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1 Français sur 2 consomme régulièrement bio
BIO-LINEAIRES, AuteurC'est ce qu'indique la 11ème édition du baromètre de l'Agence Bio / CSA 2014 : 49% des Français consomment bio au moins une fois par mois. Le développement de la consommation de produits bio est une tendance de fond. On notera, par ailleurs, que les consommateurs connaissent relativement bien les caractéristiques générales des produits bio, c'est-à-dire le fait que ce sont des produits définis comme "sans traitement et sans additif" par exemple. Les Français réclament cependant d'en savoir davantage, et attendent, en particulier, des informations sur l'origine des produits, sur le mode de production, et sur les contrôles. L'étude a permis également de connaître les principales catégories de produits les plus consommées en bio, et de cerner les raisons principales des consommateurs pour se tourner vers les produits bio, ainsi que les facteurs déterminants pour en consommer davantage.
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1 - Innovations et performances
Christophe DAVID, Auteur ; Joël ABECASSIS, Auteur ; M. CARCEA, Auteur ; ET AL., AuteurCe premier chapitre regroupe plusieurs articles sur les innovations et performances en agriculture biologique, issus des présentations au colloque DinABio, qui s'est déroulé les 13 et 14 novembre 2013 à Tours. Les articles sont regroupés en trois thématiques : Innovations en productions végétales, Innovations en élevage et Diversité de l'agriculture biologique et évaluation de ses performances. En productions végétales, les points suivants font l'objet d'un article : la qualité du blé, l'association relais blé/légumineuse fourragère, la lutte contre la carie commune, la conception et l'évaluation de systèmes de cultures innovants, l'évaluation des dégâts sur grappes et le phosphore en grandes cultures bio sans élevage. L'utilisation de vermicompost est étudiée dans l'objectif d'intensifier la production animale au pâturage. La diversité et les performances de l'agriculture biologique sont évaluées au travers de comparaisons entre élevage biologique et élevage conventionnel, l'adaptation de l'outil PERSYST à l'agriculture biologique et l'étude de cas-types régionalisés en grandes cultures. Les premières données de l'étude Nutrinet-Santé sur le profil des consommateurs de produits bio en France sont également présentés.
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10 ans d'expérimentations à Thorigné d'Anjou : réussite de la journée portes ouvertes "Concilier efficacité et agriculture durable"
Brigitte LAMBERT, Auteur ; Pierrick ROULIER, AuteurLa ferme expérimentale de Thorigné d'Anjou (49) organisait le 14 mai 2009 une journée portes ouvertes qui a accueilli 600 visiteurs. Etaient proposés quatre conférences et dix ateliers sur divers thèmes dont certains sont résumés dans cet article. Le premier résumé porte sur la conférence "Assurer le revenu en élevage biologique (lait et viande bovine)" qui a présenté des résultats économiques et les principaux systèmes rencontrés (bio "intensif", bio très économe, le système Broutard et le cas-type « Veaux sous la mère »). Suit un résumé de la conférence "Evaluer l'impact environnemental de l'élevage biologique" axée sur trois aspects : le bilan des minéraux, le coût énergétique et les émissions de gaz à effet de serre. Le troisième sujet porte sur la conférence "Commercialiser ses bovins en bio" qui a notamment souligné le problème de la commercialisation des mâles. Enfin, cet article se poursuit par un dernier thème : "Viser l'autonomie alimentaire du troupeau". Sur ce point, un préalable est nécessaire : adapter le chargement au potentiel du sol. Trois leviers sont possibles pour viser à l'autonomie alimentaire : les prairies temporaires multi-espèces (levier principal), la luzerne (en fonction de l'hydromorphie du sol, cette espèce nécessitant un sol sain) et les mélanges céréales-protéagineux.
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10 ans pour les FQC : l'âge ingrat ?
Trois nouvelles FQC (Filières Qualité Carrefour) chez Carrefour. Avec l'arrivée en rayon des salades bio, des crevettes brésiliennes et du café bio mexicain, le nombre total de FQC est porté à 115. Un effort tout à fait louable de la part du distributeur, qui toutefois n'affiche pas suffisamment ces avantages produits. En effet, peu d'informations sur les packagings permettent de les différencier des produits dits industriels. Si Carrefour fait des efforts pour satisfaire le consommateur, il serait judicieux de l'en informer.
