Thésaurus


Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
![]()
![]()
30 gestes malins & utiles au jardin bio avec Les 4 Saisons du jardin bio et Terre Vivante
La brochure présentée a été réalisée par la rédaction des 4 Saisons du jardin bio, avec la participation de lecteurs et de collaborateurs du magazine, de jardiniers de Terre Vivante. Elle constitue le supplément du n° 181 de mars-avril des 4 Saisons du jardin bio et décrit 30 gestes à adopter au jardin : - Ravageurs, maladies et plantes indésirables (aspirer les punaises vertes, le rumex soigne le chancre du pommier, phosphate contre pucerons des racines, les carottes résistent aux campagnols, la tanaisie anti-fourmis, halte à la tavelure...) ; - Méthodes de culture et travail du sol (un bon enracinement, pour des tomates en bonne santé, des oignons sans désherbage, les atouts de la culture sur buttes, purins à l'essai, de l'ortie au compte-gouttes, genêts en paillage, vers verts...) ; - Outils (l'écharasson pour une cueillette facile, une bêche anti-mal de dos...) ; conservation (des pommes... dans la terre, séchoir solaire simple à faire soi-même) ; accueil de la faune sauvage (nichoirs d'hirondelles rustiques, système anti-chat pour mangeoire à oiseaux).
![]()
![]()
Les 4 saisons du Jardin bio - Hors-série n°19 : Ravageurs et maladies au potager : identifier, prévenir, soigner
Ingrid VAN HOUDENHOVE, Auteur ; Véronique BUTHOD, Auteur ; Denis PEPIN, Auteur ; ET AL., Auteur | MENS (Domaine de Raud, 38 710, FRANCE) : ÉDITIONS TERRE VIVANTE | 2019Les auteurs présentent tout d'abord les principaux ravageurs et maladies non spécifiques potentiellement présents au jardin : limaces, punaises, campagnols, pucerons, nématodes, thrips, acariens, courtilière, hépiale et taupin, microorganismes responsables de la fonte des semis (pythium, rhizoctonia...), mildiou, alternariose, viroses, oïdiums, cercosporiose... Sont ensuite passées en revue les familles de légumes avec leurs maladies spécifiques : alliacées, apiacées, astéracées, brassicacées, chénopodiacées, cucurbitacées, fabacées, solanacées. Des conseils approfondis sont fournis pour identifier ces différents ravageurs et maladies, et pour mettre en place des actions de prévention. La gestion différenciée, une des alternatives inspirantes mises en place par les communes depuis l'interdiction des pesticides de synthèse, fait l'objet d'explications, afin de, pourquoi pas, transposer ce principe au jardin pour renforcer la prévention. Enfin, un guide dachat en jardinerie permet de décrypter les étiquettes de produits de biocontrôle autorisés en agriculture biologique ; des exemples de plantes utiles au jardin et différentes recettes de préparations à base de plantes complètent ce panorama des gestes et actions essentiels pour aider les jardiniers à protéger les légumes au potager.
![]()
![]()
50 plans anti-bestioles : Recettes pratiques et rigolotes pour exterminer tous les ennemis du jardin
Sarah FORD, Auteur ; Luc RIGOUREAU, Traducteur | PARIS CEDEX 06 (21 Rue du Montparnasse, 75 283, FRANCE) : ÉDITIONS LAROUSSE | 2009
Ce petit livre offre 50 façons stratégiques, biologiques et amusantes pour faire battre en retraite les ennemis du jardin. Il propose tous les stratagèmes pour protéger les plantes de leurs assaillants : bestioles volantes (pucerons), crapahuteurs (charançons, cochenilles, perce-oreilles, fourmis, chenilles et asticots), poilus (chats, souris, lapins, taupes, écureuils et cervidés), gluants et blindés (limaces, escargots et punaises). A l'inverse, il donne des conseils sur la façon de maintenir les compagnons appréciables du jardin (coccinelles, lombrics, hémérobes, hérissons, mille-pattes, oiseaux, abeilles, syrphes et batraciens).
