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Des médecines douces pour vos fruitiers : Phytothérapie, homéopathie, aromathérapie...
Les ennemis des fruits sont nombreux et le « zéro traitement » a ses limites, si lon veut être sûr davoir des arbres en bonne santé et obtenir de belles récoltes. Ce livre a pour objectif de donner au jardinier les clés pour traiter le plus naturellement possible les fruitiers. Différentes possibilités soffrent ainsi au jardinier pour soigner les arbres fruitiers en utilisant des médecines douces : extraits de plantes, argiles, macérats, homéopathie, gemmothérapie, isothérapie, huiles essentielles, kanné, neem, thé de compost, EM, LiFoFer, élixirs floraux Les procédés utilisés pour les fabriquer sont simples, économiques, bien expliqués, avec de nombreuses photos : séchage à température ambiante, extraction par pression, dissolution dans leau (décoctions, infusions, macérations) ou dans lalcool, distillation par la vapeur deau, etc. Les modes dadministration sont également détaillés.
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Des plantes pour soigner la terre
Josiane GOEPFERT, AuteurCet article présente les six préparations biodynamiques, élaborées à partir de plantes médicinales connues, destinées à être introduites dans le compost. D'autres préparations, aqueuses ou à base de cendres, ou encore des préparations homéopathiques; sont utilisées pour réguler les adventices et les ravageurs. Des témoignages d'agriculteurs agrémentent l'article. Les particularités et les propriétés de chaque plante utilisée dans les préparations biodynamiques (la valériane, l'ortie, l'achillée millefeuille, la camomille matricaire, le pissenlit et le chêne rouvre) sont présentées dans un encadré. La méthode pour préparer de l'anti-liseron maison est expliquée.
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La ferme, l'arbre et les bestiaux
Jérôme GOUST, AuteurLa disparition des haies, avec 85 000 km de haies rasées dans la seconde moitié du XXème siècle, fait oublier que les arbres constituaient, au commencement de l'élevage, la plus grande part de l'alimentation des troupeaux dans nos régions. Des recherches montrent que, vers - 4 500, les animaux se nourrissaient de feuilles de chêne, de frêne, de tilleul et de noisetier, que le sapin était utilisé comme litière ou comme fourrage, le gui en complément alimentaire, etc. Aujourd'hui, les menaces de sécheresse qui pèsent sur les éleveurs, les ruptures de pâture en fin d'été et la diminution des stocks de fourrages qui s'ensuit, orientent les réflexions vers un retour aux arbres fourragers. Ces derniers ont pour avantage d'être une source d'alimentation animale, les feuilles d'arbres étant de très grande qualité nutritive, de maintenir la biodiversité et de réguler la température. Cependant, le retour des arbres fourragers n'est pas facile à organiser dans les fermes, notamment parce que la gestion de l'arbre ne répond pas à un rythme annuel, comme le fourrage, mais se prévoit plutôt à l'échéance d'une dizaine d'années. Ce n'est donc pas la même temporalité et il ne va pas de soi d'intégrer cette nouvelle gestion du temps. Malgré tout, l'utilisation fourragère des arbres peut déjà se développer (3 axes sont identifiés) et des pistes apparaissent pour relancer cette pratique.
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Les préparations du compost
Gauthier BAUDOIN, AuteurCet article poursuit l'étude des gestes de base en agriculture biodynamique. Après la préparation et l'utilisation de bouse de corne, puis de la silice de corne, l'auteur présente 6 préparations biodynamiques destinées à guider l'évolution des composts vers un humus de grande qualité. Les processus d'élaboration de ces préparations spécifiques visent à renforcer les propriétés des plantes médicinales rentrant dans leur composition : achillée millefeuille, camomille matricaire, ortie dioïque, chêne pédonculé, pissenlit et valériane officinale. Pour 4 de ces préparations, des organes animaux (intestin grêle, mésentère) serviront de contenant aux plantes, associant ainsi le végétal à l'animal. Les méthodes de fabrication et les principes de fonctionnement sont expliqués, ainsi que la technique pour les introduire dans le compost.
