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Aléas climatiques : faire face à un début de printemps sec
Le début du printemps 2021 s'est caractérisé par un déficit important de la pousse de lherbe. Quels leviers pour y faire face ? En sappuyant notamment sur des solutions mises en place par les éleveurs en situation comparable en 2010-2011, cette fiche vise à faire un point sur les options possibles en bovins laitiers biologiques. Ainsi, 7 voies principales dadaptation sont évoquées dans ce document, pour le court et le moyen terme : lachat de fourrages, ladoption dun chargement faible initialement pour favoriser les stocks, la diminution du chargement (plus ponctuel) en réduisant le nombre de bufs, d'animaux improductifs ou par le tarissement, la distribution de paille aux génisses, lensilage de céréales immatures, la distribution de concentrés pour compenser un rationnement ou une baisse de qualité des fourrages, cultiver des espèces de soudure en été pour produire du fourrage en automne hiver. Ces stratégies saccompagnant dun surcoût, il faut rester vigilant et anticiper pour la trésorerie. Après avoir fait un rappel sur les éléments-clés du cahier des charges biologique et alerté sur lintérêt de faire un bilan fourrager dès le départ, la fiche revient plus en détails sur 4 leviers dadaptation pouvant être mis en uvre : les réductions possibles de cheptel (ex : par la vente anticipée de vaches de réforme), lintroduction de paille dans les rations des génisses de 6 à 18 mois, lensilage des mélanges céréaliers (à quel stade ensiler, comment déterminer la valeur alimentaire de lensilage et/ou comment le stocker ) et le semis de fourrages de substitution avec le retour de la pluie : le maïs ensilage, le sorgho (fourrager et sucrier), le colza fourrager, le mélange moha/trèfle dAlexandrie et le chou fourrager, avec des données sur les rendements, lutilisation, ou encore des points-clés à retenir sur ces cultures.
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La conversion en bio s'est-elle passée comme prévu ?
Annick CONTÉ, AuteurA l'hiver 2020, l'entreprise de conseil en élevage Seenovia a réalisé des enquêtes chez une trentaine d'éleveurs laitiers des Pays de la Loire convertis à l'agriculture biologique entre 2015 et 2018. L'objectif : évaluer la pertinence des outils d'accompagnement à la conversion en comparant les performances techniques prévues dans les projets à celles réellement atteintes après un ou deux ans de conduite bio. Si les prévisions concordent globalement avec la réalité, des points de vigilance ont pu être identifiés. Les éleveurs semblent avoir du mal, par exemple, à diminuer leurs surfaces en maïs, ou à voir baisser les quantités de lait produites, ce qui met à mal le système fourrager.
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Coûts de production des ateliers bovins viande en Agriculture Biologique
Pascal BISSON, Auteur ; Delphine BRETON, Auteur ; Baptiste CORNETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 02 (9 Rue André-Brouard, BP 70510, 49 105, FRANCE) : CHAMBRE RÉGIONALE D'AGRICULTURE DES PAYS DE LA LOIRE | 2019Cette brochure analyse les performances technico-économiques dateliers bovins viande conduits en agriculture biologique. Les résultats économiques de 81 ateliers situés en Pays de la Loire ou dans les Deux-Sèvres ont été analysés. Cet échantillon était composé de 60 systèmes naisseurs, 14 systèmes naisseurs - engraisseurs de veaux sous la mère et 7 systèmes naisseurs - engraisseurs de bufs. Ce document commence par décrire les grandes caractéristiques (valeurs moyennes) de ces trois systèmes de production : main duvre, UGB total, nombre de vêlages, chargement, SAU, assolement (part dherbe, de cultures fourragères, de céréales et protéagineux autoconsommés et de cultures de vente), etc. Les coûts de production et les produits générés par ces systèmes sont ensuite plus amplement détaillés, ainsi que des références technico-économiques pour les différentes catégories danimaux (broutards, veaux sous la mère, bufs, vaches de réforme). Enfin, des pistes sont évoquées pour améliorer les performances économiques de ces élevages.
