Thésaurus
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Les ravageurs des bâtiments d'élevage
Les bâtiments d'élevage en activité s'avèrent être des milieux favorables pour diverses espèces de ravageurs : rongeurs, oiseaux, insectes. Ceux-ci ne s'en prennent pas aux animaux eux-même mais peuvent causer un certains nombre de dégâts et augmenter les risques sanitaires. Cet ouvrage se propose de contribuer à la lutte préventive en agissant sur le bâtiment pour le rendre étanche, ou tout du moins, moins accueillant pour les ravageurs.
Ravageurs : la teigne du poireau
La teigne du poireau est l'un des plus redoutables ravageurs. Il peut lors d'années favorables, provoquer des dégâts considérables sur des cultures mal protégées. Description des différents stades de développement de ce ravageur. Méthodes de lutte : par entomophages ; par confusion sexuelle ; autres luttes.
La régulation des ravageurs dans les cultures maraîchères biologiques
Divers ravageurs peuvent causer des pertes dans les cultures maraîchères biologiques. Sont présentées ici quelques méthodes importantes de régulation des populations de ravageurs (altises, courtilières, limaces).
Soignez tous les arbres fruitiers - espèce par espèce
En cas d'attaques de parasites ou de maladies des arbres fruitiers, comment les identifier ? Quels produits de traitement choisir ? Comment les utiliser ? A quelle époque de l'année intervenir ? Faut-il appliquer des traitements préventifs ? Les réponses apportées ici sont adaptées à chaque arbre fruitier.
La solarisation
"Expérimentée en 1976 par Katan en Israël, la solarisation est une technique de désinfection des sols qui a démontré son efficacité lors de nombreux essais en France et en Europe. Ce dossier présente : - La mise en place de la technique (le film, la période, les précautions à prendre...) - Les effets de la solarisation (contre les maladies/ravageurs, contre les adventices, sur le sol) - Le problème des films plastiques - L'optimisation de la solarisation - Les tests et essais menés par le Civam Bio LR (efficacité de la solarisation contre les adventices en plein champ ; lutte contre le Sclerotinia de la laitue par la solarisation)."
Stratégies de lutte contre les principaux ravageurs des arbres fruitiers
Pierre-Joseph CHARMILLOT ; M. BAILLOD ; B. BLOESCH ; Christian LINDERDans REVUE SUISSE DE VITICULTURE ARBORICULTURE HORTICULTURE (N° Vol. 29, n° 1 01/02/1997) / (8 p. 39-44 + 10-11)Présentation des stratégies de lutte contre les principaux ravageurs des vergers, ainsi que des modes d'action de certains moyens biotechniques, de façon à intervenir, en cas de nécessité, au moment opportun. Techniques d'échantillonnage, périodes de contrôle et seuils de tolérance.
Taupin "fil de fer"
. Description, espèces, biologie, dégâts, populations . Lutte : pratiques culturales, cultures pièges, cultures alternatives, nouveau terrain.
Tomate : stratégies de protection contre les ravageurs (1ère partie)
L'abri crée un milieu favorable au développement des ravageurs et des maladies. Pendant plusieurs années, le contrôle des problèmes sanitaires sur tomate (Aleurodes, Acariens tétraniques, Noctuelles, Acarioses Bronzées...) a reposé sur des applications "d'assurance", fréquentes et intensives, de produits phytosanitaires ayant souvent un large spectre d'action. Ceci a provoqué l'apparition de résistances et de plus grandes difficultés de lutte.
Vertpôle 97 : "Lutte contre les pucerons en cultures maraîchères"
Compte-rendu de la cinquième édition de Vertpôle, qui s'est déroulée le 12 juin 97 au Lycée Agricole de Perpignan-Théza (66). Thèmes de cette rencontre : - Problèmes de résistance aux insecticides (en lutte chimique) chez les pucerons - Les plantes-banques ou plantes-relais : résultats et perspectives (avec bilan de trois années d'expérimentation des plantes-relais sur melon) - Lutte contre le puceron au moyen de prédateurs naturels.
Les altises des crucifères
Le jardinier connaît bien les dégâts causés par les altises, ne serait-ce, par exemple, que par les feuilles de radis réduites à l'état de passoire. Parmi les 217 genres et 300 espèces d'altises présentes en France, on retiendra surtout les Phyllotreta (31 espèces en France) inféodées pour la plupart aux brassicées (chou, colza, navet), et les Psylliodes (40 espèces françaises), les unes et les autres excessivement nuisibles au jardin comme en grande culture. Gérard Tiberghien décrit ici la biologie de ce ravageur, l'impact de ses attaques sur la culture. Il énumère les différentes méthodes de lutte phytosanitaire pratiquées depuis le siècle dernier jusqu'à nos jours (chimique, empirique, biologique...), et donne ses conseils avisés pour la meilleure efficacité en lutte biologique.
Amélioration de la lutte biologique en arboriculture au moyen de bandes de plantes sauvages : bilan intermédiaire
La promotion de techniques culturales respectueuses de l'environnement est l'un des traits de l'orientation de la politique agricole suisse. Un des buts pratiques à atteindre en arboriculture est la réduction de l'emploi d'insecticides. C'est dans cette optique que le projet de bandes de plantes sauvages a été mis en place en Valais, au Centre des Fougères de la station fédérale de Changins, en collaboration avec l'Insitut de Recherche de l'Agriculture Biologique (IRAB) d'Oberwil. L'effet positif de ces bandes sur le développement des prédateurs de pucerons a été démontré par E. Wyss en 1995. Il a été jugé opportun de contrôler et de préciser ici le mode d'implantation des semis de bandes de plantes sauvages et leurs effets (dans les conditions culturales du Valais).
Application de la méthode du pourcentage d'organes occupés au contrôle des vers de la grappe, de la cicadelle verte et du thrips de la vigne
Une adaptation de la méthode du pourcentage d'organes occupés est proposée pour les vers de la grappe de la première génération - cochylis et eudémis -, la cicadelle verte - Empoasca vitis (Goethe) -, et le thrips de la vigne - Drepanothrips reuteri Uzel, au stade E (11-13) de la vigne . La relation entre la densité et l'occupation est établie d'après la fonction de Nachman (1984) pour chaque ravageur. De nouveaux seuils de tolérance sont proposés pour les vers de la grappe : de 20 à 40 % de grappes occupées par un glomérule ou plus ; pour la cicadelle verte : 25, 50 et 70 % de feuilles occupées par deux formes immatures ou plus ; pour le thrips : de 60 à 80 % de feuilles occupées par une femelle ou plus. Une nouvelle méthode d'observation, basée sur le contrôle de "10x10" grappes qui se suivent, permet de procéder à l'estimation du risque provoqué par les vers de la grappe. Ces méthodes et seuils doivent faciliter l'application de la protection intégrée en viticulture.
L'asperge
La culture de l'asperge intéresse de nombreux maraîchers de la région Languedoc-Roussillon. C'est pourquoi une expérimentation a été mise en place au Centre Expérimental Horticole de Marsillargues (34), destinée à dégager des références technico-économiques et à améliorer certains aspects des techniques de production en agriculture biologique (fertilisation, traitements phytosanitaires). Et le CIVAM BIO LR a décidé d'en faire le premier thème "maraîchage" pour sa série de fiches techniques.
L'asperge
Fiche technique de la culture biologique de l'asperge : mise en place de la culture, récolte, variétés, suivi de culture, calendrier des travaux et protection phytosanitaire.