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J'économise l'eau au potager ! : Quand et comment arroser ?
Arroser, c'est bien. Bien arroser, c'est mieux ! Les jardiniers sont souvent perplexes sur les quantités d'eau à apporter et ont parfois tendance à en faire plutôt trop que pas assez. C'est dommage, car non seulement l'eau est une ressource de plus en plus rare ou mal répartie sur l'année, mais arroser sans discernement prend du temps, peut provoquer des maladies et produire des légumes sans aucun goût ! Blaise Leclerc explique ce qu'il faut savoir sur le rôle de l'eau dans les processus vitaux et sur sa circulation dans le sol et dans la plante. Il présente ensuite les différents avantages et inconvénients de chaque type d'arrosage, et les principales techniques pour économiser l'eau au jardin. Enfin, 30 fiches dédiées aux légumes les plus courants indiquent les besoins particuliers de chacun et les solutions d'arrosage adaptées.
Variétés de radis demi-long rouge à bout blanc en culture biologique de plein champ dans le Sud Est au printemps et à lautomne : 4 essais variétaux 2016
En maraîchage biologique, le radis est une culture stratégique car elle fournit des légumes à des périodes creuses de production. Avec des cycles courts, il faut savoir, du printemps à lautomne, semer la bonne variété parmi le large panel existant. Cest pourquoi le Grab d'Avignon a testé, en 2016, sur une exploitation, des variétés de type demi-long à bout blanc adaptées à la production biologique dans le Sud-Est. Pour chacune des quatre séries de semis (2 au printemps et 2 en automne), sont décrites, par variété, les qualités visuelles et l'homogénéité de la culture et sont calculés les indicateurs de productivité. Les résultats des essais classent les variétés en 4 groupes, des plus intéressantes aux moins intéressantes en matière de rendement, de calibre, de couleur... Les 4 variétés les plus intéressantes, toutes hybrides F1, sont : Mirabeau, Expo, Apache et Menric. Deux variétés populations figurent dans le 2ème lot (variétés assez intéressantes : Nelson et Pernot tipo). Les séries dautomne donnent en moyenne de meilleurs résultats. Le bilan agronomique, à lissue des 4 séries, propose des valeurs de références moyennes sur les différents critères pouvant intéresser un producteur.
Cultiver son potager naturel avec Jean-Marie Lespinasse
Désireux de cultiver en autonomie et sans intrants, Jean-Marie Lespinasse a mis en uvre, dans son jardin potager, son goût pour l'expérimentation et la recherche. Il a fait de son potager un modèle de jardin nourricier respectueux de la nature et de la vie du sol, devenu un lieu d'inspiration pour de nombreux spécialistes. Avec Danielle Depierre, il expose de manière simple les bases de son approche et développe un ensemble de propositions pour démarrer ou améliorer son jardin potager : concentration de la fertilité avec la culture en carré, travail de la faune et de la flore du sol, rayonnement solaire, maîtrise de l'eau, respect des écosystèmes naturels, conseils de culture pour une trentaine d'espèces... Avec de nombreuses illustrations et photographies, cet ouvrage délivre les principes du jardinage naturel développé depuis vingt ans par Jean-Marie Lespinasse.
Fiche technique : Conseils phytosanitaires pour la culture maraîchère biologique
Cet ouvrage de référence suisse, régulièrement actualisé, présente des conseils phytosanitaires pratiques sur des cultures particulières ou des groupes de cultures. Il traite les troubles physiologiques, les maladies et les ravageurs. Ces conseils complètent les informations diffusées chaque semaine pendant la campagne agricole dans "Gemüsebau Info", publié par Agroscope et le FiBL pour la culture maraîchère biologique suisse. Au sommaire : - Composées : Salade : types Lactuca (pommée, iceberg, lollo...) ; - Crucifères : Choux de type pommé, chou de Bruxelles, chou-fleur, brocoli et chou de Chine ; Radis ; - Ombellifères : Carotte ; Céleri ; - Liliacées : Oignon ; Poireau ; - Légumineuses : Haricot nain ; - Chénopodiacées : Betterave rouge (Betterave à salade) ; Épinard ; - Valérianacées : Mâche (rampon) ; - Cucurbitacées : Courgette ; Concombre ; - Solanacées : Tomate ; Poivron (péperoni) ; - Annexe : Filets de protection.
