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GRAMINEE FOURRAGEREVoir aussi |
Documents disponibles dans cette catégorie (128)


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Deux trèfles au lieu dun à la station de Trévarez
Costie PRUILH, AuteurDans le Finistère, la ferme expérimentale de Trévarez a mené un essai sur cinq ans visant à améliorer les performances de ses prairies multiespèces conduites en AB. Lobjectif de cet essai était didentifier des mélanges prairiaux permettant daugmenter lautonomie alimentaire des élevages laitiers bio, en identifiant notamment un mélange qui offre une proportion suffisante de légumineuses dès la première année dimplantation et sur le long terme (les cinq années de lessai). Six mélanges ont ainsi été testés. Ces derniers comportaient tous du ray-grass anglais (RGA) et du trèfle blanc (TB), deux espèces fourragères qui se développent très bien dans les conditions pédoclimatiques de la ferme, et ils étaient enrichis par diverses autres espèces prairiales (fétuque élevée, fétuque des prés, plantain, trèfle violet, trèfle hybride, chicorée ). Ces six modalités ont été comparées à deux témoins (RGA-TB et RGH-TV-TB). Les différents mélanges ont produit en moyenne 20 % de rendement supplémentaire par rapport au témoin RGA-TB (le meilleur rendement a été obtenu avec le mélange RGA-fétuque élevée-TV-TB). En revanche, le RGA-TB garderait la meilleure valeur alimentaire. Cet essai a également mis en évidence lintérêt de diversifier les trèfles : le trèfle violet et le trèfle hybride simplantent plus rapidement que le trèfle blanc, toutefois ils sont peu pérennes. Cest pourquoi il est conseillé de les coupler avec du TB afin que ce dernier prenne la relève.
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Essais de cultures dérobées : une année 2020 difficile
Vincent VIGIER, AuteurLes Ateliers Tech&Bio de Haute-Loire, le 17 septembre, ont notamment donné lieu à la présentation dune collection fourragère de cultures dérobées estivales, en complément de la technique de semis direct dans les couverts vivants. La collection avait été mise en place par la Chambre dagriculture de Haute-Loire. Elle a été semée début juin, compte-tenu de laltitude élevée de la parcelle (900 m). Le semis a été suivi dune période froide et pluvieuse. Certaines plantes très exigeantes en température, comme les millets et les sorghos BMR, ne se sont pas remises de ces faibles températures. Des températures caniculaires et une très faible pluviométrie sont ensuite survenues. Dans ce contexte, lavoine rude, ou brésilienne, na pas obtenu de bons rendements. Les plantes plus rustiques, telles que le moha, le sorgho multicoupe et le Teff grass, se sont en revanche mieux développées. Larticle rappelle les deux conditions nécessaires pour les semis directs sous couverts : la culture doit être relativement propre et le sol bien nivelé.
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Fourrage pour zones séchantes : Teff grass : efficace sous conditions
Frédéric RIPOCHE, AuteurGraminée originaire dEthiopie, le Teff grass est en phase de pré-commercialisation depuis lan dernier en France et les premiers tests sont encourageants. Son intérêt : sa capacité à sadapter à des températures de lordre de 35 ° C et sa qualité nutritionnelle. Limportant pour cette plante, cultivée sous nos latitudes en dérobée estivale, cest le semis qui doit être fait sur un sol à minimum à 12°C, ressuyé et rappuyé. La première exploitation (coupe ou pâturage) ne doit pas être « trop courte » pour ne pas pénaliser la suite de la production. Ainsi, à ces conditions, cette graminée peut être une ressource intéressante, surtout dans un contexte de sécheresse, utilisable en foin, enrubannage, ensilage et pâturage, aussi bien pour des ovins que des bovins, comme lillustrent 2 témoignages déleveurs, lun en ovins dans lAveyron et lautre en bovins lait dans le Cantal qui, après un premier essai lan dernier, ont renouvelé lexpérience cette année.
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Lait bio : Bien faire vieillir ses prairies, cest possible ?
Olivia TREMBLAY, AuteurLe projet PERPET (2015-2019), porté par le réseau CIVAM, a rassemblé différents acteurs du développement agricole et de la recherche pour mieux comprendre les facteurs influençant la pérennité des prairies temporaires composées de graminées et de légumineuses. Une première étude a analysé lévolution de prairies déjà bien implantées. Pour cela, un suivi a été réalisé dans 87 fermes en Bretagne et en Pays de la Loire. Ces prairies ont en moyenne produit 7 TMS/ha/an et la quantité dherbe na pas diminué sur les trois années de relevés. En général, la flore de ces prairies se diversifie au bout de 3-4 ans (avec en moyenne dix espèces retrouvées, dont certaines spontanées, sur cinq espèces semées) et séquilibre autour de 71 % de graminées, 16 % de légumineuses et 14 % de dicotylédones diverses. Une seconde étude a évalué limpact de certaines pratiques agricoles sur lévolution des prairies (étude réalisée sur 77 prairies). Lalternance fauche/pâturage na eu aucun effet sur la composition ou sur la densité de la prairie. Un pâturage estival sévère na pas non plus eu deffet (mais les éleveurs ont fait attention à ne pas surpâturer), tout comme le pâturage hivernal (le chargement a été adapté par les éleveurs et les animaux ont été sortis au moment opportun). Enfin, légrainage naturel augmente la part de graminées et réduit les légumineuses.
