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27 ha de plantes de santé, beauté et bien-être : Promoplantes ouvre ses portes
Christine RIVRY-FOURNIER, AuteurA l'occasion du Sival, l'entreprise Promoplantes, installée dans le Maine-et-Loire, a ouvert ses portes aux visiteurs. Son dirigeant, Laurent Martineau, décrit l'entreprise qui cultive 27 hectares de plantes biologiques à haute valeur ajoutée et destinées aux laboratoires. Malgré dix ans d'expérience, Laurent Martineau estime que le désherbage en plantes aromatiques et médicinales bio, qui nécessitent une propreté irréprochable, reste l'aspect technique le plus difficile à maîtriser. Il n'existe pas de technique unique et les stratégies de désherbage doivent être combinées.
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Les 365 jours du jardinier
Présenté sous la forme d'un calendrier, cet ouvrage vous accompagnera tous les jours de l'année, en vous donnant des conseils précis. Les tâches et les travaux à effectuer au potager et au jardin d'agrément sont expliqués en détail et vous permettront, entre autres, de répondre aux questions suivantes : . Quand faire les différents semis, planter les bulbes, les arbres... . Quand traiter les plantes contre les maladies, comment les protéger du gel... . A quelle saison tailler les arbustes, les transporter, les greffer...
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4e Forum international de la robotique agricole : Toujours plus dinnovations
Frédérique ROSE, AuteurLa quatrième édition du Fira (Forum international de la robotique agricole) sest tenue les 10 et 11 décembre 2019, à Toulouse. Elle a été organisée, pour la première fois, par Gofar, lassociation qui regroupe Naïo technologies, Axema et Robagri. Ce forum a rassemblé près de 850 participants, originaires de 42 pays, ainsi quune vingtaine de fabricants et autant de fournisseurs. Bien que les besoins diffèrent suivant les pays et les filières, le monde agricole semble être prêt à accepter la robotique. La bio peut bénéficier de certaines des innovations, présentées à cette occasion. Quatre dentre elles sont plus amplement détaillées dans l'article : Reflet du Monde a créé un drone qui réalise des lâchers de trichogrammes, des semis de couverts végétaux et la pulvérisation de traitements ; Elatec sest associé avec Rhoban System pour concevoir e-Tract, la version robot du tracteur électrique Tractelect ; Naïo technologies sest associé à Greenshield pour perfectionner son robot de désherbage (Dino) et développe la technique laser pour lutter contre les ravageurs ; Meropy a conçu SentiV, un robot capable de déceler et de cartographier les bioagresseurs et les besoins en azote des céréales. Un encart est réservé au projet européen Romi : il consiste à développer un robot de désherbage à faible coût (5 000 ) dont les plans seront en open source.
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4e salon Tech&Bio : Un rendez-vous européen en plein essor
Sandra-Prisca PIERRE, Auteur ; Alain GARCIN, AuteurPour sa 4ème édition, en septembre 2013, le salon Tech&Bio, consacré aux techniques alternatives et biologiques, a vu une nouvelle fois son nombre de visiteurs augmenter (13 000 personnes, pour 240 exposants). Parmi les conférences programmées, l'une était dédiée à la gestion des bioagresseurs en arboriculture bio et a permis la présentation de différents travaux de recherche : - mélanges de variétés de pommiers résistantes et sensibles, associées ou non à des méthodes de prophylaxie (travaux de l'Inra et du Grab) ; - aménagement des abords du verger avec des infrastructures agro-écologiques (Ctifl) ; - trempage dans l'eau chaude des fruits après récolte (Grab/Ctifl) ; - mise en place de zones de compensation écologique (CRA-W). La combinaison de différentes méthodes de lutte alternatives, au lieu de l'utilisation d'une seule d'entre elles, s'est avérée particulièrement efficace. Une autre conférence s'intéressait, quant à elle, à la gestion du sol et des bioagresseurs telluriques en maraîchage biologique : - fertilisation d'une culture de chou-fleur à partir d'engrais verts semés sous couvert de céréales (Ctifl/SECL) ; - comparaison entre labour et non-labour en cultures légumières (Inagro) ; - pratiques de désherbage mécanique (FiBL) ; - maîtrise des bioagresseurs telluriques (Ctifl) ; - etc. Du côté des démonstrations de matériel, la préparation des sols et le binage ont été très suivis par les visiteurs.
