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Les outils du potager
Dans cet ouvrage, Jean-Martin Fortier, maraîcher et formateur québécois en maraîchage bio-intensif sur petites surfaces, ouvre les portes de sa remise à outils. Quasiment tous de « basse technologie », donc essentiellement manuels et peu coûteux, les outils présentés permettent de travailler la terre en respectant la biodiversité, d'augmenter la productivité de la surface cultivée et d'améliorer l'ergonomie au travail... Adaptés aux professionnels autant qu'aux débutants et aux amateurs, ces outils s'utilisent pour la préparation des sols, la plantation, lentretien et la récolte des cultures. De nombreuses illustrations permettent de comprendre leur fonctionnement, leur utilisation et leurs atouts. Jean-Martin Fortier prodigue également ses conseils et ses astuces afin d'exploiter au mieux chaque outil.
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Séquiper pour cultiver du tournesol bio à façon
Jacques Belloir a créé lETA (Entreprise de travaux agricoles) Agri-Travaux 53 en 1991, en Mayenne. Sa fille, Emmanuelle Belloir, et son fils, François Belloir, lont rejoint, en 2021, à la direction de cette entreprise. L'entreprise génère 1,7 million deuros de chiffre daffaires, emploie huit conducteurs à lannée, ainsi que sept conducteurs saisonniers. En 2016, lentreprise a débuté un partenariat avec une entreprise de triage de grains, nommée Agro-Logic. Depuis, lETA réalise le travail à façon sur plusieurs dizaines dhectares de tournesol biologique pour approvisionner Agro-Logic. Cest Alain Candelle, lagronome dAgro-Logic, qui élabore litinéraire technique de la culture et qui définit les interventions nécessaires à réaliser dans chaque parcelle (suite à ses visites dans les champs). Le fait davoir un seul interlocuteur pour connaître les travaux à réaliser, plutôt que de dialoguer avec chaque propriétaire foncier, facilite le travail de Jacques, d'Emmanuelle et de François Belloir. Litinéraire technique (préparation du lit de semence, semis, désherbage mécanique, récolte) et le matériel agricole utilisé pour cultiver le tournesol biologique sont détaillés.
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Vu au Space : Des solutions en prévention dès la poulette ; Nouveautés vues au Space ; Nouveautés vues au Sima
Frédéric RIPOCHE, Auteur ; BIOFIL, AuteurCet article présente des nouveautés (utilisables en agriculture biologique) vues sur des salons professionnels agricoles fin 2022 début 2023. Il est composé de trois parties. La première partie est consacrée à deux acteurs impliqués dans la nutrition animale biologique et présents au Space (salon dédié à lélevage). Ces derniers développent de nouveaux produits pour les poules pondeuses afin daméliorer leurs performances. Il sagit de lentreprise CCPA (qui propose notamment des solutions pour gérer la coccidiose chez les volailles) et lentreprise Lallemand (qui propose un probiotique pour renforcer la santé des poulettes). La deuxième partie est consacrée à cinq autres nouveautés vues au Space : 1 lentreprise Appi-Bestico propose des solutions pour gérer les insectes nuisibles dans les élevages (mouches, ténébrions, poux ) ; 2 Kanne Brottrunk présente un booster énergétique à ajouter dans la ration des animaux ; 3 Intra Hoof IT a développé une bande cohésive en tissu naturel pour soigner les animaux ; 4 Toy, concepteur-fabricant-installateur de matériel pour la fabrication daliments à la ferme (FAF), présente une nouvelle gamme déquipements ; 5 Via Végétale propose un complexe bactérien à appliquer au sol et visant à améliorer la dégradation des résidus de végétaux et à aider à protéger les végétaux. La dernière partie est consacrée à sept nouveautés découvertes au Sima (salon dédié au matériel agricole) : 1 Actisol présente son nouvel outil polyvalent (mulcheur et semoir) ; 2 Agrivaux propose des bineuses robustes et faciles à régler ; 3 APV a développé une nouvelle herse pour la régénération et le sursemis des prairies ; 4 Bioret Agri propose un séparateur de lisier (partie liquide et solide) ; 5 Monosem présente un nouveau matériel pour le semis ; 6 Samson Group-Pichon a inventé un analyseur de matière organique solide pour épandeur à fumier ; 7 Naïo propose un nouveau robot électrique et autonome destiné aux cultures en lignes.
