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Gestes de base : Le badigeon
Gauthier BAUDOIN, AuteurEn agriculture biodynamique, le badigeon, geste typique de l'arrière-saison, consiste à appliquer sur le tronc des plantes pérennes, en particulier celui des arbres fruitiers, une préparation à base d'argile et de bouse de vache, diluée avec du petit-lait et avec une décoction de prêle. En inhibant le développement des mousses et des lichens et en empêchant les insectes de se réfugier dans l'écorce, le badigeon protège l'arbre. Il contribue également à la fertilisation de l'arbre, puisque celui-ci est capable d'absorber des minéraux par son écorce. La composition du badigeon et la façon de le préparer, notamment en ajoutant d'autres ingrédients (propolis, fiente de volaille, huiles essentielles, cendre de bois...), sont expliquées.
Le guide du jardin bio : Potager, verger, jardin d'ornement - 4ème édition
Jean-Paul THOREZ, Auteur ; Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2020Ce guide de jardinage bio, dont cest la 4ème édition, est devenu une référence pour tout jardinier cherchant à concilier productivité, beauté du jardin et respect de l'environnement. Il aborde les fondamentaux du jardin bio, ainsi que les cultures potagères, aromatiques, fruitières et ornementales. Plus de 150 fiches de cultures sont proposées - toutes accompagnées de leur calendrier de semis, de plantation et de récolte - illustrées de photos et de nombreux dessins techniques, pour une meilleure compréhension des gestes et travaux de jardin à réaliser. Une large sélection d'espèces et de variétés sont présentées et décrites, permettant de faire son choix selon le climat de sa région, la taille de son terrain, la qualité de son sol Les travaux de saison, glossaire, index et adresses utiles en fin d'ouvrage seront également d'une grande aide. Cette nouvelle édition tient compte des plus récentes avancées scientifiques et techniques, en phase avec les évolutions du jardinage bio, comme la permaculture, le jardinage sur sol vivant, le potager en carrés ou sur buttes... La liste des variétés potagères a été allégée des variétés hybrides F1, compte-tenu de la nature particulière et du renouvellement incessant de celles-ci, pour se concentrer sur les variétés classiques ou traditionnelles qui conservent tout leur intérêt.
Guide pratique des plantes sauvages : Les reconnaître et les utiliser facilement
Cet ouvrage permet dapprendre à reconnaître, à récolter et à utiliser facilement les plantes sauvages. Avec la méthode OSAPIC©, présentée dans cet ouvrage, lauteure transmet des clés élaborées au cours de nombreuses années de pratique et de formation auprès d'un public de débutants et de passionnés. Des "Fiches familles" et des "Fiches plantes" permettent de comprendre comment identifier un grand nombre de plantes. Des "Fiches techniques" offrent une large palette de façons d'utiliser, parfois de manière inhabituelle, les plantes communes pour salimenter, confectionner des outils, des produits de soins et dhygiène corporelle De la simple soupe au cordage avec les orties, en passant par la réalisation d'un steak végétal, d'un shampoing de lamier blanc, ou d'une lessive de lierre, les « mauvaises herbes » n'ont plus aucun secret et se révèlent de précieuses alliées, tant à la maison que dans le cadre des activités de pleine nature.
Les haies fourragères, une piste pour compléter le pâturage l'été ?
Cindy SCHRADER, AuteurFace au réchauffement climatique, perceptible en Bretagne, le Cedapa a organisé une journée sur le potentiel fourrager des haies. Daprès des études de lINRA de Lusignan, à Poitiers, les valeurs alimentaires de laulne glutineux, du prunelier et du frêne sont proches, voire plus riches que celles du ray grass et de la luzerne. Chez Jean-Yves Penn, éleveur laitier à Ploërdut (56), les chênes, châtaigniers et hêtres entourant les prairies complètent le pâturage lété : jusquà 2 ou 3 kg MS sont mangés par vache laitière et par jour. Les années sèches, cette complémentation ne suffit pas mais permet de réduire les besoins fourragers.
