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Des médecines douces pour vos fruitiers : Phytothérapie, homéopathie, aromathérapie...
Les ennemis des fruits sont nombreux et le « zéro traitement » a ses limites, si l’on veut être sûr d’avoir des arbres en bonne santé et obtenir de belles récoltes. Ce livre a pour objectif de donner au jardinier les clés pour traiter le plus naturellement possible les fruitiers. Différentes possibilités s’offrent ainsi au jardinier pour soigner les arbres fruitiers en utilisant des médecines douces : extraits de plantes, argiles, macérats, homéopathie, gemmothérapie, isothérapie, huiles essentielles, kanné, neem, thé de compost, EM, LiFoFer, élixirs floraux… Les procédés utilisés pour les fabriquer sont simples, économiques, bien expliqués, avec de nombreuses photos : séchage à température ambiante, extraction par pression, dissolution dans l’eau (décoctions, infusions, macérations) ou dans l’alcool, distillation par la vapeur d’eau, etc. Les modes d’administration sont également détaillés.
Cultiver le tabac : Un rêve américain ? ; Diversifier avec le tabac : A quand la cigarette bio française ?
Frédérique ROSE, Auteur
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Marginale aujourd'hui, avec 25 producteurs pour 90 ha, la production de tabac bio français fait pourtant l'objet d'une demande croissante de la part d'un industriel américain. Le Gaec de la Borie Val, dans le Lot, s'est lancé dans la conversion, accompagné par la coopérative Midi Tabac et par d'autres partenaires (Chambres d'agriculture et Gab de la région, Coop de France Midi-Pyrénées). Les associés du Gaec présentent, dans cet article, quelques caractéristiques de cette culture de diversification : besoins en fertilisation, irrigation, écimage… D'après la coopérative Midi Tabac, la culture de tabac bio génèrerait un chiffre d'affaires de 10 000 à 12 000 euros/ha. Traditab, une petite entreprise du Lot-et-Garonne, souhaite, quant à elle, proposer un tabac 100 % bio et local. Si l'objectif d'une production issue exclusivement du Sud-Ouest a pu être atteint, produire du tabac bio n'est pas si simple. La demande des industriels américains pourrait permettre à la filière d'avoir plus de moyens pour se développer et lever les freins rencontrés aujourd'hui.
Des chenilles se servent de la nicotine du tabac pour éloigner les prédateurs
MAX PLANCK INSTITUTE FOR CHEMICAL ECOLOGY, Auteur ; Michelle VUILLEROT, Auteur
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Une équipe de chercheurs du Max Planck Institute for Chemical Ecology (Institut Max-Planck d'écologie chimique) a mis au jour un mécanisme de défense inédit chez le sphynx du tabac. Les larves de cet insecte rejettent en effet une petite fraction de la nicotine qu'elles ont ingérée en consommant les feuilles de tabac. Leur haleine ainsi fétide repousse certains de leurs prédateurs. Des expériences en laboratoire ont permis de décrire plus en détail les mécanismes mis en place.
Diversifiez votre rotation avec le Virginie bio
Maud DELAVAUD, Auteur
Le tabac de Virginie est une solanacée plantée au printemps et sarclée, intéressante pour diversifier une rotation. Un client historique de France Tabac USCA a mis en place un plan d'approvisionnement en produit bio sur neuf ans, offrant un débouché très rémunérateur puisque le tabac de Virginie biologique sera payé le double de son homologue conventionnel. Un producteur de Vendée bio, Freddy Gauvrit, témoigne des bons résultats techniques pour ses 1,3 ha de tabac.
Dominique et Patrice Guérin, Eure-et-Loir : Spiruline : une diversification « en fer »
Stéphanie SEYSEN-FOUAN, Auteur
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Ces céréaliers et tabaculteurs se diversifient dans une culture peu répandue en France : la spiruline. Cette cyanobactérie vit dans l'eau et est reconnue pour sa richesse en fer assimilable. La culture est exigeante : les conditions de pH, de température et de luminosité doivent être strictement contrôlées. Les bassins ne peuvent être installés dans un environnement où le sol contient des résidus de produits phytosanitaires. Les associés font donc construire des serres spécialement destinées à accueillir les bassins de spiruline. Malgré l'absence de traitement phytosanitaire, la production ne peut être labellisée bio car les apports de fertilisants doivent être réalisés sous forme minérale et d'une grande pureté. La récolte et le conditionnement nécessitent des équipements spécifiques et un strict contrôle sanitaire. L'eau des bassins est pompée, filtrée, le boue de spiruline est séchée (avec l'énergie d'un séchoir à tabac fonctionnant au bois), extrudée et conditionnée sous forme de paillettes. La commercialisation est en cours de développement, en misant sur la qualité et la consommation locale.
Du tabac biologique français
Céline CRESSON, Auteur ; Frédéric REY, Auteur ; Jean-Luc GOUDOUNÈCHE, Auteur
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Le tabac s'apparente dans sa conduite à la famille des cultures légumières. Il existe trois variétés cultivées en France (tabac brun, blond de Virginie et clair Burley). Le cycle de développement de la plante ressemble à celui du maïs. La plante est cependant très sensible aux ravageurs et maladies. Un groupe de travail "tabac biologique" a été créé en 2008, à l'initiative de l'Anitta (Association nationale interprofessionnelle et technique du tabac), suite à la demande des agriculteurs et industriels. Plusieurs pistes de travail, présentées dans l'article, ont été déterminées pour 2009.
