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Documents disponibles dans cette catégorie (28)


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Triage, séchage et stockage des grains : Entre minutie et pragmatisme ; Triage, séchage et stockage des grains : « Conserver la valeur ajoutée » ; Conservation des grains sous atmosphère enrichie en CO2 : Nox Storage veille au grain
Robin GUILHOU, Auteur ; Jean-Martial POUPEAU, AuteurCes trois articles sont dédiés au triage, au séchage et au stockage des grains en agriculture bio. Les conditions particulièrement humides de lété 2021 ont rendu ces trois étapes essentielles pour valoriser les récoltes à leur juste valeur. Pour optimiser la conservation et la qualité des grains, certains détails font la différence. Le premier article retranscrit ainsi une interview de Jean-Yves Moreau, ingénieur de recherche stockage des grains chez Arvalis Institut du végétal, qui fait un point sur les matériels recommandés et apporte des préconisations. Cette interview est accompagnée dun encart sur le matériel de tri, de séchage et de stockage utilisé par Agrobio Pinault (13 000 t/an) afin de garantir des grains de qualité. Le deuxième article présente le témoignage de Pascal Letort, un céréalier en bio depuis 2010, installé avec sa femme dans le Maine-et-Loire, sur 100 ha de limons argileux humides. Il cultive près de 15 espèces qui sont toutes vendues en direct, après nettoyage et stockage, à des agriculteurs transformateurs. Le troisième et dernier article est consacré à la conservation des grains sous atmosphère enrichie en CO2, et plus particulièrement au système mis en place par la société Nox Storage. Cette dernière propose un conditionnement en big-bags sous atmosphère modifiée. Cette technique peu coûteuse offre une très bonne protection contre les infestations et les contaminations post-récolte. Cet article est accompagné de trois témoignages de producteurs bio qui utilisent cette technique : le Gaec Pachamama (Maine-et-Loire), la ferme Ty Ar Gall (Finistère), et Marie Ristor et Romain Le Dret (Deux-Sèvres).
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Créer un atelier meunerie dans une ferme en agriculture biologique
Kristel MOINET, AuteurAvec une demande croissante des consommateurs, mais aussi des pouvoirs publics, pour des produits alimentaires locaux et de qualité, par exemple à travers le développement de Projets Alimentaires Territoriaux, les circuits courts, ainsi que les ateliers de transformation à la ferme semblent avoir de beaux jours devant eux. Dans cet article, le BioCivam de l'Aude apporte ses conseils pour la création d'un atelier de meunerie à la ferme, en agriculture biologique, en 14 étapes, de la récolte des céréales à la commercialisation dans les réseaux et filières de proximité, en passant par le stockage et le tri des grains, la mouture, ou encore l'étiquetage.
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Maintenons la vigueur des semences ! ; Bon stockage des semences
Ces deux fiches ont été produites dans le cadre du projet européen Horizon 2020 Liveseed, qui vise à accroître la production de semences biologiques en Europe. La première fiche (https://www.liveseed.eu/wp-content/uploads/2021/10/PA30_Seed-vigour-keep-it-high_FR.pdf) explique comment maintenir la vigueur des semences. Cette vigueur peut être considérée comme la capacité des semences à germer dans des conditions non-optimales. Comme les graines sont sensibles aux stress qui peuvent se produire durant leurs traitements (physiques ou thermiques de désinfection) ou leur stockage, elles peuvent perdre en vigueur. Elles produisent alors moins de plantules ou des plantules plus faibles qui seront plus sensibles au stress hydrique et aux pathogènes. Cette fiche contient des solutions, ainsi que des recommandations pour éviter ce phénomène. La seconde fiche (https://www.liveseed.eu/wp-content/uploads/2021/10/PA25_Proper-seed-storage_FR.pdf) porte sur le vieillissement précoce des semences et les conditions de stockage permettant de léviter. Le vieillissement des semences est causé par loxydation de leurs membranes cellulaires, de leurs mitochondries, de leur ADN, de leur ARN et de leurs protéines. Quatre facteurs favorisent cette oxydation : le taux dhumidité des semences, la température de stockage, loxygène et le temps. Cette fiche apporte des conseils pour stocker les semences le plus durablement possible.