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Fourrages : Changement climatique : Comment sécuriser son système
David STEPHANY, Auteur ; Martin PERROT, AuteurLe changement climatique amène les éleveurs à réfléchir sur les moyens d'adapter leur système fourrager aux sécheresses en saison estivale. Didier et Alexandre Pichon, éleveurs laitiers bio dans lAin, font partie du groupe Dephy Polyculture Élevage porté par lADABio. En mai 2017, ils ont entamé leur conversion à lAB. Cette dernière sest accompagnée dune hausse des surfaces en herbe et de la mise en place dun pâturage tournant dynamique. Cependant, ceci na pas suffi à pallier le manque dherbe durant lété. Ils ont alors cherché à récolter leur fourrage un maximum au printemps et ont diversifié la nature des fourrages récoltables en été. Pour cela, ils ont notamment semé du trèfle violet sous couvert dun méteil ensilage (féverole-pois-vesce-avoine). Ils en sont très satisfaits : en 2019, ils ont récolté 3,5 TMS de méteil et 4 TMS de trèfle (en trois coupes), avec un apport de lisier de 25 m3/ha. Ils ont également introduit du sorgho fourrager multicoupe, mais lexpérience a été moins concluante. Autre levier, ils ont baissé leur chargement en limitant le nombre de génisses. Ce partage dexpérience est complété par les témoignages de deux éleveurs laitiers bio de Haute-Savoie : Jean-François Excoffier réalise du stock sur pied avec des légumineuses, et François Conseil surveille les quantités de fourrages ingérées par ses vaches, ce qui lui a permis de réduire les quantités distribuées sans observer de répercussions sur la production de lait.
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Le pâturage mixte bovins petits ruminants : lexemple des Antilles, intérêt et limites
Le pâturage mixte, associant deux espèces dherbivores, a fortement régressé en France depuis le milieu du XXe siècle avec la spécialisation des élevages. Cette pratique a pourtant des avantages en termes de santé animale et de valorisation des biomasses fourragères. Aux Antilles françaises, la charge parasitaire de jeunes caprins sevrés a diminué denviron 90 % avec la substitution de 50 % du chargement caprin par des bovins en pâturage tournant. De même, lassociation de jeunes bovins et dovins (environ 2/3 1/3, en poids métabolique) a permis un gain de production à lhectare de 23 - 24 %. Cependant, si le gain de production se vérifie aussi dans le cas de chèvres allaitantes, le parasitisme de celles-ci ne semble pas modifié par lassociation avec des bovins (une hypothèse est étudiée : les chèvres ont acquis une connaissance très précise de la répartition des ressources fourragères sur les parcelles hétérogènes qu'elles exploitent, le chargement réel des zones les plus intéressantes et leur recontamination seraient donc les mêmes, que les chèvres adultes soient ou non associées à des bovins. Globalement, le pâturage mixte semble ainsi être un moyen de renforcer la durabilité des élevages.
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Repères de fonctionnement en élevages laitiers bio
Jean-Claude HUCHON, AuteurComme chaque année, les résultats des élevages bio des Pays de la Loire ont été publiés. En 2017, le revenu moyen était de 24 000 /UTH et le prix moyen du lait de 477 /1 000L. Les éleveurs laitiers bio misent sur une efficacité économique basée sur un minimum dintrants et un maximum dautonomie. Les résultats économiques observés montrent quun système fourrager intermédiaire (>85 % dherbe) semble être le plus résilient économiquement. La cohérence entre la part de pâturage (importante), le chargement et la conduite du troupeau est présentée comme un facteur clé de lefficacité. En 2018, suite au manque de fourrages, la baisse de revenu est estimée entre 5 000 et 10 000 /UTH. Les éleveurs sont invités à faire le point chaque année sur leur stratégie de production afin de ladapter et notamment de pouvoir prévenir les aléas.
