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Documents disponibles dans cette catégorie (18075)


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2021 - année exceptionnelle dans la distribution spécialisée bio allemande
ECOZEPT, AuteurEn Allemagne, le marché bio continue sa progression, avec un chiffre d'affaires bio approchant les +6 % en 2021 par rapport à l'année précédente. Cependant la situation est particulière pour la distribution spécialisée bio, qui connaît une baisse, particulièrement dans les petites surfaces en zone urbaine, surtout au dernier trimestre 2021 (-10 % en moyenne). Cependant, il faut noter que la crise Covid-19 rend difficile toute comparaison avec les chiffres 2020 et que l'évolution des achats bio par rapport à 2019 reste très positive : + 30 % tous circuits confondus, + 15 % en magasin bio en 2021. Dans cet article, Ecozept établit un bilan détaillé des ventes bio 2021 en Allemagne, où figure l'évolution des ventes pour différents produits bio, ainsi que les perspectives pour 2022.
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2022-2027 : Un quinquennat pour réussir face à la crise écologique
Alexis GAZZO, Auteur ; Alice SIREYJOL, Auteur ; Agathe CHAUVIN, Auteur ; ET AL., Auteur | LE PRÉ-SAINT-GERVAIS (35/37 Rue Baudin, 93 310, FRANCE) : WWF FRANCE | 2022Le 5 mai 2022 a marqué le Jour du dépassement de la France : il aura fallu au pays seulement 4 mois pour consommer ce que les écosystèmes sont capables de lui fournir en un an. Pourtant, il est encore possible de redresser la barre dici 2027 : faire reculer le Jour du dépassement de 25 jours, soutenir 1,2 million demplois, sauver 28 000 vies humaines de la pollution de lair... Dans sa nouvelle étude, « Un quinquennat pour réussir face à la crise écologique », WWF France s'adresse au nouveau président français élu et se projette dans la France de 2027, à travers trois scénarios écologiques probables : le scénario "laisser aller", le scénario "engagements déjà pris" et le scénrio "planification écologique". Des recommandations sont formulées au gouvernement pour déployer la planification écologique.
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57 000 hectares de vergers bio
Adrien LASNIER, AuteurEntre 2015 et 2020, les surfaces fruitières bio ou en conversion ont doublé, passant d'environ 30 000 ha à 57 000 ha. Les deux espèces les plus cultivées, dans le verger bio comme dans le verger national (bio et non-bio confondus), sont les pommes (21 % des surfaces de fruits bio) et la noix (26 %). Un encart présente les chiffres 2021 de la part de consommation de 6 fruits frais bio par les ménages.
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Abattage à la ferme : Où en est le projet dAALVie ?
Frédéric RIPOCHE, AuteurAALVie (association pour labattage des animaux sur leur lieu de vie) était présente au salon La Terre est Notre Métier. Cette association fédère 150 adhérents, dont 80 fermes actives, et vise à développer lutilisation de caissons dabattage. Actuellement, ses actions se concentrent en Loire-Atlantique et en Vendée. Lobjectif est de réduire le stress de lanimal au moment de labattage : lanimal est étourdi et saigné à la ferme par un professionnel, dans un caisson dédié, puis la carcasse est transportée jusquà un abattoir ou dans une unité fixe. Ce système est testé dans le cadre de lexpérimentation nationale sur labattage mobile. Un premier essai approuvé par les autorités a bien fonctionné, mais la DDPP (direction départementale de la protection des populations) souhaite que le procédé soit renforcé pour être utilisé en routine. Un caisson avec un nouveau système de contention a été réfléchi et a reçu un avis très favorable de la part des autorités, mais il na pas encore reçu lagrément. Il faut dabord construire le prototype, puis le tester. AALVie prévoit aussi de construire une unité fixe destinée à la mise en carcasse des animaux. Elle serait basée à Machecoul, au sud de la Loire-Atlantique.
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Activité en Magasins Bio durant les 5 premiers mois 2022
BIO-LINEAIRES, AuteurCet article traite de l'évolution du chiffre d'affaires en magasins spécialisés bio durant les 5 premiers mois 2022. Le mois de mai étant difficilement représentatif en raison des jours fériés, on retiendra surtout l'évolution du CA en cumul sur l'année (- 16 % entre mai 2022 et mai 2021). À noter que le contexte médiatique ne joue pas nécessairement en faveur de la bio.
