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Le bonheur dans le pré, une expérience reproductible
Il y a 6 ans, un couple d'éleveurs a choisi de désintensifier son élevage situé à Saint Cyr de Favières (Rhône). Aujourd'hui ils ont 21 vaches laitières et cultivent 34 ha dont 9 de prairies naturelles, 7 ha de céréales, et 18 ha en prairies temporaires. L'objectif pour ce couple était d'être plus autonome en utilisant moins d'intrants, de simplifier le système de fourrage et de réduire le temps de travail, le tout sans dégrader le revenu. En augmentant légèrement leurs surfaces (+4 ha pour des céréales pour l'autonomie en paille et en concentré), en diminuant le troupeau, en utilisant des semences de ferme, le compostage du fumier, en désherbant à la herse étrille, et en abolissant tout pesticide ou herbicide, ce couple a réussi son pari : charges moins élevées, revenu supérieur, et travail sans pointe, le tout pour un Excédent Brut d'Exploitation sur produit supérieur à 50%, donc une ferme facilement transmissible.
Comment améliorer l'état de conservation des prairies artificielles en plaine inondable ? : Exemple d'une zone proposée au réseau Natura 2000
Cet article fait part des résultats d'une étude sur les prairies artificielles dans une zone intégrée au réseau Natura 2000, en vallée de la Meuse. En particulier, l'auteur fait le point par rapport aux questions suivantes : - Les prairies alluviales artificielles sont-elles à juste titre qualifiées d'habitats appauvris ?, - Quels sont les facteurs qui freinent le rétablissement de la flore prairiale dans les prairies artificielles ?, - Comment favoriser l'évolution des prairies artificielles vers un état de conservation plus favorable ?, - Quelles sont les potentialités de restauration des prairies artificielles dans le dispositif Natura 2000 ?
Comment gérer un alpage grâce à la phénologie des principales espèces végétales
L'article nous donne ici un aperçu de l'utilisation de la phénologie pour exploiter au mieux les espèces végétales des alpages, en particulier la nardaie.
Conception de prairies à flore variée en agriculture biologique
Le choix d'un mélange prairial nécessite une bonne connaissance des espèces prises individuellement et de leur comportement en situation de concurrence au sein d'une communauté végétale. Cet article fait le point sur les critères à prendre en compte pour concevoir une prairie multi-espèces : critères de choix des espèces (valeur nutritive, appétibilité, pérennité, vitesse d'installation, adaptation à la fauche, au pâturage, à la sécheresse, à l'acidité du sol ), des variétés (précocité, résistance aux maladies, souplesse d'exploitation ) et critères de composition d'un mélange (agressivité des espèces, capacité à recoloniser, variabilité des précocités ). Enfin des propositions de mélanges sont données.
Dans l'Allier, la ferme de la famille Chassot
D'origine suisse, Daniel et Marie-Thérèse Chassot se sont installés en 1991 en France, dans l'Allier, sur une ferme en polyculture céréalière de 133 hectares. En 2000, ils reprirent en fermage un domaine avoisinant de 131 hectares, principalement en prairies avec un troupeau de 100 vaches allaitantes Charolaises. L'intégration de l'élevage dans l'exploitation a permis une rotation prairies-cultures, favorable à l'amélioration de la fertilité du sol.
Débat... Retour sur la valeur pastorale
La valeur pastorale est un indice de la qualité nutritionnelle d'un pâturage. Elle somme les recouvrements des espèces présentes, pondérés par un indice de qualité spécifique. Diverses critiques sont faites à cette notion et l'auteur souhaite revenir sur quelques points du concept de valeur pastorale. En effet, il lui semble que les objections dénotent plus une mauvaise compréhension du système de quantification de la valeur que des défauts du système.
Dossier : Pâturage
Le dossier spécial consacré au pâturage aborde différents sujets : comment le pâturage peut devenir un outil de gestion de la biodiversité, qu'est ce qu'un "habitat" pour les troupeaux domestiques, la transmission des savoir-faire des éleveurs, les produits vétérinaires
Enseigner le pastoralisme
Le dossier débute par une présentation rapide et pédagogique, pouvant servir de support de cours, sur l'intérêt du pastoralisme dans les montagnes. Suivent des données économiques (coût par brebis pour une saison d'estive, surcoût dans les zones à loup, ) permettant de déterminer la rentabilité du pastoralisme. Les 4 dernières pages retracent les changements intervenus dans ce mode de conduite des animaux.