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Systèmes laitiers bio : Difficiles équilibres fourragers 2018-19
Jean-Claude HUCHON, AuteurLes systèmes laitiers bio ont en moyenne 90 % dherbe dans leur SFP. En 2018, ils ont été fortement impactés par le fort déficit hydrique qui a sévi durant lété et lautomne : les stocks de fourrages ont été entamés dès juillet 2018, avec des reports de stocks prévus quasiment nuls en sortie dhiver 2019. Afin de pouvoir anticiper léquilibre fourrager en 2019, un bilan et une projection en sortie dhiver se sont imposés. E. Jeudy, éleveur bio de 72 Prim'Holstein en Loire-Atlantique, témoigne : plus aucun stock en sortie dhiver et, suite à une prévision fourragère, activation de différents leviers (achat de fourrages, répartition des bons fourrages dans le temps, fertilisation rapide des prairies temporaires, réduction du cheptel) suivant différents scénarii de pousse de lherbe en 2019. De manière générale, il est important de porter une réflexion sur la cohérence du système fourrager à moyen terme : au-delà dun chargement adapté, il faut réfléchir à diversifier les ressources fourragères pour sécuriser le système de production. Il est également possible de changer ses modes de récolte de lherbe (récoltes plus précoces) et daméliorer les performances animales. A noter que limpact dune sécheresse avoisine les 25 à 40 / 1000 L.
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Adapter ses pratiques pour valoriser les prairies naturelles dégradées : Approche globale de la gestion des systèmes fourragers permanents
Lola JEANNINGROS, AuteurDans les zones dites défavorisées, les éleveurs doivent concilier des contraintes liées à leurs prairies permanentes souvent dégradées avec leurs objectifs de production. Le mode dexploitation de lherbe, le comportement au pâturage des animaux, ainsi que la gestion des prairies sont trois leviers daction qui influencent directement la flore. Maîtriser le cycle des graminées et notamment la notion de mise en réserve est essentiel pour pérenniser une prairie naturelle. Il est globalement plus difficile de gérer l'équilibre des espèces pour les prairies de fauche que pour des pâtures où les coupes sont plus nombreuses. Comprendre le comportement des animaux au pâturage est également important afin de pouvoir stimuler leur ingestion, celle-ci étant stimulée par la diversité des fourrages. 26 types de prises alimentaires sont ensuite évoqués. Afin dhabituer les animaux aux différentes prises, il est recommandé de leur offrir, dès le plus jeune âge, des végétaux diversifiés, dassocier des animaux jeunes avec des animaux plus expérimentés, voire de les mettre avec dautres espèces (par exemple, les chèvres incitent les autres espèces à lever la tête). Enfin, il est essentiel de réfléchir ses pratiques en fonction dobjectifs zootechniques et agroécologiques. Par exemple, pour limiter le tri et augmenter lappétence dune prairie, il est possible daugmenter le chargement instantané ; pour pousser les animaux à explorer différentes zones, les points dintérêt (eau, pierre à sel) peuvent être déplacés ; pour éviter de faucher les refus ou damener du foin, il est possible deffectuer du report sur pied. Enfin, contre les adventices (ronces, joncs, fougères), il faut concentrer les coupes sur les jeunes plants au printemps car ces derniers sont plus sujets à la mortalité.
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Dialog'Alpes : Un outil pour valoriser la diversité des prairies permanentes dans les exploitations d'élevage bovin laitier
Jean-Pierre THEAU, Auteur ; Thomas MALVOISIN, Auteur ; Fabien FAUGEROUX, Auteur ; ET AL., AuteurDans les exploitations basées sur les prairies permanentes, l'amélioration du système fourrager doit nécessairement prendre en compte la diversité des prairies. Dialog'Alpes est un outil de diagnostic qui permet, en exploitation à dominante herbagère, d'intégrer la diversité des prairies à l'échelle parcellaire, mais aussi d'articuler les éléments apportés par les typologies prairiales avec les pratiques fourragères des éleveurs. Il se présente sous forme d'un classeur Excel avec différents onglets qui permettent rapidement de traiter les informations recueillies (dont les pratiques de gestion des prairies) et de produire automatiquement des représentations sous forme de graphes (niveau d'autonomie fourragère, qualité des stocks récoltés, cohérence du chargement avec le niveau de productivité, services écosystémiques ). Ces informations facilitent la discussion avec l'éleveur sur ses pratiques fourragères en fonction du potentiel de ses prairies et de ses objectifs. Dialog'Alpes peut aussi être utilisé dans un cadre collectif avec un groupe d'éleveurs.