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Afterres2050 Biodiversité : Un scénario fondé sur la nature & pour la nature
Christian COUTURIER, Auteur ; Caroline GIBERT, Auteur ; Philippe POINTEREAU, Auteur ; ET AL., Auteur | TOULOUSE CEDEX 3 (75 Voie du TOEC, CS 27608, 31 076, FRANCE) : SOLAGRO | 2022Ce nouveau document, qui porte sur le volet biodiversité du scénario Afterres2050, fournit 12 propositions concrètes et réalistes pour préserver la biodiversité, tout en luttant contre le changement climatique. Il réaffirme quon ne peut résoudre les problèmes de préservation de la biodiversité sans se poser des questions plus larges, sur la transition énergétique, sur nos modes de production agricoles ou sur nos régimes alimentaires. Le scénario invite donc tous les acteurs du système alimentaire à changer les manières de produire et de consommer, et à avancer vers davantage de sobriété. 8 objectifs clairs sont énoncés : - maintenir et restaurer les habitats naturels ; - mieux protéger et exploiter les forêts ; - stopper lartificialisation ; - généraliser lagroécologie ; - désintensifier et réduire lélevage ; - stopper la déforestation importée ; - lutter contre le changement climatique ; - mettre fin à la surexploitation des ressources marines. Pour répondre à ces objectifs, Afterres2050 propose des solutions fondées sur la nature et pour la nature, pouvant être mises en uvre dès maintenant. Le scénario implique, outre un recours à lagroécologie qui impose des pratiques respectueuses de lenvironnement, un changement dans notre manière de nous nourrir, en optant pour des régimes alimentaires plus végétaux et biologiques, ou encore en modérant notre utilisation des sols. Ce scénario repose sur 4 leviers principaux daction : 1 - Le régime alimentaire des Français ; 2 - Les systèmes et les pratiques agricoles ; 3 - Les flux dimport-export ; 4 - Lutilisation des terres. Parmi les 12 actions prioritaires proposées : - Augmenter la part des infrastructures agroécologiques à 5 % de la SAU, avec un doublement du linéaire de haies et 10 % dagroforesterie ; - Augmenter les surfaces forestières de 3 millions dha ; - Réduire fortement lartificialisation des sols (en moyenne 10 000 ha par an dici 2050) ; - Réduire de 90 % lusage des pesticides chimiques et atteindre 70 % de surfaces en bio ; - Privilégier les élevages sous label ; - Réduire les importations des cultures à risque et être plus sobre dans la consommation de produits tropicaux ; - Atténuer les émissions de GES, substituer les ressources fossiles par des ressources renouvelables, séquestrer le carbone et sadapter au changement climatique ; - Réduire de 85 % la consommation de poissons piscivores.
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Agence BIO : Rapport d'activité 2021
L'Agence BIO, créée en 2001, a pour mission d'expliquer et de promouvoir l'agriculture et l'alimentation biologiques. L'Agence BIO met en place des actions d'information à destination des consommateurs. Elle collecte, analyse et partage les données sur la consommation et la production bio, soutient des projets de filières visant à structurer l'offre alimentaire bio française, accompagne l'objectif de 20 % de produits bio en restauration collective et facilite le dialogue des acteurs du secteur bio en France. Ce rapport présente les activités 2021 de l'Agence BIO.
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AGROBIO 35 : 30 ans, 31 portraits
Pour célébrer ses 30 années d'existence, le groupement des agriculteurs bio d'Ille-et-Vilaine présente les portraits de ses 31 adhérents et administrateurs. C'est l'occasion de retracer le chemin parcouru, autour des personnalités et des événements qui ont participé au développement de l'AB et de sa notoriété, par des innovations techniques, par la structuration et la maîtrise des filières par les producteurs, ou encore par l'accompagnement à l'installation...
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Ain : Les tofeuses du Bugey
Marie MELEC, AuteurÀ Peyrieu (01), Gaëlle Marchand-Plasse et Fanny Demarque cultivent du soja bio qu'elles transforment en tofu dans leur atelier, à Saint-Martin-de-Bavel, depuis 2022. Toutes les deux issues du monde de lélevage paysan, elles souhaitaient conserver une activité agricole et garder du temps pour leurs autres activités professionnelles et associatives. Pour cela, le travail est adapté de façon à être faisable par une seule personne. Gaëlle et Fanny se sont installées sur les principes de la société coopérative (SCIC) Les Fermes Partagées, présentée dans un encart. Ceci leur permet d'avoir un statut de salariées-entrepreneures et une meilleure couverture sociale. Gaëlle et Fanny ont bâti un système qui respecte leurs convictions : un voisin agriculteur livre leurs produits en échange des résidus de graines de soja pour l'alimentation animale, leur culture de protéines végétales est intégrée en partie dans les rotations des fermes maraîchères voisines (en échange de leur travail au champ) et permet de réduire les importations de soja et les impacts écologiques qu'elles génèrent. Elles commercialisent leur tofu (environ 40 kg par semaine) dans 2 AMAP et dans 4 magasins de producteurs, dans l'Ain et en Haute-Savoie. Elles souhaitent également développer la commercialisation en restauration collective.
