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Documents disponibles dans cette catégorie (137)


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Ils concilient agriculture biologique et non-labour
Christian GLORIA, AuteurCertains agriculteurs biologiques font le choix de se passer de labour. Exemples dans l'Yonne, avec les associés de l'EARL des Herbues, qui cultivent 270 ha et élèvent 500 moutons, et avec Vincent Lefèvre, qui cultive 215 ha sans élevage. Les premiers ont totalement exclu le labour de leurs pratiques culturales, et ce, afin de préserver les qualités biologiques du sol, mais aussi de limiter les coûts de mécanisation. Le second est installé sur des terres à silex peu propices au travail du sol. Il s'autorise néanmoins à passer la charrue si cela s'avère vraiment nécessaire. Tous jouent sur les assolements, et notamment sur la mise en place de couverts végétaux en interculture, pour assurer une bonne gestion des adventices (espèces et variétés concurrentielles) et du sol (travail de la structure par les systèmes racinaires, apport de matière organique).
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Livre blanc : Quelle méthanisation soutenable pour le réseau des agriculteur.rice.s bio dIlle-et-Vilaine ?
Sonia FRETAY, Auteur ; Laura TOULET, Auteur ; AGROBIO 35, Auteur | CESSON-SÉVIGNÉ CEDEX (17 Rue du Bas Village, CS 37725, 35 577, FRANCE) : AGROBIO 35 | 2022La Commission Énergie et Climat dAgrobio 35 sest entourée de plusieurs experts afin de se positionner et détablir des propositions pour que les projets de méthanisation agricole soient soutenables et quils nentrainent pas de dérives. Après plus dun an de travail, une vidéo, une note de positionnement et un livre blanc présentent les réflexions et les conclusions de cette Commission. Le livre blanc commence par apporter des éléments permettant de mieux comprendre les enjeux liés à la méthanisation : historique, grands principes de fonctionnement, bilan environnemental et social (impacts climatiques, sur la qualité de lair, agronomiques ). Il effectue également un point sur le contexte en Ille-et-Vilaine en apportant des chiffres sur le développement de la filière méthanisation sur ce territoire, ainsi que des observations et des ressentis partagés par des acteurs de terrain. Ce livre blanc réalise ensuite un bilan sur les intérêts et les limites de la méthanisation, avant de présenter un « Cahier des charges de la méthanisation vertueuse pour le groupement des agriculteurs bio dIlle-et-Vilaine ».
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Intercultures et faune sauvage : compatibilité et synergie
SEMAE, AuteurLa mise en place d'intercultures présente de nombreux avantages : - agronomiques d'abord, avec des plantes qui seront en capacité de capter le reliquat azoté avant les pluies et les risques de lessivage en hiver, de participer à une bonne structuration du sol grâce à leurs systèmes racinaires variés, ou encore de libérer des composés nocifs pour des ravageurs comme les nématodes ; - environnementaux, un sol couvert étant moins soumis aux risques d'érosion par les pluies ou le vent ; mais aussi en lien avec la biodiversité. En effet, les plantes pouvant être implantées en interculture peuvent fournir gîte et couvert aux insectes, notamment pollinisateurs, mais aussi à la faune sauvage. Pour accompagner les agriculteurs dans le choix des espèces à implanter, SEMAE, l'interprofession des semences et plants, a développé un outil d'aide à la décision. A partir de cinq questions, une liste de plantes adaptées au contexte agronomique et cultural est proposée.
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Méthode MERCI : Actualisation des références et nouvelles fonctionnalités
Sébastien MINETTE, AuteurUne nouvelle version de la méthode MERCI (Méthode dEstimation des Restitutions par les Cultures Intermédiaires) est disponible depuis 2020. Cette méthode permet de connaître limpact agronomique des couverts végétaux et propose une estimation simple et rapide des quantités dazote, de phosphore, de potasse, de soufre et de magnésium restituées au sol. Elle permet ainsi : daméliorer la précision des quantités dazote restituées à la culture suivante, de mieux connaître la dynamique de restitution sur les 4-5 mois qui suivent la destruction du couvert, en prenant en compte linfluence des différents sols et climats français. Ces calculs sont possibles pour plus de 65 espèces végétales. La deuxième version de la méthode MERCI permet de prendre en compte de nouvelles techniques qui se sont développés à la suite de la première version : destruction tardive (avril), exportations sous forme de fourrages dérobés ou de CIVE (cultures intermédiaires à vocation énergétique), destruction précoce (interculture courte), etc. Elle est mise à disposition gratuitement sous la forme dune plateforme internet qui regroupe le module de calcul, des ressources bibliographiques et une foire aux questions. Pour illustrer cette méthode, la destruction dun couvert de phacélie à deux dates différentes est prise pour exemple.