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Tri-stockage : Savoir adapter son matériel à son projet
Céline ROLLAND, AuteurLes installations de tri et de stockage des grains se réfléchissent sur le long terme afin dopter pour le choix le plus adapté à son projet et aux objectifs recherchés (alimentation humaine ou alimentation animale). Cet article présente les retours dexpériences de deux exploitations de Loire-Atlantique. Le GAEC du Rouillon est géré par cinq associés et emploie un salarié. La SAU est de 80 ha, dont 60 ha en grandes cultures (colza, sarrasin, chanvre, maïs, mélange céréalier, blé ) et les agriculteurs élèvent des volailles. Toutes les cultures sont valorisées sur la ferme : elles servent à lalimentation des volailles ou sont transformées et vendues en circuits courts (huiles, graines décortiquées, farines, pains). Afin doptimiser le triage et la transformation des graines, la Cuma Innov 44 a investi dans un trieur optique et une table densimétrique qui sont installés sur le GAEC. Ces équipements permettent, en plus de ceux déjà présents sur la ferme, davoir une chaîne de tri complète et de très haute qualité. La ferme de Vivien dAnjou cherche également à valoriser ses cultures via la commercialisation en vente directe. Dès que les cultures sont récoltées, elles sont triées, puis pré-nettoyées à laide dun trieur cylindrique Marot. Une table densimétrique est ensuite utilisée pour finir de nettoyer le blé et les lentilles. La décortiqueuse est principalement utilisée pour enlever lenveloppe des pois cassés.
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Dossier : Maîtriser le stockage de ses céréales pour une bonne conservation
Cindy SCHRADER, AuteurCertains éleveurs bio cultivent leurs propres céréales pour nourrir ou complémenter les rations de leurs animaux. Pour distribuer des céréales de qualité, la conservation des grains est une étape-clé et elle peut être assez technique, notamment en AB. Ce dossier rapporte les témoignages de trois éleveurs bio bretons (Olivier Josset, Loeïz Lanneschoa et Pierre Queniat), qui cultivent des céréales en pur ou en mélange, pour nourrir leurs vaches, leurs porcs ou leurs volailles. Les éleveurs insistent tout dabord sur la nécessité danticiper la récolte et de bien nettoyer en amont le matériel de stockage. Ils nont pour le moment jamais rencontré de problème de charançons sur leurs cultures, mais Pierre Queniat a déjà été confronté à ce problème à cause de céréales achetées à une coopérative. Il a alors mis de la terre de Diatomée autour de son silo et a rapidement consommé les céréales avant de sempresser de tout nettoyer. Pour éviter les problèmes de conservation, ces éleveurs recommandent davoir des cultures les plus "propres" possible (les graines dadventices peuvent participer à humidifier la récolte), de bien attendre la maturité avant de récolter, dimplanter des mélanges qui arrivent à maturité en même temps et de ne pas négliger les réglages de la moissonneuse-batteuse. Enfin, ils apportent des conseils par rapport au nettoyage, au tri et au stockage des grains (en silo ou à plat).
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Grandes cultures bio Grand Ouest - Maîtriser la qualité de ses grains bio, du champ au silo : Les bonnes questions à se poser
La production de grains bio de qualité, que ce soit pour lalimentation humaine ou animale, nécessite des savoir-faire et engage la responsabilité individuelle et collective de tous les maillons de la chaîne (du producteur au transformateur). Cette fiche présente les principes, les pratiques et les outils adaptés à la récolte, au stockage, au triage et à lacheminement optimal des grains bio, du champ au silo. Lobjectif est de garantir la qualité des grains tout en limitant les risques (contaminations, déclassements, destruction ). Cette fiche apporte des données techniques sur les différentes étapes citées précédemment. Ces données sont illustrées par des schémas et synthétisées par des tableaux récapitulatifs. Elles sont également ponctuées par des citations de producteurs biologiques du Grand Ouest. Ce document a été réalisé par le groupe Grandes cultures bio Grand Ouest, qui regroupe des producteurs, des organismes stockeurs, des collecteurs, des groupements dagriculteurs biologiques, des associations interprofessionnelles bio, des Chambres dagriculture et la Coopération Agricole Ouest.
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2èmes Rencontres des grandes cultures bio - 22 janvier 2019 - Paris XIIe : Le rendez-vous technique des acteurs des filières des grandes cultures bio
Amélie CARRIERE, Auteur ; Anne-Laure TOUPET DE CORDOUE, Auteur ; Laurence FONTAINE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2019Une journée Grandes Cultures Bio a été organisée par lITAB, ARVALIS Institut du végétal et Terres Inovia en janvier 2019. Les thématiques portaient sur : - L'évolution du marché bio en France et en Europe : Quelle vision pour la filière des grandes cultures françaises ? ; - Post récolte : Comment préserver la qualité technologique et sanitaire des graines en AB ? ; - Quels leviers techniques pour disposer d'une offre variétale adaptée pour l'AB ?