![]()
![]()
Les abeilles, la planète et le citoyen : Comprendre le déclin des pollinisateurs, agir pour la biodiversité
Chaque jour, des menaces nouvelles pèsent sur la biodiversité. Le déclin des colonies d'abeilles, tout particulièrement, est devenu un sujet d'inquiétude pour les apiculteurs, les scientifiques mais aussi pour les pouvoirs publics. Les médias s'en font largement l'écho, mais il est difficile de se faire une idée juste de la situation. Dans ce livre qui pose de façon claire et objective tous les éléments du débat, Bernard Duran a décidé d'en avoir le cur net. Il a sollicité les meilleurs spécialistes français de la question. Quelle est la gravité exacte de la situation ? Quelles sont les causes du déclin des pollinisateurs ? Quel peut être l'impact réel sur la société, tant sur le plan économique qu'écologique ? Et surtout, quelles sont les solutions possibles et les initiatives utiles pour améliorer la situation ? Chacun, à son niveau, a en effet les moyens d'agir.
![]()
![]()
Acariens ravageurs : quelles méthodes de lutte biologique ?
Dans le sud de la France, l'acarien Tetranychus urticae constitue un problème préoccupant en maraîchage biologique, particulièrement en culture sous abri de Solanacées et Cucurbitacées : les pertes de rendement peuvent être très importantes, notamment en climat sec et chaud (Provence). La lutte contre ce ravageur en AB est difficile et repose actuellement sur la combinaison de différentes méthodes : prophylaxie, produits biologiques (soufre), prédateurs, modification du climat sous abri (aspersions, brumisations). Cet article fait le point sur ces méthodes et met en relief l'intérêt de la pratique des brumisations pour lutter contre les tétranyques.
![]()
![]()
Acariose et érinose : en recrudescence?
Des acariens ériophyides sont responsables de deux affections connues sous les noms d'acariose et d'érinose sur les vignobles. Il est expliqué dans le présent article, comment apparaissent les symptômes de ces affections. Des acariens prédateurs existent sous nos climats. Cependant avec la hausse des températures pendant l'été 2003, leur population a fortement diminué laissant les populations d'acariens ravageurs pulluler et faire de nombreux dégâts.
![]()
Acquérir des références en bio : Intérêt du réseau collaboratif RESAQVitiBio
Ludivine DAVIDOU, Auteur ; Nicolas AVELINE, Auteur ; Anaïs BERNARD, Auteur | BLANQUEFORT (39 Rue Michel Montaigne, 33 290, FRANCE) : VINOPÔLE BORDEAUX-AQUITAINE | 2014Le RESAQVitiBio est un réseau collaboratif, mis en place en Aquitaine dans le but d'acquérir des références sur les systèmes viticoles biologiques de la région. De 2011 à 2013, une série d'essais chez des viticulteurs avait pour objet l'utilisation de l'argile kaolinite calcinée contre la cicadelle verte de la vigne. Bien qu'étant un ravageur secondaire, celle-ci peut causer, par ses piqûres, des dégâts importants de grillure des feuilles, et aucun traitement n'est homologué en AB contre ce ravageur. En 2013, 13 parcelles ont été suivies, avec une partie traitée et une partie non-traitée. L'argile, en formant une barrière physique entre la cicadelle et la feuille, a limité les populations larvaires sur les zones traitées, avec une efficacité moyenne de 61,2 %. En revanche, les dégâts de grillure restent relativement présents, avec une efficacité moyenne du traitement de 55 %. Ces résultats confirment ceux observés sur les trois années précédentes avec, en moyenne sur les trois ans, 53 % d'efficacité sur la diminution de la population, et 50 % sur les grillures. Le pouvoir insectifuge de l'argile kaolinite calcinée en fait une solution intéressante pour les parcelles à forte pression de cicadelles. Une deuxième partie de ce document rapporte les résultats d'une enquête consacrée à la protection du vignoble biologique aquitain en 2013. Les dégâts observés et les traitements effectués sont proches de ceux de 2012.
![]()
![]()
Acquérir des références techniques en grandes cultures biologiques : Synthèse régionale des expérimentations : Campagne 2014-2015 : Région Pays de la Loire
Cette synthèse présente les résultats dessais en grandes cultures biologiques menés sur la campagne 2014-2015 en Région Pays de la Loire, ainsi que les nouvelles références techniques acquises sur les thématiques suivantes : - Identifier les variétés les plus adaptées à lagriculture biologique (pour les différentes cultures) ; - Produire du blé de haute qualité pour la meunerie ; - Sécuriser et maîtriser la culture des oléo-protéagineux ; - La gestion des ravageurs du maïs ; - La gestion de la fertilité du sol. Lensemble de cette campagne dessais a été conduite chez des agriculteurs volontaires et en station expérimentale, et l'opération suivie par les experts de la recherche en grandes cultures biologiques et la Chambre dagriculture des Pays de la Loire avec ses partenaires.