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Portrait : Partenariat éleveur céréalier : quand lun mène son troupeau sur les terres de lautre
Danaé GIRARD, AuteurDans LES LETTRES AB - MAGAZINE DES PRODUCTEURS BIO DU GRAND EST (N° 46 Décembre 2021) / p. 10-11 (2)Rencontre avec Daniel Starck, céréalier bio, et Vincent Helbringer, éleveur bio, dans le nord de lAlsace, qui décident de mettre en place, en 2020, le pâturage des intercultures de Daniel par les moutons de Vincent. Dans cet article, ils partagent leur expérience et les enseignements quils en ont tirés.
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POSCIF (Pâturage Ovin en Système Céréalier en Ile-de-France) : 1 - Le pâturage des couverts dinterculture : une formule gagnante ; 2 - Pâturage des céréales : les premières références ; 3 - Des brebis en bonne santé sur les surfaces céréalières
Laurence SAGOT, Auteur ; Valentin VERRET, Auteur ; Sophie LAVIGNE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2021Le projet POSCIF (2018 2021) propose de repenser la place de lélevage ovin au sein de systèmes de cultures spécialisés en céréales en Ile-de-France. Lobjectif est de valoriser les biomasses pâturables disponibles en automne et en hiver (cultures ou couverts dinterculture), au sein dexploitations en polyculture-élevage ou dexploitations céréalières qui pourraient accueillir un troupeau itinérant. Ce programme de recherche expérimental et participatif a ainsi impliqué un réseau dagriculteurs afin : 1 - dexplorer les effets du pâturage sur les parcelles, les cultures, les troupeaux ; 2 - de quantifier les impacts technico-économiques, environnementaux et sociaux du pâturage de champs dédiés aux grandes cultures ; 3 - dévaluer la faisabilité/généralisation de ladoption du pâturage ovin en système céréalier à plus large échelle. Les résultats de ce projet ont été synthétisés en trois fiches techniques, qui portent sur : 1 leffet gagnant-gagnant du pâturage de couverts végétaux (avec des témoignages côté éleveurs et côté céréaliers) ; 2 les premières références techniques sur le pâturage de céréales dhiver (avec des données techniques côté ovins et côté cultures) ; 3 - le suivi des troupeaux en extérieur en hiver sur couverts végétaux et céréales (aspects liés à la santé et à la couverture des besoins alimentaires des ovins).
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Pourquoi et comment sursemer des luzernes au printemps dans les céréales ?
Samuel OHEIX, AuteurLes avantages des associations céréales-légumineuses, principalement liés à la fixation de l'azote atmosphérique par les légumineuses, ne sont plus à démontrer. Si la luzerne est généralement implantée entre deux cultures, elle peut aussi être sursemée dans une culture en place. Cette implantation en sursemis peut être réalisée au printemps ou à l'automne : cela dépendra des conditions météorologiques et agronomiques. Cet article présente cette pratique et ses principaux avantages.
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Renouveler ses prairies sans glyphosate avec du colza-RGI
Emeline BIGNON, AuteurLa succession de plusieurs prairies temporaires ne permet pas de conserver un bon taux de légumineuses : lazote libéré par le retournement de lancienne prairie favorise de développement des graminées (au détriment des légumineuses). Pour renouveler des prairies sans les sortir trop longtemps du circuit de pâturage (notamment les prairies situées à côté des bâtiments), la ferme expérimentale de Trévarez, située dans le Finistère, teste, depuis dix ans, lintroduction dune interculture fourragère entre deux prairies, en bio et en conventionnel. Cette interculture, un mélange de colza fourrager et de RGI, valorise lazote libéré par la vieille prairie, tout en offrant un fourrage de qualité. La prairie vieillissante est pâturée en début de saison, puis détruite avant dimplanter le mélange colza-RGI qui sera pâturé durant lautomne. En bio, la destruction de la prairie peut prendre du temps, avec deux ou trois passages doutils à dents ou à disques. Il est conseillé de profiter des effets dune période sèche pour éviter que lancienne prairie ne reparte et ne prenne le dessus sur linterculture. Le semis du mélange colza-RGI se fait ensuite à la volée, la première quinzaine de juillet, et il est suivi dun passage de rouleau. Le couvert est pâturé au fil durant lautomne. Il couvre le sol pendant lhiver et assure un pâturage précoce au printemps suivant. Linterculture est ensuite détruite pour implanter une nouvelle prairie.
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Stocker du carbone dans les sols français : Quel potentiel par rapport à l'objectif "4 pour 1000" ?
