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L'élevage des grands camélidés
Bernard FAYE, Auteur ; Gaukhar KONUSPAYEVA, Auteur ; Cécile MAGNAN, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2022
La remarquable résistance des grands camélidés (dromadaires et chameaux) à des conditions climatiques extrêmes, leurs fonctions de service (transport, monte ou gestion des espaces pastoraux), ainsi que la qualité et la bonne valorisation de leurs produits sur les marchés nationaux et internationaux (lait, viande ou laine) ont fait émerger, ces dernières décennies, une nouvelle filière pour ces espèces cantonnées, encore il y a peu, à la subsistance de populations nomades vivant dans les régions désertiques dAfrique et dAsie. Cette filière simplante aujourdhui non seulement dans les pays dorigine, mais aussi dans le monde occidental. Cet ouvrage, en langue française, sadresse à tous les acteurs de la filière, quils soient concernés par les activités délevage, de conseil technique ou de soins aux grands camélidés. Il décrit successivement les généralités sur lespèce, les bases physiologiques de la reproduction, de la lactation et de lalimentation, les principales productions, ainsi que la gestion de la santé et de lhygiène en élevage camelin. La gestion technique et économique de l'élevage des chamelles laitières est particulièrement développée. Un chapitre est consacré à la transformation du lait et de la viande camelins.
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Les productions fruitières à l'heure du changement climatique : Risques et opportunités en régions tempérées
Occupant une place primordiale dans notre alimentation, les productions fruitières de climats tempérés sont issues de cultures très diversifiées et souvent inféodées à des régions aux conditions climatiques particulières. Quels effets le changement climatique va-t-il induire sur les performances, la diversité et la répartition de ces cultures ? Ces effets vont-ils accroître les vulnérabilités intrinsèques aux productions fruitières et générer également des opportunités leur offrant un nouveau dynamisme ? Quels outils et quels leviers permettront danticiper les adaptations des cultures fruitières au changement climatique ? Comment concilier adaptation climatique et compétitivité économique ? Pour répondre à ces questions, cet ouvrage, réalisé notamment en collaboration avec le GIS fruits et INRAE, présente un vaste panorama de connaissances, allant des évolutions et des prédictions climatiques aux processus écophysiologiques et agronomiques déterminant la production des plantes fruitières. Une analyse des impacts potentiels, ou déjà avérés, du changement climatique aux différents niveaux de la production permet dénoncer les enjeux à anticiper, concernant tout particulièrement la phénologie, la contrainte hydrique, la qualité des fruits et les bioagresseurs. Les différents leviers susceptibles de mener aux adaptations projetées sont explorés à la lumière des adaptations déjà mises en place en climats chauds.
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Optimiser les irrigations en maraîchage : une nécessité !