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Couverts végétaux en conditions difficiles : Semer malgré tout ?
Robin EUVRARD, AuteurLes bienfaits des couverts végétaux ne sont plus à démontrer, notamment en viticulture biologique. Toutefois, leur mise en place et leur destruction peuvent savérer délicates dans les vignes cultivées en conditions « extrêmes » (vignes peu mécanisables). Dans tous les cas, il est important dimplanter des espèces en fonction de lobjectif recherché : couvrir le sol pour assurer la portance et limiter lérosion ? Augmenter la fertilité des sols ? Augmenter la biodiversité des parcelles ? En conditions difficiles ou en sol souvent séchant, il est conseillé dimplanter des espèces à cycle court pour assurer une forte production de biomasse dès le mois de novembre et de réaliser le semis peu de temps après les vendanges afin de profiter des premières pluies. Il est également préférable daugmenter la densité de semis pour optimiser la couverture. Les semoirs adaptés aux conditions difficiles sont peu nombreux (semoir sur treuil, sur chenillettes ou sur enjambeur) et il nest pas rare que les vignerons les autoconstruisent, certaines fois aidés par lAtelier Paysan. Aujourd'hui, plusieurs solutions techniques sont néanmoins disponibles. Cet article est accompagné de trois encarts : lun est consacré aux vignes non mécanisables, un autre aux couverts permanents et le troisième aux techniques régénératives et aux enrobages.
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" Cuma et délégation pour limiter mon parc matériel "
Michel PORTIER, AuteurEric Nuttinck est installé en bio depuis une quarantaine dannées, sur des terres caillouteuses très superficielles, au nord de la Côte-dOr. Son exploitation, dune SAU de 230 ha, comporte 155 ha de cultures (blé dhiver et de printemps, orge de printemps, lentille verte, moutarde, sarrasin et tournesol) et 75 ha de luzerne, de sainfoin et de prairies temporaires. Cet agriculteur a fait le choix de réduire son parc de matériels pour limiter ses charges de mécanisation. Il concentre maintenant ses investissements sur son seul tracteur et sur ses deux déchaumeurs. Il fait appel à la Cuma pour les autres outils et à une ETA (entreprise de travaux agricoles) pour le semis. La délégation des travaux à une ETA lui permet également déconomiser du temps de travail (avant, cet agriculteur faisait face à une problématique de main duvre avec la transformation et la vente directe de ses produits). Ce système (matériel en Cuma et travaux délégués à une ETA) lui permet aussi de disposer de matériel plus performant, notamment un semoir multitrémie capable de semer plusieurs graines ou de fertiliser au semis (lachat de ce dernier naurait pas été rentable pour la surface de son exploitation).
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Semer du blé derrière une luzerne
Pascal BORDEAU, AuteurEn bio, deux options sont possibles pour que le blé bénéficie de lazote apporté par une luzerne en place : soit casser la luzerne très proprement ; soit faire cohabiter ces deux cultures. Eric Planchon, responsable des grandes cultures au sein de lexploitation familiale SCEA Bio Plaine, dans la Vienne, revient sur ces deux techniques. Cet agriculteur cherche à éviter au maximum le labour. Pour casser la luzerne avant un semis de blé, plusieurs outils ont été testés sur la ferme. Dans les sols argilocalcaires caillouteux de lexploitation, cest un enfouisseur (composé dune fraise rotative tournant à lenvers, dun peigne, dune planche niveleuse et dun rouleau) qui sest montré le plus efficace. Cet outil sert également à enfouir des couverts végétaux à la sortie de lhiver. Toutefois, Eric Planchon souhaite aller plus loin avec la luzerne, en la gardant vivante dans la culture de blé. Il a, pour cela, semé de la luzerne à la volée, en mars, puis la travaillée à la bineuse pour créer des rangs de 5 cm de large, avant de semer le blé dans ces intervalles. Pour réaliser ce semis intercalaire, Eric Planchon a fabriqué lui-même un semoir à partir du châssis de sa bineuse. Il a également conçu un broyeur inter-rangs pour gérer la pousse de la luzerne. Il sest alors à nouveau servi du châssis de sa bineuse. La luzerne est ainsi broyée et roulée. Néanmoins, le blé peine encore à prendre le dessus sur la luzerne.
