, et ainsi leur permettre de gagner en efficacité, en confort et en vitesse de travail. Dans le premier article de ce dossier, Séverine Bourrin, de la FR Cuma de l'Ouest, et Christopher Brachet, de la FD Cuma du Morbihan, font le point sur l'investissement collectif en matériel de désherbage mécanique, sur ses avantages et ses limites, et sur les dernières innovations en matière de matériels mais aussi d'organisation des chantiers. La principale limite en Cuma reste la disponibilité des outils lors des fenêtres météo favorables aux interventions. Depuis 2014, le PCAE (Plan de compétitivité et d'adaptation des exploitations agricoles) peut être mobilisé par les agriculteurs ou les groupements pour obtenir une subvention d'investissement. Dans la suite de ce dossier, plusieurs agriculteurs témoignent et partagent leurs pratiques : Xavier Morineau, dans le Loir-et-Cher, a trois bineuses adaptées à ses différentes cultures ; Joël Auger, en Eure-et-Loir, sème et bine en triple-rangs jumelés et utilise le guidage par GPS et caméra ; l'EARL La Belle Épine, en Seine-et-Marne, utilise le guidage par caméra ; Grégory Moreau, dans l'Yonne, utilise un outil autoguidé mécaniquement ; le Gaec des Vallées, en Loire-Atlantique, délègue une partie des travaux de désherbage mécanique. Autres témoignages dans la Marne : la famille Lambin et Damien Blondel sont parmi les premiers utilisateurs français du robot semeur et bineur FarmDroid FD20, guidé par GPS-RTK, de la société Stecomat. Du côté des légumes et des plantes aromatiques et médicinales, l'une des dernières innovations, venue de chez Kult, est le guidage par caméra colorimétrique, qui permet de reconnaître les lignes de semis ou de plantation. Enfin, depuis août 2022, la société Binnove commercialise des bineuses prévues pour passer en toutes conditions.
Dossier machinisme : Ces matériels atypiques pleins de promesses
Pierre-Joseph DELORME, AuteurIl existe une large gamme doutils pour travailler le sol de manière superficielle. Ces matériels, plus ou moins récents, peuvent être utilisés pour répondre à différents objectifs : travailler plus vite avec moins de puissance et moins de consommation de carburant, conserver un sol vivant tout en maîtrisant le développement des adventices, supprimer le labour et lutter contre lérosion tout en évitant le tassement du sol Ces matériels, généralement classés dans la catégorie des « outils alternatifs », sont souvent très spécialisés. Avant dinvestir, il est donc important de bien définir ses objectifs et les conditions dans lesquelles les matériels pourront être utilisés. Ce dossier est composé de deux articles. Dans le premier article, Julien Hérault, conseiller machinisme indépendant, fournit des exemples montrant quil est important de bien définir des objectifs précis avant de se lancer avec ce type doutils, et de réfléchir aux effets quaura loutil pour atteindre les objectifs. Le second article donne des caractéristiques techniques sur certains de ces outils alternatifs, en mettant en avant leurs atouts et leurs limites, tout en sappuyant sur des témoignages dagriculteurs. Il apporte notamment des informations sur le Busa (outil destiné à remplacer les disques et la herse plate), le Dyna Drive (un cultivateur rotatif auto-animé et muni de deux rotors, destiné à remplacer un cover crop), les fraises rotatives équipées de lames courbes (pour un effet broyeur sur les couverts végétaux), le Kvick Finn (un « extirpateur » pour gérer les adventices vivaces).
Dossier : Maraîchage écologique : Réduire au maximum son impact environnemental
Marion COISNE, AuteurLa filière maraîchage bio se mobilise pour réduire son empreinte écologique, au-delà de la certification. Réduction des plastiques et du bilan carbone, biodiversité favorisée, moindre consommation d'eau, construction de serres bioclimatiques... Tour d'horizon des leviers travaillés dans des essais et chez les maraîchers. Ce dossier inclut les articles suivants : - C. Mazollier du Grab et G. Maréchal de la Frab Bretagne : "Les tensions croissantes engendrent une envie d'aller plus vite" ; - Microferme, tunnels ou plein champ : Les fermes bio ont des impacts différents ; - Limiter les plastiques jetables : Quels paillages alternatifs choisir ? ; - De l'eau au compte-goutte : Optimiser son irrigation ; - En travaillant sur le pilotage de l'irrigation et le sol : "Je vise 30 % d'eau économisée" ; - Chauffer sans énergie : Les serres bioclimatiques pour gagner en précocité ; - Une serre bioclimatique autoconstruite : Gagner en autonomie pour les plants.