Ingestion volontaire et digestibilité in vivo de feuilles de deux essences darbres, le frêne commun (Fraxinus excelsior) et le mûrier blanc (Morus alba)
M. BERNARD, Auteur ; C. GINANE, Auteur ; S. NOVAK, Auteur ; ET AL., AuteurIn vitro, le frêne commun et le mûrier blanc présentent un potentiel fourrager intéressant, constituant une alternative crédible aux ressources herbagères en période de sécheresse estivale. Pour confirmer ces résultats et affiner les connaissances sur ces nouveaux fourrages, il est nécessaire de mettre en place des études portant sur leur valeur alimentaire in vivo. Pour initier ce travail, ces deux essences ont été distribuées, seules et à volonté, à deux lots de six moutons adultes à lentretien (un lot pour le frêne et un lot pour le mûrier). Un troisième lot de six moutons (lot témoin) a été alimenté avec du foin de prairie permanente. L'expérimentation s'est déroulée à l'unité expérimentale Herbipôle de l'INRAE de Theix (63). Durant trois semaines, des mesures ont été réalisées sur les quantités ingérées, ainsi que sur la digestibilité. Ce travail a démontré que les feuilles étaient consommées en quantité très importante et correctement digérées par les animaux. De par leur faible teneur en parois, les feuilles de ces arbres pourraient donc être utilisées pour des animaux à forts besoins, quils soient en production ou en croissance. Ce travail devra être étendu à de nouvelles essences pour connaître le potentiel fourrager des principaux arbres présents en zone tempérée.
Je veux un jardin tout de suite ! : Aménager son espace en partant de presque rien
Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Serge LAPOUGE, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2020Cet ouvrage aux nombreuses illustrations s'adresse aux débutants, qui y trouveront tous les gestes techniques, mais aussi aux jardiniers aguerris, qui y puiseront de nombreuses idées. Il intéressera toutes les personnes souhaitant restaurer un jardin peu ou pas entretenu ou celles désireuses de créer rapidement (en 3 à 6 mois) un beau jardin, par exemple après un chantier. Ce livre présente en effet : La marche à suivre pour tenir compte des contraintes du sol, du climat, préparer le terrain, le soigner, l'ensemencer... ; Un large choix de plantes faciles à réussir pour un jardin vite fleuri : annuelles, bisannuelles, bulbes, grimpantes, rosiers... ; Un focus sur les arbres, haies arbustives, arbustes : comment débroussailler, tailler, que conserver, que supprimer, quelles variétés choisir ? ; Des explications pour concevoir séparations et cheminements : allées, treillages, palissades, terrasses... ; Des techniques inspirées de la permaculture : zonage pour le plan du jardin, culture en lasagnes pour un potager rapidement productif. Le livre comprend aussi un calendrier des travaux, fournit des conseils pour amener la biodiversité au jardin (insectes, oiseaux) et suggère de nombreuses associations réussies de fleurs.
La méthode asimine
Omar MAHDI, AuteurL'asimine, fruit de l'asiminier, arbre tropical, présente une texture crémeuse qui rappelle un peu celle de l'avocat, et ses arômes évoquent la mangue, la banane et l'ananas. L'asiminier, cultivé par des jardiniers amateurs dans de nombreux pays, est de culture assez facile, à condition de respecter certaines conditions, en particulier lors de la plantation. Il est possible de choisir un plant vendu greffé, qui aura un coût supérieur à celui d'un plant issu de semis, mais garantira une mise à fruits plus rapide (en moyenne 3 ans). Il existe de nombreuses variétés. Raphaël Colicci, créateur d'un verger conservatoire dans l'Hérault, explique que cet arbre, résistant à de grandes amplitudes thermiques, présente de nombreux avantages face au changement climatique. Par ailleurs, ses fruits, concentrés de vitamines A et C et d'oligo-éléments, possèdent des propriétés prometteuses en matière de santé. Selon Gilbert Flabeau, qui en possède 2 dans son jardin, près de Tours, la culture de l'asiminier a vocation à se développer en Europe car il a les capacités de résister aux "nouvelles saisons", et l'asimine pourrait bien être le fruit de demain.
Pourquoi Comment : Gérer et valoriser les haies bocagères
FD CIVAM DE LOIRE-ATLANTIQUE, Auteur ; CIVAM AD 49, Auteur ; CIVAM AD 72, Auteur ; ET AL., Auteur | SAFFRÉ (4 Rue de la Résistance, 44 390, FRANCE) : FR CIVAM PAYS DE LA LOIRE | 2020Après un rappel sur les intérêts écologiques, agronomiques et économiques des haies bocagères, ainsi que sur la réglementation (plantation, PAC, documents durbanisme), ce document présente 8 exploitations qui abordent la gestion et la valorisation des haies sur leur ferme : planification, densification, entretien, accueil de la biodiversité, production de fourrages, de plaquettes, de bois duvre Chaque exploitation fait lobjet dune fiche qui développe une thématique en particulier. 3 des fiches sont enrichies de vidéos tutorielles qui donnent à voir des repères techniques et pratiques de base : Comment recéper un arbre ? ; Comment former un arbre têtard ? ; Comment réaliser une taille de formation ?