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10 bonnes raisons d'acheter des produits biologiques certifiés
Aux USA, les produits biologiques (organic products) doivent être certifiés par un Etat indépendant ou par un organisme certificateur agréé, ce qui signifie que le produit a été obtenu selon les standards prescrits par les cahiers des charges, qui eux-mêmes doivent respecter les procédures émises par le "Board" fédéral. L'OTA (Organic Trade Association), l'une des principales associations de producteurs biologiques, assure la promotion du biologique américain en tant que méthode de production écologique qui valorise la biodiversité, les cycles naturels et l'activité biologique du terrain. Avec un chiffre d'affaires annuel de 46,8 milliards de francs et une croissance de 20 à 25 % par an, les produits biologiques ne sont plus une "niche" aux Etats-Unis. Plus de 50 % des points de vente de GMS offrent aux consommateurs une gamme de produits bio. Whole Foods l'un des plus grands distributeurs de produits bio, affirme ouvertement sa position anti-OGM.
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10 clés pour réussir en bio - Conversion & installation
Karim RIMAN, Auteur ; Éliette GIRARD, Auteur ; Barbara MEYER SOULA, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 10 (8 Cité Paradis, 75 493, FRANCE) : ÉDITIONS FRANCE AGRICOLE | 2016
Ce guide est destiné aux agriculteurs désireux de convertir leur ferme en bio et aux porteurs de projets d'installation en AB. Pour les premiers, il propose des clés qui leur permettront d'évaluer leur système de production et de déterminer les éléments à modifier dans leurs pratiques, d'identifier des appuis ou des structures relais et de définir les solutions les plus adaptées à leur situation. Ainsi, 10 clés sont proposées pour réussir la conversion : Saisir les opportunités pour faire sa place sur le marché ; Nouer de nouveaux contacts, tisser un réseau ; Questionner ses choix techniques ; Investir à bon escient ; Préparer financièrement la période de conversion ; Surmonter sa propre résistance au changement ; Sinformer, se former ; Convaincre les personnes impliquées dans lentreprise ; Se tester, avancer progressivement ; Franchir les étapes administratives. Pour les porteurs de projets d'installation en AB, 10 points sont soulignés pour passer du rêve à la réalité : Découvrir un secteur professionnel particulier ; Appréhender les difficultés du "hors cadre familial" ; Entrer dans une démarche de création ; Poser des bases solides en se mettant au clair personnellement ; Acquérir les compétences nécessaires ; Accéder au foncier, question épineuse ; Trouver les fonds ; Choisir un statut ; Démarrer progressivement ; Vivre les premiers temps de linstallation.
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10 Questions and Answers to the new organic production logo of the European Union
Alexander BECK, Auteur ; Andrzej SZEREMETA, Auteur ; Sabine EIGENSCHINK, Auteur | BRUXELLES (Rue du Commerce 124, 1000, BELGIQUE) : IFOAM EU GROUP | 2010Ce document, en anglais, publié par le groupe IFOAM-EU, présente les règles d'utilisation du nouveau logo européen pour l'agriculture biologique à travers 10 questions / réponses, et une sélection de textes réglementaires. La mise en place progressive de ce nouveau logo devra être aboutie le 30 juin 2012. Pour pouvoir bénéficier de l'appellation « biologique » et du logo, les produits doivent contenir plus de 95 % d'ingrédients biologiques, pour lesquels la production respecte le cahier des charges européen. Les produits issus de surfaces en conversion, et ceux dont le principal ingrédient provient de la chasse ou de la pêche, ne peuvent pas recevoir cette appellation. Les éléments à indiquer, en complément du logo, sont le code de l'organisme de contrôle, ainsi que l'origine des ingrédients biologiques (origine européenne et/ou non européenne, indication du pays d'origine). L'utilisation de logos privés ou nationaux, à côté du logo européen, est possible. Les aspects pratiques liés à l'étiquetage sont passés en revue (couleur, emplacement des différentes mentions à faire apparaître ).
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10 signaux prouvant que la transition agricole et alimentaire a commencé
En 2016, lagriculture responsable a gagné du terrain, les Français ont consommé de plus en plus responsable, la restauration a amélioré ses pratiques et les nouveaux modes de distribution (circuits courts, supermarchés coopératifs) ont progressé... Sur tous les fronts, on constate des avancées qui ne peuvent plus être ignorées. WWF France présente 10 signaux démontrant que la transition agricole et alimentaire est déjà à luvre. Selon lorganisation, il existe, en France, une partie de la population composée d'agriculteurs, de consommateurs, de collectivités locales, de producteurs et dentreprises qui mènent déjà, à leur échelle, la transition vers un nouveau modèle agricole et alimentaire.