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Congrès du Mouvement de la viticulture biodynamique : Rythmes, plants, calcium-silice
Cécile MARCUS, AuteurLédition 2019 du Congrès du Mouvement de la viticulture biodynamique sest déroulé du 28 février au 1er mars 2019, en Gironde. Les acteurs du monde viticole biodynamique se sont réunis pour témoigner et enrichir leurs pratiques. Plusieurs sujets ont été abordés : - Linfluence des rythmes lunaires sur la germination ; - La réappropriation du métier de pépiniériste et les essais actuels ; - Les étapes vers la biodynamie ; - Lutilisation du calcium et de la silice en biodynamie ; - Lutilisation de la prêle des champs et du chêne pédonculé contre les maladies.
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Des feuilles de chêne contre les parasites
Inès HEEREN, AuteurCertaines essences de chêne sont réputées pour leurs propriétés vermifuges, mais ces dernières nont jamais été démontrées scientifiquement. Le FiBL, en collaboration avec le syndicat caprin de la Drôme, a débuté, en 2014, des recherches appliquées sur la maîtrise du parasitisme via lutilisation de plantes. Lun de ces projets teste limpact des feuilles de chêne sur le développement des larves de strongles chez les caprins. Un test en laboratoire in vitro a révélé que lextrait aqueux des feuilles de chêne diminue de moitié léclosion des ufs et de 30 % la mobilité des larves. Un deuxième test, plus proche des conditions naturelles, a montré une diminution de moitié du nombre de larves atteignant le stade L3 (stade larve infestante). Dans un futur proche, il est prévu de mener une expérimentation sur le terrain, où des feuilles de chêne seraient données sous forme de bouchons aux caprins. Felix Heckendorn, président de lantenne FiBL France et parasitologue des ruminants, précise quil est important dutiliser la variété de chêne drômois car d'autres variétés peuvent causer des dégâts sur le foie.
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Les plantes médicinales de nos régions : Chêne pédonculé ; Eglantier, ou Eglantine, rosier sauvage, rosier des chiens
François COUPLAN, Auteur- Le chêne rouvre (Quercus robur) peut atteindre 30 mètres de hauteur et vivre jusqu'à 1000 ans. Avant d'être donnés aux cochons, ses fruits entraient dans l'alimentation humaine chez plusieurs civilisations. Les glands s'employaient aussi contre le rachitisme. Sa richesse en tanins en fait un puissant astringent, utilisé de nos jours par voie externe pour assainir des tissus lésés, ou en gargarisme contre l'angine chronique et l'inflammation des gencives. L'utilisation par voie interne, sous forme de décoction, est déconseillée au-delà d'une durée de 3 semaines, en raison de sa concentration en tanins ; - L'églantier (Rosa canina), arbrisseau épineux de 2 à 3 mètres de hauteur, est reconnu pour la teneur importante en vitamine C de ses fruits, les cynorrhodons. Un seul de ses fruits renfermerait autant de vitamine C qu'un gros citron... Préparés en général en décoction, en sirop ou en confiture, il est aussi possible, pour profiter pleinement de la vitamine, de les intégrer directement dans l'alimentation.
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Les plantes, source de vie
François COUPLAN, AuteurFrançois Couplan présente plusieurs plantes sauvages comestibles : l'angélique (Angelica sylvestris), l'aubépine (Crataegus monogyna), la bardane (Arctium lappa), le chêne (Quercus robur). Les présentations sont agrémentées de recettes utilisant ces plantes.