Charles RAZONGLES, AuteurEn 2019, dans le cadre défini par le GIEC pour atteindre la neutralité carbone mondiale à l'horizon 2050, INRAE a réalisé une étude sur le stockage de carbone dans les sols, visant notamment à identifier les pratiques agricoles les plus "stockantes". Après un point sur les connaissances scientifiques récentes sur le carbone et la matière organique du sol (connaissances qui ont grandement évolué et qui prennent désormais mieux en compte l'importance de la vie microbienne, les apports de matière organique souterraine ou encore la complémentarité entre macrofaune du sol et microorganismes), des pratiques permettant un supplément de stockage de carbone dans les sols sont présentées. Il s'agit du passage au semis direct, de la mise en place de cultures intermédiaires, de l'installation de prairies temporaires ou de l'allongement de leur durée dans les rotations, de l'agroforesterie intra-parcellaire, de la plantation de haies, de l'intensification modérée des prairies permanentes, de l'exploitation des prairies permanentes par pâturage plutôt que par fauche, de l'enherbement des vignobles et de l'utilisation de nouvelles sources organiques telles que les déchets alimentaires ou les déchets verts, compostés ou méthanisés.
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Agronomie et méthanisation
Philippe PRÉVOST, Auteur ; Marc BENOIT, Auteur ; Héloïse BOURREAU, Auteur ; ET AL., AuteurEn France, la méthanisation est en pleine expansion. Elle permet de recycler des coproduits et des déchets urbains, tout en réduisant la dépendance aux fertilisants dorigine fossile. Il existe néanmoins des controverses liées à la valorisation des digestats et à la modification (potentielle) des assolements et des systèmes de production à léchelle dun territoire. Ceci interroge sur le risque dévolution de cette pratique (qui a été développée pour valoriser des déchets agricoles et accompagner la transition agroécologique) vers une industrie où lagriculture ne serait plus que pourvoyeuse de matières premières. Afin de faire un point sur létat de développement de la filière et sur les données scientifiques disponibles concernant les impacts agronomiques de la méthanisation, lAssociation Française dAgronomie (Afa) a consacré un numéro de sa revue à ce sujet. Ce numéro contient notamment plusieurs retours dexpériences qui permettent davoir différents points de vue sur les évolutions en cours. Néanmoins, comme le sujet de la méthanisation est loin dêtre épuisé, il est nécessaire d'assurer une veille active. Celle-ci doit contribuer à éclairer le débat et à identifier les conditions de gouvernance, ainsi que les leviers techniques et organisationnels qui permettent dexploiter pleinement le développement de la méthanisation, tout en accompagnant la transition énergétique et agroécologique, et en prévenant les risques de dérive identifiés.
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Une diversification assumée
Pierre-Joseph DELORME, AuteurEn Haute-Loire, quatre GAEC ont créé ensemble la SARL Agri Briva Métha pour construire une unité de méthanisation, à Saint-Laurent-de-Chabreuges (investissement de 3,5 millions deuros). Les onze associés ont fait le choix de linjection directe. Le méthaniseur alimente ainsi la ville de Brioude : il couvre 10 % de la consommation de gaz de cette ville. De la première évocation du projet à la production de méthane, dix années se sont écoulées. Entre les aspects législatifs, le dimensionnement du projet, la partie administrative, le choix de lassurance et les recherches pour trouver les bons interlocuteurs, le projet a été assez complexe à mettre en uvre. Lobjectif des associés est de fonctionner en autonomie, sans intrants extérieurs. Le méthaniseur est actuellement alimenté par 10 900 t/an de matières organiques produites uniquement sur les quatre fermes, avec 60 % deffluents délevage et 40 % de Cultures Intermédiaires à Valorisation Énergétique (CIVE). Quotidiennement, lunité de méthanisation produit 79 m3/h de gaz, qui sont ensuite filtrés pour obtenir du méthane pur à 97 % (production de 675 450 Nm3/an).
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Méthanisation agricole : Quelles conditions de durabilité de la filière en France ?
Ce rapport présente les conclusions de travaux menés par WWF France, en partenariat avec GRDF. Durant un an, ces deux acteurs ont organisé un cycle dateliers afin de questionner des instituts de recherche, des acteurs institutionnels, des représentants du monde agricole, des représentants de la filière biométhane et des associations sur les conditions de durabilité du développement de la méthanisation agricole en France. Ces ateliers ont été loccasion déchanger sur les bonnes pratiques permettant de garantir linnocuité environnementale de la méthanisation. Ils ont également permis de réfléchir aux moyens nécessaires pour déployer et généraliser ces pratiques. Ces travaux ont fait ressortir trois conditions pour que la méthanisation puisse être durable : 1 Favoriser la mise en uvre de pratiques agroécologiques à léchelle de la parcelle et de lexploitation ; 2 Intégrer la méthanisation au contexte territorial ; 3 Contribuer (via la méthanisation) à la résolution des défis sociétaux globaux. Les participants à la réflexion ont aussi décrit les conditions de durabilité de deux enjeux majeurs de cette filière : la gestion des Cultures Intermédiaires à Vocation Énergétique (CIVE), qui sont identifiées comme lune des principales sources dapprovisionnement des méthaniseurs ; et le retour au sol des digestats, dont la qualité agronomique reste à approfondir.
