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Lutte biologique en fraisiers : Auxiliaires contre ravageurs
Frédérique ROSE, AuteurA l'occasion du salon Vinitech-Sifel, tenu à Bordeaux en décembre 2014, Matthieu Naulin, producteur de fraises biologiques en Dordogne, a apporté son témoignage sur ses méthodes de lutte biologique. Contre les thrips, il utilise l'auxiliaire Amblyseius cucumeris. Son principal avantage est qu'il reste présent même après avoir éliminé tous les thrips, et peut alors s'attaquer à d'autres ravageurs. Contre les pucerons, des lâchers de chrysopes sont effectués, complémentés par 3 à 4 passages de purin de fougères. Avec un seul lâcher par saison pour chacun des auxiliaires, cette lutte biologique coûte environ 400 /an à Matthieu Naulin, pour des résultats jugés satisfaisants. Du purin d'ortie est également utilisé. Il permet de lutter contre les araignées rouges, de renforcer les défenses naturelles des cultures, et de lutter contre l'oïdium. Des mesures prophylactiques sont par ailleurs appliquées pour faire face à Drosophila suzukii : ramassage des fruits mûrs, effeuillage, mise en place de pièges
Management strategies in apple orchards influence earwig community
Laure MALAGNOUX, Auteur ; Gaëlle MARLIAC, Auteur ; Sylvaine SIMON, Auteur ; ET AL., AuteurLes perce-oreilles sont des auxiliaires naturels importants en vergers de pommiers. Cette étude s'est intéressée à l'impact de différents modes de production (à bas intrants, biologique et intégrée) sur cet insecte. Les densités de deux espèces de perce-oreilles, Forficula auricularia et Forficula pubescens, ont été étudiées dans 74 vergers de la région d'Avignon, pendant trois ans. Parmi les diverses caractéristiques du verger, c'est l'usage des produits phytosanitaires qui a l'impact le plus fort sur les populations de perce-oreilles, avec 2,2 applications en agriculture à bas intrants, 4,9 applications en agriculture biologique, et 9,2 applications en agriculture intégrée. Pour l'espèce F. auricularia, la densité de population est la plus faible pour l'agriculture intégrée (0,47 individu par arbre) et la plus forte en agriculture bas intrants (4,5), avec une densité intermédiaire pour l'agriculture biologique (3,1). Pour l'espèce F. pubescens, la densité de population est la plus faible pour l'agriculture intégrée (proche de 0 individu par arbre) et la plus forte en agriculture à bas intrants (2,8), là encore avec une densité intermédiaire pour l'agriculture biologique (0,8). F. pubescens semble plus sensible aux pesticides que F. auricularia.
Les plantes et les insectes : une lutte permanente - 1 : Les défenses des plantes
Jacques HUIGNARD, AuteurJacques Huignard, professeur honoraire à l'Université de Tours, présente les mécanismes de défense que les plantes ont développés, au fil du temps, pour faire face aux attaques des insectes phytophages. En effet, certains composés produits par les plantes des neurotoxiques, des anti-métaboliques, des inhibiteurs de la croissance peuvent provoquer la mort de certains insectes qui souhaiteraient s'en nourrir. D'autres plantes, comme le maïs, sont capables en cas d'attaques de produire des substances attractives pour des insectes auxiliaires, prédateurs de leurs ravageurs. Un troisième mécanisme de défense présenté est l'offre de gîte et de couvert de certaines plantes pour leurs auxiliaires, comme par exemple l'acacia corne de buf vis-à-vis des fourmis (qui repoussent de nombreux insectes phytophages).
Des simulateurs à auxiliaires
Christian GLORIA, AuteurLe projet Auximore a duré trois ans et avait pour but de mieux comprendre les facteurs favorables à la présence des auxiliaires grâce à des simulations informatiques. A titre d'exemple, l'article présente le résultat de la simulation pour les syrphes : deux profils d'environnements figurent dans un tableau, selon qu'ils sont favorables ou non à l'auxiliaire. Chaque facteur est pondéré, par exemple l'importance des bois et forêts, la présence de prairies, la culture principale, la fertilisation, la durée de floraison de la culture, etc. Cet outil ne permet pas de modéliser le potentiel de maîtrise des ravageurs par les auxiliaires, mais de diagnostiquer les facteurs favorables ou non à leur présence.