Guide technique et pratique pour l'utilisation des filets anti insectes en protection des cultures légumières
En tant que conseiller technique à PLANETE Légumes, Henri BEYER a constaté sur le terrain que la lutte contre certains bioagresseurs restait problématique et récurrente, en AB comme en conventionnel. Dune exploitation à lautre, il a également été rapidement convaincu que les filets anti insectes étaient un levier fiable en protection des cultures, sinon le seul, et ce dans de très nombreux contextes. La première partie du guide concerne des bioagresseurs de légumes (exemples : mouche mineuse du poireau, piéride de la rave, altises des crucifères, etc.). La deuxième se concentre sur les filets anti-insectes (caractéristiques, fabricants, distributeurs). La troisième s'intéresse aux stratégies, en termes d'utilisation de filets, à mettre en place en fonction des légumes (poireau, carotte, navet, chou, radis).
Je prépare mon potager d'hiver : Semer au bon moment pour récolter... jusqu'à Pâques !
Il existe de nombreuses bonnes raisons pour cultiver des légumes en hiver : diversité, entretien facile (peu de ravageurs, pas d'arrosage), occasion de rattraper une mauvaise saison estivale, avantages pour la santé (consommation de légumes frais, exercice physique pour le jardinier !). Les conditions d'un potager d'hiver réussi : l'anticipation, pour bien préparer la terre et permettre un développement optimal des légumes, et l'organisation. Respecter les successions de légumes, établir son calendrier de semis, du printemps à la fin de l'été en fonction du climat propre à sa région et en tenant compte des dates butoirs, adopter les bonnes pratiques (protections, paillages...) : Blaise Leclerc explique très concrètement les techniques particulières du jardinage pour avoir de belles récoltes en hiver, en donnant toutes les précisions nécessaires à la culture et à la conservation de chaque légume. Un ouvrage complet et illustré, pour ne plus oublier qu'un potager d'hiver se prépare dès le printemps.
Manuel pratique de la culture maraîchère de Paris
J.-G. MOREAU, Auteur ; J.-J. DAVERNE, Auteur | PARIS (52 Rue de Douai, 75 009, FRANCE) : EDITIONS DU LINTEAU | 2016On a oublié que les maraîchers parisiens avaient atteint l'excellence au milieu du XIXème siècle. En l'absence de moyens de transport et faute de conservation par le froid, il fallait produire sur place de quoi alimenter un million d'habitants en primeurs, fruits et légumes frais. L'ingéniosité d'alors revient d'actualité. Ce manuel, réédition d'un ouvrage vieux de 170 ans, répond au besoin de produire localement les aliments les plus nourrissants et les plus goûteux possible. Au sommaire : Chapitre 1 : Histoire sommaire de la culture maraîchère ; Chapitre 2 : Statistique horticole ; Économie horticole ; Chapitre 3 : Des terres et de tout ce qui se rapporte au sol ; Chapitre 4 : Des expositions et des situations locales ; Chapitre 5 : Des engrais ; Chapitre 6 : Des eaux pour les arrosements ; Chapitre 7 : Des outils, instruments et machines ; Chapitre 8 : Des opérations de la culture maraîchère ; Chapitre 9 : Des habitudes des maraîchers ; Chapitre 10 : Culture maraîchère à Paris, mois par mois ; Chapitre 11 : Altérations causées aux légumes par les insectes et les maladies ; Chapitre 12 : De la récolte et de la conservation des graines potagères ; Chapitre 13 : Calendrier de la culture.
Poireau, tomate, radis : La mycorhization dope les rendements
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurLa mycorhization est l'association symbiotique entre un champignon et les racines des plantes. Cette association présente des effets bénéfiques pour les cultures. Elle améliore leur croissance grâce au filament du champignon qui augmente la surface explorée par les racines. Par ailleurs, en prenant la place de champignons pathogènes, les champignons de l'association limitent l'impact des maladies telluriques. La station expérimentale en maraîchage de Bretagne sud (SEHBS) conduit, depuis sept ans, des essais sur la mycorhization. Un premier essai de cinq ans a permis d'évaluer l'effet du produit Aegis Hydro sur plusieurs légumes, en plein champ et sous tunnel, avec des apports précoces ou tardifs. Les résultats ont été mitigés : pas d'effet significatif sur melon et haricot, effets bénéfiques sur l'état sanitaire en culture de mâche, amélioration des rendements en radis, batavia, tomate ou encore poireau. Le second essai, initié en 2013, teste des apports raisonnés sur la rotation et des apports raisonnés sur la culture de poireau, culture qui a montré les meilleurs résultats sur le premier essai.