Dossier : Optimiser les charges de mécanisation
Cyrielle DELISLE, Auteur ; François D'ALTEROCHE, AuteurDans un contexte de prix croissants de lénergie et des intrants, maîtriser les charges de mécanisation est plus que jamais un point-clé de la performance dune exploitation en bovins viande. Or, ces charges augmentent de façon continue : + 20 % à lhectare en euros constants entre 1988 et 2018. De plus, il ny a pas déconomie déchelle avec lagrandissement des fermes : ces charges sont plus élevées dans les exploitations les plus importantes. Elles augmentent même avec la taille du troupeau, tout comme les charges fixes à lhectare de SAU, alors que le produit à lhectare évolue peu. Il est donc essentiel de bien raisonner ses besoins en matériel et de définir une vraie stratégie en la matière. Divers leviers déconomies sont possibles, à raisonner selon lexploitation : partager le matériel ou déléguer les travaux ; bien organiser ses chantiers ou encore favoriser la réalisation collective de ces derniers ; adapter la puissance de ses tracteurs ; privilégier le pâturage Ainsi, Thomas Lemée, éleveur bio dans la Nièvre, possédant 70 mères Charolaises sur 140 hectares, a fait le choix davoir le moins possible de matériel en propriété et de le faire durer. Il a recours aux services dune Cuma et, pour les foins et lenrubannage, il travaille avec deux autres agriculteurs, pour récolter ensemble 300 hectares. Autre exemple : Stéphanie Mocques-Goure, éleveuse de 70 Rouges des prés, dans le Maine-et-Loire, elle aussi en bio, « sort ses piquets plutôt que son tracteur ». Elle conduit un système très pâturant et a recours à la location de matériel pour ses gros chantiers. Une étude, menée sur 70 élevages du Réseau France Conseil élevage Loire-Atlantique, Maine-et-Loire et Mayenne, montre dailleurs que les systèmes les plus pâturants ont les charges de mécanisation les moins élevées, avec des retombées positives sensibles sur le volet économique.
Dossier : Quels outils, pour quels paysans ?
Pascal PAVIE, Auteur ; Pascaline PAVARD, Auteur ; Daniel COUTAREL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré à l'évolution des machines et des outils agricoles. Étant actuellement dans la troisième révolution agricole (automatisation...), certains paysans souhaitent retrouver une autonomie et une créativité pour leurs outils. Les articles qui composent ce dossier traitent des sujets suivants : - le monde-machine et la dépendance du biotope humain à la technologie ; - le retour de la traction animale face à la motorisation ; - le bélier hydraulique, un outil pour remonter l'eau sans électricité ; - la machine et le paysan ; - L'Atelier Paysan : du lien aux machines à l'intérêt général ; Présentation d'outils de l'Atelier Paysan : colonne de tri densimétrique, épandeur maraîcher, four à pain.
Dossier : Récoltes dherbe : il est temps de faire ses choix pour réaliser son stock !
Aude COULOMBEL, AuteurQuel mode de stockage dherbe choisir entre le foin, lenrubannage et lensilage ? Quand les récolter et avec quel matériel ? À quel coût ? Toutes ces questions sont cruciales afin de bien passer la période hivernale. Une coupe manquée ou une qualité de fourrage médiocre peuvent impacter le système de production et coûter cher. Cet article apporte des informations pour obtenir des foins, des enrubannages et des ensilages de bonne qualité : pourcentage de matière sèche optimal, fenêtre météo à viser, conseils pour réaliser le chantier de récolte dans de bonnes conditions et pour maximiser les valeurs alimentaires du fourrage Un tableau fournit également des données chiffrées sur les coûts moyens liés à chaque méthode de conservation (foin, enrubannage et ensilage), afin de pouvoir les comparer. Il est accompagné dune méthodologie pour calculer soi-même les coûts liés à son fourrage, allant de son implantation à sa distribution aux animaux, en passant par la récolte et le stockage. Des conseils sont également donnés par rapport au matériel de fenaison à utiliser : faucheuse conditionneuse à rouleau versus faucheuse conditionneuse à fléau ; andaineur à tapis versus andaineur classique ; dispositif de hachage « rotocut »...