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Alain Ferran, le vivant sous toutes ses formes
Soazig CORNU, AuteurAlain Ferran, vigneron et éleveur de brebis en biodynamie en Gironde (33), est installé au domaine du Tucaou depuis 1976. Le domaine est constitué de 28 ha de vignes, 8 ha de bois et 8 ha de prés et de jachères. C'est la découverte de vins alsaciens produits en biodynamie qui a poussé Alain à essayer ce mode de production. D'abord peu convaincu, Alain a cependant observé, au fil de sa pratique, les bienfaits de la biodynamie sur le sol et la vigne et sur la qualité des raisins et du vin qu'il produit. Depuis trois ans, il élève un troupeau de 60 brebis, qu'il fait pâturer dans les vignes. Il commercialise les agneaux en caissettes. La production viticole, aujourd'hui reprise par son fils Julien, est commercialisée en bouteilles, à l'export et à des grossistes comme Biocoop et Naturalia. Aujourd'hui jeune retraité, Alain Ferran se consacre à ses brebis et à l'accompagnement de porteurs de projets en biodynamie. À la fin de cet article, Jacques Fourès explique le processus et les vertus de la dynamisation de l'eau.
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L'alimentaire bio en GMS à fin 2021 ; Bilan 2021 en GMS : une année plus complexe ! ; Activité de la distribution Bio en 2021
Juliette FAVRE, Auteur ; BIO-LINEAIRES, AuteurD'après les données IRI, en France, la vente des produits bio (alimentaires et DPH) en GMS a connu une décroissance de -3,1 % en 2021, par rapport à 2020. Cependant, par rapport à 2019, année de référence avant la crise Covid-19, le marché bio en GMS a augmenté de 9,8 % en 2021. Un tableau présente les évolutions de chiffres daffaires en GMS pour de nombreux produits bio. Un article analyse le bilan 2021 de la consommation bio en GMS. Deux pages sont ensuite consacrées à lactivité des magasins spécialisés bio, de 2019 à 2021, avec graphiques et analyses.
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L'alimentaire bio en GMS à fin avril ; Les difficultés du bio en GSA se poursuivent
Juliette FAVRE, AuteurÀ la fin avril 2022, le recul des ventes de produits alimentaires bio en GMS depuis début 2022 s'est confirmé, avec une décroissance atteignant - 9,6 %, d'après les données IRI, par rapport à avril 2021 (contre - 6,5 % en février). La montée de l'inflation continue d'inciter les consommateurs à prêter davantage d'attention aux prix et, par conséquent, à favoriser les marques de distributeurs plus économiques. Les assortiments bio se réduisent significativement cette année dans les différents circuits des GMS, et à un rythme supérieur à celui des produits conventionnels. Seules quelques familles de produits (bières, produits d'hygiène et de beauté, aliments bébé), pour lesquelles l'écart de prix entre bio et conventionnel est plus restreint, échappent à la tendance.
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L'alimentaire bio en GMS à fin février ; Dans un contexte de contraction des ventes, l'inflation s'installe en GSA ; Activité de la distribution Bio fin 1er trimestre 2022
Juliette FAVRE, Auteur ; BIO-LINEAIRES, AuteurDébut 2022, le recul des ventes des produits alimentaires biologiques s'est poursuivi. Selon les données IRI, le chiffre d'affaires de la distribution bio en GMS a été affecté par une baisse de 6,5 % en février, par rapport à 2021. Seul le rayon bières et cidres bio a connu une évolution positive en un an, avec une augmentation du CA de 5,5 %. L'inflation s'installe en GMS, sur les produits de grande consommation, en bio comme en conventionnel. En février 2022, les trois quarts des produits de grande consommation et du frais en libre service étaient inflationnistes, contre 44 % en septembre 2021. Face à l'augmentation généralisée des prix, le comportement des consommateurs est modifié (achat de produits moins onéreux) ; c'est le label AB, dont le prix est plus élevé, qui risque d'en souffrir le plus. Deux tableaux présentent les chiffres de l'inflation, en bio et en conventionnel, des 5 catégories de produits les plus vendues en GMS. Pour finir, l'évolution 2019-2022 de l'activité de la distribution spécialisée bio, elle aussi en ralentissement, est présentée.