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6 déc. 2011 : Colloque : "Désherbage Mécanique, Des Solutions À Partager" : Actes des conférences
Véronique ZAGANIACZ, Auteur ; Ludovic BONIN, Auteur ; Jean-François GARNIER, Auteur ; ET AL., Auteur | CESSON SEVIGNÉ (FRAB, 12 Avenue des Peupliers, 35 510, FRANCE) : RÉSEAU GAB-FRAB BRETAGNE | 2011
Ce document présente les actes des conférences du colloque "Désherbage Mécanique, Des Solutions À Partager" qui s'est tenu, le 6 décembre 2011, à Rennes (35). Ce colloque a été organisé dans le cadre du projet de recherche du CASDAR 2009-2011 "Optimiser et promouvoir le désherbage mécanique en grandes cultures et productions légumières", piloté par l'Itab (Institut technique de l'agriculture biologique) avec l'appui d'Arvalis-Institut du végétal, rassemblant les compétences de plus de 20 partenaires dans 7 régions différentes. Sont concernées l'agriculture en réduction d'herbicides et l'agriculture biologique. En plénière, ont été abordés plusieurs points : Evolution de la flore adventice en grandes cultures biologiques en Haute-Normandie ; Désherbage mécanique des céréales à paille : efficacité et impact sur le rendement ; Stratégies de désherbage chez des agriculteurs ligériens : témoignage de deux producteurs ; Evaluation économique de différents itinéraires de désherbage mécanique. 3 ateliers ont été organisés : - Atelier 1 : Désherbage des céréales biologiques : influence du désherbage mécanique sur les populations de mauvaises herbes ; Seuil de nuisibilité des adventices sur la betterave fourragère ; Comparaison de deux stratégies de préparation du sol avant semis ; Evaluation des techniques combinées ou mixtes pour le désherbage du tournesol et du soja ; - Atelier 2 : Evaluation de l'impact des actions de promotion des techniques de désherbage mécanique sur des territoires à enjeux eau ; Le désherbage alterné : comment introduire du désherbage mécanique dans les intinéraires classiques de désherbage ? ; Le désherbage mécanique, un outil de l'agriculture intégrée ; Pour des systèmes de cultures économes en herbicides ; - Atelier 3 : Méthode d'accompagnement des agriculteurs dans le choix de matériels de désherbage mécanique adaptés.
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L'abandon du glyphosate a un coût - Michel Roesch : "La bonne santé des sols permet de gagner contre les adventices"
Christian GLORIA, AuteurMichel Roesch est cultivateur dans le Bas-Rhin. Dans un contexte où les agriculteurs conventionnels sont à la recherche d'alternatives au glyphosate, il témoigne sur la gestion des adventices dans son système en techniques culturales simplifiées (depuis 2004) et en agriculture biologique (depuis 2010). Les couverts végétaux y tiennent une place très importante : ils permettent d'étouffer les mauvaises herbes mais participent aussi à la bonne santé du sol, essentielle pour que les cultures principales soient vigoureuses. L'agriculteur décrit l'ensemble des opérations mécaniques qu'il effectue entre un blé et un maïs. Pour lui, c'est la combinaison de plusieurs pratiques qui permettra de se passer du glyphosate.
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L'ABC d'une meule d'ensilage de maïs
L'ensilage du maïs est préféré à l'ensilage du foin au Québec à cause du coût plus faible du maïs (135 $/tonne de M.S. pour le maïs vs 170 $/tonne de M.S. pour le foin) et de son rendement plus élevé (14 t de M.S. pour le maïs/10 tonnes de M.S. pour le foin). Pour un bon ensilage, le choix de l'hybride de maïs fourrager est déterminant, car l'hybride influence le rendement, la teneur en grains, la digestibilité, etc. En termes de régie au champ, un semis début-mai permet de viser 100 % du rendement potentiel du maïs avec un taux de semis de 32 000 plants/acre (80 000 plants/ha). La fertilité du sol doit être bien gérée afin de garantir un ensilage de qualité et le désherbage doit être bien planifié. Une humidité à 70 % est idéale à la récolte et une coupe à 25 cm de hauteur est un bon compromis en termes de rendement et de qualité. La conservation de la meule doit se faire sur site dégagé afin de faciliter la machinerie pour la manipulation de l'ensilage et le dégagement de la neige en période hivernale. L'inoculation de l'ensilage avec des bactéries lactiques permet d'améliorer la fermentation dans le silo-meule. Une bonne compaction et un lissage en surface sont des étapes à compléter avant la fermeture de la meule. La bâche doit être bien étirée afin de stabiliser la meule. Une fois fermée, vérifier régulièrement la meule et réparer les bris avec du ruban adhésif.