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Laffouragement en vert en élevage caprin
Jérémie JOST, Auteur ; Nicole BOSSIS, Auteur ; Leïla LE CARO, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Eleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2019Laffouragement en vert pour les caprins permet de mieux valoriser les surfaces fourragères éloignées ou morcelées. Toutefois, les coûts de mécanisation doivent être maîtrisés pour que cette technique soit rentable économiquement. Ce guide a été réfléchi pour apporter des données techniques sur cette pratique (point forts, limites, stratégies, pilotage, mise en place sur une exploitation, amélioration des systèmes déjà existants, témoignages). Il a été rédigé dans le cadre du projet AUTOCAP « Accompagner le développement de lautonomie alimentaire en élevage caprin », financé par FranceAgriMer et piloté par lInstitut de lÉlevage. Les données sont issues de 19 fermes des réseaux Inosys-Réseaux dElevage, REDCap et Herbe & Fourrages ; et de 17 autres élevages caprins situés en Bretagne, Pays de la Loire, Nouvelle-Aquitaine, Bourgogne-Franche-Comté et Auvergne-Rhône-Alpes.
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Dossier spécial : Implantation de cultures dans des couverts végétaux dautomne couchés au rouleau faca : laitue et haricot
Hélène VEDIE, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Brieuc DESAINT, Auteur ; ET AL., AuteurEn maraîchage, les références sur les couverts végétaux (CV) sont encore peu nombreuses. Dans le cadre du projet COPREAU, le GRAB a mis en place un essai bio en plein champ afin dobtenir des références en croisant deux facteurs : le type de couvert végétal x le mode de destruction du couvert. Trois modalités de CV ont été testées (Sol nu ; CV1 = Blé + Pois + Trèfle Incarnat ; CV2 = Orge + Féverole + Pois), ainsi que trois modalités de destruction (EV = Broyage du couvert et enfouissement par le travail du sol ; RF = Couchage du couvert au rouleau faca et travail du sol limité à la ligne de semis/plantation ; Paillage plastique). Deux cultures différentes ont ensuite été implantées : des laitues et des haricots. Un suivi du développement des couverts, de différentes caractéristiques du sol et du développement des cultures a pu être réalisé. Les deux types de CV se sont très bien développés (biomasse de plus de 11 tMS/ha), mais un déséquilibre a été observé dans leur composition avec une prédominance de blé dans le CV1 et de féverole dans le CV2. Concernant les modalités RF, le stade de couchage du CV2 a été bien choisi, alors quil a fallu trois passages de rouleau faca pour maîtriser le CV1. Pour la salade, les rendements semblent être affectés par le type de couvert : ils sont inférieurs pour les modalités CV1 (riches en blé). Le mode de destruction semble également influencer les rendements : la présence accrue de limaces pour les modalités RF engendre plus de déchets. Les rendements des haricots semblent être uniquement impactés par le mode de destruction des CV : les modalités RF ont un rendement inférieur et sont en retard dune dizaine de jours. Globalement, la technique des couverts couchés engendre des pertes de rendement sur les deux cultures. Les résultats confirment aussi limportance de tester la technique pour des couples « couvert-culture ».
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ECOPHYTO - Le méteil, un nouveau fourrage pour cultiver la biodiversité
Cette vidéo de 11 minutes a été réalisée dans le cadre du plan ECOPHYTO et regroupe différents témoignages d'agriculteurs cultivant un méteil récolté immature avant une culture de printemps. Les méteils sont des mélanges plus ou moins complexes despèces différentes qui sont composés par les agriculteurs. Ces mélanges présentent plusieurs avantages : ils sont peu gourmands en temps de travail et offrent une couverture du sol l'hiver. Ils sont aussi un moyen d'assurer l'autonomie fourragère d'un élevage et présentent des intérêts agronomiques : la culture assez dense joue un rôle important face à la concurrence des adventices et les systèmes racinaires diversifiés permettent de décompacter le sol des parcelles. Les témoignages des agriculteurs permettent de suivre la culture, de l'implantation à la valorisation.