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Gestion fourrage : Changement climatique : quelles stratégies adopter pour les fourrages en cas de sécheresse ?
En cas de sécheresse, quels leviers peuvent être mis en uvre par les éleveurs ? Cette fiche fait le tour des principaux moyens daction, avec un maître mot : anticiper, et un préalable : faire un bilan fourrager afin de définir au mieux besoins du troupeau et ressources disponibles. Un premier levier possible est de réduire les besoins en adaptant le chargement (réduire le troupeau si besoin, faire tarir certaines vaches plus précocement ou encore optimiser le renouvellement). Divers moyens permettent de jouer sur la ressource, dont lensilage de céréales initialement prévues pour la moisson. Dans ce cas, il faut faire attention au fait que, selon le mélange céréalier ou le type de céréales, les valeurs du produit sont très variables. Il faut faire un compromis entre rendement, taux de matière sèche et digestibilité. Implanter des cultures fourragères, après une récolte, est une autre solution. Il faut aussi anticiper pour les achats de fourrages et ne pas oublier les fourrages sur pied. Enfin, il est important doptimiser son pâturage, dautant plus en période de sécheresse, notamment en augmentant le nombre de parcelles à pâturer (quitte à moins faucher).
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Autonomie alimentaire et adaptations des exploitations bovines biologiques aux aléas climatiques
Dans le cadre du projet Casdar OptiAliBio (2014-2018), porté par l'Institut de lÉlevage, un groupe d'étudiants de VetAgro Sup a enquêté 29 éleveurs bio du Massif Central, 12 en bovins lait et 17 en bovins viande, afin : - d'analyser les déterminants de l'autonomie alimentaire des élevages bovins biologiques ; - d'évaluer leur résistance aux aléas climatiques ; - d'identifier les stratégies d'adaptation mises en place par les éleveurs. Deux grands types de pratiques sont mis en place par les éleveurs pour optimiser leur autonomie alimentaire : - l'augmentation des ressources en fourrages et concentrés ; - la diminution ou l'ajustement des besoins des animaux. Ces leviers peuvent être actionnés, soit en réaction à un aléa en cours, soit par anticipation d'un éventuel aléa à venir. Ce projet étudiant a été co-encadré par l'Inra et l'Institut de l'Élevage.
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PAC : Les derniers arbitrages sont rendus pour la nouvelle ICHN
Sophie BOURGEOIS, AuteurLes paramètres de la nouvelle Indemnité Compensatoire de Handicap Naturel (ICHN) sont connus depuis mai. Cette aide est revalorisée, en lien avec la suppression de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE). De nombreux critères de calcul et de paiement évoluent, dont par exemple : calcul simplifié, mais toujours selon le taux de chargement, plus d'âge maximum de l'éleveur pour en bénéficier, disparition de l'obligation de résidence de l'exploitant en zone défavorisée. Les niveaux de chargement en vigueur évoluent pour les zones de montagne, ainsi que les critères définissant les zones défavorisées simples (avec une nouvelle carte de ces zones pour 2018). Ces changements en cours ou à venir font qu'il est encore difficile d'estimer l'impact de cette nouvelle ICHN, qui malgré tout, devrait être globalement favorable à l'élevage allaitant.