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Abricotier en agriculture biologique : Bilan d'un verger en 12e feuille
Michel JAY, Auteur ; Jean-François MANDRIN, Auteur ; Alain GARCIN, Auteur ; ET AL., AuteurSur le centre Ctifl de Balandran, dans le Gard, un verger d'abricotiers est conduit en agriculture biologique depuis sa mise en place en 2003. Deux variétés ont été suivies : Tom Cot® Toyaco et Bergarouge® Avirine. Si la seconde a été abandonnée en 2011, car elle n'était pas adaptée (forts besoins en froid, auto-stérilité, sensibilité à certaines maladies), la première fait l'objet, dans cet article, d'un bilan au stade 12ème feuille. Deux points sont étudiés : le porte-greffe (GF 305, Myrobolan et Manicot) et le mode d'entretien du rang (travail du sol et mulch de BRF). Les meilleurs rendements sont obtenus avec le porte-greffe GF 305. Toutefois, du fait d'une nutrition azotée mal maîtrisée, ils sont globalement inférieurs à ceux de l'agriculture conventionnelle. Le travail du sol s'est avéré être la modalité la plus efficace pour le contrôle des adventices, mais il est pénalisant pour le porte-greffe Myrobolan, dont le système racinaire est superficiel. Le mulch de BRF, quant à lui, permet d'améliorer le taux de matière organique du sol.
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Acquisition de Références techniques et économiques en vue de l'optimisation d'une conversion à un système de production biologique sans cheptel
Essais comparatifs de cultures en système biologique et système conventionnel (luzerne-pomme de terre-soja-blé-oignon, en rotation). But de ces essais : acquérir des références techniques et économiques (au niveau itinéraire de production, rendements, qualité, coûts intrants/semences, temps de travail...), afin de savoir si la conversion à l'agriculture biologique permet aux agriculteurs de dégager une marge au moins aussi importante qu'en système conventionnel, sans accroissement excessif de la charge de travail.
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Actions de promotion du désherbage mécanique : étude autour des captages d'eau potable
Dans le cadre du projet Casdar « Optimiser et promouvoir le désherbage mécanique », deux études réalisées en 2009 et 2010 avaient pour objectif d'identifier les freins à l'adoption du désherbage mécanique chez des agriculteurs conventionnels et d'évaluer les opérations de promotion de ces techniques de désherbage. Les agriculteurs conventionnels qui pratiquent binage et buttage ne les utilisent pas prioritairement pour la gestion des adventices, mais plutôt comme des opérations de travail du sol et qui permettent un bon développement des plantes cultivées. Même s'ils cherchent globalement à réduire leur utilisation d'herbicides, ils n'envisagent pas de les supprimer complètement au bénéfice du désherbage mécanique. Celui-ci est jugé trop demandeur en temps de travail et pas forcément moins coûteux que les traitements chimiques. La réglementation et les subventions, notamment autour des points de captage d'eau potable, peuvent être des motivations pour s'orienter vers plus de désherbage mécanique, mais elles doivent s'accompagner de conseils ou formations pour rassurer les agriculteurs sur ces pratiques qui peuvent impliquer des changements importants du système de production (rotation ). L'outil Opti'Maïs, outil d'aide à la décision spécifique au désherbage mécanique en conventionnel ou en bio, est présenté dans cet article.
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Actualité technique : Bilan des essais maraîchage du CTIFL entre 2006 et 2009
Sébastien PICAULT, AuteurDu fait d'une demande en constante augmentation de la part des consommateurs, le maraîchage biologique est une filière à fort potentiel en Pays de la Loire, dont le développement ne pourra se passer de la recherche expérimentale. Plusieurs thèmes ont été abordés au CTIFL (Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes), entre 2006 et 2009, avec pour objectif de répondre aux principaux freins actuellement identifiés par les maraîchers : la protection des cultures contre les bioagresseurs, la qualité du produit final, la gestion des adventices. L'article présente quelques-uns des principaux résultats de ces trois années d'expérimentation : - Des filets verticaux pour protéger les crucifères des mouches ? ; - Tests pour l'optimisation de l'utilisation du Cuivre en cultures d'oignon ; - Solarisation : solution pour le désherbage en maraîchage ?