Des auxiliaires qui nous veulent du bien
Sébastien CAVAIGNAC, AuteurL'observation des auxiliaires sur une exploitation agricole permet d'évaluer la biodiversité sur celle-ci, mais aussi d'adapter ses pratiques. Par ailleurs, cette observation est un des principes de l'agroécologie. Cet article propose trois types de pièges, faciles à mettre en place, destinés à capturer quelques auxiliaires pour en évaluer la présence et l'abondance. L'identification des espèces piégées permet de mieux connaître cette faune utile. Le piège de Barber est placé dans le sol pour récupérer des insectes de type carabe ou encore harpale. Le piège à cornet unidirectionnel capturera plutôt des insectes volants. Enfin, pour évaluer l'abondance d'un sol en vers de terre, il est possible de les faire sortir de terre en arrosant le sol d'une solution de moutarde diluée.
Beneficial and pest insects associated with ten flowering plant species grown in Québec, Canada
Les méthodes curatives pour lutter contre les insectes nuisibles sont plutôt limitées en agriculture biologique. Par conséquent, la lutte aux insectes en agriculture biologique repose principalement sur des méthodes préventives, dont la lutte biologique par conservation. La manipulation de l'habitat fait partie de cette approche et vise à rendre l'agroécosystème favorable aux ennemis naturels et défavorable aux attaques de ravageurs. Les plantes à fleurs ayant les particularités de procurer du nectar et du pollen ainsi que d'être colonisées par des hôtes et des proies alternatifs, leur utilisation en bandes pourrait augmenter la présence d'insectes bénéfiques, dont les parasitoïdes et les prédateurs. Réalisée à la Plateforme d'innovation en agriculture biologique (Saint-Bruno-de-Montarville, Québec), cette étude de 3 ans avait comme objectif de déterminer le potentiel de dix espèces de plantes à fleurs à accroître la diversité et l'abondance d'ennemis naturels. Les espèces à l'étude étaient : l'achillée millefeuille (Achillea millefolium Colorado'), l'alysson maritime (Lobularia maritima Easter white bonnet'), la capucine (Tropaeolum majus California giant'), la coriandre (Coriandrum sativum Santo monogerm'), le cosmos (Cosmos bipinnatus Sensation mix'), la luzerne (Medicago sativa), le pétunia (Petunia grandiflora Ultra mix'), la phacélie (Phacelia tanacetifolia), la moutarde blanche (Sinapis alba) et l'illet d'Inde (Tagetes patula Bonanza mix'). En 2010, 2011 et 2012, chaque espèce a été cultivée en petites parcelles et un échantillonnage hebdomadaire a été réalisé à l'aide de pièges collants jaunes installés dans chaque parcelle. Dans une première étape, la présence et l'abondance de différentes espèces de coccinelles ont été évaluées sur chaque espèce. Certaines plantes peuvent également attirer des espèces nuisibles, et ainsi jouer un rôle de plantes trappes ou de réservoir de ravageurs, ce qui pourrait être néfaste pour les cultures avoisinantes. Conséquemment, certains insectes ravageurs, dont la punaise terne (Lygus lineolaris) et les altises (Chrysomelidae - Alticinae), ont également été inventoriés.
Flower plantings increase wild bee abundance and the pollination services provided to a pollination-dependent crop
Brett R. BLAAUW, Auteur ; Rufus ISAACS, AuteurLes populations d'insectes pollinisateurs sauvages, dont les services rendus aux agriculteurs ne sont plus à démontrer, déclinent au même rythme que la diversité de leurs sources d'alimentation dans les champs. Face à ce constat, et devant les difficultés croissantes rencontrées par les abeilles domestiques, des chercheurs de l'Université du Michigan ont voulu tester les effets de l'implantation de fleurs sauvages pérennes à proximité des champs sur la présence et la diversité de ces insectes sauvages. Ils ont complété leur étude par une évaluation des retombées économiques d'un tel dispositif. Se basant sur le modèle d'une plantation de bleuets (en corymbe), ils ont observé que, dès la troisième année après l'implantation des fleurs, le nombre de pollinisateurs sauvage a augmenté significativement, de même que le rendement, en terme de nombre de graines matures et de poids moyen des baies. Ces augmentations ont même permis de limiter la baisse de rendement due à des conditions climatiques défavorables lors de la dernière année d'observation. La présence de syrphidés, prédateurs de certains ravageurs de cultures, est également stimulée par ces plantations, augmentant encore les services rendus à la culture et à l'environnement. Les chercheurs ont estimé un retour sur investissement en 3 ans dans le cas d'une plantation subventionnée et de prix de vente élevé, ou en 4 à 5 ans pour une plantation non subventionnée et des prix de vente peu élevés.