William PARMÉ, AuteurAvec des étés de plus en plus chauds et secs, des arrêtés sécheresse qui se multiplient et une évolution de la répartition annuelle des pluies, il devient de plus en plus important doptimiser son irrigation, notamment en maraîchage. Pour cela, il est nécessaire de connaître ses sols, et plus particulièrement leur texture et leur pierrosité, afin de calculer leur réserve utile (sachant quune plante peut prélever facilement les 2/3 de cette réserve utile). Il est également nécessaire dapporter des volumes deau adéquats, en corrélant la durée des arrosages à la quantité deau. Pour cela, il faut vérifier que la pression du système dirrigation est optimale (à laide de manomètres), afin que les volumes deau soient répartis correctement. En début de campagne, il est également judicieux de vérifier les volumes deau distribués à laide de pluviomètres (pour les systèmes daspersion) ou de collecteurs (pour les goutte-à-goutte). Concernant les besoins en eau des différentes cultures, il est difficile de les évaluer en maraîchage diversifié, mais la phase de grossissement des fruits et des organes de réserve est la plus gourmande en eau. Il est aussi envisageable dutiliser des outils daide à la décision pour piloter son irrigation. Différents leviers peuvent également être mobilisés pour économiser leau : mettre en place un paillage, enclencher lirrigation lorsque le rayonnement et le vent sont moindres, travailler le sol de manière superficielle
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Good agricultural practice in irrigation management
L'eau est essentielle à la survie et à la croissance des végétaux. Toutefois, dans de nombreuses régions du monde, elle devient une ressource de plus en plus limitée. Actuellement, l'agriculture est le secteur qui consomme le plus deau : près de 70% des prélèvements effectués dans le monde. Durant le XXème siècle, ces prélèvements ont augmenté deux fois plus que le taux de croissance de la population. Cette forte croissance sexplique en partie par le développement de l'agriculture irriguée. Le changement climatique et la croissance rapide de la population mondiale intensifient la pression sur cette ressource. L'agriculture est invitée à appliquer toutes les mesures possibles pour minimiser les gaspillages en eau et pour maximiser l'efficience de son l'utilisation. Ce guide a pour objectif daider les agriculteurs et les conseillers agricoles à mettre en place une gestion durable de l'eau. Il détaille plusieurs indicateurs utiles pour quantifier les entrées et sorties deau dans un sol (réserve utile, réserve en eau facilement utilisable, évapotranspiration ). Il apporte aussi une méthodologie pour calculer la réserve utile dun sol et pour calculer les besoins en eau des cultures. Les différents types de systèmes dirrigation sont ensuite détaillés et comparés. Enfin, des conseils sont apportés afin de mettre en place une irrigation intelligente face au changement climatique.
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Optimiser les irrigations : Une nécessité en maraîchage
William PARMÉ, AuteurLirrigation et la gestion de leau sont des enjeux majeurs en maraîchage. Il existe différents moyens pour réduire sa consommation deau tout en assurant la production et en limitant les problèmes sanitaires. Il faut tout dabord veiller à limiter les fuites du réseau. Elles sont responsables de la majorité des pertes deau. Pour les diminuer, des vérifications du matériel et des réparations peuvent être effectuées durant les périodes creuses (les canalisations aériennes permettent deffectuer plus facilement ces réparations). Il est également possible dinstaller des volucompteurs après la pompe et à lentrée des parcelles pour quantifier les pertes deau, ou utiliser des programmateurs pour éviter les oublis de fermeture de vannes. Les avantages et les inconvénients de différents systèmes dirrigation sont détaillés : aspersion, mini-aspersion, goutte-à-goutte. Des conseils sont ensuite apportés pour optimiser le pilotage de lirrigation : observer le sol (sondage à la tarière) et la culture, connaître les besoins en eau des légumes en fonction de leur stade (ex : le melon na pas besoin de beaucoup deau jusquà la nouaison), réaliser des bilans hydriques, ou encore séquiper de sondes (tensiomètres) pour suivre la dynamique de leau dans le sol.