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La luzerne : Une fourragère riche en protéines
BULLETIN DE L'ALLIANCE PASTORALE, AuteurLa luzerne est une légumineuse aux multiples avantages agronomiques. Dans les élevages, elle peut également permettre datteindre lautonomie protéique. Cet article fournit de nombreux conseils techniques pour mettre en place cette culture fourragère. Il décrit tout dabord ses intérêts agronomiques, principalement lenrichissement en azote du sol et lamélioration de sa structure. Il cite également les avantages et les inconvénients dune luzerne conduite en pur et dune luzerne conduite en association avec une graminée (dactyle ou brome). Il explique aussi comment choisir une variété en fonction de différents critères : la dormance, la tolérance à la verse, la répartition du rendement sur lannée, la teneur en protéines, la tolérance aux maladies, la tolérance aux nématodes et la pérennité. Des conseils techniques pour semer la luzerne sont proposés : préparation du lit de semences, profondeur de semis, dose de semis, période dimplantation. L'article décrit également sa conduite et sa récolte : fréquence de fauche, récolte en foin, en ensilage, en enrubannage, affouragement en vert, pâturage. Des données sont également fournies sur les besoins de la luzerne et les amendements à réaliser (amendement basique, apport en phosphore). Enfin, des valeurs alimentaires moyennes sont indiquées pour les différents modes de récolte (UFL, PDIN, PDIE).
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Méteils et dérobées estivales pour sécuriser les fourrages
Thiziri SIDI SAÏD, AuteurCet article détaille plusieurs pistes pour sécuriser le système fourrager des élevages face aux épisodes récurrents de sécheresse et de canicule. Il est tout dabord possible dimplanter des méteils MPCI (mélanges céréaliers riches en protéagineux immatures) à lautomne, en même temps que les prairies. Ces méteils permettent dassurer de bonnes valeurs alimentaires et un rendement potentiel fin avril de 5 t MS/ha (voire 7 t MS/ha pour une récolte autour du 10-15 mai. Autre piste évoquée : les dérobées estivales, qui peuvent être implantées derrière des fourrages récoltés au printemps (méteil ou prairie dégradée). La période de semis préconisée est mi-mai car, passée cette période, il faut faire attention au manque deau. Enfin, de nouvelles espèces prometteuses, comme le blé égyptien et le teff grass, sont en cours dexpérimentation pour aider à faire face à ces aléas climatiques.
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Prix moyens des semences biologiques de grandes cultures et fourragères observés en Auvergne Rhône Alpes Janvier 2020
Vincent VIGIER, Auteur ; Sabrina BOURREL, Auteur ; Olwen THIBAUD, Auteur ; ET AL., Auteur | LYON CEDEX 07 (23 Rue Jean Baldassini, 69 364, FRANCE) : AGRICULTURES & TERRITOIRES - CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE AUVERGNE-RHÔNE-ALPES | 2020Ce document apporte des informations sur les prix moyens de certaines semences biologiques. Ces prix ont été observés en janvier 2020 chez des distributeurs basés en Auvergne-Rhône-Alpes. Ces prix sont renseignés pour les principales espèces cultivées en grandes cultures (céréales, protéagineux, oléagineux, maïs et sorgho), pour les principales espèces fourragères (graminées, légumineuses et autres espèces prairiales), ainsi que pour certaines cultures dérobées (avoine diploïde et rude, moha, cameline, moutarde blanche, phacélie, radis fourrager, sarrasin, seigle fourrager, seigle forestier, colza fourrager, sorgho fourrager, trèfle dAlexandrie, trèfle Incarnat, vesce commune, vesce velue). À noter que les semences de certaines espèces présentées dans ce document ne sont pas disponibles en bio ; elles sont uniquement disponibles en semences conventionnelles non traitées et doivent faire lobjet dune demande de dérogation.
