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Dossier : Produire des potagères porte-graines : Surmonter les obstacles techniques
Marion COISNE, Auteur ; Jean-Martial POUPEAU, AuteurLa production de semences potagères est particulièrement technique, et c'est d'autant plus vrai en agriculture biologique. Ainsi, les agriculteurs multiplicateurs certifiés bio sont encore trop peu nombreux pour répondre à la demande de leurs collègues maraîchers. Comme l'explique Laura Brun, en charge de l'agriculture biologique à la FNAMS (Fédération nationale des agriculteurs multiplicateurs de semences), les principales difficultés techniques se concentrent sur le désherbage, les rotations (avec des temps de retour sur une parcelle relativement longs) et l'irrigation, incontournable pour décrocher un contrat avec un établissement semencier. Dans la suite de ce dossier, plusieurs agriculteurs multiplicateurs de semences bio témoignent sur leurs pratiques : - du chou sous tunnel chez Lucien Laizé, dans le Maine-et-Loire ; - de la carotte de plein champ chez Benoît Guillaumin, en Eure-et-Loir ; - des salades et des tomates sous tunnels chez Pascal Courilleau, dans les Bouches-du-Rhône ; - de la laitue sous tunnel chez Jean-Luc Judan, dans la Drôme. Pour finir, Nicolas Poiré, installé dans la Vienne, présente son exploitation qui, sur une micro-surface d'1,5 ha, lui permet de dégager une forte valeur ajoutée.
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Les extraits végétaux : Optimisation du biocontrôle et des extraits végétaux en contexte de maraîchage ligérien
Charlotte BERTHELOT, Auteur ; Romane JEAN, Auteur ; Vanessa DEMOISSON, Auteur ; ET AL., AuteurLe projet Obioleg (Optimisation des méthodes de biocontrôle contre les bioagresseurs en cultures légumières) est financé par la région Pays de la Loire et porté par lARELPAL. Ce projet a pour objectif de faciliter lutilisation et ladoption de moyens de biocontrôle et de préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP) par les maraîchers. Une enquête a été menée, régionalement, afin de recueillir les doutes, les freins et les premières expériences vécues par une quarantaine de producteurs. Cette enquête a mis en évidence lintérêt de certains producteurs pour lutilisation du biocontrôle (et plus particulièrement de substances naturelles), mais le coût de ces produits et le manque dinformations concernant les cibles, leur conservation et leurs modalités dapplication constituent des freins importants à leur généralisation. En parallèle, des essais in vitro, in planta et in campo dextraits végétaux ont été menés contre les principaux bioagresseurs de la région. Cet article fait un point sur les 382 combinaisons dagents-extraits végétaux qui ont été évaluées in vitro, sur les travaux in planta sur le mildiou de la laitue et le mildiou du radis, ainsi que sur des travaux in situ pour tester limpact dextraits végétaux sur la pourriture blanche de la laitue et sur Phoma valerianellae (agent pathogène de la mâche).
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Une farandole de jeunes pousses
Alain REGNAULT, AuteurAlain Regnault, maraîcher en biodynamie dans l'Allier, dévoile les techniques de production de son mesclun et aborde celles de la mâche. Réalisé à partir de jeunes pousses, le mesclun est le seul produit de la gamme des salades disponible toute l'année. Le choix des variétés et des espèces est important tant pour le goût qu'au point de vue esthétique, pour un mélange coloré et d'apparence fraîche. Les techniques de semis et de récolte du mesclun sont présentées : densité de plantation, hauteur de cueillette, rendement. À la différence du mesclun qui permet deux à trois coupes sur une même plantation, la mâche n'est cueillie qu'une seule fois. Cultivée sous bâche, elle est plantéeà l'aide d'une chaîne de fabrication de mottes, ce qui permet un meilleur rendement. Pour terminer, le maraîcher décrit l'utilisation des préparations biodynamiques sur ses cultures.
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La laitue qui monte
Xavier MATHIAS, AuteurContrairement aux autres laitues de sa famille, la celtuce (Lastuca sativa var. angustifolia) ne forme pas de pomme. Appelée aussi "laitue asperge", elle développe une hampe florale, épaisse et tendre, d'une trentaine de centimètres, préparée ensuite en cuisine comme des asperges. Les feuilles qui la surmontent peuvent se consommer, en mesclun. Aujourd'hui encore fréquemment consommée en Asie, la laitue celtuce a été cultivée essentiellement en Chine. Elle se sème dès le mois de mars, dans un sol meuble, riche en compost mûr et bien arrosé. La cueillette se fait avant que les fleurs n'apparaissent. Une fois épluchées, les tiges de celtuce, coupées en tronçons, se cuisent à l'eau ou à la vapeur et se prêtent à plusieurs recettes froides et chaudes.