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Grandes cultures : Zoom sur le matériel ; Autres nouveautés
Christine RIVRY-FOURNIER, Auteur ; Frédéric RIPOCHE, AuteurSuite à lannulation de nombreux salons professionnels en raison de la crise sanitaire Covid-19, la revue Biofil a proposé à des fabricants et distributeurs de matériels dédiés aux grandes cultures de présenter leurs nouveautés. Les matériels et équipements suivants sont décrits : 1 le mulcheur à stelles Stellair dActisol ; 2 des équipements pour pouvoir déchaumer, fissurer et scalper avec un déchaumeur lourd, développés par Adi Carbures ; 3 les semoirs monograines Ozdoken dAgripartner ; 4 le vibro-scalpeur Bio Eurocult dAgrosoil ; 5 la herse étrille Vario VS dAPV ; 6 la ligne de nettoyage des grains bio et semences de Bühler ; 7 la houe rotative Rotanet Control de Carré ; 8 le décompacteur Helios de Grégoire Besson ; 9 la rampe de semis Taro SL dHorsch ; 10 la fraise rotative EL Biomulch de Kuhn ; 11 la herse peigne trois rangées de Kverneland ; 12 le combiné de semis avec trémie frontale de Pöttinger ; 13 les semoirs de semis direct à dents T-Sem de Simtech ; 14 la gamme de fraises rotatives « bio » de Stecomat ; 15 linterface de guidage de Terrateck. Quelques nouveautés destinées à dautres productions sont présentées : 1 le biostimulant Biosmart® dAgrauxine by Lesaffre pour homogénéiser la floraison des vignes ; 2 - le pulvérisateur à dos Pulsar 15 L Electric dHozelock ; 3 lantioxydant Paradigmox Green de Kemin pour éviter loxydation des aliments des animaux délevage.
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"Je valorise les trois trémies de mon semoir"
Michel PORTIER, AuteurInstallé en Côte-d'Or, Arnaud Lamiral est polyculteur-éleveur sur une exploitation convertie à l'agriculture biologique en 2021. Il réalise quasiment l'intégralité de ses semis, que ce soit en itinéraires simplifiés ou non, en cultures pures ou en associations, avec un semoir semi-porté Sky Easydrill W6000 HD de 6 mètres. Équipé de trois trémies, celui-ci permet à l'agriculteur d'apporter, en un seul passage, la semence, le fertilisant et un activateur de sol, ou différentes semences pour les cultures associées. Témoignage et explications techniques dans cet article.
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Les matériels vus à Tech&Bio
Adrien LASNIER, Auteur ; Maude LE CORRE, AuteurCet article propose un panel de différents matériels présentés à l'occasion du Salon Tech&Bio de septembre 2021, et plus particulièrement dédiés aux producteurs de fruits et légumes, bio mais aussi conventionnels : - une récolteuse manuelle de pommes à cidre ou de fruits à coque ; - une tour antigel mobile ; - un plateau automoteur de maraîchage ; - des gouttières en PVC pour la culture d'endives ; - un système permettant, depuis la cabine du tracteur, de changer de mode de pulvérisation (pneumatique ou à jets portés avec buses anti-dérives) ; - un porteur maraîcher électrique automoteur ; - un semoir maraîcher.