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Des rations pour produire du lait bio en hiver
Véronique BARGAIN, AuteurLa station expérimentale de Trévarez (Finistère) a testé trois rations hivernales enrichies en protéines sur son troupeau de 75 vaches laitières conduit en AB. Une ration de base (composée de 5 kg de MS densilage de maïs, densilage dherbe à volonté et dun kilo de céréales) a successivement été enrichie par du tourteau de soja, de l'ensilage dherbe précoce (mélange RGH-TV), puis par de la luzerne. Limpact sur la production laitière a été mesuré pour chacune de ces rations corrigées, et la marge sur coût alimentaire a été calculée. La ration corrigée par le soja est la plus rentable. Toutefois, cet aliment est importé de loin (certaines laiteries interdisent dailleurs lutilisation daliments importés) et son emploi va à lencontre dun développement de lautonomie alimentaire de lexploitation. La ration corrigée avec de lensilage de RGH-TV récolté précocement améliore également la marge sur coût alimentaire (mais moins que le soja) tout en préservant lautonomie alimentaire de la ferme. Toutefois, il faut pouvoir récolter suffisamment de stock. Enfin, lintérêt économique de la ration corrigée par de la luzerne déshydratée dépend du prix du lait bio et de la luzerne bio (dans le cas où les bouchons de luzerne sont achetés). En revanche, faire déshydrater de la luzerne bio produite sur son exploitation savère intéressante dans tous les cas.
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Restaurer des prairies naturelles : Recueil de savoirs pour produire et utiliser des semences prairiales
Maxime BOILLOT, Auteur ; Jean-Luc CAMPAGNE, Auteur ; Pascal CARRERE, Auteur ; ET AL., Auteur | SAINT-FLOUR (Village dentreprises, ZA du Rozier-Coren, 15 100, FRANCE) : SAINT-FLOUR COMMUNAUTÉ | 2020Situé en zone de montagne, le territoire de Saint-Flour Communauté est fortement marqué par la présence des prairies permanentes qui occupent plus de 70 % de la surface agricole : elles sont donc une composante essentielle du paysage. En réponse à des besoins déleveurs, Saint-Flour Communauté sest entourée de partenaires pour accompagner les agriculteurs dans une expérimentation de récolte et dimplantation de semences de prairies naturelles. Ce recueil autour de la restauration des prairies naturelles relate le travail mené lors de cette expérimentation, avec pour objectif de communiquer sur ces savoirs acquis visant à produire et à utiliser des semences prairiales. Il sappuie sur les témoignages des 7 agriculteurs mobilisés dans le cadre de cette expérience de restauration des prairies naturelles. Sept chapitres composent louvrage : - Quelle prairie récolter ? ; - A quel moment récolter les semences ? ; - Mettre en uvre la récolte ; - Conserver les semences ; - Bien utiliser les semences ; - Assurer la pérennité des prairies ; - Perspectives. En fin de document, un mini-guide botanique illustré permet de repérer 30 espèces prairiales et leurs graines.
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Comment observer sa prairie afin de comprendre la situation et prendre les bonnes décisions
Bruno OSSON, Auteur ; Rosine DEPOIX, AuteurPour prendre les bonnes décisions en matière de gestion dune prairie, il est essentiel de savoir lobserver et de comprendre la situation. Si elle est dégradée, il faut tout dabord sinterroger sur les causes de cette dégradation : surpâturage, sous-pâturage, fauche trop rase, piétinement en mauvaises conditions, absence de déprimage, fertilisation mal raisonnée, etc. Les espèces présentes naturellement peuvent aussi apporter de nombreuses informations. Leur identification permet de chercher leur phytoécologie et leur intérêt fourrager (le site www.prairies-gnis.org peut être utilisé pour identifier les graminées au stade feuillu non épié). La phytoécologie correspond à lensemble des évènements et des circonstances qui vont sélectionner les espèces présentes (situation hydrique, mode dexploitation, fertilisation, pH, profondeur de sol ). Elle est importante pour comprendre la situation. Les intérêts fourragers et la phytoécologie des principales graminées (RGA, fétuque élevée, dactyle, fétuque rouge, fromental, pâturin commun, crételle, flouve odorante, houlque laineuse, vulpin des prés) sont synthétisés, en fin darticle, sous forme dun tableau.
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Dactyle / luzerne : une bonne association pour passer des étés secs
GNIS, AuteurLassociation dactyle / luzerne comporte plusieurs avantages. Tout dabord, la répartition de la production et les modes dutilisation des fourrages sont compatibles. Le dactyle permet la conservation de lensilage et une récolte de foin qui limite la perte des feuilles de luzerne cassées dans la masse du fourrage. La présence de luzerne apporte une certaine résistance à la sécheresse. Au niveau de la composition, luzerne comme dactyle sont riches en protéines et le dactyle permet de maintenir une bonne densité énergétique du mélange. Pour obtenir cette association, il faut prendre en compte le poids des graines. Ainsi, pour obtenir 50 % de plantes de chaque espèce, il faut semer 30 % de dactyle en poids et 70 % de luzerne. Néanmoins, la pérennité des deux espèces de cette association est différente. La luzerne disparaît avant le dactyle, au bout de 3 ans. Un sursemis de luzerne nest pas envisageable, mais dautres options sont possibles (sursemis de trèfle violet, labour, etc.).