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Alimentation des ruminants : Apports nutritionnels - Besoins et réponses des animaux - Rationnement - Tables des valeurs des aliments
P. NOZIERE, Auteur ; D. SAUVANT, Auteur ; L. DELABY, Auteur | VERSAILLES CEDEX (RD 10, 78 026, FRANCE) : ÉDITIONS QUAE | 2018
Cet ouvrage permet de mieux répondre aux défis émergents en nutrition animale : qualité des produits, santé animale, émissions dans lenvironnement, tout en améliorant la prévision des réponses productives. Il décrit lensemble du système dalimentation pour les productions de lait et de viande, chez les bovins, ovins et caprins, en incluant les spécificités des zones tropicales et méditerranéennes. Au sommaire : - Les apports alimentaires et en nutriments : Ingestion des aliments ; Digestion et apports en nutriments énergétiques ; Digestion et apports en nutriments protéiques ; Apports en minéraux, en vitamines et en eau ; - Les besoins des animaux et leurs réponses aux rations : Dépenses, efficacité métabolique et besoins en énergie ; Dépenses, efficacité métabolique et besoins en protéines et en acides aminés ; Besoins en minéraux, en vitamines et en eau ; Réponses de lingestion et de la production de lait aux variations dapports alimentaires ; Réponse de la croissance aux variations dapports alimentaires en phase délevage ou en finition ; Taux butyreux et composition de la matière grasse laitière ; Composition en acides gras des muscles ; Excrétion azotée fécale et urinaire ; Emissions de méthane entérique ; Bien-être digestif et acidose ruminale ; - Le rationnement des animaux : Principes généraux de rationnement ; Vaches laitières ; Vaches allaitantes et leurs veaux ; Bovins en croissance et à lengrais ; Ovins en lactation, en croissance et à lengrais ; Caprins en lactation et en croissance ; Spécificités de l'alimentation des ruminants en régions chaudes ; - Les valeurs de référence des aliments : tables et prévision : Méthodes dévaluation de la valeur des aliments et bases de données ; Calcul de la valeur des aliments pour les ruminants : tables et équations de prévision ; Tables Inra de la valeur des aliments utilisés en France et dans les zones tempérées ; Tables Inra de la valeur des aliments utilisés dans les régions chaudes ; - Description des bases de données.
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La capacité dadaptation des maïs population
Rémi MASQUELIER, AuteurLa diversité génétique des maïs population leur donne une grande capacité à évoluer in situ avec le terrain, la pratique et le climat, répondant entre autres aux besoins des agriculteurs en zones à potentiel moyen et à contraintes pédoclimatiques élevées. Dans ce contexte, Agri Bio Ardèche a mobilisé, en 2017, des agriculteurs-expérimentateurs afin de mieux connaître ces maïs population. Ces derniers tracent un bilan des observations basées sur différentes variables : le risque de charbon, le besoin en eau, le rendement, la valeur alimentaire. Lobtention de beaux épis indemnes de charbon a été un challenge et les rendements (en ensilage dépis et en maïs grain) ont été très hétérogènes. Par ailleurs, un des testeurs a observé que les populations se comportent aussi bien que les hybrides en situation irriguée. Mieux encore, en terrain non irrigué, elles ont réussi à se maintenir, tandis que les hybrides ont davantage pâti de la sécheresse. Quant à la valeur en protéines, elle était équivalente au maïs hybride ; la valeur énergétique légèrement inférieure.
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J'économise l'eau au potager ! : Quand et comment arroser ?
Arroser, c'est bien. Bien arroser, c'est mieux ! Les jardiniers sont souvent perplexes sur les quantités d'eau à apporter et ont parfois tendance à en faire plutôt trop que pas assez. C'est dommage, car non seulement l'eau est une ressource de plus en plus rare ou mal répartie sur l'année, mais arroser sans discernement prend du temps, peut provoquer des maladies et produire des légumes sans aucun goût ! Blaise Leclerc explique ce qu'il faut savoir sur le rôle de l'eau dans les processus vitaux et sur sa circulation dans le sol et dans la plante. Il présente ensuite les différents avantages et inconvénients de chaque type d'arrosage, et les principales techniques pour économiser l'eau au jardin. Enfin, 30 fiches dédiées aux légumes les plus courants indiquent les besoins particuliers de chacun et les solutions d'arrosage adaptées.
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Quelle adaptation de l'agriculture à la disponibilité en eau dans la Drôme des collines ?