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Semis direct dans une prairie vivante : Dans le Cantal, on remet le couvert ; Sursemis : témoignages : Les clés pour faire durer les prairies
Frédéric RIPOCHE, AuteurPour faire face aux sécheresses à répétition et à leurs impacts sur les prairies (mauvaise régénération), des éleveurs bio du Cantal pratiquent, depuis cinq ans, le semis direct dans des prairies vivantes. Cette technique consiste à semer des méteils fourragers ou des espèces prairiales, en fin dété, pour régénérer des prairies sans les retourner. Des essais ont été mis en place durant deux ans (2020-2022) sur différents types de sols. Dans cet article, Vincent Vigier, conseiller spécialisé bio à la Chambre dagriculture du Cantal, réalise un bilan de ces essais et apporte des informations sur cette pratique : bénéfices, itinéraire technique, matériel, choix des espèces En complément, deux éleveurs bio (Franck Jaulhac et Thierry Teissedre, respectivement installés à 600 et 1 100 m daltitude en vaches laitières) et le Lycée agricole dAurillac apportent leur expérience sur le sursemis de prairies. Chacun dentre eux adapte ses techniques au contexte pédoclimatique de sa ferme et à ses objectifs et se déclare satisfait des résultats obtenus.
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Les bons outils pour implanter ses couverts
Ludovic VIMOND, AuteurCet article effectue un tour dhorizon des différentes techniques pour implanter un couvert en viticulture. Bien quécrit dans un contexte conventionnel, il présente des éléments intéressants pour les viticulteurs biologiques. La technique utilisée ne sera pas la même selon la densité de lenherbement déjà présent et les objectifs du viticulteur. Si ce dernier souhaite maîtriser lenherbement, un travail de destruction du couvert naturel sera effectué (destruction mécanique) avant de procéder au semis. Ce travail de destruction peut également être réalisé en même temps que le semis en utilisant un combiné de semis. Si le viticulteur souhaite conserver le couvert naturel, il pourra effectuer un semis direct pour compléter lenherbement déjà en place avec des espèces aux propriétés intéressantes (restructuration du sol, captation de lazote de lair ). Deux types dimplantation des semences sont alors possibles : implantation avec un semoir à dents ou avec un semoir à disques. Les avantages et les inconvénients de chacune de ces techniques et outils sont détaillés.
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Désherbage mécanique en grandes cultures : Progresser en qualité et débit de chantier
Philippe MOUQUOT, AuteurFace à la progression des surfaces en grandes cultures bio, les constructeurs doutils de désherbage mécanique améliorent la précision, la polyvalence et la vitesse dintervention de leurs matériels. Le guidage RTK est quasiment devenu incontournable : il permet dêtre plus précis, de gagner en confort de travail et ainsi dintervenir plus longtemps sur une journée. Il faut noter quavec laugmentation de loffre satellitaire, les zones couvertes sont plus grandes et le positionnement est encore plus précis. Par ailleurs, pour profiter au maximum des performances offertes par un outil de désherbage mécanique, il ne faut pas que les outils de préparation du sol génèrent des creux (le sol doit être le plus plat possible) et la forme des parcelles doit être adaptée (il est possible de semer des bandes enherbées dans les pointes et les contours irréguliers des parcelles). Concernant la gestion du stock semencier dune parcelle, le scalpage avant semis et après récolte est une solution intéressante. Les avantages et les inconvénients des scalpeurs de différents constructeurs (Treffler, Horsch, Lemken, Köckerling, EuM Agrotec, Bonnel et Kühn) sont détaillés. Des innovations, mises en place sur des semoirs et sur certains matériels de désherbage mécanique (herses étrilles, bineuses, disques) afin daccroître leurs performances, sont également présentées.