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Semences potagères bio : Le défi : concilier offre et demande
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurEn maraîchage biologique, la sortie progressive du système dérogatoire reste compliquée en semences potagères. Avec lallongement de la liste des espèces en hors dérogation (HD), qui conduit les producteurs à utiliser essentiellement des semences bio, les semenciers se sont mis à produire en bio. Même si loffre augmente, elle reste insuffisante face à la demande, notamment en 2020 (les cas de la carotte Nantaise, du radis rond rouge, des laitues et des tomates sont détaillés). Globalement, cette demande importante des semences bio est accentuée par la forte croissance des installations en légumes bio et des conversions. Le site officiel semences-biologiques.org, aide les producteurs à connaître la disponibilité en semences bio et à demander des dérogations. Cependant, comme les semenciers ne sont pas obligés de remplir cette base de données, les ruptures de stock ne sont pas forcément renseignées sur le site. Sapprovisionner en semences peut donc devenir un casse-tête pour certains producteurs. Cet article est accompagné de plusieurs encarts : lun souligne le manque de formations au métier de multiplicateur, un autre décrit le projet Unis-vers potager qui porte sur la sélection participative de laitues, un 3ème encart décrit 14 nouvelles variétés potagères dont les semences sont disponibles en bio, et deux autres présentent les témoignages de producteurs de plants maraîchers bio qui doivent gérer ces aléas.
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Les semis papier à lessai
Noémie DESMOUCEAUX, Auteur ; Emilie ROBILLIARD, AuteurLa technique des semis papier était jusqualors assez peu utilisée en maraîchage, notamment en raison de son coût important. Les papiers ensemencés deviennent néanmoins plus accessibles et représentent une piste pour réduire le temps consacré au désherbage en maraîchage diversifié. Ces papiers sont composés de deux feuilles entre lesquelles des semences sont disposées de manière précise (écartement et profondeur). Cette technique assurerait ainsi une levée plus homogène, faciliterait le suivi sanitaire et sécuriserait le rendement. En 2019, des essais avec des papiers ensemencés ont été conduits en bio, à la station du Sileban (Normandie), dans le cadre du projet Socle Innovation AB. Lobjectif était d'observer limpact de cette technique sur la gestion de lenherbement de cultures sensibles, à savoir la carotte, la laitue et la roquette. Deux types de papier ont été comparés à un témoin (semis direct) : un papier composé de trois couches, conçu par une société danoise, et un papier plus fin, fourni par une société anglaise. Globalement, la gestion des adventices a été meilleure avec le papier plus épais. Ce dernier sest montré économiquement intéressant dans le cadre de lessai, en diminuant le temps de sarclage.
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Une serre pour récolter toute l'année : Choix du matériel et techniques de culture
En forme de tunnel ou de chapelle, en plastique ou en verre, la serre permet de faire face aux aléas météorologiques. Mais, quel modèle choisir ? Comment l'installer et l'entretenir ? Quelles sont les clés de la réussite ? Quid de l'arrosage ? Comment enrichir le sol de façon écologique (engrais verts, paillage) ? Gérer les maladies, les ravageurs ? Attirer les pollinisateurs ? Organiser les rotations, les associations de cultures, optimiser l'espace ? En hiver, quelles techniques adopter pour conserver une température acceptable sans utiliser de chauffage (couches chaudes, paillassons, tas chauffants, serres bioclimatiques...) ? Cet ouvrage répond, avec l'aide de nombreux graphiques, schémas, dessins explicatifs et photos, à toutes ces questions, et bien d'autres encore. Les quatre saisons à la serre sont également détaillées, avec les conseils spécifiques à chacune d'elles. Des fiches présentent 38 légumes, fruits et aromatiques sélectionnés pour leur intérêt à être cultivés sous serre avec, pour chacun d'eux : description et origine, rusticité, partie consommée, type de sol, exposition, multiplication, arrosage, entretien, maladies et parasites, variétés à privilégier...