Erosion et surpâturage, l'exemple des Alpes du Sud
Les dégradations liées au surpâturage peuvent être très importantes en montagne. Le surpâturage modifie la végétation, les plantes " refusées " se développent au détriment d'espèces plus fragiles. Il dégrade aussi les sols et accélère l'érosion. Des signes de surpâturage apparaissent dans les Alpes du Sud. Les formations végétales sont affectées, certaines zones sont surtout dégradées par le piétinement des animaux. Les pelouses d'adret sont plus sensibles à la dégradation. De plus, l'érosion est accentuée par le gel-dégel, la fonte des neiges, les orages.
Faire pâturer à 60 jours d'intervalle
Afin d'éviter les troubles digestifs des vaches, 30 % de leur ration quotidienne doit être constituée de plantes au stade floraison : il est donc nécessaire de laisser un intervalle de 60 jours entre chaque pâturage. Cet article retrace le témoignage d'agriculteurs ayant mis en pratique ces conseils préconisés par M. Berthet et Poëncet (par quels moyens ils ont pu mettre en application cette théorie et quelles en sont les conséquences sur le troupeau).
Fiches Agriculture Biologique
Ces fiches traitent de : - La rotation en agriculture biologique ; - La prairie temporaire de fauche ; - Le blé d'hiver ; - Le triticale ; - Le mélange fourrage d'hiver ; - L'avoine de printemps et d'hiver ; - Le maïs grain et fourrager ; - La féverole ; - La pomme de terre ; - La betterave fourragère ; - L'endive.
Fiches Biodoc 2004 - 2005
Depuis février 2004, J. Pousset remet à jour et crée des fiches Biodoc : - Associations de céréales et de légumineuses : quelques éléments importants pour réussir, - Intérêt et culture de la luzerne en agriculture biologique : principes de base, - Brève réflexion à propos de la reconnaissance des plantes des prairies, - La terre fertile : étonnant atelier, - Culture de la pomme de terre : des pratiques intéressantes méconnues, - Semer des prairies à base de mélanges d'espèces et de variétés en agriculture biologique : quelques principes de base, - Généraliser une agriculture écologique : risque ou chance pour la sécurité alimentaire ?, - Mycorhizes : pourquoi et comment profiter de leurs bienfaits ?
Fin de stocks et mise à l'herbe
Pour gérer au mieux la fin des stocks de fourrage au printemps, une mise à l'herbe précoce peut être très intéressante, permettant au final une augmentation de la production d'herbe sur la prairie, et une amélioration de l'appétit et de la fécondité des animaux. Il faut toutefois faire attention à la portance pour ne pas abîmer la prairie. De plus, la valeur nutritive, difficile à prévoir, peut entraîner des déséquilibres par rapport auxquels il faut être vigilant.
Les fourrages en AB dans le Massif Central : actes de la 3ème Journée Technique du Pôle Scientifique AB du Massif Central, Tulle-Naves, le 6 novembre 2003
Compte-rendu de la 3ème Journée Technique organisée par le Pôle Scientifique AB du Massif Central. Cette journée, qui avait pour thème les fourrages, a permis aux intervenants d'aborder plusieurs points clés de ce sujet : la place et le rôle des fourrages dans différents systèmes de production, la gestion fourragère et le parasitisme, la gestion et le fonctionnement des prairies en bio (fonctionnement, valeur alimentaire des fourrages, choix des mélanges prairiaux, entretien des prairies en AB, lien à l'environnement).
Herbe et mammites
Avec la mise à l'herbe, certains élevages laitiers sont confrontés à une augmentation des mammites. Les causes se retrouvent dans 5 grandes catégories : l'environnement (parcours, entrées de champs...), l'éleveur (souhait de raccourcir le temps de traite), les techniques de lavage des trayons employées, la machine à traire et l'alimentation (richesse en eau de l'herbe, variation de la composition...).