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Actualités : Plourasette, vous avez dit plourasette ? ; L'agronome et l'à venir ; Elus et Etat confirment leurs ambitions pour la bio
Virginie JOURDAN, AuteurLe salon "La terre est notre métier" s'est tenu le 8 octobre 2010 à Guichen (Ille-et-Vilaine). C'est dans ce cadre qu'Erwann Touffet a été récompensé, notamment pour la création de la fontaine à lait, adaptée aux normes du lait cru, ainsi que la plourasette, outil à destination des collectivités, pour le désherbage. Marc Dufumier, invité d'honneur du salon, a rappelé, dans son discours d'inauguration, ses analyses sur l'avenir et les enjeux de l'agriculture. De même, lors de ce salon, les agriculteurs du réseau FNAB ont interpellé les élus sur les moyens mis en uvre pour atteindre les 6 % de surfaces agricoles bio en 2012, objectif fixé par le plan Horizon Bio de Michel Barnier (2,6 % des surfaces sont cultivées en bio dans le Grand Ouest). Des garanties sont également demandées sur les aides conversion engagées en 2010, 2011 et 2012 et cela dans un cadre pluriannuel. Marie-Pierre Rouger, vice-présidente du Conseil régional de Bretagne, a rappelé les engagements de sa Région, soit de compter 1 000 producteurs bio de plus à la fin de son mandat (2014). Pour sa part, François Dufour, élu au Conseil régional de Basse-Normandie, a manifesté son inquiétude sur la question du foncier qui doit redevenir centrale pour permettre le développement de la bio.
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Aggrozouk : Le désherbage à coup de pédales ; Cultures sous couverts : Dynamiques de conception participative en maraîchage
Nicolas SINOIR, AuteurDeux articles sont consacrés aux outils en auto-construction : - Le "véloculteur" n'est pas une idée nouvelle, mais sa pertinence s'est construite et se construit encore au fil des versions successives et de l'implication des paysans dans son amélioration. Le collectif Soul Farming, impliqué sur ce projet depuis plusieurs années, a sollicité l'appui de l'Atelier Paysan. Courant 2017, des plans pour l'auto-construction de cet outil devraient être proposés aux maraîchers. Porte-outils polyvalent à pédales et à assistance électrique, il permet la plupart des travaux agricoles de surface ; - L'Atelier Paysan accompagne trois projets sur la destruction de couverts végétaux (notamment dans le cas d'implantation de légumes dans des mulchs) sur le volet "machines", pour deux versions d'un outil flexible pour usage en terrain non nivelé, et deux versions d'un outil rigide, pour le maraîchage à plat et pour les planches bombées.
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AGP : trois céréaliers du Gers s'associent
MM. Agut, Gröbert et Pizzighella, isolés à l'ouest du département du Gers, décident de commercialiser ensemble leurs productions et créent en 1990 une SARL nommée AGP. Les trois membres d'AGP gèrent leurs exploitations de façon indépendante, avec un large fond de commerce basé sur une rotation blé-soja-tournesol. Chacun dispose de productions de diversification à sa guise (ail, épeautre, lentilles, moutons...). Leurs activités communes sont le stockage, la transformation et la commercialisation des trois cultures principales.
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Agri-Structures : Bineuse autoguidée par skis
Frédéric RIPOCHE, AuteurLe fabricant de matériel agricole Agri-Structures a mis au point une bineuse autoguidée par skis glissants. Au nombre de 3 ou 4, placés sur la bineuse, ces skis suivent des sillons d'une profondeur de 5 à 6 cm, creusés dans le sol lors du semis. Cet outil relativement basique n'en est pas moins polyvalent et performant. Vincent Philippon, éleveur biologique en Touraine, en témoigne. Pour lui, cette bineuse présente également les avantages d'être moins coûteuse que d'autres systèmes de guidage, facile d'utilisation, et facilement réparable.