Loger et abriter les insectes au jardin
Vincent ALBOUY, Auteur ; André FOUQUET, Photographe | PARIS (57 Rue Gaston Tessier, 75 019, FRANCE) : ÉDITIONS DELACHAUX ET NIESTLÉ | 2014Longtemps les insectes ont été négligés au jardin. Pire, les espèces dites "nuisibles" ont été combattues à grand renfort de produits chimiques. Aujourd'hui, on sait combien les insectes peuvent être de précieux alliés des jardiniers. Devant la raréfaction inquiétante de nombreuses espèces autrefois banales, il est temps d'agir et d'accueillir, comme il se doit, les insectes au jardin, en leur offrant notamment des nichoirs et des abris variés. Cet ouvrage est notamment constitué des parties suivantes : I - Où logent les insectes au jardin ? ; II - Une petite histoire des nichoirs et abris à insectes ; III - Construisez vos nichoirs à insectes ; IV - Aménagez des refuges et abris pour les insectes ; V - Logements collectifs pour insectes ; VI - Un environnement favorable aux insectes ; VII - Le jardinage "insecto-compatible".
6e rencontre technique agriculture biologique Des méthodes alternatives contre les bio-agresseurs
GRAB, Auteur ; Claude TRONEL, AuteurEn février 2013, l'Itab et le Ctifl organisaient leur Rencontre Technique Agriculture Biologique pour aborder les méthodes alternatives contre les ravageurs et la tavelure. Des expérimentations montrent l'efficacité des pulvérisations bihebdomadaires de fructose et de saccharose (1 à 10 g/hl) contre le carpocapse sur pommier. Les différences de dégâts selon les variétés sont considérables. Contre la tavelure sur poirier (Williams), les faibles doses de sulfate de cuivre (200 à 400 g/ha) sont aussi efficaces que les traitements conventionnels, contrairement à la bouillie sulfo-calcique ou au soufre seul. L'influence des systèmes de production sur les auxiliaires en pommier est discutée, ainsi que l'efficacité des pièges contre le campagnol provençal.
Colonisation des tunnels par les auxiliaires selon les pratiques et le paysage
Céline CRESSON, Auteur ; Stéphanie AVIRON, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2013La lutte biologique par des insectes auxiliaires peut être menée selon deux pratiques : par inondation, c'est-à-dire le lâcher d'insectes auxiliaires dans le milieu de culture, ou par conservation. Cette dernière consiste à favoriser, par les pratiques agricoles et l'aménagement de l'environnement, la présence d'entomofaune naturellement présente. Le projet Regabri a cherché à évaluer l'impact des facteurs techniques et paysagers sur les populations de mirides, punaises auxiliaires, en cultures sous abris. L'expérimentation a été menée sur des cultures de tomates sous abris froids en Languedoc-Roussillon, en agricultures biologique et conventionnelle. La colonisation par les mirides s'est avérée très variable. Même si les systèmes sans pesticides se sont montrés plus favorables à la présence de faune auxiliaire, le choix de l'agriculture biologique ne suffit pas à garantir l'installation des mirides. La fréquence des interventions, y compris mécaniques, sur les plantes, ainsi que la présence de certains éléments paysagers dans un rayon de 200 m autour des abris, sont également des facteurs clés.
Dossier Les quatre chemins du biocontrôle
Marianne DECOIN, Auteur ; Anne Isabellle LACORDAIRE, Auteur ; Louis DAMOISEAU, Auteur ; ET AL., AuteurL'ABIM, la rencontre annuelle de l'industrie du biocontrôle, a tenu sa septième édition, en octobre 2012, en Suisse. Après une courte partie consacrée à l'investissement des grandes industries phytopharmaceutiques dans ce domaine, ce dossier présente quelques exemples issus des quatre grandes voies de biocontrôle : les micro-organismes, les substances naturelles, les médiateurs chimiques et les macro-organismes auxiliaires. Les résultats d'expérimentation présentés concernent : - les Pseudomonas fluorescents, qui ont des rôles de bioprotectants, de biofertilisants et de biostimulants ; - la bactérie Burkholderia phytofirmans contre le botrytis de la vigne ; - l'inventaire des acariens prédateurs, ou phytoséiides, dans les vergers français ; - l'utilisation de laminarine, éliciteur naturel contre la tavelure secondaire ; - le programme de lutte biologique à base du parasitoïde Torymus sinensis contre le cynips du châtaignier ; - des méthodes alternatives de lutte contre la processionnaire du pin (piégeage des adultes ou des chenilles, mise en place de nichoirs à mésanges) ; - la lutte biologique contre la sclérotiniose de la salade par Coniothyrium minitans ; - l'utilisation d'un parasitoïde larvaire, Stenomesius japonicus, en association avec le prédateur Macrolophus pygmaeus, contre la mineuse de la tomate Tuta absoluta.