![]()
![]()
Acquérir des références techniques en grandes cultures biologiques : Synthèse régionale des expérimentations : Campagnes 2013-2014 - Région des Pays de la Loire
L'ensemble de la campagne d'essais en Pays de la Loire, dont les résultats sont détaillés dans ce document, a été conduite chez des agriculteurs volontaires et en station expérimentale. Les essais ont été conduits par les Chambres d'agriculture des Pays de la Loire, avec leurs partenaires. Cette synthèse présente les résultats d'essais en grandes cultures biologiques menés sur la campagne 2013-2014, et les nouvelles références techniques acquises sur les thématiques suivantes : - Identifier les variétés les plus adaptées à l'agriculture biologique ; - Produire du blé de haute qualité pour la meunerie ; - Sécuriser et maîtriser la culture des protéagineux ; - La gestion des ravageurs du maïs ; - Le développement de cultures nouvelles ; - La gestion de la fertilité du sol.
![]()
![]()
Acquisition de références P.B.I. pour le gerbera fleur coupée en Pays de la Loire
Dans le cadre de l'expérimentation régionale, l'Association pour l'Expérimentation en Horticulture d'Ornement (A.E.H.O.) a réalisé le suivi des populations d'auxiliaires et de ravageurs dans une entreprise de gerbera fleur coupée en protection biologique et intégrée (P.B.I.). L'objectif de cette expérience est l'acquisition de références pour les entreprises régionales. Trois ans de recul permettent de faire le point tant sous l'angle efficacité de la production que d'un point de vue économique.
![]()
![]()
Actes Rencontres Techniques CTIFL-ITAB 2017
ITAB, Auteur ; CTIFL, Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut Technique de l'Agriculture Biologique) | 2017La production de fruits biologiques connaît un fort développement en France ces dernières années. Ainsi, en 2015, le verger bio a atteint 16 % de la surface totale du verger français. Les Rencontres Techniques AB Fruits, co-organisées par le CTIFL et lITAB le 9 mars 2017, ont permis de faire le point sur les dernières connaissances scientifiques et techniques qui permettront demain de lever certains verrous au développement de la production de fruits biologiques. Les différentes interventions portent sur : - Évolution du marché des fruits frais en AB : production et consommation en France (Dragana Miladinovic, Interfel) ; - Typologie des consommateurs de Bio dans la cohorte NutriNet-Santé (E. Kesse-Guyot, INRA, CRESS Sorbonne Paris Cité et Bruno Taupier-Letage (ITAB)) ; - Accompagner la création d'une filière pomme pour la transformation bio en Nouvelle-Aquitaine (Séverine Chastaing, CDA 47) ; - Stratégie de fertilisation à la plantation et sur jeune verger bio (B. Gandubert/C. Coureau, CTIFL/La Morinière et M. Millan, CTIFL) ; - Lenherbement du rang comme alternative au travail du sol (Claude-Éric Parveaud, GRAB/ITAB) ; - Gestion du rang de plantation dun jeune verger de pommier en agriculture biologique (Sébastien Ballion, Cefel) ; - Travail du sol : quels outils, pour quels besoins en verger bio ? (Sébastien Cavaignac, Invenio) ; - Situation des usages en arboriculture AB : État davancement des dossiers (Bertrand Bourgouin, DGAL/SDQSPV) ; - Bilan à mi-parcours du Projet Casdar PEPS - Évaluation et optimisation des SDP dans les stratégies de protection phytosanitaire en verger de pommier (Marie-Noëlle Brisset, INRA) ; - Carpocapse, mouche du brou en verger de noyer : quelles alternatives ? (Agnès Verhaeghe, Ctifl) ; - Le campagnol provençal dans les vergers du sud-est de la France (M. Jay et J.M. Ricard, Ctifl, M. Merabet (Stagiaire)) ; - Lintensification de lagriculture biologique, conséquences sur la régulation des phytophages en vergers de pommiers (Gaëlle Marliac, VetAgro-Sup/INRA) ; - Régulation des ravageurs par les araignées dans les vergers (Jean-Michel Ricard, Ctifl).
![]()
![]()
Actualité technique : Conférence SIVAL 2014
Aurélien LIVET, AuteurLors de l'édition 2014 du salon agricole SIVAL, une conférence sur l'arboriculture biologique et les clés de réussite d'une telle production a été organisée par la Chambre d'agriculture des Pays-de-la-Loire. Ce fut l'occasion pour le Gabnor, la FREDON Nord-Pas-de-Calais et le Centre Wallon de Recherche Agronomique de présenter leur projet commun, TransBioFruit, financé par l'Union Européenne. L'objectif majeur de ce programme était d'apporter des réponses aux préoccupations techniques des arboriculteurs en mutualisant les compétences de différents organismes. Les recherches, dont certains résultats sont rapportés dans cet article, portaient sur différents ravageurs (anthonome, hoplocampe, puceron cendré) et maladies (black rot, tavelure) du pommier et du poirier.