Vers lidentification darbres pouvant servir de ressource fourragère complémentaire pour les ruminants dans les conditions climatiques de lAuvergne en 2050
A. WIELEMANS, Auteur ; M. BERNARD, Auteur ; J. NGAO, Auteur ; ET AL., AuteurDans le contexte du changement climatique global, la diversification des ressources fourragères pour les ruminants devient une nécessité. Les arbres peuvent-ils être une ressource alimentaire complémentaire adaptée aux épisodes climatiques défavorables ? Les mesures réalisées dans le cadre de cette étude ont permis destimer la valeur alimentaire, la capacité de résistance au gel et la capacité de résistance à la sécheresse des feuilles de 14 espèces ligneuses présentes en Auvergne. Lanalyse de leur composition chimique et la mesure in vitro de leur digestibilité révèlent que le mûrier blanc et le sureau ont un potentiel nutritif élevé et équivalent à celui du ray-grass anglais qui a été pris comme témoin. Dautres espèces, telles que le groseillier des Alpes et le tilleul, montrent une bonne résistance à la sécheresse et aux gelées. Bien que des compromis soient nécessaires, certaines espèces ligneuses autochtones pourraient représenter une ressource fourragère complémentaire intéressante pour les ruminants dans les conditions climatiques de lAuvergne en 2050.
Agroforesterie dans nos vignobles : Des résultats agronomiques encourageants
TRAVAUX ET INNOVATIONS, AuteurLe projet Vitiforest (2015-2018) est un programme détude collaboratif portant sur lagroforesterie en viticulture. Il avait pour objectif, entre autres, détudier limpact des arbres sur le comportement agronomique de la vigne et sur la biodiversité. Pour cela, des suivis ont été réalisés dans deux vignobles agroforestiers : une parcelle en AB de 3,5 ha en Gironde (où les arbres ont été plantés sur deux rangs à la place de pieds de vigne manquants), et une parcelle de 2,2 ha dans le Gers (où les arbres ont été plantés sur trois lignes enherbées qui leur étaient réservées, à 3,50 m de la vigne). Pour maîtriser la compétition entre les arbres et la vigne, plusieurs leviers ont été mobilisés : la gestion des arbres (taille et cernage du système racinaire), la fertilisation et lentretien du sol (couverts riches en légumineuses), ou encore la gestion de lirrigation. Au bout de 8 à 9 ans, les résultats montrent que la présence des arbres na pas eu deffet direct sur la vigueur de la vigne ou sur la composition des raisins. Concernant la biodiversité, les résultats variés en la matière nont pas permis de conclure à un effet positif des arbres intra-parcellaires. Toutefois, ces derniers apportent une strate de végétation supplémentaire, ce qui peut créer de nouvelles niches écologiques.
Curieux kaki
Jérôme JULLIEN, AuteurLe kaki ("nourriture céleste" en japonais), parfois appelé plaqueminier du Japon, plaquemine de Chine, figue caque ou encore abricot du Japon, compte des centaines de variétés. Il est traditionnellement cultivé en Asie, mais aussi, notamment, en Algérie, en Tunisie, en Israël et au Brésil. Pour être bon, le fruit se consomme lorsqu'il est blet, souvent cueilli pour cette raison après les premières gelées, en novembre-décembre. Il est alors juteux et parfumé. Certaines variétés de kaki pomme ("Fuyu", "Jiro"), à la chair non astringente, peuvent se consommer fermes. Sébastien Grange, pépiniériste fruitier bio dans le Gard, recommande les variétés à gros fruits, plus résistantes au froid, et dont l'astringence des fruits disparaît à maturité physiologique (par exemple "Muscat" ou "Hachiya"). Pour réussir la culture du plaqueminier du Japon, quelques conseils sont à prendre en considération.
Dossier : Faire face au changement climatique
Joachim PERROCHEAU, Auteur ; Cyrielle DENHARTIGH, Auteur ; Alice BOISSINOT, Auteur ; ET AL., AuteurLe partage et léchange dinformations, de réflexions et des pratiques qui marchent forment une véritable intelligence collective face au défi climatique. Les éleveurs des 1 300 fermes collectées par Biolait ne manquent pas de ressources et dimagination pour sadapter aux effets du changement climatique et aller vers plus dautonomie et de résilience sur les fermes, comme le montrent les témoignages de ce dossier. - Qu'entend-on par changement "climatique" ? ; - L'agriculture biologique : un atout face au changement climatique ; - Faire face au changement climatique : une réflexion et des actions à engager dès maintenant ; - Projet Life Agri Adapt ; - Le sorgho, une plante d'avenir face à la sécheresse ; - L'adaptation des fermes aux changements climatiques ; - Pour faire face à la sécheresse, réfléchir à son chargement et à son assolement ; - Au GAEC Cras, des bilans carbone qui confirment que... ; - Face à des étés plus secs, augmenter la surface accessible avec une salle de traite mobile ; - La monotraite en période de fortes chaleurs : "Je l'ai d'abord fait pour les vaches" ; - Revenir à la base et simplifier... Vers une recherche de cohérence et de résilience ; - Nous avons implanté des haies bocagères sur notre ferme ; - La betterave, une plante faite pour résister à la sécheresse ; - Sécuriser ses stocks et ses rendements par un déprimage de fin d'hiver ; - Le pâturage d'été possible grâce à l'irrigation ; - Quand les prix de la paille déraillent... Quelles alternatives ; - Laisser les arbres reprendre leur place dans les systèmes agricoles : Le travail du collectif "déleveurs d'arbres" de l'association "Terres et bocages" ; - Oasys : Un système laitier agroécologique adapté au changement climatique ; - Des producteurs bio solidaires face aux difficultés climatiques.
