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36 trucs et astuces au jardin bio : Récup', conseils, solutions pratiques
Toutes les astuces présentées dans cet ouvrage proposent des solutions accessibles et directes à des problèmes fréquents rencontrés au jardin. Des conseils pour les cultures, tout d'abord, permettront de mettre en uvre des solutions simples et efficaces (protéger les carottes, favoriser l'enracinement, piéger les limaces, et bien d'autres choses encore...). Dans une deuxième partie, des idées originales sont proposées, à partir d'objets du quotidien comme des bouteilles en plastique, des bas nylon, des jantes de vélos (...), pour résoudre certains problèmes ou faciliter le jardinage. Enfin, certains gestes deviendront simples grâce aux instructions astucieuses soumises par l'auteur en troisième partie : laver et aseptiser les pots de culture, semer les haricots dans des rouleaux de papier toilette, préparer un terreau de feuilles "maison", fabriquer un échardonnoir, etc.
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Les 4 saisons du Jardin bio - Hors-série n°21 : Objectif autonomie : Des récoltes toute l'année
Marie ARNOULD, Auteur ; Ingrid VAN HOUDENHOVE, Auteur ; Véronique BUTHOD, Auteur ; ET AL., Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2020Dans ce Hors-série des 4 Saisons du Jardin bio, de nombreux jardiniers expliquent comment ils arrivent à être presque autonomes en fruits et légumes et partagent leurs conseils et recettes. Ils illustrent une tendance qui s'affirme, d'un retour vers le jardin nourricier, vecteur de "mieux manger". Parmi les nombreux articles, des portraits de jardiniers : - Cultiver et récolter toute l'année (Yolande Letur, dans le Jura, cultive 300 m2 à 700 mètres d'altitude, dans un esprit d'ouverture, de partage et d'astuces pour une autonomie maximale) ; - Le jardin nourricier d'Annette et André (anciens éleveurs et maraîchers en bio depuis les années 1980, Annette et André, aujourd'hui à la retraite, mettent à profit leur expérience dans leur potager (59), sans se lasser d'apprendre et de partager avec les autres) ; - La fierté de Michèle (au sud des Landes, sur un terrain de 1800 m2, Michèle Guingant s'est d'abord intéressée aux fleurs, mais aujourd'hui, à 72 ans, elle est en train de relever son défi, en étant autonome à 99 % pour les légumes...) ; - Les buttes d'Olivier (en Normandie, Olivier Diot, ancien cadre, passionné de nature, s'est lancé pleinement dans le jardinage et a créé un parc botanique de 7 ha). Des articles sont consacrés à des conseils pratiques pour : planifier ses cultures, choisir des variétés précoces et hâtives, échelonner ses récoltes avec un calendrier des semis, des récoltes et des plantations ; cultiver sous serre (serre en verre, serre Walipini, tunnel mobile) ; produire ses semences et cultiver ses ressources au jardin (fiches pratiques pour faire ses graines et fabriquer soi-même terreau, paillis, tuteurs ) ; conserver ses légumes et ses fruits : des recettes et des astuces pour faire durer et transformer ses récoltes (lactofermentation, stérilisation, déshydratation ).
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Alternatives aux intrants controversés en maraîchage bio : Retour dexpériences de : Guy Rugemer Les Jardins de Paillis (63)
Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; Aude EGRET, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2020Organic-PLUS (2018-2021) est un projet européen qui a pour objectif de rechercher des alternatives à des intrants controversés en agriculture biologique (ex : tourbe, paillage plastique, cuivre ) et de communiquer sur celles-ci. Afin dobtenir des données techniques sur des méthodes alternatives, ABioDoc, lun des deux partenaires français de ce projet, a demandé à des étudiants de la Licence Professionnelle Agriculture Biologique, Conseil et Développement (site Auvergne-Limousin) de réaliser des entretiens auprès de producteurs bio. Ces étudiants ont notamment interrogé Guy Rugemer, un maraîcher bio en MSV (maraîchage sur sol vivant), installé dans le Puy-de-Dôme depuis 2015, qui met en place des alternatives à lutilisation de tourbe (plus précisément de terreau confectionné à base de tourbe) et de paillage plastique. Afin de ne pas acheter de terreau, Guy Rugemer confectionne son propre support de culture à base de déchets verts compostés quil fabrique lui-même : il laisse des tas de déchets verts (issus de déchèterie) se dégrader durant deux à quatre ans, avant de les tamiser pour obtenir un substrat assez fin. Cette méthode requiert de lanticipation. Du point de vue de la gestion des adventices, il a recours à des paillages organiques pour limiter son utilisation de plastique. Les paillages organiques sont constitués dune première couche (3 cm) de broyat de déchets verts légèrement décomposés et dune seconde couche (15 cm) à base de paille, de foin ou denrubannage.