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100% d'agriculture durable en 2020
100% d'agriculture durable en 2020 : cet objectif, certes ambitieux, est réalisable, d'après l'Alliance pour la planète, collectif d'ONG qui a défendu cette position lors du Grenelle de l'environnement. En une page, P. Cousinié de la FNCIVAM résume les mesures à prendre pour l'atteindre : réduction du recours aux intrants chimiques (et taxation de ces intrants), autonomie en protéines (avec la suppression de la limitation de la production d'oléagineux en Europe), diversité des semences paysannes, restauration collective en filière courte, réorientation des aides PAC
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100 arguments en faveur de l'agriculture biologique
Ce document, édité par l'Institut de recherche de l'AB suisse, présente 100 arguments en faveur de l'agriculture biologique, en fournissant, pour chacun, plusieurs références documentaires issues de résultats scientifiques, mais aussi d'ordonnances et de cahiers des charges biologiques suisses. Les arguments sont regroupés sous 16 thématiques : - Le bio est vraiment bio ; - Le bio est cohérent ; - Le bio est plus sûr ; - Les produits bio sont différents ; - Les produits bio sont plus riches ; - Le bio travaille sans manipulations génétiques ; - Les animaux bio vivent mieux ; - Moins de médecine conventionnelle pour les animaux bio ; - Le bio favorise la biodiversité ; - Le bio prend soin du sol ; - Le bio protège l'eau, les cours d'eau et les lacs ; - Le bio économise l'énergie ; - Le bio est bon pour le climat ; - Le bio est social ; - Le bio fournit des plus-values sociétales ; - Le bio est important pour l'alimentation du monde.
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Le 100% bio au service des parfumeurs
Dans la Drôme, au Sud du Vercors, la ferme expérimentale Sanoflore, d'une vingtaine d'hectares, créée dans les années 80, a su faire sienne l'idée de produire du cent pour cent origine végétal biologique pour le mettre en bouteille. Avec 6,3 millions de chiffre d'affaires, cette ferme emploie aujourd'hui 75 personnes, et utilise en priorité un approvisionnement local (170 hectares de la SICA Bioplantes). Une distillerie assure la production d'huiles essentielles et d'aromathérapie selon les normes Ecocert et Cosmébio. Un jardin botanique et un musée assurent la vulgarisation pédagogique de cette expérience originale.
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100 % cosmétique bio : Expériences croisées de deux magasins spécialisés en beauté naturelle
BIO-LINEAIRES, AuteurFrédérique Warnet (L'Herbe à Savon, à Paris) et Marlène Pernot (M & B Bio, à Nancy) sont toutes les deux gérantes de magasins spécialisés en cosmétique bio. Dans cet article, elles présentent tour à tour leur magasin, puis expliquent le concept de leur enseigne, sur quels critères elles ont choisi leurs marques et leurs gammes de produits, les relations avec les fournisseurs, avec les clients, leur implication dans la diffusion d'informations sur la cosmétique bio... Chacune à sa façon, elles contribuent au développement de cette filière et à la diversification de ses produits.
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100 réflexes bio : Alimentation, cosmétiques, mode, maison, enfants : Vivre bio, c'est facile !
Après une introduction sur les bonnes raisons de "vivre bio", ce livre qui donne des indications sur les réflexes à adopter est organisé comme suit : - Bio dans l'assiette (je suis les labels à la trace, je traque les OGM, je m'abonne à un panier de fruits et légumes hebdomadaire, le mange local et de saison...) ; - Tout beau, tout bio (je parle l'Inci - International Nomenclature of Cosmetic Ingredients - couramment, je repère les labels cosmébio...) ; - Bio du sol au plafond (j'aère ma maison, je purifie l'atmosphère avec les difuseurs d'huiles essentielles...) ; - Le bio dès le berceau (mon régime femme enceinte, je m'habille coton bio...) ; - Chic et bio (j'apprends par coeur les chiffres de la culture du coton, je suis les labels, je choisis les bonnes matières...) ; - s'informer bio (je passe au salon bio, je m'inscris dans un café vert...).
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100 réflexes pour manger bio et pas cher
Ce livre donne la possibilité de découvrir 100 idées bonnes pour la planète, délicieuses et pas chères pour : - Acheter les meilleurs aliments : à quels labels se fier, comment décrypter les étiquettes, mais aussi les bonnes adresses et les bons plans pour s'approvisionner malin ; - Cultiver son jardinet bio (même en appartement !) : ail, oignon, radis ou fines herbes... ; - Cuisiner bio et impressionner la famille ou les amis avec des recettes faciles et délicieuses (et des astuces récup' pour utiliser les restes !).
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1000 diagnostics « biodiversité » : Les agriculteurs font l'état des lieux
Kristell LABOUS, AuteurLa FNSEA a mobilisé 1000 de ses adhérents, en septembre 2013, pour un diagnostic national sur la biodiversité au sein des exploitations agricoles. Les profils des agriculteurs qui ont accepté de réaliser cet autodiagnostic sont variés : céréaliers, maraîchers, éleveurs ; conventionnels, raisonnés, bio Si certains ont des démarches liées à une réglementation (zonage, MAEt), d'autres mettent en place des actions plus volontaires : entretien d'espaces boisés, installation de ruches, utilisation d'auxiliaires de culture