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Ces intermédiaires indispensables entre le sol et les plantes.
Imaginez une prairie d'un hectare sur laquelle broutent paisiblement six vaches. Si l'on additionne le poids de l'ensemble des populations d'insectes, de lombrics et de microbes qui grouillent dans les trente premiers centimètres du sol de cette prairie, on obtient un poids total équivalent à celui des ruminants ! C'est dire la quantité de ces populations souterraines, sachant le faible poids que chaque individu représente.
Les engrais verts
Les espèces - Les nombreux avantages - Les deux effets négatifs - Fertilisation des engrais verts - Destruction et enfouissement.
Le pistachier à fruits
La Pistacia vera (ou trifoliata ou narbonensis L.) est l'unique des nombreuses espèces du genre Pistacia qui produit des fruits comestibles. Botanique, culture (avec conseils précis pour le greffage, en particulier l'écussonnage).
Raisonnement des apports organiques en viticulture
Après avoir rappelé les caractéristiques de la vigne, Jacques Rousseau détaille ici deux itinéraires techniques : . Fumure avant plantation . Fumure d'entretien.
Broyez du vert !
Que faire du tas de déchets végétaux qui ne cesse de grandir au fond du jardin ? Au lieu de les laisser lentement pourrir ou disparaître en fumée, faites-en de l'humus, à l'aide d'un broyeur. Ces appareils sont aujourd'hui plus sûrs, moins bruyants et très efficaces. Faites votre choix.
Microbial interactions in soil and healthy plant growth
Les interactions microbiennes dans les sols jouent un rôle majeur dans le contrôle biologique des maladies végétales, le renouvellement de la matière organique et dans le recyclage des éléments nutritionnels des végétaux. Comprendre les mécanismes mis en jeu pourrait aboutir à développer des techniques agricoles plus efficaces.
Un point sur l'évolution des réserves organiques des sols en France
Plusieurs études locales font le constat de baisses des taux de matières organiques de sols cultivés français dans les dernières décennies. Bien que la tendance ne soit pas généralisable, il est nécessaire de s'en soucier dans une optique de gestion à long terme de la qualité des sols. Le présent article fait le point sur les connaissances de la dynamique du carbone et sur les causes possibles d'évolution des réserves organiques.
Un trésor caché : l'humus
Tout savoir sur la décomposition de la matière organique, du rôle du compost, son influence sur les sols et la fertilisation. Grosse différence en milieu tropical : le temps de minéralisation, qui, suite à des températures élevées, est beaucoup plus rapide qu'en milieu tempéré.
Connaître le potentiel du sol
Après le survol de la logique de compréhension du sol développée par le pédologue Y. Hérody, ayant fait l'objet d'un précédent article (Voir Alter Agri N° 11), il vous est proposé de voir la mise en oeuvre concrète de cette méthode sur une parcelle, avec les résultats d'analyse, leur interprétation et les conseils qui en découlent.
Importance des "jachères vertes" en exploitation sans animaux
L'idéal pour un exploitation en agriculture biologique est bien entendu de posséder à la fois un élevage et des cultures, les déjections animales servant, par voie souvent du compostage, à la fertilisation des cultures. Pourtant, dans les cas d'exploitation sans élevage, il est possible de compenser en partie le manque d'azote par les jachères vertes, notamment à base de légumineuses qui fixent l'azote de l'air.
Peut-on raisonner la fertilisation en agriculture biologique ?
B. LE VOYER, AuteurUne approche intelligente du sol, c'est-à-dire qui permette l'optimisation de sa fertilité, voilà ce que tout agriculteur cherche. Mais ceci ne le dispense pas de tenir compte des besoins de la plante, surtout en maraîchage où les exportations sont importantes. Bruno Le Voyer explique ici comment prévoir une fertilisation (exemple à l'appui : la tomate sous serre) ; comment savoir dans quelles proportions les formes d'azote organique apportées se minéralisent et ce que peut fournir le sol ; comment déterminer les besoins du sol en autres fertilisants (P, K, Mg) et le dosage de leur apport (équivalent aux exportations, dans le cas précis où le reste de la plante est restitué au sol après récolte). Ses méthodes d'évaluation font bien comprendre les cycles des éléments fertilisants dans le sol et permettent donc de prévoir et d'adapter judicieusement les apports de fumure pour un bon équilibre du sol et la satisfaction des besoins de la plante.