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L'artichaut en culture annuelle
Quelques graines, un zeste de savoir-faire et de pratique : même si vous habitez dans une région au climat rude, la culture de l'artichaut est à votre portée !
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Bien choisir son terreau
Conseils pour choisir un bon terreau : principaux constituants et qualités attendues, terreaux avec ou sans tourbe, terreau biologique, différence compost/fumier et terreau, divers usages.
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Bois raméaux fragmentés (BRF) et broyats : Du carbone pour nos jardins
Philippe DELWICHE, AuteurLes résidus de broyage des arbres et arbustes sont encore trop peu valorisés par les jardiniers. Nombreuses sont pourtant les techniques qui permettent de les mettre en uvre afin de reconstruire ou de maintenir un bon écosystème des sols cultivés, en recréant un fonctionnement de type "forestier". L'auteur explique comment l'on obtient du BRF et quelle est la différence avec le broyat fermenté en tas. Si l'un et l'autre favorisent la pédogenèse nécessaire à la création d'un humus stable, l'action du BRF reste cependant plus intense que le broyat pour activer la vie du sol. Le broyat peut permettre d'alléger et d'assécher la compostière de déchets ménagers. Dans le cadre d'un petit jardin, il est possible de fabriquer son terreau, selon une technique présentée dans l'article.
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Le bon geste du semeur
Au centre Terre Vivante, la saison commençe tardivement en raison du climat, une grande partie des cultures est donc démarrée en plants, sous serre ou sous châssis. Faith Nelson, responsable des jardins du centre, livre ici de précieux conseils pour semer, repiquer et planter sans problème fleurs ou légumes.
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"Cette année, j'ai fait 12 kg de terreau"
Perrine DUPONT, AuteurMarie Miclo, ancienne couturière, fille de jardinier et petit-fille de paysan, habite à Marseille. Dans son jardin de 30 m2, pas un centimètre n'est perdu. Elle a fait partie des "Jardiniers de Marseille", un club de jardinage dans lequel elle dit avoir beaucoup appris. Mais, c'est à sa façon qu'elle produit, depuis maintenant huit ou neuf ans, son propre terreau, dont elle livre la recette. Elle obtient un terreau de belle texture, malléable, souple et légère, qui réagit bien à l'arrosage et ne se compacte pas. Depuis deux ans, elle arrose son terreau avec des purins de plantes et a constaté que ses plants n'en étaient que plus sains encore.
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Chaud devant : Cultivez sous châssis
Quelques conseils pour la construction d'une petite serre ou d'un châssis, où semer des légumes au printemps, l'été et à l'automne : choix de l'emplacement et des matériaux de construction, utilité d'une "couche chaude", apport de fumier et de terreau, légumes concernés.
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Comparaison de différents terreaux biologiques pour la production de plants
Compte-rendu de l'essai réalisé par le GRAB sur cinq supports de cultures biologiques à motter - sous mention Nature et Progrès - pour une meilleure connaissance de leur comportement. Le but de l'essai était de comparer les résultats de plants sur terreaux biologiques à ceux de plants sur un terreau de référence (en conventionnel).
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Des couches pour hâter les cultures
Très courante autrefois, la pratique des couches chaudes n'est plus guère en usage dans les jardins. Il est vrai qu'elle demande beaucoup de soins. Les jardiniers pressés pourront cependant essayer certaines variantes plus simples.
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Créer son écojardin : Guide pratique du jardinage écologique
John WALKER, Auteur ; Colin LEFTLEY, Photographe ; Anne SAINT GIRONS, Traducteur | PARIS (25 Boulevard Romain-Rolland, 75 014, FRANCE) : EDITIONS DELACHAUX ET NIESTLE | 2014
Les écojardiniers, à travers leur approche du jardinage en harmonie avec la nature, ont aujourd'hui un rôle essentiel. Ils participent à réduire la surconsommation d'énergie et de ressources naturelles et à freiner le gaspillage. Ils créent des jardins à la fois beaux et durables, des espaces cultivés dynamiques et riches de biodiversité, au sol vivant et nourricier. Enfin, ils mènent sur le chemin de l'autonomie alimentaire. Ce guide fourmille d'idées, de conseils et d'astuces : Créer un jardin respectueux de l'environnement en collaborant avec la nature ; Reconstituer chez soi un véritable écosystème en creusant une mare, en construisant un hôtel à insectes, en transformant la pelouse en prairie fleurie ; Valoriser le recyclage en formant un compost, en récupérant l'eau de pluie et en captant la chaleur solaire ; Rénover le jardin existant ou en dessiner un nouveau - urbain, familial, potager, pluvial ou sans arrosage - grâce à six "plans verts" détaillés point par point ; Consulter le répertoire des 80 espèces végétales choisies pour leurs bénéfices écologiques ; S'aider du calendrier saisonnier qui synthétise les travaux à accomplir au jardin tout au long de l'année. Nourri d'informations pratiques avec ses 500 photographies et illustrations originales, cet ouvrage est destiné à tous ceux qui désirent créer un jardin à la fois décoratif, productif et respectueux de la planète.