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Welfare of organic laying hens kept at different indoor stocking densities in a multi-tier aviary system. I: egg laying, and use of veranda and outdoor area
S. STEENFELDT, Auteur ; Birte NIELSEN, AuteurEn élevage de poules pondeuses biologiques, il existe des bâtiments à plusieurs étages. La surface des différents niveaux est alors incluse dans le calcul de la surface disponible pour les animaux. Dans cette étude, les résultats sur la production, les comportements à la ponte, et l'utilisation de jardins d'hiver (ou vérandas) et des espaces extérieurs sont rapportés pour des élevages biologiques avec des densités de 6, 9 et 12 poules/m² (surface au sol, sans prendre en compte les étages), avec une augmentation concomitante du nombre de poules par auge, abreuvoir, perchoir et nid. Une quatrième modalité compte 6 poules/m² (au sol) mais avec la fermeture d'un des étages et une moindre disponibilité des auges et des perchoirs. Toutes ces modalités respectent la réglementation européenne en vigueur sur l'élevage de poules pondeuses en AB. La seule variable qui a été significativement impactée est le pourcentage de ponte : il a été significativement plus faible dans la modalité à 12 poules/m² (90,6 % contre 94,3 % en moyenne), probablement en lien avec la moindre disponibilité des nids et abreuvoirs.
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Changements agricoles de 1956 à 2010 et évolution des pullulations d'Arvicolas terrestris : comparaison entre la Bourgogne, la Franche-Comté et les Alpes
Geoffroy COUVAL, Auteur ; Yves MICHELIN, Auteur ; Patrick GIRAUDOUX, Auteur ; ET AL., AuteurDepuis le milieu du XXe siècle, les systèmes de production et d'élevage se sont modifiés, induisant des évolutions dans l'utilisation des surfaces et la structure des paysages. Est-il possible d'établir un lien entre ces évolutions sur une longue période et l'apparition de pullulations de campagnols terrestres dans certaines régions ? Une comparaison a été menée entre sept territoires de divers massifs montagneux de l'Est de la France (Alpes, Bourgogne, Jura) en utilisant, avec quelques précautions, les données communales du Recensement Général de l'Agriculture. Si les valeurs de seuil (STH/SAU, STH/Surface en herbe, chargement...) diffèrent d'une zone à l'autre, la présence de pullulation est toujours associée à des espaces essentiellement herbagers utilisés à des chargements modérés. Les trajectoires sont assez semblables entre les territoires du Doubs et de Bourgogne concernés par les pullulations, mais diffèrent avec celles des zones alpines.
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Développer l'autonomie fourragère et alimentaire en élevages : Démarche de conseil n°1 élaborée dans le cadre du Casdar PraiCoS - Guide méthodologique
L'autonomie fourragère ou alimentaire représente l'adéquation entre l'offre et la demande dans un contexte pédoclimatique donné et relativement aux objectifs socio-économiques de l'éleveur (travail, coût de production). La démarche de conseil proposée dans cette brochure, consacrée à la reconquête de cette autonomie, comporte trois étapes : - La première étape de la démarche proposée consiste à positionner l'exploitation par rapport à sa marge de progrès au niveau du chargement de la SFP, puis par rapport à son niveau d'autonomie fourragère : on peut ainsi rapprocher l'exploitation de l'une des quatre situations suivantes : les autonomes sans marges de progrès, les autonomes avec une marge de progrès, les exploitations non autonomes mais avec une marge de progrès, et les non autonomes sans marges de progrès sur le chargement ; - La deuxième étape est celle de l'exploration des leviers d'amélioration : chacune des situations relève d'une investigation spécifique, qui est précisée, et d'une gamme de leviers d'amélioration adaptés. Des tableaux référencent les leviers et proposent pour chacun une expertise de son intérêt par rapport à l'autonomie fourragère et protéique, et de ce qu'on peut en attendre a priori au plan économique et au plan de l'incidence sur le travail ; - La troisième étape consiste à établir le calendrier des actions qui pourraient être mises en uvre (y compris le renvoi sur l'une des autres démarches-types de conseil), et à rédiger le compte-rendu.