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Dossier maraîchage : Répondre aux besoins de la profession : Essais techniques et pratiques innovantes
Elodie BERNARD, Auteur ; Philippe CAILLOT, Auteur ; Célia DAYRAUD, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier est consacré au maraîchage biologique, et plus particulièrement aux besoins en matière daccompagnement des maraîchers bio d'Occitanie. En 2019, cette région comptait environ 1 200 producteurs de légumes bio avec des profils très variés (ancienneté, surface de production, mode de commercialisation ). Ces producteurs nont donc pas tous les mêmes besoins en matière daccompagnement (formations, démonstrations, groupes déchange ). Afin de mieux connaître leurs profils et ainsi de mieux répondre à leurs attentes, les réseaux des Chambres dagriculture et des GAB dOccitanie ont lancé une enquête, dont les résultats sont présentés au début de ce dossier. Parmi les demandes exprimées par ces producteurs, certaines concernent lacquisition de données techniques. Trois études sont présentées dans ce dossier. La première est une étude comparative portant sur le travail et le non travail du sol en maraîchage biologique sous abris. Elle a été réalisée sur des cultures de laitues (type batavia), en hiver, et sinscrit dans le cadre du projet Sols Vivants Méditerranéens (SOVIMED, 2019-2023) porté par la SICA Centrex, en collaboration avec le CIVAM 66 et Sudexpé. La deuxième étude porte sur lassociation de couverts végétaux et de cultures dautomne/hiver en maraîchage diversifié. Un essai a testé la mise en place de trèfles Incarnat et dAlexandrie dans des cultures de poireaux, de choux et de courges. Cet essai a été mis en place par un GIEE situé dans le piémont pyrénéen. Enfin, la dernière étude porte sur la culture de pommes de terre bio avec pour thématique : comment arriver à proposer des pommes de terre toute lannée ?
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Le projet Reveil à lheure des économies dintrants
Guy DUBON, AuteurLe projet Reveil vise à rechercher des variétés de tomates et de laitues économes en intrants, et plus particulièrement en phosphore (P) et en potassium (K). Ce projet doit répondre à deux objectifs : 1 - quantifier les réductions possibles dutilisation de P et de K via la mise à disposition, auprès d'agriculteurs, doutils de rationalisation des apports ; 2 identifier la variabilité génétique de lefficience de P et de K des principales variétés (pour le blé et le riz, il a déjà été démontré que des différences defficience dorigine génétique existent, avec un rapport allant de 1 à 2 entre les variétés les moins efficientes et les plus efficientes). Des variétés bas intrants pourraient ainsi être identifiées pour lagriculture biologique (et conventionnelle). Le Groupe opérationnel de ce projet sera constitué de maraîchers, de conseillers techniques de CETAs, dingénieurs de station de recherche et dexpérimentation (Arpel, CTIFL, Grab) et de chercheurs (Inrae).
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Salades : Une gamme toujours en mutation
LE TAUPIN DU MARAÎCHER, AuteurLe nombre de variétés de laitues disponibles en bio est de plus en plus important. Depuis plusieurs années, la majorité des types de salades sont passés « hors dérogation », ce qui ferme la possibilité dutiliser des semences non traitées (sauf exception). Il reste toutefois quelques types de salades pour lesquels la fin des dérogations est prévue pour le 1er janvier 2023 : batavia rouge, lollo rossa et blonde, sucrine, rougette, chicorées frisées Wallonne et à cur jaune. Malgré létau réglementaire qui se resserre, les producteurs de plants et les acheteurs de semences sont parfois amenés à demander des dérogations exceptionnelles et à commander des semences de laitues non traitées. Ceci sexplique en partie par la difficulté des semenciers à livrer des semences bio en quantité et en qualité suffisantes, mais aussi par le renouvellement rapide des variétés. Ces dernières cumulent de plus en plus de résistances et de tolérances aux pathogènes. Cet aspect sanitaire est devenu un argument commercial qui justifie le turn-over des variétés au profit des dernières innovations. Néanmoins, il est possible de stopper cette course en accompagnant des travaux de sélection participative ou en choisissant des variétés rustiques. En complément de cet article, quatre tableaux (un pour les laitues Batavia blonde, un autre pour les laitues Beurre, un pour les laitues Feuille de Chêne et un pour les laitues diverses) synthétisent les caractéristiques des différentes variétés disponibles en bio : période de culture, résistances, observations
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Dossier : La production de salade en re-conception
Guy DUBON, Auteur ; Béatrice BONNET, AuteurCe dossier sur les salades comporte quatre articles, dont trois spécialement sur le bio. En agriculture biologique, en raison du manque de disponibilité des semences bio, un système de dérogations existe, autorisant les agriculteurs bio à utiliser des semences conventionnelles non traitées. Leur utilisation est encadrée pour des espèces et des contextes particuliers. À ce jour, la règlementation nest pas la même dans toute lEurope, mais les semenciers aspirent à une harmonisation. Pour la filière salade, de nombreuses espèces vont passer en statut « Hors Dérogation ». Des semenciers se lancent alors dans lélargissement de leurs gammes 100 % bio et le marché est en pleine croissance. Cependant, la problématique actuelle de la filière bio est liée aux résistances du mildou (Brémia), dont il existe désormais 36 races. De nombreuses recherches sont engagées, notamment au travers du projet européen ELIRE, qui a pour objectif de créer un réseau dévaluation variétale en laitues dabris, sappuyant sur 60 plateformes.