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La truffe se cherche de nouvelles aires de production
Les changements climatiques (baisse des précipitations et fortes chaleurs estivales) font redouter d'ici 2040 une baisse significative de la production de Tuber melanosporum (truffe noire). Face à ces nouvelles conditions, il faut prévoir une extension des zones actuelles de production vers le nord de la France et en altitude. D'ici 2100, l'aire naturelle du chêne vert (plante hôte) va également s'étendre plus au nord, permettant de déplacer la culture de la truffe noire. Dans le sud, les trufficulteurs devront tenir compte des contraintes hydriques et des disponibilités en eau. Il est possible qu'ils puissent cultiver de nouvelles espèces méridionales comme les terfez.
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Les "Terroirs Chênes" suisses
La maîtrise de l'influence du bois de chêne sur le vin élevé en fût repose aujourd'hui sur une connaissance précise du terroir d'où est issu ce bois. Ce terroir est la résultante complexe et originale pour chaque forêt de caractéristiques telles que le climat, le sol, l'espèce botanique de chêne ou l'histoire. La filière de bois de tonnellerie certifiée "Terroir Chêne" permet d'alimenter un artisanat de haut de gamme. Elle contribue également à la conservation d'un patrimoine naturel et culturel menacé.
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Evolution de la mycorhization de jeunes plants truffiers
Une expérimentation sur la qualité des plants mycorhizés a été mise en place par le Ctifl en 2002. L'objectif est d'étudier l'effet de l'intensité de la mycorhization initiale de plants de chênes pubescents inoculés par la truffe T.melanosporum sur le développement du champignon. En 2005, après arrachage et observations de 232 arbres, les résultats montrent que l'intensité de mycorhization des arbres dépend du niveau de mycorhization initial. Les arbres très bien mycorhizés sont également les plus forts en diamètre et ont le chevelu racinaire le plus développé. Pourtant, ce niveau n'a guère d'effet protecteur contre des contaminations par les espèces ectomycorhiziennes présentes dans le sol. Ces champignons (type Coenococcum graniforme) touchent tous les arbres indépendamment de leur niveau de mycorhization final.
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Soigner le jardin par les plantes
Les soins par les plantes peuvent être procurés aux légumes, condiments, fleurs et arbres. Cette médication douce apporte son efficacité en complément d'autres techniques propres à la culture biologique et s'utilise par conséquent à titre préventif. Ce guide fournit des éléments pour l'identification, la culture et l'utilisation des différentes plantes qui soignent.
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Plantes sauvages, plantes cultivées : Connaître et exploiter les ressources génétiques
Outre leur dimension patrimoniale et culturelle, les ressources génétiques constituent le support continu de l'amélioration des plantes avec des recombinaisons de gènes inédites. Toutefois, la création variétale fondée sur l'exploitation d'une diversité génétique limitée, la fragilisation des habitats naturels des espèces sauvages mettent en péril les ressources génétiques à un moment où la préservation de l'environnement et la gestion durable des éléments de la diversité biologique deviennent des enjeux majeurs à l'échelle planétaire. Agriculteurs et semenciers de demain seront confrontés à la nécessité de concilier des modes de production respectueux de l'environnement et la fourniture de plantes adaptées à des demandes spécifiques en terme de qualité, de typicité, de diversification, de contraintes socio-économiques ou écologiques. Dans ce contexte, il est impératif de disposer de la variabilité génétique la plus large. La France, premier producteur de semences de l'Union Européenne, deuxième producteur mondial derrière les États-Unis, doit assurer son indépendance et garantir l'avenir de son industrie de sélection.
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Monastère de Solan : une gestion écologique de la forêt
Le monastère et son domaine sont situés dans le nord du Gard ; le jardin, le verger, les vignes et le poulailler sont menés selon les principes de l'agriculture biologique, mais c'est sans doute dans la gestion de sa forêt que le domaine vit son expérience la plus originale. Comment remettre en état une forêt rasée et abandonnée depuis 1920 ? Au travail mécanisé, lourd, coûteux mais subventionné proposé par la Direction Départementale de la Forêt, les soeurs ont préféré le programme de travail manuel et réfléchi, qui respecte les espèces végétales, le terrain et le paysage, de Pascal Menon, animateur de l'association Forêt des hommes et bûcheron professionnel.