Bernard GERMAIN, Auteur ; Gabrielle RUCHETON, Auteur ; Sylvie MORARDET, AuteurLa directive cadre de l'Union européenne sur l'eau vise, notamment, un meilleur équilibre entre volumes d'eau prélevés et ressources disponibles. Cela concerne donc l'irrigation en agriculture. Parmi les voies d'adaptation envisageables, certaines concernent le système d'exploitation lui-même (assolement, niveau d'intensification...). Cette note présente les enseignements tirés d'une étude réalisée entre fin 2012 et début 2014, sur les voies d'adaptation de l'agriculture irriguée à une réduction des volumes d'eau disponibles, dans une petite région agricole du département de la Drôme. Au-delà des résultats attendus pour ce cas, un des objectifs de l'étude était de construire une méthodologie reproductible dans d'autres territoires exposés à une diminution de la ressource en eau. Choisie notamment pour sa relative simplicité, cette démarche s'appuie pour l'essentiel sur des expertises et des expériences locales.
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Raisin de table : Un cru de choix sur l'étal d'automne
Charles SOUILLOT, AuteurLe raisin de table est un produit fort apprécié des consommateurs. Ce fruit peut être un produit « charnière », entre les fruits printemps-été et ceux d'automne, particulièrement intéressant surtout dans une démarche de commercialisation des produits locaux en circuit court. Mais, cultiver du raisin en Bretagne rencontre divers problèmes : manque de soleil et de chaleur, production de fruits tardive plus facilement soumise à des risques importants de maladies cryptogamiques. Du raisin de table peut être alors produit en serre, en association avec d'autres productions, comme des plants, des cultures de printemps basses (légumes bottes) et des légumes feuilles d'été demandant de l'ombre pour limiter la montée en graines. L'article détaille comment planter et entretenir ses vignes en serre et, ainsi, produire un raisin de table de qualité, permettant d'élargir, avec un coût limité, la gamme de produits vendus par un maraîcher, en particulier breton.
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Les conseils du vétérinaire Céline Peudpièce pour bien préparer les mères au vêlage
Noëllie LEBEAU, Auteur ; Sandrine POISSON, AuteurLes vaches en gestation ont plus de besoins que celles qui sont en entretien. Des mesures simples permettent de garantir une bonne préparation au vêlage : favoriser la consommation d'eau en abondance (et pas seulement pour les dominantes), éviter tout déficit alimentaire en raisonnant la ration, utiliser la phytothérapie. La période critique pour la surveillance de l'état corporel et de la ration débute à partir du huitième mois de gestation.
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Créer des réserves d'eau pour plus de sécurité et d'autonomie fourragère
Aujourd'hui, face à un marché des fourrages très fluctuant, les éleveurs aveyronnais cherchent de plus en plus à sécuriser leur système en améliorant leur niveau d'autonomie alimentaire. Pour l'atteindre, la capacité d'irrigation des cultures fourragères et la quantité d'eau disponible représentent des facteurs limitants importants. En effet, même si l'équilibre sol-troupeau paraissait acquis pour de nombreuses exploitations, les changements climatiques de ces dernières années l'ont déstabilisé et les éleveurs doivent reconsidérer leur système. Ainsi, pour répondre à ces besoins, la Chambre d'Agriculture de l'Aveyron et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne ont lancé un programme d'action visant à favoriser la création de nouvelles retenues collinaires. Ce programme d'action prévu sur 5 à 6 ans devrait permettre la création de réserves d'eau dans une dizaine de bassins hydrographiques du département aveyronnais.
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Eau de pluie pour WC et lave-linge
Conseils pour réduire efficacement sa consommation d'eau grâce à l'installation d'un système de récupération de l'eau servant à alimenter les toilettes, ainsi que la machine à laver : évaluation des besoins, matériel nécessaire et précautions indispensables.
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Rosiers au régime sec
Présentation de variétés de rosiers capables de s'adapter aux changements du climat, et notamment à la sécheresse, grâce à des caractéristiques nouvelles : fleurs coriaces, feuillage résistant, branches fragiles et faibles, besoin d'eau.
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Arrosez ... au goutte à goutte
Explications techniques de systèmes d'arrosage "bio" : le goutte à goutte et les tuyaux microporeux. Conseils pour l'installation, la mise en réseau et le choix du matériel.