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Dossier spécial : Implantation de cultures dans des couverts végétaux dautomne couchés au rouleau faca : laitue et haricot
Hélène VEDIE, Auteur ; Abderraouf SASSI, Auteur ; Brieuc DESAINT, Auteur ; ET AL., AuteurEn maraîchage, les références sur les couverts végétaux (CV) sont encore peu nombreuses. Dans le cadre du projet COPREAU, le GRAB a mis en place un essai bio en plein champ afin dobtenir des références en croisant deux facteurs : le type de couvert végétal x le mode de destruction du couvert. Trois modalités de CV ont été testées (Sol nu ; CV1 = Blé + Pois + Trèfle Incarnat ; CV2 = Orge + Féverole + Pois), ainsi que trois modalités de destruction (EV = Broyage du couvert et enfouissement par le travail du sol ; RF = Couchage du couvert au rouleau faca et travail du sol limité à la ligne de semis/plantation ; Paillage plastique). Deux cultures différentes ont ensuite été implantées : des laitues et des haricots. Un suivi du développement des couverts, de différentes caractéristiques du sol et du développement des cultures a pu être réalisé. Les deux types de CV se sont très bien développés (biomasse de plus de 11 tMS/ha), mais un déséquilibre a été observé dans leur composition avec une prédominance de blé dans le CV1 et de féverole dans le CV2. Concernant les modalités RF, le stade de couchage du CV2 a été bien choisi, alors quil a fallu trois passages de rouleau faca pour maîtriser le CV1. Pour la salade, les rendements semblent être affectés par le type de couvert : ils sont inférieurs pour les modalités CV1 (riches en blé). Le mode de destruction semble également influencer les rendements : la présence accrue de limaces pour les modalités RF engendre plus de déchets. Les rendements des haricots semblent être uniquement impactés par le mode de destruction des CV : les modalités RF ont un rendement inférieur et sont en retard dune dizaine de jours. Globalement, la technique des couverts couchés engendre des pertes de rendement sur les deux cultures. Les résultats confirment aussi limportance de tester la technique pour des couples « couvert-culture ».
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Panique sur la laitue
Jérôme JULLIEN, AuteurLa laitue craint les attaques de plusieurs ennemis, les plus fréquents étant les limaces et les escargots, les larves du sol, les pucerons et la pourriture grise, et les moins fréquents étant les chenilles défoliatrices et le mildiou. Pour contrer chacun de ces ravageurs, des conseils sont donnés. Une surveillance est de mise pour détecter l'apparition des premiers symptômes. Les mesures préventives restent très importantes dans la gestion de la lutte contre les ennemis de la laitue. Une rotation de 3 ans sans laitues ni chicorées est préconisée. Le petit pois, le brocoli et la pomme de terre sont conseillés comme précédents culturaux. L'artichaut, le fenouil, le chou, le maïs et le radis sont de bonnes plantes compagnes pour la laitue.
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Occitanie : Des essais pour les maraîchers bio
Adrien LASNIER, AuteurUne journée régionale portant sur le maraîchage biologique a été organisée le 20 novembre 2018, au Lycée Agricole de Toulouze-Auzeville (Haute-Garonne). Elle fut loccasion de divulguer les derniers résultats dexpérimentations sur les moyens de lutte contre les bioagresseurs. Les thématiques abordées ont été nombreuses : Punaises phytophages, Tuta Absoluta, nématodes à galles, sclérotinia et rouille. Célia Dayraud, du Civambio 66, a présenté les résultats dun essai de lutte biologique contre les pucerons en production de laitues sous abri. Deux auxiliaires adaptés aux conditions froides ont été testés : des chrysopes et des syrphes. Leffet des larves de chrysope a été plus rapide sur les populations de pucerons et tout un cortège dautres auxiliaires non introduits a été observé. Aude Lusetti, de la Sica Centrex, a présenté des résultats dun essai en bacs de lutte contre le souchet (adventice) : loccultation a montré de bons résultats mais pas la solarisation.
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Quelles variétés multiplier ? La laitue "Radichetta"
Philippe DELWICHE, AuteurLa laitue "Radichetta" est une variété italienne cultivée comme laitue à couper. Cette variété traditionnelle figurait déjà au catalogue de la saison 1899-1900 du semencier italien Dammann, qui décrivait "de grandes feuilles vertes profondément découpées", et soulignait sa qualité "de loin supérieure à l'ancienne pour sa saveur exquise". Ses feuilles, qui ressemblent à la feuille de chêne, sont croquantes, d'un vert intense et d'une saveur très douce. Peu sensible aux attaques de pucerons et résistante à la pourriture du collet et à l'oïdium, elle convient en culture toutes saisons, à l'exception de l'hiver.