L'usage des engrais verts en agriculture bio
En culture principale ou dérobée, les engrais verts peuvent représenter beaucoup d'atouts à une période où le sol resterait nu. Ils peuvent maintenir un couvert végétal sur le sol suffisamment longtemps pour le protéger de l'érosion, pour concurrencer les mauvaises herbes et pour limiter le lessivage de minéraux solubles (N, K, Ca, Mg). Ils favorisent la bonne structuration du sol par l'action des racines et l'apport de matière organique. Ils peuvent aussi apporter une action vitalisante en accélérant la minéralisation de l'humus par stimulation des micro-organismes du sol. On peut dire que les engrais verts ont des effets bénéfiques sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols. L'implantation des engrais verts impose toutefois des contraintes : charges de travail importantes pour la préparation du sol, le semis, le broyage et l'enfouissement ; coûts élévés pour certaines semences ; nécessité de conditions climatiques favorables pour une bonne réalisation des travaux. Emmanuel Archimbaud donne ici l'itinéraire à suivre pour obtenir un résultat optimum : choix d'espèces et variétés ; date des semis en fonction des espèces retenues ; fumure ; broyage ; enfouissement ; apports conseillés pour consolider le stock d'humus stable du sol.
Agriculture biologique et agriculture autonome : de la théorie à la pratique
Compte-rendu du stage organisé par le CEIPAL et le Comité de Développement à Bourg-Argental (Hiver 93-94).
Eléments d'écologie : écologie fondamentale
Depuis une dizaine d'années, la recherche écologique pâtit d'un divorce croissant entre deux attitudes : celle des "empiriques" et celle des "théoriciens". Il faut donc adopter une attitude très pragmatique devant ces deux manières d'aborder les problèmes qui se posent à nous. Observateurs plus ou moins géniaux et théoriciens plus ou moins farfelus n'ont-ils pas tous parallèlement contribué aux progrès de la biologie ? François Ramade adopte et préconise une attitude syncrétique qui semble à la fois sage et constructive. Cet ouvrage (2ème édition entièrement revue et augmentée) n'est pas destiné à des spécialistes, c'est au contraire un manuel de base où sont présentés les concepts fondamentaux de l'écologie. Il se structure en 7 chapitres : - La notion de biosphère, - Les facteurs écologiques, leur influence sur les êtres vivants, - Ecologie des populations, - Structure et organisation des peuplements et des biocénoses, - Flux d'énergie et cycle de la matière dans les écosystèmes, - Développement et évolution des écosystèmes, - Biogéographie des principaux écosystèmes continentaux et océaniques. L'exposé et la présentation de cet ouvrage ont été conçus de manière à le rendre accessible à toute personne intéressée par l'écologie. L'auteur a pensé, bien sûr, aux membres des associations de protection de la nature mais aussi..., pourquoi pas ?... aux ingénieurs et autres utilisateurs des ressources naturelles, qu'ils soient aménageurs ou "gestionnaires", qui devraient être au premier chef intéressés, du fait de leurs activités, par la compréhension des processus écologiques fondamentaux.
L'Elevage biologique : ses règles de base
L'élevage pour une meilleure qualité alimentaire signifie qu'il est à sa place dans une chaîne de production de "qualité", car un consommateur qui fait attention à celle de son alimentation coûte trois fois moins cher à la Sécurité Sociale qu'un consommateur non averti. Oui, l'élevage en agrobiologie permet un résultat financier optimal à l'agriculteur et contribue, pour une large part, au maintien de la meilleure santé de tous. Cependant, l'élevage obéit à des règles. En effet, pour produire, l'animal doit trouver en suffisance une herbe riche et diversifiée : - riche en composants et oligo-éléments qu'elle aura synthétisés s'ils sont présents dans le sol, - diversifiée : chaque plante apporte des éléments qui sont propres à sa famille botanique, sans compter avec la faculté qu'ont entre elles les plantes de famille différente à favoriser leur croissance mutuelle (Exemple : graminées et légumineuses). C'est pourquoi Joseph MARTELOT s'attache à analyser les conditions optimales pour un élevage en bonne santé et productif : * le sol sera équilibré, avec une fertilisation adaptée ( en vue d'une rotation de cultures judicieuse), * les prairies : leurs semis et leur utilisation seront rationnels (avec protection contre le parasitisme et respect des rotations), afin de donner à l'herbe sa meilleure valeur, * les soins aux animaux : en plus de sa nourriture, l'animal a besoin d'eau - non polluée -, d'espace et d'une bonne litière (paillée, avec améliorant, en vue d'un compostage en tas), et d'autres soins tels que la vermifugation, le tarissement.