Phéromones sexuelles : Un nouvel outil de lutte contre les taupins
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Les larves de taupins (Agriotes sp.) occasionnent sur le tabac des altérations de la qualité et des pertes de rendement. La station d'expérimentation de Périgord Tabac étudie les conditions de piégeage de masse de mâles adultes par des phéromones sexuelles femelles dans le but de réduire l'infestation à un niveau économiquement acceptable. Les premiers résultats des suivis de populations montrent une dominance de l'espèce A. sordidus avec des pics de densité jusqu'à la mi-juin. Les éléments donnés sur la biologie de cette espèce justifient des interventions sur plusieurs années pour obtenir des résultats significatifs. Les actions consistent en un premier piégeage pour apprécier l'intensité des moyens de lutte à mettre en œuvre, puis en un piégeage de masse pour réduire le taux de natalité. Pour mesurer l'efficacité réelle des pièges, une étude des paramètres permettant d'estimer la réduction d'une population des taupins adultes au cours d'une campagne de piégeage a été menée et a permis la mise en place d'un modèle simple. Il révèle que le succès de la méthode nécessite des immigrations de mâles en provenance des parcelles voisines nettement inférieures aux effectifs mâles capturés, ce qui peut être réalisé en évitant de poser les pièges en bordure de parcelle.
Le "Pepino", un nouveau virus qui menace
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Un nouveau virus est apparu en janvier 99 aux Pays Bas sur culture de tomate : il s'agit du Pepino Mosaïc virus (PepMV), souvent nommé "Pepino". Originaire du Pérou, il est présent désormais dans de nombreux pays. En France, une seule exploitation a signalé sa présence mais on peut craindre l'apparition de nouveaux cas. Aucune lutte curative n'existant, il convient d'adopter des mesures préventives pour éviter la propagation du virus.
Productions végétales - grandes cultures
De la plante à l'état du marché, 35 plantes sont étudiées dans cette deuxième édition de "Productions végétales". Elle a été actualisée, complétée, enrichie, avec les résultats des recherches agronomiques, mais aussi avec la nouvelle réforme de la PAC, Agenda 2000. L'ouvrage s'adresse à tous ceux qui s'intéressent aux céréales, oléoprotéagineux, cultures industrielles ou légumes de plein champ, sous leurs aspects techniques et/ou économiques. Pratique dans son utilisation, varié dans ses thèmes, riche dans ses informations, c'est une référence !
Macrolophus caliginosus : le tabac donne un souffle nouveau
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L' utilisation du tabac, comme plante-relais pour maintenir et élever du M. caliginosus sous serre de production de tomate, permet d'implanter plus précocement ce prédateur sur la culture, avec une efficacité au moins équivalente à une stratégie commerciale. De plus, le coût de cette technique étant très nettement inférieur à celui d'une stratégie commerciale, sa vulgarisation en sera d'autant facilitée.
Le purin d'ortie et les autres purins
Préparation, utilisations et efficacité des : . Purins : - d'ortie (avec détail de ses nombreux avantages), - de prêle, - de cloques de feuilles de pêcher (isopathie), - de feuilles de fougères, . Décoctions d'ail, . Macérations de tabac.
Des extraits de plantes inhibent les maladies virales
F. MONTMASSON, Auteur
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Invitée à Agribioméditerraneo le 24 Novembre 1994, Madame Noronha, Chercheur à la section de Virologie Phytopathologique de l'Institut Biologique de Sao Paulo, a présenté des travaux très prometteurs en matière de lutte contre les virus végétaux par l'emploi d'extraits de végétaux appartenant le plus souvent à la famille des Caryophyllacées. Compte-rendu de ces travaux (trois types d'essais : en laboratoire, en serre et en plein champ) et commentaires de leurs résultats dans cet article.
Le magnésium en agriculture
Parmi les éléments minéraux du sol dont se nourrissent les plantes, il en est un qui a suscité un certain nombre de travaux en France, mais qui n'a pas été étudié lui-même de façon suivie ; il s'agit du magnésium. Le présent ouvrage comble cette lacune et présente une synthèse des connaissances acquises sur cet élément. Six grands thèmes sont traités : - Le magnésium et la vie, - Le magnésium dans le sol, - Le diagnostic des carences et subcarences chez les végétaux - Raisonnement des apports magnésiens, - Le magnésium contenu dans les peuplements fourragers et prairiaux, - Magnésium et qualité des produits récoltés - Autres actions du magnésium, - Les produits magnésiens utilisables en agriculture. Si nombre de questions restent encore posées, les interrogations des chercheurs ne doivent toutefois pas faire perdre de vue aux praticiens que les bases actuelles du raisonnement, exposées ici de façon détaillée, permettent déjà de gérer la nutrition en magnésium des cultures avec une précision raisonnable dans la plupart des cas.