Radis divers
Guylaine GOULFIER, AuteurLe radis est cultivé depuis la nuit des temps. Sous une même espèce (Raphanus sativus), ce légume se décline en divers types botaniques, sélectionnés au fil des siècles pour différents usages. Le radis d'hiver prend différentes formes, couleurs et saveurs. Les radis "Long Noir d'hiver", "Long poids d'Horloge" ou "Gros long d'hiver", aux volumineuses racines cylindriques, ont une peau noire et rugueuse et une chair blanche piquante. Ils sont connus, chez nous, depuis le XVIème siècle. Moins connu, le "Gros rond d'hiver" possède une racine ronde et offre une chair croquante à la saveur particulièrement brûlante, faisant de lui un des plus forts en goût. Le "Violet de Gournay", qui se distingue par sa longue racine colorée, n'est pas en reste question saveur, mais le "Rose de Chine", à la racine presque fuchsia, est plus doux, parfois très légèrement amer... Des variétés chinoises rencontrent actuellement un certain succès auprès des amateurs. C'est le cas du "Green Meat" : sa racine cylindrique est blanche, à collet vert, et peut approcher les 35 cm, sa texture est fine et juteuse, légèrement piquante tout en étant douce et sucrée. De la même façon, le "Red Meat" est très apprécié pour son goût original : rond comme un navet, avec un collet vert, il possède une chair rose et offre une saveur poivrée et fruitée. Les radis d'hiver sont très riches en composés soufrés et sont une bonne source de vitamines B et C, de potassium et de calcium.
Agents de biocontrôle en cultures légumières : Utilisation de micro-organismes antagonistes contre Rhizoctonia solani
Céline ADE, Auteur ; Vanessa DEMOISSON, Auteur ; Xavier LANGLET, AuteurLa lutte biologique consiste à utiliser un organisme vivant pour limiter la nuisibilité d'un ravageur des cultures. Différents modes de fonctionnement des agents de biocontrôle sont décrits, ainsi que la réglementation. Des tableaux présentent les produits homologués et en cours d'homologation. Sur radis, les essais in-vitro du Ctifl de Carquefou (Loire-Atlantique) montrent une bonne efficacité contre le rhizoctone de certaines bactéries (Bacillus, Trichoderma), mais les résultats sont encore insuffisants dans des conditions de production.
Faire pousser ses graines germées
Cet ouvrage présente une sélection de graines à faire germer soi-même, ainsi que leurs bienfaits, des suggestions d'utilisation et des recettes. Une série de conseils permettra de réussir la germination : matériel nécessaire, règles à respecter pour mélanger les graines, quantités, méthode de conservation, soins (lumière, eau, température). Pour chaque type de graines, les différentes techniques possibles sont expliquées et illustrées étape par étape. Sont ainsi étudiées les légumineuses (pois, lentilles, pois chiches), les céréales (sarrasin, avoine, orge, quinoa, riz), les pousses feuillées (alfalfa, brocoli, choux, trèfle, radis, oignon), les graines mucilagineuses (recouvertes d'une pellicule collante : cresson, lin, moutarde), les grands germes (produits par de grosses graines et qui donnent de longues pousses pouvant remplacer la salade), les herbes destinées à élaborer des jus vitaminés .
Intercultures courtes : Faut-il chercher à couvrir ?