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Guide pour un diagnostic prairial : Deux outils en un : Une méthode pour faire le diagnostic de vos prairies, une flore pour identifier les espèces
Ce guide sadresse à tous ceux qui se questionnent sur la prairie et la diversité de la flore prairiale, quils soient botanistes, éleveurs, chercheurs, techniciens ou tout simplement intéressés par le sujet. Illustré de nombreuses photos pour aider à identifier les plantes des prairies permanentes et temporaires, l'ouvrage comprend 2 grandes parties. La première est consacrée à la présentation de la méthode de diagnostic de prairies (observation, inventaire botanique, indicateurs, typologie des prairies en Pays de la Loire...). La deuxième partie est consacrée à la flore de la prairie : critères de détermination des graminées au stade herbacé, flore des espèces les plus couramment rencontrées dans les prairies de lOuest de la France. 105 espèces sont présentées, avec des photographies mettant en évidence les critères de reconnaissance des espèces, et avec leur intérêt écologique et leur valeur fourragère.
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Implanter une culture après une prairie sans labour et en bio, mission impossible ? : 8 épisodes à découvrir
FNAB, Auteur ; GAB 85, Auteur | PARIS (40 Rue de Malte, 75 011, FRANCE) : FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique) | 2019Julien Guéneau est agriculteur au sein du GAEC Les Jonquilles, en Vendée. Cette ferme laitière est convertie en bio depuis 2010 et a cessé la pratique du labour depuis 20 ans. Un objectif : produire du fourrage pour le troupeau laitier. Un projet porté par la FNAB et le GAB 85, dans le cadre dun financement ECOPHYTO, permet au GAEC de tester trois protocoles et itinéraires différents pour implanter du maïs sans labour après un méteil ensilage semé en direct à lautomne. Fauchage du méteil, mulchage, semis du maïs, désherbage et récolte ; à travers 8 épisodes, Julien confie ses observations sur le travail réalisé en plusieurs mois. Un de ces 8 épisodes porte sur le groupe déchange Techniques Culturales Simplifiées Bio de Vendée, co-animé par le GAB et la Chambre dagriculture ; 30 fermes mutualisent ainsi les résultats de leurs essais et se nourrissent de leurs expériences. Une série qui donne à voir un exemple de techniques pour simplifier le travail du sol.
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Le dactyle adapté à la fauche comme à la pâture
GNIS, AuteurLe dactyle est une graminée fourragère pérenne (plus de cinq ans), adaptée à la fauche comme à la pâture, et relativement tolérante à la sécheresse. A travers cet article, les avantages et inconvénients de cette espèce prairiale sont présentés et des points techniques sur le choix des variétés et l'itinéraire cultural sont abordés (semis et implantation, conduite et exploitation). Son utilisation dans le cadre d'associations (avec la luzerne ou le trèfle violet) ou de prairies multi-espèces est possible selon le contexte pédoclimatique et les objectifs de l'éleveur. Concernant les valeurs alimentaires, c'est la graminée qui produit le plus de protéines à l'hectare. A noter que cet article a été écrit dans un contexte d'agriculture conventionnelle mais présente des éléments intéressants pour l'agriculture biologique (attention aux parties sur le désherbage chimique, interdit en bio, et la fertilisation NPK, plus complexe à positionner en AB).
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La dose de semis ne fait pas tout pour une prairie réussie
Cyrielle DELISLE, AuteurUn essai mené sur la ferme expérimentale de Mauron, dans le Morbihan, a comparé différentes densités de semis d'une prairie Ray-grass anglais-trèfle blanc. L'objectif était d'évaluer l'intérêt ou non d'une augmentation de la dose de semis par rapport à une dose pivot de 23 kg/ha (20 kg de ray-grass et 3 kg de trèfle blanc). Les résultats montrent qu'une densité de semis supérieure de 30 % à la dose pivot entraîne un plus fort peuplement mais aussi plus de concurrence entre les plantes, et donc un rendement moindre (3,65 tMS/ha contre 3,94 tMS/ha pour une dose de semis inférieure de 30 % à la dose pivot, sur trois cycles de fauche). Par ailleurs, un semis à la volée est favorable au rendement par rapport à un semis en ligne. Une autre partie de cette étude sur les plantes prairiales s'est penchée sur la germination et la levée de quatre graminées et de trois légumineuses fourragères. Des comptages de plantes ont été réalisés un mois et demi après le semis et lors du troisième cycle de fauche. Cela a mis en avant différents comportements de levée : certaines plantes ont des levées échelonnées et d'autres ont des levées groupées.