Effet des pratiques agricoles sur les communautés d'insectes auxiliaires
Céline CRESSON, Auteur ; Camille PUECH, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2013La lutte biologique s'appuie sur la présence d'auxiliaires des cultures. Les insectes de cette catégorie ainsi que les pratiques agricoles ont été relevés dans 40 parcelles du Sud de l'Ille-et-Vilaine, dont la moitié étaient conduites en agriculture biologique et l'autre moitié en agriculture conventionnelle. Ces parcelles, cultivées en blé d'hiver, sont situées dans une zone bocagère aux paysages différents, avec plus ou moins d'éléments semi-naturels, de bâtis Des coccinelles, carabes et parasitoïdes ont été capturés entre avril et juillet 2012 et différents éléments de contexte ont été relevés (micro-climat, pratiques agricoles sur les parcelles suivies ). L'agriculture biologique est globalement plus favorable à la présence d'auxiliaires, mais les pratiques sont très variables d'un agriculteur à un autre, aussi bien en bio qu'en conventionnel. A l'échelle du paysage, les impacts des pratiques bio et conventionnelles ne peuvent pas être différenciés du fait de la présence d'habitats diversifiés, compensant d'eux-mêmes les perturbations liées à l'agriculture conventionnelle.
Facteurs influençant la diversité des arthropodes prédateurs des manguiers
Céline CRESSON, Auteur ; Maxime JACQUOT, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : ITAB (Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologiques) | 2013La culture de mangues est particulièrement importante sur l'île de La Réunion, où 3000 tonnes sont produites tous les ans. Or, les producteurs doivent faire face à un manque de solutions pour lutter contre les ravageurs, aussi bien en agriculture conventionnelle qu'en agriculture biologique. La lutte biologique par conservation, mobilisant les auxiliaires des cultures présents localement, représente, pour ces deux modes de production, une solution alternative intéressante. Ainsi, le projet Biophyto a cherché à s'appuyer sur la biodiversité pour produire des mangues sans insecticides. Les pratiques agricoles et les éléments paysagers ont été passés au crible, de même que les communautés d'arthropodes prédateurs terrestres. L'agriculture biologique et des interventions peu fréquentes semblent favorables à la présence de ces dernières, de même que la richesse spécifique des espèces végétales présentes dans les vergers (flore adventive). Côté paysager, les milieux hétérogènes et fragmentés ont une richesse spécifique en arthropodes plus importante.
Abeilles, guêpes et leurs sosies
Denis PEPIN, AuteurAvec de l'observation, on peut discerner, au jardin, un peu mieux les abeilles des guêpes - et des mouches. Les abeilles solitaires sont velues avec un abdomen plus ou moins rayé et récoltent du nectar et du pollen dont elles nourrissent leurs larves. En France, plusieurs centaines d'espèces sont présentes. Trois sont décrites : la mégachile ou abeille coupeuse de feuille ; l'osmie ; le xylocope violet ou abeille charpentière. Les guêpes sociales, une fois adultes, se nourrissent du nectar des fleurs et alimentent leurs larves soit avec des proies paralysées par une piqûre, soit avec de la bouillie d'insectes tués... Sont distinguées : les guêpes maçonnes ou guêpes potières : eumènes ; la guêpe poliste. Les diptères présentés sont des sortes de mouches. Leurs antennes sont plus courtes que celles des abeilles et des guêpes et ils n'ont qu'une paire d'ailes. Les adultes butinent tout en pollinisant les fleurs. Parmi les nombreuses espèces, existent : le syrphe ; le bombyle ; l'éristale ; la volucelle zonée. Les syrphes auxiliaires sont favorisés avec des ombellifères, des astéracées... Des nichoirs de tiges creuses et de tiges à moelles... peuvent être proposés aux abeilles et aux guêpes solitaires.
Abris-nichoirs pour les auxiliaires du jardinier bio
Pour jardiner en bio, il est indispensable de s'appuyer sur la biodiversité et de favoriser l'équilibre d'un "éco-système-jardin". De nombreux animaux peuvent être qualifiés d'auxiliaires du jardinier : insectes, oiseaux, batraciens, petits mammifères... Leur présence permet de réguler les populations d'hôtes moins désirables comme les pucerons, les limaces ou les mulots. Ce livre guide dans la réalisation d'abris-nichoirs pour attirer certaines espèces particulièrement utiles. Il permet de travailler avec facilité, à partir de matériaux de récupération et dans un esprit totalement respectueux de la nature. Au sommaire : Chapitre 1 : Premières réalisations pour favoriser les auxiliaires ; Chapitre 2 : Accueillir quelques oiseaux ; Chapitre 3 : Accueillir quelques insectes ; Chapitre 4 : Accueillir d'autres petits animaux (Les pipistrelles ; La belette ; Le hérisson ; Le crapaud).