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Alimentation des porcs bio : Matières premières et protéines en questions ; Alimentation des porcs bio - Témoignages
Frédéric RIPOCHE, AuteurEntre flambée des prix et difficultés dapprovisionnement, notamment en apports protéïques, comment sadaptent les éleveurs de porcs bio, dans ce contexte, dautant plus sous pression que le marché du porc bio est en baisse (- 3 % entre 2020 et 2021, selon l'Agence BIO) ? A travers les témoignages de Pascal Petit, responsable technique du groupement Bio Direct, et déleveurs naisseurs plein-air ou naisseurs-engraisseurs en bâtiments, ces articles montrent un panel de solutions et dapproches mises en uvre. Point-clé : la maîtrise des coûts de production, avec la recherche dun niveau dautonomie dau moins 50 %, ou encore loptimisation de lalimentation via le rationnement et la chasse au gaspillage. Il est aussi important de travailler sur les performances délevage : réduire le nombre de porcelets à la naissance, mais avoir des nouveau-nés plus gros ; avoir des lots homogènes danimaux ; ne pas aller chercher les derniers kilos, trop coûteux à produire Autant déléments qui réduisent la consommation daliments. Sécuriser les approvisionnements, en privilégiant le local, est aussi un point important. Mais, le contexte amène à chercher des alternatives ou/et à retravailler les formulations des aliments pour sadapter. Ainsi, par exemple, Bio Direct travaille sur lutilisation de la levure de bière, incorporée jusquà 5 % dans ses formulations. Yannick Raud du GAEC Le Lambert, éleveur naisseur-engraisseur en Vendée, a recours à lachat de bouchons de luzerne, tout en optimisant son outil de fabrication daliments à la ferme pour des rations plus précises valorisant le maïs en grain humide. Gildas Alleno, éleveur naisseur-engraisseur dans les Côtes d'Armor, préfère avoir moins de porcelets, mais des sevrés plus homogènes et de qualité. Marie Scherrier, éleveuse en plein-air, travaille à réduire la part daliments achetés en intégrant le pâturage ou en développant un projet de fabrication daliments à la ferme avec l'achat de matériel doccasion.
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Alternatives aux intrants controversés en productions végétales et en élevage biologique - Résultats des projets européens Organic-PLUS et RELACS : Alternatives à lutilisation de tourbe, de paillages plastiques, de fertilisants issus de matière organique non bio, dantibiotiques
Ce diaporama présente une partie des résultats obtenus dans le cadre des projets européens Organic-PLUS et RELACS. Ces deux projets (2018-2022) visaient à réduire lutilisation dintrants controversés en agriculture biologique (ex : antibiotiques, tourbe ), afin de tendre vers des systèmes de production plus fidèles aux principes de la bio. Cette présentation se concentre sur les résultats obtenus dans Organic-PLUS sur le volet « sol » (alternatives aux effluents d'élevage non bio comme fertilisants, à la tourbe comme support de culture, au paillage plastique pour contrôler les adventices) et sur le volet « élevage » (alternatives aux antibiotiques et antiparasitaires chimiques, à la paille conventionnelle comme litière et aux vitamines de synthèse dans les rations). Les résultats obtenus par le projet RELACS viennent compléter cette partie sur lélevage. Ainsi, ce diaporama détaille, dans une première partie, les essais réalisés avec : 1 - un extrudeur de bois (visant à créer des fibres végétales utilisables comme supports de culture alternatifs à la tourbe, mulch végétal alternatif au paillage plastique et litière alternative à la paille conventionnelle) ; 2 - différents composts (comme alternatives à la tourbe) ; 3 - différentes matières fertilisantes issues de sources non controversées (origine urbaine, végan ou issues de l'agro-alimentaire) ; 4 - un nouveau type de plastique biodégradable et différents mulchs (comme alternatives aux paillages plastiques). Dans une seconde partie, il présente : 1 - un état des lieux de lutilisation des intrants controversés par les éleveurs bio français ; 2 - les différents essais mis en place par Organic-PLUS pour trouver des alternatives (avec un focus sur deux essais : leffet antibactérien dhuiles essentielles et une alimentation riche en tanins pour limiter la coccidiose chez les agneaux) ; 3 les résultats obtenus par RELACS pour trouver des alternatives aux antibiotiques pour gérer les mammites chez les vaches laitières.