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La ferme de Saint-Germain, grandes cultures et aventure humaine partagée
Soazig CORNU, AuteurAu cur de la Charente-Maritime, les fermes d'Edouard Rousseau et de Jean Boutteaud, toutes les deux en bio depuis plus de 20 ans, sont distantes de 3 km l'une de l'autre. Les deux agriculteurs se connaissent depuis une vingtaine d'années, et c'est ensemble qu'ils ont franchi le pas de la biodynamie, il y a 4 ans. Ils partagent du matériel, un atelier de mécanique et échangent en permanence dans un esprit de collaboration. La ferme Boutteaud s'étend sur 140 ha de grandes cultures et comprend un élevage de cochons. A la ferme de Saint-Germain, Edouard Rousseau cultive des grandes cultures avec des céréales, des oléagineux et des protéagineux sur 185 ha et Mathilde Rousseau s'occupe des ateliers de mouture et de boulange. Visite guidée de la ferme de Saint-Germain : Edouard présente son parcours, les débuts sur la ferme, l'évolution du sol, les préparations biodynamiques, l'aventure de l'auto-construction de matériels adaptés, l'activité de boulangerie, etc. Un article, "Grains de soleil, un projet pour valoriser les graines et les écosystèmes en biodynamie", est consacré à l'unité de tri et de stockage des grains, récemment construite pour accueillir les récoltes des deux fermes. Le projet est aussi de valoriser les grains Demeter de producteurs de la région et de structurer une filière dédiée en créant un réseau de producteurs et en fidélisant des transformateurs.
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Grandes cultures : Le tri et le stockage à la ferme : Une étape importante pour lautonomie et la recherche de plus-value ; Une diversité de trieurs pour une diversité de cultures en limitant les investissements
Romain COULON, AuteurDes agriculteurs bio du Puy-de-Dôme témoignent sur lutilité du tri et du stockage des grains à la ferme. Le premier témoignage est celui dHervé et de Jonathan Brun. Ils produisent du blé dur (transformé en pâtes), du blé tendre (en partie transformé en farine), de lorge, du triticale, des protéagineux et des oléagineux. Ils trient et stockent à la ferme avant tout pour pouvoir optimiser la conservation des grains, gagner en autonomie pour la commercialisation, faciliter et maîtriser la transformation, et baisser les coûts des semences. Ils expliquent comment ils gèrent la conservation de leurs céréales en apportant notamment des recommandations sur la gestion des insectes. Ils évoquent également ce quils changeraient dans leur système de tri et de nettoyage. Vincent Martinant est installé depuis 2004 et a converti sa ferme en bio en 2016. Il a alors produit de nouvelles cultures (céréales, lentilles, asperges, pommes de terre) quil transforme et vend en direct. Le nettoyage et le tri des grains étaient nécessaires pour mettre en place son nouveau système. Toutefois, Vincent a vite compris que le trieur parfait nexistait pas en raison de la grande diversité des formes de graines et des adventices. Il sest alors équipé de plusieurs trieurs doccasion (moins de 5000 ) quil a restaurés.
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Hauts-de-France : Terreau Bio fait pousser les projets
Annie RIGAULT, AuteurLa seconde journée Terreau Bio a été organisée le 12 septembre 2019, dans lOise, par Bio en Hauts-de-France. Elle a réuni plus de 750 visiteurs, bio ou conventionnels, et plus de 60 exposants. Entre démonstrations, conférences et échanges, cette journée a été loccasion deffectuer un état des lieux sur certaines filières bio des Hauts-de-France. Cet article se concentre sur trois dentre elles. La première concerne la filière bio betteraves sucrières. Ce projet a été initié en 2016. Du sucre liquide a pu être proposé à plusieurs distributeurs et transformateurs à partir de la récolte 2018. Lobjectif, à terme, est de construire une micro-sucrerie dans les Hauts-de-France afin de valoriser les betteraves selon un cahier des charges commerce équitable. La deuxième filière traite de la valorisation des céréales en deuxième année de conversion (C2). Lenvol des conversions pose problème pour la rémunération des produits obtenus au cours de cette période. Certains ont été vendus au prix du conventionnel et cela risque de durer. Enfin, le dernier point concerne le stockage des productions afin de ne pas engorger les marchés. Lobjectif était de sensibiliser tous les acteurs à la nécessité dutiliser un outil de gestion prévisionnelle des volumes.
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Conserver ses céréales à la ferme : pas toujours simple !
Pierre MASSOT, Auteur ; Marie-Claire PAILLEUXAnthony Paulet, du GAEC Paulet-Moranne (63), témoigne sur le stockage de ses céréales sur la ferme. Il insiste tout particulièrement sur les précautions à prendre pour éviter les charançons et les moisissures : nettoyage et désinfection du matériel, vérification du taux d'humidité des grains avant stockage, tri minutieux des graines. Dès la récolte, Anthony ventile jour et nuit pendant quelques jours et recommence en hiver dès que la température passe en dessous de 0°C. En complément de ce témoignage, un encart donne des informations sur la terre de diatomée, aux propriétés insecticides.