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Endives et plants maraîchers bio dans le Nord
Le 3 Mars 1999, à la demande de la CGAB, des maraîchers bourguignons ont effectué des visites chez deux producteurs d'endives biologiques du Nord. La première a eu lieu chez Benoît Leroy qui est dans l'agriculture biologique depuis 1988 et qui leur a décrit le parcours qu'il suivait pour la culture des endives biologiques : le labour en février-mars, le semis en mai, l'arrachage en septembre, un stockage de trois jours pour la cicatrisation des collets puis d'une semaine en chambre froide et le forçage. La seconde visite se déroulait chez Michel Boo qui s'est lancé dans la production de plants d'endives biologiques depuis peu. Il s'y est intéressé parce que la demande des maraîchers biologiques s'est accrue (ces derniers étant satisfaits de pouvoir s'approvisionner même pour des petites quantités). Il lui a suffi de se procurer des graines et du terreau certifiés bio. Actuellement, au Nord, la demande en endives est supérieure à l'offre et, pour des raisons économiques, des producteurs d'endives se tournent de plus en plus vers l'agriculture biologique; ce qui cause l'inquiétude du GABNOR qui craint une hausse des volumes en "hors sol". D'où une possible révision du règlement CEE/2092/91 sur les productions "hors sol" en végétal et en endives.
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Environmental inventory modelling of the use of compost and peat in growth media preparation
Alessio BOLDRIN, Auteur ; Karin HARTLING, Auteur ; Thomas CHRISTENSEN, Auteur ; ET AL., AuteurLe compost peut remplacer la tourbe dans les préparations de terreaux (ou supports de culture). Dans cette étude, les inventaires du cycle de vie (ICV) de ces deux préparations (terreau à base de compost et terreau à base de tourbe) ont été comparés en utilisant la modélisation ACV (EASEWASTE). Cette comparaison a été menée sur une période de 100 ans et sest basée sur un rapport de substitution volumétrique de 1 pour 1. Concernant le compost, différentes caractéristiques ont été prises en compte pour calculer son ICV : le processus de compostage, la manière dutiliser ce type de terreau et le phénomène de compensation engendré vis-à-vis des engrais minéraux. Pour la tourbe, les caractéristiques suivantes ont été prises en compte : l'impact sur les tourbières, le transport de cette matière première et la manière dutiliser ce type de terreau. Les résultats ont révélé que, pour le terreau à base de compost, 14 % du carbone initial est encore présent dans le sol au bout de la période de modélisation de 100 ans. En revanche, pour la tourbe, tout le carbone est minéralisé. En ce qui concerne les émissions de gaz à effet de serre (GES), le terreau à base de tourbe émet des émissions de GES alors que le terreau à base de compost engendre des économies. La lixiviation des métaux lourds a également été mesurée durant toute la durée d'utilisation de ces terreaux : celui à base de compost a lessivé 3 à 20 fois plus de métaux lourds que celui à base de tourbe. L'évaluation du cycle de vie a ainsi montré que le compost est plus performant en ce qui concerne les émissions de carbone (économies de l'ordre de 70 à 150 kg éq-CO2/mg) et l'enrichissement en nutriments du sol (économies de l'ordre de 1,7 à 6.8 kg NO3/mg). La tourbe obtient de meilleurs résultats en matière de toxicité car elle a de plus faibles teneurs en métaux lourds.
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Journées Techniques annuelles du GRAB (Angers - 9 et 12 décembre 1996) : qualité et convivialité
Cette manifestation annuelle a pour objectif de faire le point sur les évolutions techniques dans le secteur des fruits, des légumes et de la viticulture. Au cours de ce colloque, les exposés techniques ont porté sur les qualités des produits, la protection micro-biologique, le secteur/la production de semences maraîchères en AB, la fertilisation organique, le désherbage thermique. Tous les compte-rendus détaillés de ces journées, des débats, les résultats des essais, sont publiés (printemps 97) par le GRAB.