![]()
Adaptation d'un outil de dépistage des adultes de la cécidomyie des atocas
Annabelle FIRLEJ, Auteur ; Jonathan VEILLEUX, Auteur ; Franz VANOOSTHUYSE, Auteur | OTTAWA (1341, chemin Baseline, K1A 0C7, CANADA) : AAC (Agriculture et Agroalimentaire Canada) | 2014La cécidomyie des atocas est un ravageur dommageable pour les cultures de canneberges en régie biologique. Elle peut affecter jusqu'à 50 % de la production des tiges affectées par rapport aux tiges non affectées. La méthode actuelle de dépistage s'avère laborieuse, car elle se fait par l'observation de 1000 pousses en vue de déterminer un seuil de contamination. Cette étude voulait développer une méthode efficace et hâtive de dépistage des adultes afin de mieux planifier la gestion de ce ravageur. Le projet a évalué l'efficacité de deux pièges d'émergence à dépister les adultes de la cécidomyie des atocas dans les atocatières québécoises. Le CETAQ a réalisé le dépistage traditionnel des pousses alors que l'équipe du laboratoire PFI de l'IRDA a réalisé les relevés de populations des adultes dans les pièges d'émergence. Selon les données recueillies, le piège d'émergence à pétri a été le plus efficace à capturer les adultes de cécidomyie en 2012. Une corrélation de 88 % a été observée entre les populations des adultes observés en 2012 et 2013 et les larves observées dans les champs la semaine suivante. Cette nouvelle méthode donne de bons résultats alors qu'elle est trois fois moins chère que la méthode de dépistage traditionnelle. La dernière étape de cette approche consiste à déterminer un seuil d'intervention pour la cécidomyie des atocas.
![]()
![]()
Adopte un serpent !
Maude LE CORRE, AuteurLes serpents sont des auxiliaires qu'il ne faut pas négliger dans leur rôle de prédateur des rongeurs comme le campagnol des champs. Pour contribuer à leur recensement et afin de mieux les observer, le Ctifl de Balandran (30) a, depuis 2008, mis en place une technique pour abriter les serpents, à partir de plaques ondulées disposées sur le sol. Répondant au besoin de chaleur des reptiles tout en les protégeant des prédateurs, ces plaques sont aussi régulièrement visitées par les campagnols, mulots et musaraignes. Sur les 20 plaques installées, la moitié a été visitée au moins une fois pendant les 6 années d'observation. Le pic de fréquentation semble être entre mi-avril et fin juin, et la température maximum acceptée de 40° sous la plaque. D'autres observations ont pu être faites, concernant les espèces de serpents attirées par ces dispositifs, leur comportement, les liens entre leur fréquentation des plaques et la température ambiante, etc.
![]()
![]()
En Afrique, le système « push-pull » protège le maïs des insectes foreurs et des adventices
TRAVAUX ET INNOVATIONS, AuteurEn Afrique, les agriculteurs cultivant du maïs doivent faire face à deux ravageurs d'envergure : la pyrale, un insecte foreur dont les larves se nourrissent des tiges de maïs, et la Striga, une adventice parasite. A partir de 1993, plusieurs centres et instituts de recherche se sont associés pour trouver une solution abordable et respectueuse de l'environnement. C'est la méthode de protection intégrée dite « push-pull » qui est ressortie du lot. Elle consiste à associer deux autres plantes à la culture de maïs : le Desmodium (légumineuse) comme culture intercalaire, et l'herbe à éléphant (ou miscanthus, une graminée) en bordure de parcelle. Le Desmodium produit des substances chimiques qui, d'une part, attirent les prédateurs de la pyrale, et qui, d'autre part, s'apparentent à un faux signal de détresse qui repousse les femelles du ravageur. L'herbe à éléphant, quant à elle, produit des substances chimiques qui attirent les pyrales, ainsi qu'une substance collante qui va les piéger. Par ailleurs, le Desmodium se comporte comme une « fausse plante hôte » pour la Striga : les substances chimiques qu'il produit vont entraîner la germination des graines de l'adventice mais vont ensuite inhiber la croissance de ses racines.