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« La précision du binage se raisonne dès le semis »
Michel PORTIER, AuteurVincent Seyeux est un céréalier bio installé sur 350 ha, en Mayenne. Adepte du semis sous couvert, il sest lancé dans le bio, en 2010, en ne convertissant, dans un premier temps, quune centaine dhectares. Lengagement en bio dune partie de ses surfaces (et non la totalité) lui a permis de tester de nouveaux itinéraires techniques. Il a notamment investi dans une bineuse équipée dun système de guidage par roue-trace. En 2016-2017, Vincent Seyeux a converti le reste de son exploitation en bio et a développé une activité de commercialisation de graines bio (un encart apporte de plus amples informations sur cette activité). Laugmentation des surfaces à désherber mécaniquement la poussé à investir dans une bineuse autoguidée par caméra, car le guidage par roue-trace noffrait pas un débit de chantier suffisant. Estimant également que la précision du binage se joue dès le semis, Vincent Seyeux a investi dans un semoir Horsch Pronto. Ce dernier a une barre de semis à double disque dont les éléments très stables créent des lignes de semis rectilignes et propres.
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Rapport de stage : Le semis direct dans les prairies vivantes
Ce rapport de stage a été rédigé par Firmin Chambon, étudiant en Licence Professionnelle Expertise agro-environnementale et conduite de projet (année universitaire 2019-2020), lors de son stage à la Chambre dagriculture du Cantal sur la thématique du semis direct dans les prairies vivantes. Le Cantal est un département tourné vers lélevage de ruminants, avec près de 95 % de la SAU en prairies. Néanmoins, ces dernières années, les éleveurs ont enregistré une diminution significative de leurs productions fourragères en raison de sécheresses répétées et des dégâts causés par les campagnols. En 2017, quelques éleveurs ont testé le semis direct dans des prairies vivantes (sur une dizaine dhectares) afin de réintroduire rapidement une flore productive. A lautomne 2019, cette méthode a été utilisée sur plus de 1 400 ha. Lobjectif du stage était dévaluer les semis directs réalisés à lautomne 2019 et de déterminer les facteurs pouvant influencer le développement de ces semis. Pour cela, Firmin Chambon a réalisé des entretiens avec des éleveurs expérimentés afin didentifier leurs itinéraires techniques et de compiler leurs retours dexpériences. En complément, il a aussi enquêté des agriculteurs novices, cest-à-dire des agriculteurs qui ont réalisé leurs premiers semis directs en 2019. Ces différents travaux ont permis de définir plusieurs facteurs de réussite : il faut réaliser ce type de semis dans une prairie peu dense, intervenir assez tôt en automne, sélectionner des semences au développement rapide pour quelles puissent concurrencer et prendre le dessus sur le couvert, semer assez dense, utiliser un semoir adapté et apporter une fertilisation azotée minimale au printemps.
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Un seul semoir pour toutes les cultures
Pierre-Joseph DELORME, AuteurPatrick et Nicolas Roustan sont installés en grandes cultures bio, en Ardèche. Ils ont fait le choix dinvestir 50 000 dans un semoir monograine (Monoshox NG Plus M de Monosem) afin de remplacer deux anciens semoirs. Leur objectif est ainsi dimplanter toutes leurs cultures (blé, colza, pois chiche, tournesol, sarrasin, riz pluvial ) avec un seul semoir et davoir la possibilité de biner entre les rangs pour contrôler le développement des adventices. Le semoir choisi dispose de 13 rangs avec un inter-rang de 30 cm, ce qui permet, pour le blé, daérer la culture et de la rendre moins sensible à certaines maladies. En utilisant un élément du semoir sur deux, il est également possible de semer à 60 cm dinter-rang (ex : pour le tournesol). Patrick et Nicolas Roustan sont très satisfaits de leur première campagne avec ce semoir. Ils sont notamment ravis de la qualité de limplantation : cette dernière est la même, quelles que soient la culture et la taille de la graine. Pour le binage, ils se sont équipés avec un appareil attelé à lavant. Pour eux, le couple semoir-bineuse est incontournable en bio.