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Insectes de stockage : des alternatives à la chimie
Christian GLORIA, AuteurEn agriculture conventionnelle, le nombre de molécules insecticides utilisables pour la protection des grains au stockage a été divisé par deux en vingt ans (quatre autorisées pour un usage direct sur grains en 2018). En agriculture biologique, seule la terre de diatomée est homologuée pour cet usage. Dans ce contexte réglementaire contraint, des solutions alternatives sont en cours de développement. La terre de diatomée (spécialité Silicosec), déjà utilisable en AB, se présente sous la forme d'une poudre très fine qui aura une action physique sur les insectes : elle provoque leur dessication. Elle est utilisable dans les locaux vides avant stockage, mais aussi en préventif et en curatif pendant le stockage des grains. Le produit ProCrop S, lui, est composé de bicarbonate de sodium et d'un gel de silice d'écoulement, deux additifs alimentaires. Il agit sur les brisures et poussières de céréales consommées par les insectes. En les souillant, il empêche leur consommation par les insectes qui meurent alors de faim. Ce produit est à utiliser avant le stockage, dans les locaux vides. La troisième solution présentée dans cet article est le Forcegrain MN, qui rend les céréales impropres à la consommation pour les insectes en créant une barrière physique autour des grains. Parallèlement à l'utilisation de ces produits, la maîtrise des conditions de température et d'humidité est essentielle pour une bonne conservation des grains au stockage.
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Dossier : Le bio se prépare à changer d'échelle
Valérie NOËL, Auteur ; Christian GLORIA, AuteurConséquence notamment de l'augmentation de la consommation de produits biologiques, qui touche aussi les rayons de la boulangerie et de l'épicerie, les surfaces de grandes cultures bio progressent. De nombreux producteurs de céréales franchissent le pas de la conversion, comme Fabrice Furlan, dans le Gers, céréalier sur 140 ha (conversion en 2015), ou encore Tristan Choné, en Meurthe-et-Moselle, en polyculture-élevage (conversion en 2013) : - Le pari de la diversité et de la valeur ajoutée ; - Complémentarité entre élevage et céréales ; chacun des deux exploitants raconte sa propre trajectoire, ses motivations, explique comment il gère son exploitation, les investissements qui ont été réalisés, les problématiques de tri et de stockage, les débouchés visés..., et les difficultés rencontrées ; - Une offre à consolider face à l'essor de la demande ; les débouchés, que ce soit en alimentation humaine ou en alimentation animale, sont nombreux et la demande est bien présente, mais les filières se structurent petit à petit ; - Les aides qui déroutent ; la revalorisation des soutiens à la bio avec la nouvelle PAC de 2015 a participé à susciter un fort intérêt d'agriculteurs pour l'AB, mais aujourd'hui les budgets régionaux ne suivent pas.
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Recueil de savoir-faire paysans : Blés paysans bio : Des semences paysannes pour la transformation en pains, farines et pâtes
Le renouveau des semences paysannes de blé en Pays de la Loire a débuté en 2004. De nombreux « blés paysans » ont été semés dans des essais, d'abord sur quelques mètres carrés, puis dans les champs d'une trentaine de volontaires. Aujourd'hui, ces blés sont vendus à des meuniers et des boulangers, ou sont transformés à la ferme. 12 producteurs et productrices bio présentent, dans ce recueil, les variétés de céréales paysannes quils utilisent, leurs avantages, les difficultés rencontrées et les solutions pour y remédier, ainsi que les techniques culturales qu'ils emploient. Le tri, le traitement et le stockage du blé sont aussi abordés, ainsi que la transformation en pains, farines et pâtes, et la commercialisation des blés paysans. Chaque paysan partage son expérience. Des témoignages dexperts et de chercheurs sur la réglementation des semences paysannes, sur la recherche participative et le programme dexpérimentation « blés paysans » de la CAB Pays de la Loire viennent compléter ce panorama.
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Stocker et trier ses céréales à la ferme
Se poser la question du stockage de ses céréales à la ferme lorsque lon passe en bio est judicieux. En conventionnel, on a lhabitude de récolter et davoir un silo à proximité, ce qui nest pas toujours le cas en AB. Le maillage en agriculteurs bio est peu dense, il est donc encore difficile de faire du stockage en commun. Une bonne gestion du stockage, de la ventilation et du triage permet de gagner en autonomie semences/aliments, mais aussi daider sa filière. Le raisonnement du stockage doit se faire en fonction du type de stockage envisagé (court, long ou de report), des produits à stocker, de la destination des céréales et des objectifs de lexploitant. Ce document passe en revue les principaux points techniques pour concevoir et mettre en uvre le tri et le stockage des céréales sur la ferme, ainsi que les installations possibles. Les témoignages de Rémi Robinet, passé en AB en 2015, dans la Meuse, et de Marc Lavaux, en AB depuis 2010, en Meurthe-et-Moselle, illustrent différents contextes de stockage.