Dossier : Quand la haie revit
Carine MAYO, Auteur ; Brigitte LAPOUGE-DEJEAN, Auteur ; Vincent ALBOUY, AuteurAprès avoir fait l'objet d'arrachages et avoir quasiment disparu des paysages agricoles, les haies reprennent peu à peu leur place. Au regard des enjeux du changement climatique, les atouts des haies sont remis en lumière. Dans les jardins, elles offrent de nombreux avantages tout en embellissant les espaces. Ce dossier consacré aux haies développe le rôle des haies dans le retour et dans la protection de la biodiversité, ainsi que dans la limitation de l'érosion des sols. Il fournit également de nombreux conseils pour réaliser, au jardin et dans nos espaces de vie, des haies variées, esthétiques, efficaces pour apporter de la fraîcheur, abriter et nourrir, etc. : - Le renouveau du bocage ? (rôle des haies dans l'écologie et l'économie d'un territoire, actions mises en place par des associations de sauvegarde) ; - Opération transformation (propositions d'amélioration d'une haie existante, du simple embellissement à la transformation...) ; - Chouchous des auxiliaires (présentation de dix espèces sélectionnées pour attirer pollinisateurs et auxiliaires au jardin) ; - Haie libre, taille légère (conseils pour intervenir au bon moment et en douceur).
Dossier : S'adapter au dérèglement climatique
Costie PRUILH, Auteur ; Bernard GRIFFOUL, AuteurLe changement climatique semble bel et bien en marche. Dans ce contexte, les acteurs du monde agricole sont à la recherche d'informations et de solutions. Deux projets, présentés dans ce dossier, ont tenté de simuler les évolutions de plusieurs indicateurs climatiques (températures, pluviométrie, ETP) et agronomiques (rendements...) dans des futurs plus ou moins lointains : Climalait, piloté par l'Institut de lÉlevage, et AP3C, porté par le Sidam. Le premier a travaillé sur les systèmes laitiers de 29 petites zones agricoles de toute la France alors que le second s'est concentré sur le Massif Central. Les principaux résultats des projections réalisées sont présentés. Sur le terrain, les éleveurs se mobilisent déjà pour adapter leurs systèmes. Dans ce dossier, certains éleveurs de vaches laitières partagent leurs pratiques qui consistent essentiellement à augmenter et/ou à diversifier leurs surfaces fourragères. A l'Inra de Lusignan, dans la Vienne, les expérimentations mises en place visent à sécuriser un système très pâturant, par exemple par l'implantation de prairies multi-espèces avec de la chicorée, la mise en place de cultures fourragères annuelles, la réalisation de stocks sur pied, ou encore la plantation d'arbres fourragers.
Elever des arbres
Laurent DREYFUS, AuteurSophie et Denis Rauzier ont une pépinière dans les Cévennes, en biodynamie depuis leurs débuts, il y a 26 ans. La pépinière La Feuillade est installée à 410 mètres d'altitude, sur un hectare et demi exposé au nord, longé par un torrent. Deux climats bien tranchés, jusqu'à - 15° C en hiver et très chaud l'été, ont endurci les quelque 500 variétés d'arbres de la pépinière : environ 325 variétés d'arbres fruitiers et d'ornement, 250 d'arbustes, 40 de grimpants et autant de rosiers. A La Feuillade, la biodynamie est pratiquée dans l'élaboration des composts, des terreaux de rempotage, et par les pulvérisations de bouse et de silice de corne. Elle contribue à renforcer la résistance et l'adaptation des arbres. En majorité, les arbres fruitiers sont sélectionnés et greffés chez des confrères pépiniéristes en bio et en conventionnel, reconnus pour la qualité des soins qu'ils portent à leurs arbres. Les arbres sont ensuite mis en jauge sur une parcelle qui leur est dédiée et qui a reçu de la bouse de corne et du compost de bouse. Denis teste régulièrement de nouvelles essences et variétés pour se préparer aux modifications climatiques.