Catherine MILOU, Auteur ; Séverine FAVRE, Auteur ; Emmanuelle THOMAS, AuteurIl est a priori difficile de réussir une interculture entre deux cultures d'hiver. Pourtant, des expérimentations présentent des résultats encourageants, comme en témoignent, dans ce dossier, des techniciens et des agriculteurs. Un couvert apporte en moyenne 2 à 3 q/ha de plus sur le blé suivant, à condition d'assurer une bonne levée. Il faut cependant semer dans les 48 heures post-moisson car le couvert a besoin de 2 mois de croissance pour être rentable. Les grosses graines (féverole, pois) ont des besoins d'humidité trop importants pour être semées sous la barre de coupe. En revanche, le trèfle ou la moutarde peuvent être semés ainsi à condition de récolter suffisamment tard pour obtenir une humidité résiduelle du sol, voire laisser les pailles au champ. De plus, les crucifères sont avantageuses dans les rotations céréalières contre le piétin échaudage. Des essais en Côtes d'Armor montrent que la moutarde est la plus performante pour piéger l'azote, suivie de la phacélie. Les mélanges avoine+trèfle et sarrasin+phacélie+radis captent moins d'azote. Une interculture courte de légumineuses peut apporter 60 kg d'azote à la culture suivante. Deux outils d'aide à la décision sont présentés : le calculateur Merci en Poitou-Charentes, qui permet d'estimer la quantité d'azote libérée par le couvert pour la culture suivante, et un outil en ligne de choix du couvert en fonction de la localisation de la parcelle et du type de sol.
Quelques incontournables du petit jardin...
Philippe DELWICHE, Auteur ; Désiré GREVISSE, AuteurLes auteurs suggèrent quelques légumes dits "faciles" pour le potager du débutant ; ainsi, ils décrivent et donnent les avantages de : la tomate "Joyau d'Idaho" ; la laitue "feuilles de chêne", blonde ou brune (graine noire) ; la mâche "Vit" ; le radis "de 18 jours" ; le navet "rouge plat de Milan" ; la claytone de Cuba ou pourpier d'hiver.
In memoriam Maria Thun
Jean-Michel FLORIN, AuteurMaria Thun est décédée le 9 février 2012, à Biedenkopf (Allemagne). Elle contribua à lancer et à développer l'agriculture biodynamique, dans de nombreux pays d'Europe et au-delà, fut à l'origine du calendrier des semis biodynamique, qui paraît pour la cinquantième année en 2012, soutint les débuts du travail en viticulture biodynamique en France. Pendant plus de 60 ans, Maria Thun donna d'innombrables cours, conférences et conseils, à côté de ses essais et de la publication du calendrier annuel et de livres Le premier enseignement de la biodynamie, qu'elle ait retenu de Rudolf Steiner, a consisté à « apprendre à observer ». Ainsi, en 1952, elle commence à observer régulièrement des radis, tous les jours, pour voir leur croissance et constate des différences importantes dans la morphologie et les rendements des radis de chaque jour. L'influence lunaire, par le rythme de lune ascendante ou descendante, sur la croissance des plantes, ne pouvait la satisfaire, notamment parce que la date de travail de la terre à différents jours avant le semis avait plus d'influence sur la production des radis que la date des semis. Elle adopta alors une démarche expérimentale et découvrit l'influence des positions de la lune devant les constellations zodiacales agissant chacune sur un des quatre éléments (terre, eau, air et chaleur) et sur un des organes de la plante Elle élargit ensuite ses recherches avec une série d'essais sur l'application des préparations biodynamiques. Suite à la publication d'un article relatif à la « postculture », au sujet des graines semées lors d'occultations planétaires, une longue collaboration fut engagée avec le professeur von Bogulawski (un professeur de la faculté d'agronomie de l'université de Giessen, en Allemagne). Maria Thun connaissait très bien l'anthroposophie de Rudolf Steiner et uvra constamment pour comprendre « le cur de la biodynamie »
Je démarre mon potager bio
Sandra LEFRANÇOIS, Auteur ; Jean-Paul THOREZ, Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2012Pour démarrer son potager sans risque de déconvenue, le jardinier en herbe a besoin d'être bien guidé. Avant tout, il doit préparer sa terre, apprendre à la désherber ou à l'enrichir naturellement sans la polluer avec des herbicides ou des engrais chimiques. Il lui faut ensuite choisir parmi 20 légumes incontournables ceux qui lui conviendront le mieux en fonction de ses goûts et de la difficulté de leur culture. Ensuite, il doit les semer, les planter, les entretenir, les protéger en ayant les bons gestes et en mettant en uvre les savoir-faire jardiniers. Grâce à des "pas-à-pas" en photos, butter les pommes de terre, pincer les gourmands des tomates, habiller les plants de poireaux ou préparer un semis de mâche... n'auront désormais plus aucun secret pour l'apprenti jardinier. Et comme il s'agit de se nourrir sainement et de ne pas polluer les jardins, tous les conseils et les pratiques de jardinage indiqués sont 100 % bio !